• Collectifs Finistère

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  • Non à la Loi Darmanin

    Communiqué 31 décembre 2023

    Douarnenez


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  • A Douarnenez, une grève de femmes du côté des Penn Sardin

    Dans un récit dynamique, la journaliste Anne Crignon nous emmène vers les filles d’usine de Douarnenez qui, en 1924, ont eu un bras de fer avec les patrons. Et ont fini par l’emporter.

    Ouest-France >>>>>


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  • Logement :

    à Douarnenez,

    les habitants s’organisent contre la « touristification »

     

    Dans cette petite commune bretonne en proie à une forte crise du logement, les habitants ne désarment pas contre une intensification du tourisme qui se fait aux dépens des locaux. 

     


    Concours de cartes postales,
    visite de la ville par un faux agent immobilier,
    prises de parole…
    Les Douarnenistes ont un vaste répertoire de luttes.
     

    Pour s’adapter à un tourisme galopant,

    certaines villes se transforment,

    laissant dans leur mue les habitants les plus précaires.

    La commune de Douarnenez, dans le Finistère,

    en est un exemple parlant.

     

    Autrefois, l’odeur des sardines et des fritures parfumait les ruelles, quand les usines de conserverie étaient indissociables du paysage local. Aujourd’hui, avec le déclin du secteur de la pêche et la désindustrialisation croissante de cette commune de près de 15 000 âmes, le tourisme fait son beurre.

    À la fin du XIXe siècle, certains voyageurs, désireux de renouer avec l’authenticité des terres bretonnes et de fuir la modernité des grandes villes, s’y rendaient déjà.

    « L’accueil chez les habitants ou dans les campings représentait une longue tradition à Douarnenez, mais le tourisme a changé de visage », se désole Guillaume Mézières.

    Ce dernier est membre du collectif Droit à la ville Douarnenez, qui lutte contre la « cartepostalisation » de la commune.

     

    L'Abri du marin, symbole de l'histoire ouvrière de la ville, revendu avec une culbute de 644 000 euros

    Tout a commencé en 2018, quand une avocate parisienne acquiert l’Abri du marin, un symbole de l’histoire ouvrière de la ville, pour une valeur de 290 000 euros. 

    Son objectif : en faire un lieu de culture et d’exposition, projet qui sera finalement abandonné.

    La bâtisse sera revendue quatre ans plus tard, pour la somme extravagante de 954 000 euros.

     

    Cette privatisation est un signal.

    Les habitants comprennent que Douarnenez est en train de changer.

    Ils décident de fonder un collectif et se posent une question essentielle : dans quelle ville voulons-nous vivre ?

    Pour y répondre, ils ont coécrit « Habiter une ville touristique. Une vue sur mer pour les précaires » (édition du Commun), fruit de plusieurs années de recherche.

    Une agence fictive a même été créée avec, épinglées sur les vitrines, des annonces fallacieuses, présentant des bâtiments susceptibles d’accueillir de nouveaux projets dans un futur proche » Guillaume Mézières

     

    À Douarnenez, comme l’explique Guillaume Mézières,

    « la vie militante dépasse largement le cadre du collectif Droit à la ville, beaucoup d’autres personnes et organisations sont engagées pour porter un message commun ».

    Les militants proposent en effet un large panel d’actions : conférences, prises de parole, manifestations, visite de la ville sur le thème du logement animée par un faux agent immobilier.

    « Une agence fictive a même été créée avec, épinglées sur les vitrines, des annonces fallacieuses, présentant des bâtiments susceptibles d’accueillir de nouveaux projets dans un futur proche », s’amuse le Douarneniste.

    Une initiative portée par le collectif DouarnVendez, qui a choisi de nommer ce commerce Bobo Immo. 

    Des concours de réalisation de cartes postales sont aussi organisés, en réponse à toutes les réalités occultées par la valorisation du patrimoine maritime de la ville.

     

    La lutte prend différentes formes, mais l’ennemi reste le même :

    la touristification

    La lutte prend différentes formes, mais l’ennemi reste le même : la touristification. 

