• Pierre-Emmanuel Barré claque la porte de France 5

    après trois chroniques,

    s’estimant censuré

    L’humoriste avait vigoureusement attaqué Cyril Hanouna

    dans sa chronique diffusée le 21 janvier dans « C l’hebdo ».

    HuffPost >>>>>

    Le Parisien >>>>>

    Pierre-Emmanuel Barré >>>>>

     

    Allez on vous en fait profiter... (5 ' environ la vidéo...)

    VU 23 Janvier 2023 >>>>>

    Vu 24 Janvier 2023 >>>>>

    Vu 25 Janvier 2023 >>>>>

    Vu 26 janvier 2023 >>>>>

    Vu 27 Janvier 2023 >>>>>

    Vu 28 Janvier 2023 >>>>>

     

    Vu >>>>> Youtube


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  • Ce boulanger

    qui cuit son pain au feu de bois

    et ne connaît pas la crise

    Il s'était déjà fait remarquer par une action solidaire en plein confinement de 2020, voici Anthony Coëplet, boulanger à Chaligny (Meurthe-et-Moselle), à nouveau dans la lumière. En pleine crise énergétique de ce début d'année 2023, il utilise le four à bois dans sa boulangerie par passion et nous rappelle les avantages de ce type de fonctionnement.

     

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/temoignage-ce-boulanger-qui-cuit-son-pain-au-feu-de-bois-et-ne-connait-pas-la-crise-2700530.html


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  • Robins des Bois de l'énergie

     


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  • 2 semaines après son retour à l'Assemblée nationale,

    Adrien Quatennens exclu du Parti de gauche

    BFMTV >>>>>

    Parti de Gauche >>>>>


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  • Macron et les éditocrates

    Par Jean-Emmanuel Ducoin

     

     

    Le « service après-vente » de toute la Macronie ne passe pas.

    Vu d’en haut, ainsi en est-il de la vie « démo­cratique » de notre pays, souvent coincée entre les pouvoirs d’influence et un entre-soi si écœurant qu’il renforce le sentiment de défiance général envers les supposées « élites ».

     

    Bienvenue au Palais, version Jupiter !

    Ou comment instrumentaliser une partie des médias – pas n’importe lesquels – pour influencer l’opinion.

    La scène se déroule à l’Élysée, juste avant le 19 janvier, date de la première journée de mobilisation contre la réforme des retraites.

    À sa ­demande, Emmanuel Macron recevait discrètement dix éditocrates triés sur le volet afin de leur livrer, de vive voix, quelques bons  «éléments de langage ».

     

    Le but du prince-président ?

    « Vendre » un projet rejeté massivement par le peuple et, surtout, aider ces grands apôtres de la presse libre à psalmodier l’Évangile selon 64 ans.

    Répétez après nous le prêche adapté à la circonstance :

    « Travailleurs qui travaillez déjà, travaillez toujours plus et plus longtemps, le monde de la finance vous le réclame ! »

    Pitoyable procédé…

     

    La révélation de ce repas ultra secret tombe mal.

    La Croix vient en effet de publier son 36e baromètre de confiance dans les médias, duquel il ressort que la vaste agora de l’information reste un ­espace fragile :

    22 % des Français disent ne pas avoir confiance dans ce que disent les médias, quand 55 % affirment entendre toujours parler des mêmes sujets.

     

    Les « élus » conviés sous les lambris de l’Élysée se sentent-ils pour autant visés ?

    Depuis des jours, l’exécutif tente de déminer les sujets qui fâchent avant la prochaine journée de grèves et de manifestations, le 31 janvier, et l’examen du texte à ­l’Assemblée nationale à partir du 6 février.

    « Justice, équilibre et progrès » : la ­rhétorique en forme de triptyque risible de la première ministre s’est étiolée ­depuis que le projet de loi et son étude d’impact ont été présentés en Conseil des ministres.

    Le « service après-vente » de toute la Macronie ne passe pas

    et une très large majorité de Français a intégré

    les vrais mots-clefs de cette maudite « réforme » :

    injustice, déséquilibre et régression.

     

    N’en déplaise à Macron, les éditocrates du Palais ne changeront rien à cette réalité.


