• "Le taux d'imposition réel des ultra-riches en France

    est seulement de 2 %",

    dénonce le professeur d'économie Gabriel Zucman

    Le Français Gabriel Zucman est pour la première fois au Forum économique mondial de Davos. Ce professeur à l'École d'économie de Paris et à l'université de Berkeley en Californie a participé à une table ronde sur la fiscalité internationale et les inégalités, deux thématiques oubliées du Forum économique.

    France Info >>>>>


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  • "Qui a besoin d’un patrimoine privé

    de quelques millions d’euros ?",

    s’indigne cette jeune millionnaire autrichienne

    qui demande à être plus taxée

    Marlène Engelhorn estime ne pas avoir mérité les millions d’euros dont elle a hérité sans jamais avoir travaillé pour.
    Elle fait partie des 200 ultra-riches qui demandent aux dirigeants mondiaux de plus les taxer "pour une économie plus égalitaire".
     
     
    "Du côté des millionnaires"
    (A ne pas confondre avec" les milliardaires"...)

    Forum de Davos : dans une lettre adressée aux dirigeants mondiaux, plus de 200 millionnaires demandent à être plus taxés

    Cette lettre, signée par des millionnaires provenant de 13 pays différents, est un appel aux dirigeants mondiaux pour la mise en place d'un impôt sur les plus fortunés. 

    France Info >>>>>

     

    Le vrai du faux.

    Un quinquagénaire qui aurait gagné au Loto

    tous les jours de sa vie

    ne possèderait-il

    qu'un quart de la fortune de Bernard Arnault,

    comme l'affirme Cécile Duflot ?

    France Info >>>>>


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  • Réforme des retraites :

    sept raisons écolos de s’y opposer

    Reporterre >>>>>


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  • Lumières


     
     

    « On peut manifester sans bloquer le pays. »

    Sans doute.

    Merci en tout cas à Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement, pour cette remarque marquée au coin du bon sens.

    Si on n’a besoin de rien, on ne manquera pas de l’appeler.

     

    Aurore Bergé, la présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, va plus loin et nous alerte.

    « Le droit de grève n’est pas un droit de blocage. »

    On imagine qu’elle appuie son analyse sur des décennies de luttes sociales.

    Le Front populaire, Mai 68, 1995 contre la réforme de Juppé, dont on se souvient qu’il était à l’époque droit dans ses bottes.

     

    En fait, à bien la suivre, on pourrait probablement faire grève sans cesser de travailler.

    Ah oui, elle en appelle aussi au risque de « chaos » face à ceux qui voudraient transformer l’Assemblée nationale en ZAD.

    Ben oui, avec des tentes et des feux de camp.

     

     

    Ça ne nous rajeunit pas.

     

    Avec de Gaulle, c’était déjà « moi ou le chaos », en 1965.

    Les jeunes lumières de la Macronie éclairent le passé.


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  • Go Sport...

    La justice se penche ce lundi

    sur l’obscure situation financière de Go Sport

    Le Télégramme >>>>>

     

    .........................................................

    Précédemment...

    Novartis

    La Poste

    Toupargel

    Camaïeu


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  • "De la malhonnêteté intellectuelle de la Macronie"...

    Retraites : les macronistes twittent n’importe quoi

     

    Communication Les députés Renaissance ont partagé quatre exemples de Français à qui la réforme profiterait. Un exercice difficile qui les a contraints à maquiller les chiffres pour s’en sortir… Et à ne surtout rien dire sur l’ensemble des perdants.

     


     
     
     

    Cette réforme est assez simple : les Français peuvent partir à la retraite à 62 ans, mais, si la loi passe, ce sera 64 ans.

    En gros, tout le monde est perdant.

    La Macronie a cependant décidé de faire croire qu’il y aura des gagnants.

    Un exercice de malhonnêteté intellectuelle fascinant auquel se sont livrés les députés Renaissance en partageant des visuels sur leur compte Twitter officiel.

