• ENSEMBLE !

    Flyer 4 Avril 2023

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Textes issus de la Réunion

    du Collectif National d'ENSEMBLE!

    des 1er et 2 avril 2023


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  • Réflexions
    Neuf points
    sur la « représentation » et la démocratie

     

    Ensemble ! >>>>>


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  • ENSEMBLE !

    Flyer 25 mars 2023

    ENSEMBLE !  Flyer 25 mars 2023

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Et maintenant ?  

     

    Consolider une alternative

     

    Il est difficile de savoir si la journée du 23 mars, qui sera massive, va entrainer une reconduction des grèves et surtout une extension.

    Ce serait bien sûr la meilleure situation.

     

    Mais les obstacles à franchir sur la durée sont importants, car depuis plus de 30 ans le néolibéralisme offensif a restructuré et démembré complétement le monde du travail.

    Lequel aujourd’hui accumule de nouvelles expériences de luttes (mais il faut du temps).

    Les secteurs actuellement les plus en grève (déchets, raffineries, SNCF, énergie) vont prolonger ou durcir, mais ils ont besoin de savoir si cet engagement est relayé. 

    Après le 7 mars, les responsables syndicaux (même les plus combatifs) expliquaient que personne ne veut ou ne peut supporter de manière isolée tout l’effort de la lutte. 

    C’est compréhensible.

     

     

    Dans son interview, Macron compte jouer cyniquement sur une dissociation entre les « syndicats responsables » et les « factieux » de la « foule ». 

    C’est le langage des ennemis du monde du travail.

    Pour l’isoler encore plus, il sera nécessaire de combiner grèves et manifestations de masse, mais aussi des initiatives dans le champ des idées, de l’alternative, de la bataille culturelle et politique.

     

     

    Selon le constitutionnaliste Dominique Rousseau, on ne peut exclure que le Conseil constitutionnel invalide la loi Macron, non sur le fond, mais sur la procédure.

    On verra.

    Nous sommes donc dans une lutte où il faut combiner les armes classiques de la grève, des manifestations, et des armes politiques visant à casser la doxa selon laquelle :

    « on est contre le gouvernement, mais on n’arrivera pas à le vaincre ».

     

     

    Le RIP peut nous faire entrer dans une séquence longue, où il faut construire des outils de luttes adaptés, pendant 9 mois.

     

    Ainsi il serait possible de combiner :

    a)       Un planning de journées de luttes relais avec un rythme tel que les Gilets jaunes avaient su l’imposer. 

     

    Il s’agirait ainsi de faire en sorte que l’agenda du pouvoir soit submergé par les initiatives diversifiées de la lutte.

     

    Cela suppose l’encouragement à une auto-organisation de la lutte sous la forme d’assemblées délibératives partout pour consolider le débat politique au sens profond du terme.

     

     

    b)      La lutte a besoin depuis le début mais à fortiori maintenant (surtout après les annonces de Macron), de nourrir sa force par une alternative qui fasse sens dans l’opinion publique.

     

    Jusqu’à maintenant, le consensus est :

     

    a) je ne veux pas travailler deux ans de plus, ou payer un impôt sur ma personne ;

     

    b) c’est brutal et injuste.  Que ce soit pour consolider la grève ou pour diversifier les moyens de luttes politico-sociaux, il y a nécessité de conforter un plan alternatif qui dépasse l’idée : « jamais je ne tiendrai jusqu’à 64 ans ». 

     

    c)       Avec l’aide des associations, des syndicats, des universitaires, des médias alternatifs, des revues, il pourrait être envisageable de mettre en chantier quatre initiatives (au moins) pour alimenter et séquencer dans le temps la campagne sur le RIP (si celui-ci est validé, pas sûr encore) :

     

    ·         La critique du travail néolibéral et la conquête de droits nouveaux : droit à délibérer sur le travail une heure par semaine au moins.

     

    ·         La reconquête du pouvoir sur la retraite comme droit automatique, ainsi que le droit aux allocations de chômage, donc sur la sécurité sociale financée par la socialisation de la valeur ajoutée (salaire socialisé)

     

    ·         L’articulation entre le sens du travail et la transition écologique dans l’industrie et les services publics, avec la garantie de la Sécurité sociale universelle.

    Pour un service public national de la transition écologique, décentralisé sur tous les territoires, avec des antennes dans les entreprises. 

    Avec l’embauche de « seniors » dès 50 ou 55 ans.

     

    ·         Une délibération citoyenne sur la démocratie retrouvée, avec notamment la valorisation de la démocratie sociale et « au travail », avec des institutions de conseils citoyens et de salariés-es.