    Car la spéculation des promoteurs privés a fait exploser les prix et tari les offres locatives, excluant les habitants les plus précaires du centre-ville et du littoral.

     

    Seule exception, les HLM au bord des plages de sable, héritage légué par Joseph Trocmé, maire communiste de Douarnenez entre 1949 et 1951, mais que la massification du tourisme pourrait faire disparaître. 

    « Le but des élus locaux est de vendre ces bâtiments pour les transformer en résidences secondaires et de construire des logements sociaux loin du front de mer », explique Guillaume Mézières.

    Récemment, la commune bretonne a été labellisée « Petite Ville de demain ».

    À ce titre, elle pourra bénéficier de financements de l’État visant à «améliorer la qualité de vie des habitants des petites communes ».

    Une belle promesse, sauf que « les leviers d’action pour améliorer les infrastructures et les conditions de vie se concentrent sur le front de mer, certains quartiers périphériques ne sont même pas concernés », dénonce Guillaume Mézières.

    Un autre prédateur guette, en outre, les logements de la commune : la plateforme Airbnb.

    L’entreprise s’étend avec des locations saisonnières de plus en plus nombreuses – 501 au troisième trimestre 2020 –, asséchant les offres de logements pérennes au détriment de la population locale.

    Face à cette dynamique, « les élus locaux veulent mettre en place un “tourisme des 4 saisons” », déplore Guillaume Mézières. 

    Une manière d’encourager toujours plus une activité économique qui prospère sur le dos des habitants.


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  • Manifestations mardi 7 mars 2023

    Finistère

    Brest Quimper Quimperlé Morlaix Carhaix Ouessant

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Manifestations mardi 7 mars 2023  Finistère


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  • Manifestation Ukraine à Quimper

    24 février 2023

     

    250 à 300 personnes se sont rassemblées en soutien au peuple ukrainien
    ce vendredi soir à Quimper.

    Ouest France donnait 250 et le Télégramme une centaine !


    L'initiative était portée par 3 associations sud finistériennes de
    solidarité avec l'Ukraine avec un appel inspiré de celui du RESU.

    Une trentaine de réfugiées ukrainiennes (quasi exclusivement des femmes) ont participé au rassemblement derrière la banderole de tête avec de nombreux slogans et des chants ukrainiens.

    A la fin du cortège, un temps de libre parole a été ouvert où nos amies ukrainiennes ont pu s'exprimer (elles ont été quasiment les seules à prendre la parole, les militant·es locaux s'effaçant derrière elles)

     

    Ensemble Finistère !



    Quelques photos

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • À Douarnenez,

    une réunion publique sur le thème des méga-bassines le 9 mars

     

    Le Télégramme >>>>>


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  • Les adhérents communistes du Finistère

    choisissent la ligne de Fabien Roussel

    À une large majorité, les adhérents finistériens du PCF ont choisi de voter pour le texte porté par le secrétaire national Fabien Roussel et le Conseil national du PCF, « L’ambition communiste pour de nouveaux jours heureux ».

    Ouest-france >>>>>

    Le Monde >>>>>

    Le Chiffon Rouge PCF Morlaix >>>>>

    Le Chiffon Rouge Finistère + Ouest-france >>>>>

    Communiqué PCF Finistère Le Chiffon Rouge >>>>>


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  • Ligne ferroviaire Morlaix Roscoff

    Samedi 21 janvier 2023 Manifestation Roscoff


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  • Morlaix manifestation jeudi 19 janvier 2023


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  • Finistère.

    « Le Parti communiste est plus visible depuis quatre ans »

    La fédération du Parti communiste du Finistère rassemble 855 adhérents. Elle a tenu l’une de ses assemblées générales à Pont-de-Buis (Finistère), ce samedi 7 janvier 2023. La cinquantaine de personnes présentes a travaillé à la tenue du prochain congrès national du parti, prévu du 7 au 9 avril 2023, à Marseille.

    Ouest-France >>>>>


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