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Par Ensemble29 le 19 Mai 2022 à 14:21
La NUPES
La NUPES
La Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale
Le site internet
Le Programme
https://nupes-2022.fr/le-programme/
Les candidats
https://nupes-2022.fr/les-candidats/
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Par Ensemble29 le 15 Mai 2022 à 12:04
Israël réprime les funérailles
de la journaliste Shireen Abu Akleh
après l’avoir assassinée
Ce mercredi, une journaliste d’Al Jazeera, Shireen Abu Akleh, est morte sous les balles des forces d’occupation israélienne. Alors que son cercueil venait de sortir de l’hôpital Saint-Joseph de Jérusalem ce vendredi, la police israélienne a réprimé durement les Palestiniens, venus assister aux funérailles de la journaliste.
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Par Ensemble29 le 15 Mai 2022 à 09:04
Lutte Ouvrière Morlaix
Législatives à Morlaix : Patricia Blosse pour « la lutte des classes ouvrières »
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Par Ensemble29 le 14 Mai 2022 à 11:02
Affaire Taha Bouhafs :
« La France insoumise a pris ses responsabilités »,
par Clémentine Autain
TRIBUNEClémentine Autain
Le journaliste et militant s’est retiré de la course aux législatives en début de semaine, expliquant subir « une tempête d’attaques sans précédent », avant d’être accusé de violences sexuelles.
La France insoumise, qui l’avait investi candidat dans le Rhône, a enclenché une procédure interne.
Face aux critiques, la députée LFI de Seine-Saint-Denis répond dans une tribune à « l’Obs ».
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Par Ensemble29 le 12 Mai 2022 à 09:09
Législatives
12 et 19 juin 2022
Finistère
Candidats soutenus par la NUPES
Nouvelle Union Populaire Écologiste et Sociale
Finistère
1ère circonscription (Briec, Fouesnant, Quimper) :
Grégory Lebert (Pôle écologiste-EELV)
2e circonscription (Brest ville) :
Pierre-Yves Cadalen (La France insoumise)
3e circonscription (Brest rural) :
Pierre Smolarz (La France insoumise)
4e circonscription (Morlaix) :
Sylvaine Vulpiani (Pôle écologiste-Génération. s)
5e circonscription (Landivisiau, Lesneven) :
Nathalie Sarrabezolles (Parti socialiste)
6e circonscription (Châteaulin, Carhaix) :
Mélanie Thomin (Parti socialiste)
7e circonscription (Pont-l’Abbé, Douarnenez) :
Yolande Bouin (La France insoumise)
8e circonscription (Concarneau, Quimperlé) :
Youenn Le Flao (La France insoumise)
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Par Ensemble29 le 7 Mai 2022 à 19:19
« Nous écrivons l'Histoire »
Convention de la
Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale
Vidéo 3h28 minutes environ
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Par Ensemble29 le 7 Mai 2022 à 10:35
Finistère législatives juin 2022 NUPES
1 Quimper EELV 2 Brest Ville LFi Cadalen 3 Brest Rural Ploudalmézeau Lfi 4 Morlaix Génération's 5 Landerneau Lesneven PS 6 Carhaix Chateaulin PS 7 Douarnenez Lfi 8 Concarneau LFi Youenn Le Flao
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Par Ensemble29 le 6 Mai 2022 à 14:00
La lettre "Chez Pol" de Libération :
Du vol et du plagiat
Par S.T. Libération >>>>>
Les plus fins limiers de la gauche ont tiqué hier en entendant l'appellation de la nouvelle fédération macroniste : Ensemble.
Car c’est aussi (avant tout ?) le nom du mouvement fondé en 2013 et longtemps incarné par l’Insoumise Clémentine Autain.
«Ça m'a fait rire. Quel hommage !», ironise auprès de Chez Pol la députée, qui confie que «l’opportunité et la possibilité d’une plainte» sont actuellement «en débat».
«On est en train de regarder ce qu’on peut faire juridiquement», précise-t-elle, même si Ensemble était surtout lié à l’aventure du Front de gauche et n’est plus franchement actif avec l’irruption de l’Union populaire (puis de la Nupes).
