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    « Je n’y crois pas, c’est utopique »  ? ? ?

    Par Anasse Kazib


     
     
    [Thread]Toute la matinée à la radio,
    lorsque des gens sont interrogés
    sur des mesures progressistes,
     
    ils répondent
    « Je n’y crois pas, c’est utopique ».
     
    En réalité les gens comprennent
    que le système capitaliste
    dans lequel ils vivent depuis toujours,
    ne permet aucune réforme.
     

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  • Présidentielle : le programme de Philippe Poutou est-il dans les clous des objectifs climatiques de la France ?

    Celui ou celle qui remportera l'élection devra prendre rapidement des décisions importantes pour limiter le réchauffement climatique. En collaboration avec l'association Les Shifters, franceinfo vous propose une analyse détaillée des programmes des candidats à l'Elysée.

    France Info >>>>>


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  • Présidentielle : le programme de Nathalie Arthaud est-il dans les clous des objectifs climatiques de la France ?

    Celui ou celle qui remportera l'élection devra prendre rapidement des décisions importantes pour limiter le réchauffement climatique. En collaboration avec l'association Les Shifters, franceinfo vous propose une analyse détaillée des programmes des candidats à l'Elysée.

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  • Mais à quoi sert la Constituante ?

    Mélenchon pour le maintien de la figure présidentielle :

    une « VIème République », vraiment ?

    Interrogé sur la mise en place de la VIème République, Mélenchon s’est prononcé en faveur du maintien du Président et de son élection au suffrage universel direct. Une position qui clarifie le projet du candidat mais interroge. Loin d’en finir avec la « monarchie présidentielle », Mélenchon entend-il finalement maintenir la figure du Président de la République... ?

    Révolution Permanente >>>>>


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  • La France insoumise

    agitée par une nouvelle mise en examen

     

    Justice L’association l’Ère du peuple, dispositif au cœur de la campagne 2017 de Jean-Luc Mélenchon, a été mise en examen le 3 février. Les mis en cause dénoncent « une instruction à charge », à quelques jours du premier tour de la présidentielle.

    Publié le Jeudi 24 Mars 2022
     
     

    À deux semaines et demie du premier tour de la présidentielle, le site d’information Mediapart a publié une nouvelle information sur l’enquête judiciaire visant la France insoumise.

    Le 3 février, l’association l’Ère du peuple, au cœur de la campagne de Jean-Luc Mélenchon en 2017, a été mise en examen pour « escroquerie aggravée », « tentative d’escroquerie aggravée » et « faux et usage de faux ».

    Fondée en 2015, cette association a été le cinquième fournisseur, en termes de chiffre d’affaires, de la campagne présidentielle de la France insoumise.

    Elle a livré des prestations « intellectuelles », telles que des meetings, ou matérielles (locaux, matériel informatique…).

    Pour une facture totale de 440 027 euros pour la France insoumise, selon Mediapart.

     

    Une surfacturation des prestations ?

    Or, la justice s’intéresse, selon le site d’investigation, à la possibilité d’une surfacturation de ces prestations. L’association aurait engrangé « d’importantes marges ».

    Les soupçons se portent également sur la réalité du travail des quatre permanents de l’association, dont trois appartenaient à l’équipe de campagne du candidat Jean-Luc Mélenchon en 2017 : parmi eux Bastien Lachaud et Mathilde Panot, élus ensuite députés.

    Bastien Lachaud avait déjà été mis en examen pour les mêmes chefs d’accusation en octobre 2021, en plus de celui de « prêt illicite de main-d’œuvre ».

    L’Ère du peuple avait, elle, été mise en examen en juillet 2021, pour le même motif.

    Le président de la structure, Bernard Pignerol, avait alors déclaré que « la montagne accouchait d’une souris », au sujet de cette enquête judiciaire qui poursuit la France insoumise depuis l’épisode mouvementé des perquisitions d’octobre 2018.

    Les prestations de la société Mediascop, de Sophia Chikirou, sont également épluchées par les enquêteurs depuis lors.

     

    Si les investigations judiciaires avancent lentement, cette mise en examen du 3 février constitue un nouvel épisode logique pour les mis en cause, puisque Bastien Lachaud avait lui-même été mis en examen.

     

    Pour autant, dans leur réponse à Mediapart, Bernard Pignerol comme Manuel Bompard réfutent ces accusations.

    Pour le président de l’Ère du peuple,

    « cette mise en examen supplétive est la preuve d’une instruction à charge. Elle vient uniquement corriger une incohérence juridique, voire une faute procédurale. Il était absurde de mettre en examen un salarié pour “escroquerie” et “faux” sans que l’association qui l’embauchait soit inquiétée pour les mêmes chefs d’inculpation ».

    Selon lui, « les juges tâtonnent à l’aveugle dans ce dossier ».

     

    Pour Bernard Pignerol, l’association n’a dégagé que « 7 000 euros de bénéfices pour un chiffre d’affaires pour cette activité de plus de 400 000 euros entre 2016 et 2017 ».

     

    Le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard, estime que cette mise en examen est « une nouvelle démonstration du vide et de l’amateurisme total de cette enquête qui dure depuis maintenant quatre ans et qui permet de nouvelles fuites à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle ».


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  • Philippe Poutou

    veut « donner la parole aux luttes sociales »

     

    Campagne Le candidat trotskiste se présente comme le relais des mobilisations au sein de cette élection présidentielle. Sauf que cette troisième candidature peine sérieusement à être entendue des électeurs.