     

    Voir la brochure d’ENSEMBLE !

     

     

    d)      Il serait objectivement nécessaire de trouver une forme de combinaison entre l’intersyndicale et la gauche et l’écologie politique (NUPES).

    Possible localement, mais très difficile nationalement (car il y a un passif), ou alors avec une partie seulement du syndicalisme.

    Haut risque.

    Mais localement, on peut imaginer (c’est par exemple ce qui semble se profiler dans le 13ème arrondissement de Paris) des Collectifs pour le retrait de la loi et pour une alternative.

     

    e)      La bataille pour le RIP, si elle prend forme, si elle s’impose sur la scène politique, peut être une occasion de consolider la NUPES comme véritable alternatives de gauche, capable de supplanter le RN.

     

    Dès lors, si la crise politique se prolonge, une dissolution peut prendre une dimension positive.

     

    Tout cela est une esquisse à approfondir.

     

     

    J-C M. Ensemble!

    23 mars 2023


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  • Tract ENSEMBLE !

    Flyer 21 mars 2023

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tract Flyer

    ENSEMBLE !

    9 mars 2023

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nous Personnel-le-s et Usager-ère-s de la Santé,

    du Social et du Médico-social, 


    Nous vous accusons !
     


    Vous, Emmanuel Macron et les gouvernements précédents,

    d’avoir mené des politiques mettant désormais en péril

    la santé de la population,

    dans toutes ses dimensions, physique, psychique et sociale.

     


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  • ENSEMBLE !

    Flyer 9 mars 2023

     

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  • Ensemble! Hautes-Alpes
    solidarité avec l'Ukraine

     

    Ensemble!05-PACG a organisé une conférence de Presse, samedi 25 février 2023 à l'esplanade de la Paix-Nelson Mandéla, lieu hautement symbolique.

    Nous avons été rejoint par la presse évidemment, la CFDT, EE-LV, Solidaires, des camarades de la CGT et de la FSU.

    Malgré le froid, 35 personnes étaient venues écoutés et prendre la parole.

    Nous avons lu le texte ci-dessous en soutien à la résistance ukrainienne.

     

    SOLIDARITÉ AVEC L’UKRAINE

    1. L’origine des réfugié·es et des migrant·es est très vaste.

    A Gap, il y a des personnes qui sont venues pour fuir la misère, des discriminations raciales, des mafias, et surtout pour fuir la guerre.

    C’est le cas des afghan·es et des congolais·es, des malien·es, des burkinabe·e et bien sûr depuis un an des ukrainien.es.

    Pour les personnes venant d’Ukraine, la politique européenne a été unanime et il faut s’en féliciter.

    L’humanitaire dans les circonstances de cette guerre (accueil, aide matérielle et culturelle, etc..) manifeste une solidarité vitale.

     

     

    2. Cette aide humanitaire a le sens profond d’un soutien à la lutte de résistance des Ukrainien·es.

    Sans leur résistance, notre aide serait dérisoire.

    Leur résistance nous confond d’admiration.

     

    Les services publics, poste, transports, commerce, etc.. fonctionnent dans des conditions très difficiles.

    Il leur a fallu des trésors d’abnégation, surmonter la désorganisation du début de la guerre les remettre en état de marche.

    Il leur a fallu du courage pour vivre sous la menace permanente de bombardements, vivre dans le froid et la nuit sans électricité car coupée par les bombardements russes.

    Il leur a fallu installer en urgence des groupes électrogènes en très grande quantité.

    Les électriciens ont fait des miracles pour les hôpitaux, malheureusement débordés par les blessé.es.

    Il faut également admirer le personnel des centrales nucléaires qui jusqu’à maintenant ont su éviter tout accident de type Tchernobyl.

     

    Sont également admirables, les ravitaillements en « plats chauds » sur la ligne de front préparés par des mamies et livrés par des grand-pères ou des jeunes enfants.

    Notons que déjà certains immeubles bombardés sont reconstruits.

    La population entière résiste, la population est solidaire.

     

     

    Un grand « Non » à l’agression,

    heure après heure,

    s’élève de l’Ukraine contre cette guerre injuste..

    Soutenons-les

     

    Et que dire des 50000 femmes qui se sont engagées dans l’armée pour participer plus directement à la défense de leur société et de leurs familles, de leur Etat.

    L’égalité entre les femmes et les hommes progresse de façon paradoxale dans une situation épouvantable !

     

    Ce peuple courageux subi une rare violence, des crimes de guerres comme l’usage du viol, la destruction d’infrastructures vitales, les attaques contre des crèches et des maternité, le rapt des enfants...