     

    On apprend ainsi que Myriam, née en 1975, caissière depuis ses 19 ans, mère de trois enfants avec une année de congé parental, pouvait jusqu’à présent partir à la retraite à 62 ans.

    Et avec la réforme, grâce au « dispositif carrière longue », ce sera toujours 62 ans.

    Dans son cas, la loi préparée par le gouvernement ne change rien.

    Être gagnante de cette réforme, c’est donc d’échapper à ses effets.

    La Macronie aurait voulu faire une démonstration par l’absurde qu’elle n’aurait pu faire mieux.

     

    Il faut dire que Myriam ne s’en sort pas trop mal comparée à Hélène, une autre gagnante de la réforme selon les députés Renaissance.

    Car Hélène est née en 1961.

    Après une carrière complète au Smic, elle obtiendra une pension de 1.193 euros brut par mois, selon le visuel twitté, en partant à la retraite à 64 ans.

    Sauf qu’actuellement, sans réforme, en partant au même âge, elle bénéficierait d’une surcote lui permettant d’atteindre les 1 217,44 euros de pension.

    La réforme va donc lui faire perdre de l’argent.

    Pour maquiller leur forfait, et faire croire à un « progrès » , les macronistes comparent sur leur document ce qui ne l’est pas :

    ils mettent au même niveau ce qu’Hélène gagnerait en partant à 62 ans sans la réforme (1 118 euros) avec ce qu’elle gagnerait en partant à 64 ans avec la réforme (1 193 euros, donc, soit moins que les 1 200 euros promis par l’exécutif pour toute carrière complète au Smic).

     

    Delphine, Didier, les autres…

    Bon, il faut bien reconnaître que, dans le cas de Delphine, la réforme semble intéressante.

    Delphine est née en 1975.

    Elle a commencé à travailler à 15 ans et 9 mois. Oui, c’est très tôt.

    Grâce à la réforme, elle pourra partir à 59 ans et 9 mois au lieu de 60 ans.

    Elle gagne trois mois de retraite.

    Problème : Delphine n’existe pas.

    La direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) ne trouve personne ayant cotisé un trimestre avant ses 16 ans pour la génération 1975.

    Elle trouve plein de monde avec un trimestre cotisé avant 17 ans pour cette année de naissance-là.

    Mais alors, la réforme ne permettra de partir à la retraite qu’à 60 ans, au plus tôt.

     

    Et puis il y a Didier.

    Un autre gagnant, nous dit-on.

    Né en 1964, il a commencé à travailler à 23 ans.

    Au début, il touchait un Smic par mois.

    Aujourd’hui, il en touche deux.

    Et la réforme, selon le visuel, va lui permettre de toucher 1 720 euros de pension, soit 100 euros brut de plus par mois.

    En partant à 66 ans.

    Mais il touchera en réalité moins qu’avec sa surcote actuelle sans la réforme.

     

    Ces quatre cas choisis se retournent ainsi contre la Macronie.

    Et cachent bien mal la multitude des situations dans lesquelles la réforme constitue une régression bien plus violente, comme le montrent le texte de loi lui-même ainsi que le simulateur du collectif Nos retraites, disponible sur l’Humanité.fr.


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  • Communiqué intersyndical national

    appel à la mobilisation le jeudi 19 janvier 2023


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  • Retraites. Pour la Macronie, « il n’y a pas d’alternative »

     

    Retraites 

    Élisabeth Borne doit présenter le projet controversé, ce 10 janvier.

    L’exécutif et ses alliés ont déjà rodé leurs arguments,

    frappant « d’irresponsabilité » et de « dogmatisme »

    toute opposition à leur réforme ou toute proposition alternative.

     


     
     

    Après un premier report, cette fois-ci, ça y est.

    Élisabeth Borne doit présenter, ce mardi, le contenu du projet de loi relatif à la réforme des retraites, marqueur emblématique de la campagne d’Emmanuel Macron en 2022.

