• Ensemble !

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

  • Lettre d'Ensemble !

    27 février 2024


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  • Hommage à Missak Manouchian et aux résistants


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  • Ne vous en déplaise... Souffrez !

     

    Voilà, voilà, encore une info qui serait passée inaperçue...

     

    Ca n'a fait l'objet que d'un écho de quelques lignes dans Ouest France, sous le titre « Le Sénat rejette la mise en place d'un arrêt de travail menstruel »

    Ainsi, par 206 voix contre 117, le texte porté par le groupe socialiste a été rejeté. Que disait ce texte ? Dans la limite de 2 jours par mois, et sur présentation d'un certificat médical valable 1 an, un arrêt de travail pour règles douloureuses ést accordé sans délai de carence.

    Et quels ont bien pu être les motifs invoqués ?

    Les Républicains ont pointé le coût pour la Sécurité Sociale. Autrement dit « souffrez, mesdames, les économies passent avant tout ». Ca ne devrait pas nous surprendre, la santé des femmes au travail est la grande invisible. La recherche s'intéresse peu aux maladies féminines. Les conditions de travail sont rarement analysées selon les différences sexuées de leurs conséquences. Et qu'est-ce-qu'ils savent de la douleur vécue par une grande partie des femmes au moment de leurs règles ?

    Mais le ponpon revient au ministre de la santé, Frédéric Valletoux, qui a mis en avant un risque de discrimination à l'embauche. Les discriminations envers les femmes sont bien réelles, supposées faire peser une charge à l'entreprise en cas de grossesse. Imaginez, la loi accorde un congé maternité ; accorde une heure de travail par jour en moins au delà du 3ème mois de grossesse ; accorde des congés pour enfants malades ; accorde un congé parental ; et il faudrait maintenant tenir compte des périodes de règles ! Notre bon cœur nous oblige à penser à la place des femmes aux conséquences de leurs revendications. Vous voulez travailler, n'en demandez pas plus.

    Après le désuet « il faut souffrir pour être belles » voici le moderne « il faut souffrir pour avoir le droit de travailler »

    Ensemble !

    Nantes le 17 février 2024


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  • CNCCFP
    Commission Nationale des Comptes de Campagne et des Financements Politiques
     
    Comptes Financiers des Partis Politiques 2022
     
    La présentation des comptes est de pire en pire...
    Un pdf imbuvable sur l'avis de la Commission
    (plus on en met plus on noie le poisson...)
    et un document excel illisible...
    impossible à lire ...
    Même un expert comptable y perdrait ses petits...
     

    Parution de l’avis relatif à la publication générale

    des comptes des partis et groupements politiques

    au titre de l’exercice 2022

    CNCCFP >>>>>

     

    Comptes des Partis politiques Data Gouv >>>>>

    Les comptes d'ENSEMBLE ! Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire apparaissent sous le N°808


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  • Mobilisations 14 et 21 janvier 2024

    Contre la Loi immigration de la Macronie

    Tract Ensemble !

     


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  • 18 décembre 2023

    Contre la loi Darmanin

    Tract Ensemble !

     


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  • Frappes sur Gaza :

    «Vous n’aurez pas le silence des juifs de France»

     

    Un collectif de 85 personnalités juives dénonce l’opération militaire en cours à Gaza et l’instrumentalisation de l’émotion légitime suscitée par les attaques du 7 octobre.

     

    Libération Tribune >>>>>


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  • À propos de la guerre à Gaza

    Bernard Dreano vient de publier un texte dans lequel il questionne l’utilisation du terme « terroriste » notion qu’il juge totalement confuse.

    Il rappelle que la notion de crime de guerre est, elle, bien établie.

    Au passage, il dénonce une « abjecte campagne politicarde pour diviser et affaiblir les oppositions de gauche en France ».

    En conclusion, il rappelle que « au-delà de l’indispensable mobilisation pour obtenir la fin de cette phase actuelle de massacre et de combat (un énième cessez-le-feu), nous savons tous qu’il n’y pas de paix sans justice, sans imposition du respect de tous les droits de tous ».