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  • L’angle mort des retraites les plus élevées en France

    Un non-dit hante la réforme des retraites : la contribution que pourraient fournir à l’effort collectif les quelque 3 % de pensionnés opulents (environ 500 000 personnes), protégés par un pouvoir qui préfère viser les classes moyennes inférieures du pays.

    Antoine Perraud >>>>> Médiapart

    23 janvier 2023

     

    Les chiffres concernant les pensions de retraite se focalisent, pour des raisons statistiques, sur les montants moyens alloués aux presque 17 millions de personnes retraitées : ils s’élèvent à plus ou moins 1 500 euros brut mensuels. L’attention se porte ensuite sur « le mirage des petites retraites à 1 200 euros », cette source de malentendus tant une telle mesure, censée faire passer la pilule de la réforme, s’avère restrictive.

    À l’inverse, rien ne filtre ou presque concernant le très haut du panier : les pensions les plus importantes. Il y a là, de la part des pouvoirs publics et de leurs relais, une forme de cécité volontaire. Celle-ci rappelle l’aveuglement concernant l’évasion fiscale, ou bien encore la myopie tenant de l’enfumage à propos de la suppression de feu l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune) : circulez, il n’y a rien – ou pas grand-chose – à voir. Et pourtant…

     .../...

     


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  • Retraites. Olivier Dussopt, le zèle du parvenu

    Le ministre du Travail, qui présente la réforme des retraites en Conseil des ministres ce 23 janvier, s’opposait en 2010 à tout report de l’âge légal. De député PS issu d’un milieu modeste, il est devenu un rouage de la casse sociale.


     
     

    Olivier Dussopt a-t-il parfois honte de son action politique?

    Quand il s’exprime, le ministre du Travail a souvent la voix qui s’étrangle, les joues qui virent au rouge et les yeux qui s’écarquillent.

    Si ce n’est pas de la honte, serait-ce de la timidité?

    S’attendrir reviendrait pourtant à tomber dans le panneau: Olivier Dussopt n’hésite pas, lui, au moment de pilonner les droits sociaux des Français.

     

    En première ligne pour leur voler leurs meilleures années de retraite en repoussant l’âge de départ légal à 64 ans, le ministre est devenu l’exécuteur zélé d’une Macronie qui a fait de la casse sociale son mantra.

    Et pourtant, Olivier Dussopt, ex-PS, vient de la gauche.

    «Il était quasiment frondeur sous François Hollande, il était même contre la loi Macron», se souvient Nicolas Sansu.

    «Il ne cachait pas ses ambitions ministérielles. Cela a primé sur le reste. Depuis, son parcours ressemble à la trajectoire de la tuile qui se décroche du toit: elle glisse, elle glisse, puis elle s’écrasera au sol et se brisera en mille morceaux», ajoute le député PCF.

     

    «A quel moment était-il sincère?»

    C’est que le tableau de chasse d’Olivier Dussopt commence à se garnir.

    Avec toujours la même cible: un État social à abattre.

    En 2019, il s’attaque de front aux fonctionnaires et aux services publics en autorisant le recrutement massif de contractuels de droit privé afin d’éteindre peu à peu les statuts de la fonction publique et les garanties qui vont avec.

    En 2022, il purge comme jamais les droits liés à l’assurance-chômage, réduisant drastiquement les montants et les durées d’indemnisation.

    Les seniors sans emploi qui devront en chercher un deux années de plus, entre 62 et 64 ans, peuvent déjà le remercier.

    «Cela fait vraiment mal au cœur de le voir faire ça.

    Il va finir en bagage accompagné de Gérald Darmanin sur le projet de loi immigration, qui vise à criminaliser et expulser toujours plus les étrangers.

    Sarkozy avait Éric Besson. Macron a Dussopt»,

    se désole Jérôme Guedj.

     

     

    Le député PS connaît bien le ministre.

    «On a été porte-parole de Martine Aubry ensemble…

    Il est brillant et plastique, mais la plasticité en politique a ses limites: on ne peut pas dire tout et son contraire.

    L’exercice du pouvoir ne justifie pas des revirements aussi violents.