    Et donner, ce faisant, le coup d’envoi de la première grosse bataille sociale du deuxième quinquennat du chef de l’État.

    Le texte, qui devrait privilégier un report de l’âge légal à 64 ans (et non 65 ans, comme envisagé), à la suite d’un accord avec « Les Républicains », atterrira ensuite en Conseil des ministres, le 23 janvier, avec pour optique une ouverture des débats à l’Assemblée nationale début février.

     

    Débats ?

    La chose n’est pas si évidente pour la Macronie, qui prétend au contraire que la réforme est incontournable et qu’« il n’y a pas d’alternative », selon la formule chère à Margaret Thatcher.

    Et ce, malgré le front composite qui se dresse devant la majorité: les syndicats, bien sûr, l’opposition de gauche, évidemment, mais aussi le Rassemblement national et même une partie de la droite.

    Sans compter l’opinion publique: entre 55 et 79 % des Français sont opposés à un recul de l’âge légal de départ en retraite à 64 ou 65 ans.

    «Beaucoup de Français me disent leurs interrogations, concède le ministre du Travail Olivier Dussopt, en charge de la réforme controversée.

    Mais beaucoup d’autres savent aussi que l’âge de départ à la retraite bougera à un moment ou à un autre, et qu’on n’y coupera pas. »

    Une fin de non-recevoir qui existe aussi en version plus brutale, dans la bouche de Gabriel Attal, ministre des Comptes publics:

    « C’est la réforme ou la faillite. »

     

    L’éternelle rengaine du « travailler plus »

    Puisqu’il n’y a donc pas le choix, l’enjeu n’est alors pas tant de débattre, pour la Macronie, que de bien expliquer aux «Gaulois réfractaires » le bien-fondé de la réforme.

    « Nous n’avons pas, collectivement, fait l’effort de pédagogie nécessaire», regrettait déjà, début décembre, le haut-commissaire au plan, François Bayrou, dont le groupe Modem votera bien entendu le texte dans l’Hémicycle.

     

    « Sur les retraites, il ne s’agit pas d’être dogmatiques mais pragmatiques », explique encore la députée Prisca Thévenot, porte-parole de Renaissance.

    «  Il faut considérer la situation démographique qui se déséquilibre et que le système actuel n’est pas la panacée, notamment en matière d’égalité hommes-femmes ou de pensions de retraite. »

     

    Une rhétorique bien connue en Macronie,

    relève la sémiologue Marie Treps:

    « Ces prises de parole cherchent à renvoyer les oppositions au camp de l’idéologie, avec cette idée que le gouvernement, lui, est raisonnable, fait ce qui est nécessaire, et met les mains dans le cambouis. »

     

    Le discours de nouvelle année du président de la République, le 31 décembre, en grande partie consacré à la nécessité de travailler plus, a aussi participé de cette stratégie:

    « ​​​​​​​Emmanuel Macron a multiplié les mots comme “défi”, “rude époque”, qui sous-entendent l’idée qu’il va falloir se battre, se montrer à la hauteur des enjeux, donc la jouer collectif et ne pas mettre des bâtons dans les roues au gouvernement », note la chercheuse .

     

    Le chef de l’État n’a pas oublié non plus de rappeler que la réforme des retraites figurait à son programme de 2022 ( «Je m’y suis engagé devant vous »).

    «C’est un des seuls sujets qui est sorti clairement des campagnes présidentielle et législatives », appuie la présidente du groupe Renaissance, Aurore Bergé.

    Les Français auraient donc approuvé la réforme en réélisant Emmanuel Macron.

    Oublié, le vote barrage contre le RN.

    «J’ai conscience que nombre de nos compatriotes n’ont pas voté pour soutenir les idées que je porte », avait pourtant déclaré l’intéressé, le soir de sa victoire, avant que sa mémoire ne défaille.

     

    Le tabou de la revalorisation des salaires

    Voilà donc autant d’arguments fallacieux qui font mine d’ignorer qu’il existe bien, contrairement à ce que siffle ce petit air thatchérien, des alternatives.