    14 octobre 2023

     

    Sur le site national d'ENSEMBLE ! >>>>>

     

    Bernard Dreano

    est président du Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale (CEDETIM)

    et de l’Assemblée européenne des citoyens AEC/HCA-France,

    coprésident du Comité français du Réseau Européen de Solidarité avec l’Ukraine (RESU).


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  • Loire Atlantique Ancenis

    Déclaration unitaire


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  • COMMUNIQUE ARMENIE/HAUT KARABAGH

     

    SOUTIEN AU PEUPLE ARMÉNIEN

    CONTRE L’AGRESSION DU POUVOIR AZERBAIDJANAIS

     

    Séparée de l'Arménie et rattaché à l'Azerbaïdjan en 1921 par Staline, l’enclave montagneuse à large majorité arménienne du Haut-Karabakh est depuis les dernières années de l’U.RSS un point de tension permanente entre ces deux anciennes Républiques soviétiques devenues indépendantes en 1991.

    En 1991, le territoire s’est autoproclamé République indépendante d’Artsakh laquelle ne sera jamais reconnue par la communauté internationale. Sous couvert et au prétexte d’une « opération antiterroriste » après la mort de quatre militaires et deux civils Azéris tués par l’explosion de mines, Bakou a lancé mi-septembre, une opération militaire dans la continuité d’une offensive débutée en 2020 contre le Haut-Karabakh. Cette guerre meurtrière au cours de laquelle les forces arméniennes ont dû s'incliner devant la supériorité militaire de l'Azerbaïdjan soutenu par la Turquie et Israël dure depuis trente-cinq ans. Mercredi 20 septembre, les combattants arméniens ont été contraints d’accepter et de rendre les armes après l’offensive éclair menée par Bakou, afin d’entamer des pourparlers de paix mais qui doivent selon le camp du vainqueur conduire à la réintégration de ce territoire à l’Azerbaïdjan.

    La suite peut une fois de trop s’avérer encore plus sombre pour l’ensemble du peuple arménien, et en premier lieu pour les 120.000 arménien·nes qui vivent au Haut-Karabakh, car il est impossible pour un·e Arménien·ne de vivre dans un pays où la haine raciste anti-arménienne constitue la raison d'être. Une épuration ethnique est en cours. Les pogroms successifs anti-Arméniens en Azerbaïdjan depuis les années 1980, notamment celui de Soumgait en banlieue de Bakou en 1988, sont restés dans toutes les mémoires.

    Pour l’Arménie, l’inquiétude porte sur l'intégrité même de son territoire puisque le Haut-Karabakh pouvait être une zone tampon entre les deux ennemis jurés du Caucase. Si celle-ci venait à disparaître, les velléités azerbaïdjanaises pourraient être encore plus importantes. Il serait irresponsable de s’en remettre à un soutien russe dont les derniers événements ont illustrés une attitude militaire aux ordres des intérêts de sa politique impérialiste dans une région, où les puissances étatiques occidentales mesurent et conditionnent leurs soutiens aux profits de leurs seuls intérêts et pas à ceux des peuples ukrainiens et arméniens ou d’autres encore qui veulent affirmer leur souveraineté nationale.

    La situation présente dans le Haut-Karabagh et en Arménie, après tant d'autres, repose de nombreuses questions à l'échelle mondiale : quelle sécurité internationale pour la protection des peuples et des minorités nationales des agressions dont ils/elles sont l'objet, en particulier quand existe une menace de type génocidaire ? Plus fondamentalement, comment imaginer une refonte radicale et une démocratisation réelle des institutions internationales et de l'ONU ?

    Mais, sans attendre ces transformations indispensables, Ensemble ! soutient la demande pressante de l'Arménie qui a réclamé l'envoi d'une mission de surveillance de l'ONU dans le Haut-Karabagh pour assurer la protection de la communauté arménienne de l'enclave passée cette semaine sous le contrôle de l'Azerbaïdjan.

    Plus largement, Ensemble ! affirme son exigence immédiate : il revient aux autorités internationales et plus particulièrement de l’ONU de prendre leurs responsabilités, d’exercer et de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour que les Arménien·nes recouvrent l’ensemble de leurs droits, et notamment leur droit à l'auto-détermination, sur la totalité des territoires où ils et elles vivent et d’y assurer leur sécurité.


    La commission internationale d'Ensemble !, le 29 septembre 2023


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