    À quel moment était-il sincère?

    Au moment de défendre les 35 heures avec Martine Aubry, ou bien maintenant qu’il s’attaque au monde du travail, aux droits collectifs et aux plus modestes?» s’interroge le parlementaire.

     

    Olivier Dussopt vient pourtant d’une famille ouvrière. Des origines modestes qu’il met souvent en avant, comme si c’était un sésame pour mieux trahir les siens.

     

    Car que fait-il d’autre depuis son retournement de veste spectaculaire en 2017?

    Le 21 novembre de cette année-là, celui qui est encore député PS vote contre le premier budget Macron.

    Trois jours plus tard, il entre au gouvernement et se retrouve sur les bancs des ministres pour défendre exactement le même budget.

    Un texte de loi qui, déjà, faisait les poches du plus grand nombre afin de financer les cadeaux aux plus riches, avec la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF).

     

    A 17 ans, il se disait communiste...

    Trois ans plus tôt, Olivier Dussopt traitait pourtant Emmanuel Macron de «connard» sur Europe 1.

    C’était en 2014.

    Le futur président, ministre de l’Économie de François Hollande, venait de qualifier d’ «illettrées» les ouvrières de Gad.

    «Ma mère est ouvrière, n’a pas de diplôme et a été licenciée à deux reprises. Vous l’avez insultée ce matin», dénonçait le député avec émotion.

     

    Mais ça, c’était avant.

    C’était un autre Olivier Dussopt.

    C’était encore l’élu qui, en 2010, fustigeait la réforme Fillon visant à repousser l’âge de départ à la retraite.

    Une réforme «injuste», car elle «écarte d’emblée la recherche d’autres recettes et la mise à contribution de l’ensemble des revenus, et en particulier ceux issus du capital.

    Entre les niches fiscales et le bouclier du même nom, beaucoup pourrait être fait pour que les efforts ne portent pas encore une fois sur les seuls salariés», alertait-il alors.

    «La main sur le cœur, vous vous êtes engagé à ne pas passer en force et à rechercher une position de consensus. (…)

    Malheureusement, la vérité est ailleurs: vous avez déjà décidé les axes de votre réforme, et les discussions que vous menez ne sont que des alibis et des rideaux de fumée.

    La concertation que vous avez promise apparaît pour ce qu’elle est: un simulacre», insistait-il dans l’Hémicycle.

    Exactement le discours que tient aujourd’hui la gauche face à un Olivier Dussopt qui a repris à son compte les arguments du François Fillon de 2010.

     

    «Il est très apprécié à Annonay, en Ardèche, où il était maire.

    Mais son aura commence à pâlir.

    Il vient régulièrement boire des cafés en ville.

    Il tient à conserver un lien et à montrer un visage humain.

    Mais le cumul des réformes très à droite commence à faire son effet.

    Beaucoup sont très déçus»,

    mesure Raphaël Foïs, secrétaire général de l’union locale CGT d’Annonay.

     

    Une ville dans laquelle Olivier Dussopt ­lisait Karl Marx, en 1995, à 17 ans.

    Il se disait alors communiste.

    Il a depuis pleinement épousé le camp du capital.

    Au plus grand plaisir d’une Macronie qui souligne son professionnalisme et son dévouement.


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  • La gauche fait bloc contre le projet Macron

     

     

     
     

    La gauche maintient l'unité.

    La mobilisation massive dans les rues françaises le 19 janvier n’a, pour l’instant, pas fait reculer le président de la République. Le gouvernement doit présenter, dès ce 23 janvier, en Conseil des ministres, son projet qui prévoit de faire passer l’âge légal de la retraite de 62 à 64 ans.

     

    Depuis l’Espagne, jeudi 19 janvier, alors que 2 millions de personnes sont descendues manifester leur rejet d’une telle perspective de régression sociale, le chef de l’État s’est montré inflexible et méprisant à l’égard des millions d’électeurs qui l’ont envoyé à l’Élysée pour faire barrage au Rassemblement national.

    Emmanuel Macron semble donc compter, en plus des multiples outils antidémocratiques que lui procure la Constitution de la Ve République (article 49.3, ordonnances…), sur la résignation.