     

    La conviction politique dans la nécessité de travailler toujours plus relève bien, elle aussi, de l’idéologie.

    Celle qui veut que l’âge de départ et la durée de cotisation soient les seuls paramètres sur lesquels jouer en matière d’équilibre du système des retraites.

    On comprend la praticité de la réforme pour la Macronie.

    Elle permet de faire coup double : en allongeant le temps de cotisation, tout en s’épargnant plusieurs mois de pension à verser, elle permettrait de dégager des recettes de l’ordre de 19 milliards d’euros en 2030, quand le système actuel conduirait à un déficit de 12 milliards en 2027, selon le ministère du Travail.

    Un déficit qui, du reste, n’est pas de nature à mettre en péril le système, rappellent les syndicats, puisqu’il représente 3 % des dépenses de retraite annuelles.

    L’argument du système en péril à sauver au nom des générations futures tombe donc à l’eau.

     

    « Consultés » par Élisabeth Borne, les syndicats ont tout de même tenté de mettre des solutions autres sur la table de Matignon.

    Sans être entendus.

    La CGT a fait valoir que la hausse des salaires, par exemple, permettrait une augmentation mécanique des cotisations – la Confédération estime notamment, avec FO, qu’atteindre l’égalité salariale réelle entre les hommes et les femmes rapporterait 5 milliards d’euros par an.

    Mais la revalorisation des salaires est un des « tabous » d’une Macronie qui prétend n’en avoir aucun, en matière de retraites comme ailleurs.

     

    Il en va de même pour la mise à contribution du patronat : pourquoi les salariés devraient-ils assumer seuls la charge du système ?

    Les syndicats ont, par exemple, proposé à Élisabeth Borne un « mix de financement », avec une hausse partagée des cotisations patronales et salariales.

    Les allègements Fillon sur les cotisations sociales des salariés dont le salaire n’excède pas 1,6 Smic ont notamment été évoqués, sans trouver de débouchés côté gouvernement.

     

    Ignorer le large front d’opposition, prétendre qu’il s’oppose par entêtement idéologique alors qu’il apporte des alternatives concrètes…une certaine idée du « pragmatisme » macronien.

    La « nouvelle méthode » vantée par l’Élysée ressemble furieusement à l’ancienne.


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  • Brésil :

    Tentative de putsch des bolsonaristes à Brasilia

     

    Les partisans de l’ancien président ont envahi, ce dimanche, le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême. La gauche dénonce les complicités du gouverneur et des autorités chargées de la sécurité. Absent de la capitale au moment des faits, Lula annonce que les responsables et ceux qui les financent seront poursuivis. L'armée se tient prête.

     


     

    Il y a du trumpisme dans la méthode.

    L’investiture du président Luiz Inacio Lula da Silva, il y a une semaine, n’aura pas empêché les groupes séditieux de rêver d’un coup d’État, refusant la défaite du président sortant, le fasciste Jair Bolsonaro dans les urnes, le 30 octobre dernier. 

    À Brasilia, des centaines de bolsonaristes, qui contestent toujours le résultat des élections, ont envahi, ce dimanche, le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême.

    Le président Lula, en visite dans la ville dévastée par les inondations d’Araraquara (Sao Paulo), était absent de la capitale aujourd’hui. 

    Dans les bâtiments conçus par l’architecte Oscar Niemeyer, riches en oeuvres d’art, les dégâts semblent toutefois importants.

    Parallèlement, des manifestants vêtus de jaune et vert, bloquaient l'avenue du 23 mai de la capitale économique São Paulo. 

     

    Lula, qui a validé un décret pour l'intervention fédérale, s'est exprimé dans les heures qui ont suivi.

    Le chef de l’ Etat a souligné la responsabilité politique à son prédecesseur, notant : «il y a plusieurs discours de l'ancien président qui encouragent cela».