    Plus la Russie cherche à casser le moral de la population, plus elle résiste, plus elle est inventive.

    Nous devons sans relâche dénoncer tous ces crimes et aider leur résistance.

    Il faut à tout prix une solution et celle-ci ne peut être que politique parce que la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens.

     

     

    3. A un niveau politique il est possible d’avoir une vision d’avenir sur cette guerre.

    L’invasion de l’Ukraine est la continuation constante, régulière de la politique russe :

    Entre 1990 et 2022, la Russie a mené 10 guerres : en Géorgie, en Ossétie du Nord, au Tadjikistan, en Tchétchénie, au Daghestan, en Syrie, et en Ukraine depuis 2014.

     

    Pour Poutine, la guerre est un moyen politique habituel.

     

    Cette série de guerres n’apparaît pas par « hasard », elle est constitutive de l’organisation militaro-sociale de la Russie.

    La guerre est ainsi inscrite dans le corps social russe, dans l’idéologie et la culture des hommes au pouvoir.

     

     

    4. Quels buts politiques poursuit la Russie ?

     

    A court terme, se débarrasser d’une formation sociale (l’Ukraine) dont la population penche, depuis très longtemps et en tout cas manifestement depuis la révolution orange vers la démocratie et l’Union Européenne.

    Cette formation politique « démocratique » est un contre modèle insupportable pour la « classe dirigeante » des oligarques russes dominée par Poutine.

     

    A moyen terme, continuer son expansion mondiale, en particulier au Moyen Orient et en Afrique et en Europe de l’Est.

     

    A plus long terme, constituer comme l’a dit l’ancien Premier Ministre russe Medvedev, un Empire euro-asiatique de Lisbonne à Vladivostok.

    Cette affirmation a été taxée de « délirante » par l’ensemble de commentateurs.

    Certes, elle l’est, mais elle a le mérite de mettre au grand jour le rêve impérial de l’entourage de Poutine.

    Rêve qu’il poursuit pas à pas.

     

    A contrario, la lutte des Ukrainien·es est une lutte pour la liberté contre l’asservissement, contre l’esclavage.

    Leur lutte est la continuation des luttes historiques de l’humanité pour la liberté.

    C’est une lutte ouverte entre deux horizons : l’autonomie de pensée et d’agir d’un côté, l’hétéronomie et la pensée empêchée de l’autre, la Démocratie contre le Totalitarisme.

     

    Il en résulte que l’Ukraine ne doit pas être battue.

    Sa victoire est de la plus haute importance pour elle-même et pour un avenir de liberté commune, en Europe et dans le monde.

     

     

    5. La responsabilité de la guerre incombe entièrement au pouvoir Russe.

     

    Vu la disproportion des forces en hommes et en matériels entre l’Ukraine et la Russie et sauf si les ukrainien·es étaient suicidaires, en aucun cas l’Ukraine n'aurait pu attaquer la Russie.

    Seul Poutine pense que les USA et l’OTAN l’ont attaqué par l’intermédiaire de l’Ukraine.

    Il fuit sa responsabilité d’assassin du peuple Ukrainien.

     

    6. La Paix ne peut être trouvée que sur la base de la volonté des Ukrainien·es.

     

    Ce sont elles et eux qui sont attaqué·es : les conditions de la Paix leur appartiennent.

    Nous n’avons pas à appeler à une cessation « immédiate » des hostilités.

    Ce sont elles et eux qui doivent le décider, et leur condition première d’une paix, est le retrait total des troupes russes qui ont envahi leur pays alors que en signant le Traité de Budapest le 5 décembre 1994, les russes s’étaient engagés à respecter les frontières en échange du désarmement atomique du territoire ukrainien.

    Les ukrainiens l’ont fait, pour les russes nous savons ce qu’il en est !

     

    La victoire de l’Ukraine est donc vitale pour la Paix en Europe et dans le Monde.

    Nous devons donc y participer, au niveau humanitaire, idéologique, politique et militaire.

    La diplomatie, la pression de l’ensemble des pays comme lors du dernier vote à l’ONU qui réaffirme le droit international sont des  moyens à ne pas négliger pour faire pression sur Poutine.

     

    La défaite de l’Ukraine obscurcirait l’avenir.

    Le retrait des troupes russes rendrait le monde un peu plus vivable

     

    Ce retrait des russes hors de l’Ukraine est une nécessité, il dépend aussi de nous.

    Il est possible, faisons tout pour qu’il arrive.

    Aidons les.

     

    C’est la condition profonde pour ouvrir une longue période de Paix.

     

    JPL

    Ensemble hautes-Alpes

    Ensemble!05-PACG

     

     

     

     


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