     

    Et ce n’est clairement pas le choix de la gauche.

    Alors que le front syndical est uni – une première depuis 2010 contre, déjà, une réforme des retraites, à l’époque imposée par François Fillon – et que, grâce à cette unité, les salariés ont commencé à se mobiliser massivement, la gauche a décidé de mettre toutes ses forces pour appuyer la mobilisation.

    Ce n’est pas la première fois dans son histoire qu’elle s’en montre capable. En 1995, face au plan Juppé, elle était unie aux côtés des syndicats. En 2010, face à la réforme Fillon c’était moins net, du fait des divergences affichées. Martine Aubry, alors première secrétaire du Parti socialiste, avait fini par suggérer au gouvernement d’allonger la durée de cotisation à 42 ans au lieu de retarder l’âge de départ.

     

    La gauche joue sa crédibilité en tant qu’alternative au macronisme

    Or, l’union ou la désunion syndicale et politique peuvent peser lourd dans l’issue des mouvements sociaux.

    Après la bataille contre le plan Juppé, la victoire de la gauche plurielle moins de deux ans plus tard avait été considérée comme le prolongement politique du plus long conflit social depuis Mai 68.

    En 2003, lors de la première réforme Fillon, l’éclatement du front syndical avait affaibli l’opposition à la droite dans le pays.

    En 2012, la gauche l’avait emporté deux ans après le mouvement contre la réforme des retraites de 2010, combattue par tout l’arc des syndicats sans exception.

    On sait ce que François Hollande a fait de ce quinquennat…

     

    Rassemblée sous la bannière de la Nupes ­depuis juin 2022, la gauche joue sa crédibilité en tant qu’alternative au macronisme, face à la menace de l’extrême droite.

    Elle est aujourd’hui en situation de s’opposer unanimement au projet de Macron sur la question de l’âge légal.

    Un rallongement de la durée de cotisation est exclu.

    Certains de ses partis, comme le PCF, proposent de comptabiliser les années d’études dans la durée de cotisation.

    Le PS, lui, reste sur les 43 ans instaurés à terme par la réforme Touraine, mais réclame un retour à l’âge légal de 60 ans, comme le PCF et les insoumis, lesquels sont partisans des quarante annuités…

    L’unité de la gauche derrière ce mouvement social massif, qui doit se manifester à nouveau dans la rue le 31 janvier, débouchera-t-elle sur un projet alternatif commun, prélude d’une possible autre majorité pour le pays?


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  • "Le taux d'imposition réel des ultra-riches en France

    est seulement de 2 %",

    dénonce le professeur d'économie Gabriel Zucman

    Le Français Gabriel Zucman est pour la première fois au Forum économique mondial de Davos. Ce professeur à l'École d'économie de Paris et à l'université de Berkeley en Californie a participé à une table ronde sur la fiscalité internationale et les inégalités, deux thématiques oubliées du Forum économique.

    France Info >>>>>


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  • "Qui a besoin d’un patrimoine privé

    de quelques millions d’euros ?",

    s’indigne cette jeune millionnaire autrichienne

    qui demande à être plus taxée

    Marlène Engelhorn estime ne pas avoir mérité les millions d’euros dont elle a hérité sans jamais avoir travaillé pour.
    Elle fait partie des 200 ultra-riches qui demandent aux dirigeants mondiaux de plus les taxer "pour une économie plus égalitaire".
     
     
    "Du côté des millionnaires"
    (A ne pas confondre avec" les milliardaires"...)

    Forum de Davos : dans une lettre adressée aux dirigeants mondiaux, plus de 200 millionnaires demandent à être plus taxés

    Cette lettre, signée par des millionnaires provenant de 13 pays différents, est un appel aux dirigeants mondiaux pour la mise en place d'un impôt sur les plus fortunés. 

    France Info >>>>>

     

    Le vrai du faux.

    Un quinquagénaire qui aurait gagné au Loto

    tous les jours de sa vie

    ne possèderait-il

    qu'un quart de la fortune de Bernard Arnault,

    comme l'affirme Cécile Duflot ?

    France Info >>>>>


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