    Qualifiant les putschistes de «vandales», de «nazis» et de «fascistes fanatiques», il a également annoncé que les responsables de la tentative de putsch et ceux qui les financent seraient poursuivis. 

     

    Connivence des autorités du District fédéral

    Gleisi Hoffmann, la présidente du Parti des Travalleurs (PT), la formation de Lula, a mis en cause la responsabilité du gouverneur du District Fédéral, Ibaneis Rocha, et du secrétaire à la sécurité du District Fédéral, Anderson Torres.

    Ce dernier a été démis de ses fonctions.

    Dans la région capitale, les bolsonaristes ont largement emporté les élections au Congrès et du gouverneur ; un point d’appui non négligeable pour les putschistes. 

    Dans plusieurs vidéos diffusées sur les vidéos sociaux, on voit des bolsonaristes discuter sur la Place des trois pouvoirs avec la police militaire de la capitale qui dépend du préfet.

    «C’est un crime annoncé contre la démocratie, contre la volonté des urnes et pour d’autres intérêts», a réagi la responsable politique sur Twitter. 

     

    Alors que la gauche semble assister sidérée à cette action, certains militants n’ont pas tardé à questionner la lenteur de la réponse étatique.

    «L’inaction de l’État est stupéfiante. Il n’y a tout simplement aucune réaction à la hauteur, jusqu’à présent, contre la tentative de l’extrême droite. La tactique d’apaisement s’avère être un échec», s’est indigné le journaliste et fondateur du site Opera Mundi, Breno Altman. 

    En réaction, le nouveau ministre de la Justice Flavio Dino a pour sa part immédiatement annoncé l’envoi de renforts. 

    «Cette tentative absurde d’imposer la volonté par la force ne prévaudra pas», a-t-il insisté.

    « La facilité avec laquelle les envahisseurs avancent est un signe de connivence des autorités», abonde la philosophe Marcia Tiburi en exil en France et toujours menacée par l’extrême droite.

    Selon la Folha de São Paulo, l'armée aurait mis ses troupes en alerte en attente d'un déclenchement d'une opération de Garantie de la loi et l’ordre (GLO), un instrument prévu par la Constitution fédérale.

     

    Respect de la constitution

    Le sénateur Rogério Carvalho (PT) émet quant à lui la proposition que les forces de sécurité du district fédéral soient fédéralisées, c’est à dire qu’elles passent sous l’autorité de l’état fédéral et donc du gouvernement «pour garantir l’intégrité des représentations institutionnelles du Brésil».

    «Nous ne pouvons pas avoir plus de sympathie pour les criminels», a-t-il ajouté.

    De son côté, l'ambassade américaine au Brésil a condamné cette tentative de putsch et appelé à «la fin immédiate de ces attaques».

    Dans un tweet rédigé en portugais, Emmanuel Macron a pour sa part demandé à ce que «la volonté du peuple brésilien et les institutions démocratiques (soient) respectées !», ajoutant «le président Lula peut compter avec le soutien inconditionnel de la France».

     

    À l’heure où ces lignes étaient écrites, ni Jair Bolsonaro ni son entourage n’avaient réagi à l’invasion des institutions.

    L’ex-président n’a jamais félicité son adversaire et a quitté le pays pour la Floride quelques jours avant l’investiture de Lula, signant là le peu de cas qu’il faisait du respect de la Constitution et de la transition démocratique.

    Depuis la défaite de Jair Bolsonaro, certains de ses partisans réclamaient une intervention de l’armée et faisaient le siège devant les casernes. 


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  • Philippe Martinez (CGT) sur les retraites :

    « Après le travail, ce sera le cimetière »

     
    « À l’air libre » reçoit Philippe Martinez, alors que le gouvernement annoncera le 10 janvier sa réforme des retraites, dans un contexte d’inflation et de services publics en déshérence.
    « Une réforme pour faire peur » et « un démantèlement de l’esprit de solidarité », selon le secrétaire général de la CGT. 
     
     

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