    Publié le Mardi 22 Mars 2022

     
     

    À l’approche du premier tour, Philippe Poutou, qui plafonne à 2 % dans les sondages, ne vise pas la qualification mais entend, comme en 2017, mettre son grain de sel dans le débat présidentiel.

    Sa motivation à porter une candidature « révolutionnaire » n’a pas changé d’un iota depuis la précédente campagne.

    Lors d’un débat télévisé, l’ancien ouvrier licencié de chez Ford s’était alors fait remarquer face à François Fillon (LR), empêtré dans le Penelopegate, et à Marine Le Pen sur l’affaire des assistants parlementaires du FN.

    « Nous, quand on est convoqués par la police, on n’a pas d’immunité ouvrière, on y va », avait-il lancé devant des millions de spectateurs.

    Si cette réplique choc lui avait valu une certaine reconnaissance du public, les votes n’ont pas suivi.

    Au soir du premier tour, son parti avait enregistré seulement 1,09 % des voix, loin des 4 % recueillis en 2002 et 2007 par Olivier Besancenot.

     

    Les mêmes thèmes de prédilection

     

    Depuis, Philippe Poutou, également conseiller municipal sous l’étiquette Bordeaux en luttes, a rempilé pour une troisième campagne présidentielle après une confrontation interne avec Anasse Kazib qui a abouti au départ du courant Révolution permanente du NPA.

    Les thèmes de prédilection du candidat sont eux toujours les mêmes : refus du souverainisme, défense inconditionnelle de la liberté de circulation et d’installation, désarmement de la police, dénonciation de l’argent accumulé par les milliardaires sur le dos des travailleurs…

    « Nous voulons incarner une voix de rupture avec le capitalisme et donner la parole aux luttes sociales dans une période où le néolibéralisme montre ses limites, on le voit, avec la crise climatique, sanitaire et la guerre en Ukraine », développe Antoine Larrache, membre de l’équipe de campagne du candidat.

    Avant de poursuivre : « Les changements radicaux ne peuvent venir que des luttes sociales, ça ne passe pas par l’élection présidentielle. On y va parce qu’on a des choses à dire et on espère être utile dans le débat public, y compris pour lutter contre l’extrême droite et les propositions antisociales d’Emmanuel Macron. »

     

    S’inquiétant du fait que le débat démocratique n’ait pas lieu, le NPA a envoyé un courrier, le 17 mars, aux formations de gauche les invitant à défendre une « position commune » afin « d’exiger un débat entre les candidat.e.s ».

    « Pour l’instant, pas de réponse, mais cela va certainement venir parce que l’on a un intérêt commun à ce qu’il y ait une véritable confrontation», a indiqué Philippe Poutou sur France Inter, ce week-end.

     

    « La démocratie, ce n’est pas juste la question du temps de parole dans une élection présidentielle ou la question des institutions. C’est aussi comment on arrive à faire respecter les droits sociaux », a poursuivi le syndicaliste, en défendant un salaire minimum de 1 800 euros net « pour tout le monde » et la sixième semaine de congés payés.

    Des propositions que le candidat du NPA pourra défendre lors de ses prochaines réunions publiques prévues à Marseille, le jeudi 24 mars, et le vendredi 25 mars, à Quimper dans le Finistère.


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  • Anasse Kazib 2022 :

    malgré les obstacles,

    une campagne qui pose des jalons

    pour un renouveau de l’extrême-gauche

     

    Equipe de campagne Anasse Kazib 2022

    20 mars 2022

     

    Les efforts militants fournis pendant de longs mois n’ayant pas permis de passer la barrière antidémocratique des 500 parrainages, Anasse Kazib n’est pas officiellement candidat à la présidentielle.

    La campagne, qui a dû faire face à tous les obstacles possibles et imaginables pour pouvoir exister, aura malgré tout réussi à imposer une troisième voix au sein de l’extrême-gauche, ainsi qu’à dialoguer avec de larges couches de travailleurs, de la jeunesse et des classes populaires.

    Retour sur cette expérience riche d’enseignements et de promesses pour la suite.

     

    Révolution Permanente >>>>>


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  • CheckNews

    Pourquoi Philippe Poutou et Anasse Kazib

    ont-ils été convoqués par la police?

    Les deux représentants politique sont visés par des procédures judiciaires, l’un pour «injure publique envers une administration publique», l’autre pour «organisation d’une manifestation sur la voie publique sans déclaration».
     

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  • Gérard Mordillat

    « Il faut boycotter la présidentielle

    pour disqualifier cette supercherie de système électoral »

     

    Que doit-on attendre de la prochaine élection présidentielle ? Rien selon notre invité, le cinéaste et romancier Gérard Mordillat.

    Regards >>>>>


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  • Présidentielle 2022 : Jean-Luc Mélenchon chiffre son programme dans une émission

    Des dépenses supplémentaires de 250 milliards d'euros,

    de nouvelles recettes de 267 milliards

    Des progrès qui augmenteraient les recettes de l'État

    de 267 milliards d'euros

    (en 2019, les recettes de l'État totalisaient 1 300 milliards),

    notamment grâce

    à une hausse des cotisations recueillies de 35 milliards

    et des recettes de l'impôt sur le revenu et de la TVA

    de 27 milliards.

     

    Le candidat d'extrême gauche propose l'investissement de 50 milliards d'euros par an dans la "bifurcation écologique" et les services publics, 75 milliards dans la création d'un million d'emplois publics et la revalorisation des fonctionnaires, et 125 milliards d'aides, subventions et redistributions de richesse.

    France Info >>>>>

     

     


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