«C’est orwellien»
Si la forme interroge, le fond aussi.
«Ça me fait penser au titre du livre de Macron en 2017 : Révolution. C’est de la triangulation. Il essaye de surfer sur l’air du temps en détournant les mots de leur sens», poursuit Autain, dénonçant un vocable qui «participe à brouiller les repères».
«Avec eux, plus rien n’a de sens. On a passé le mandat à observer leur folie orwellienne mais là encore, c’est orwellien», s’étonne-t-elle encore, rappelant qu’à la création du mouvement Ensemble, les fondateurs s’étaient interrogés sur les mots avant d'atterrir in fine sur celui-là.
«Il y avait l’idée d’incarner une perspective unitaire dans le Front de gauche et les mots comme gauche étaient déjà devenus vides et dévalués», remarque l’élue de Seine-Saint-Denis.
Autain note également le nouveau nom de LREM, Renaissance, et sourit : «Au moment où on revient au Moyen Âge…»
D’ailleurs, Macron pioche là encore dans une sémantique utilisée par la gauche, après avoir osé reprendre à son compte pendant la campagne le slogan du NPA.
Car un parti créé en 2016 à Malzéville, Renaissance à gauche, existe.
Et ils ne sont pas contents non plus.
«Vilenie»
«Nous souffrons déjà du préjudice que cette assimilation à la macronie nous porte et nous réfléchissons aux suites à donner à cette vilenie du camp du Président», fustigent-ils dans un communiqué au vitriol et plein d’ironie.
«Nous militants et responsables de Renaissance à Gauche, apprenons avec effroi que le parti du Président décide de nous voler notre nom», écrivent-ils d’emblée, ajoutant :
«Nous comprenons son désir de se faire une virginité après les 5 années catastrophiques qu’il nous a imposées.
Nous ne pouvons que déplorer que pour ce faire, il décide de profiter de notre notoriété et de l’image très positive dont nous bénéficions auprès des électeurs et de la population.»
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Par Ensemble29 le 5 Mai 2022 à 17:13
Nouvelle union populaire écologique et sociale:
que vive ce «bloc arc-en-ciel»!
par Aurélie Trouvé,
Présidente du Parlement de l’Union populaire,
Enseignante chercheuse en économie
le 4 mai 2022La gauche est sortie du XXe siècle pour entrer enfin dans le XXIe.
Les historiens futurs verront peut-être les 22 % obtenus par l’Union populaire et son candidat au premier tour de la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, comme le moment où la crise des gauches, advenue avec la chute du mur de Berlin, a commencé à se résoudre.
Le moment où la gauche a clarifié son ancrage.
Non pas dans le social-libéralisme et les aménagements à la marge d’un système à bout de souffle.
Mais dans une conscience partagée qu’il faut changer le système pour répondre à des défis écologiques et sociaux immenses.
Il aura fallu pour cela changer de logiciel.
Trois innovations y ont contribué.
Une innovation programmatique d’abord.
L’Avenir en commun est le premier programme à combiner de manière aussi précise les questions sociale et environnementale.
Aucun aspect du fonctionnement de nos démocraties ne lui échappe.
Une innovation organisationnelle ensuite : le parlement de l’Union populaire, que je préside.
Composé de près de 300 personnes à parité, pour moitié membres de La France insoumise et pour l’autre de militants associatifs, syndicaux, citoyens.
Il a été un élément moteur de la campagne.
Car c’est au contact des mouvements sociaux, de toutes ces femmes et hommes qui résistent de multiples façons au système capitaliste, que les idées se régénèrent, et non dans les combines d’appareils.
Le pari réussi de ce parlement est d’unir sans uniformiser, sur le modèle du «bloc arc-en-ciel» (1), avec le vert de l’écologie, le rouge des mouvements syndicaux et du communisme, le jaune des gilets et des insurrections populaires pour la démocratie, le violet du féminisme, le multicolore des luttes antiracistes.
Mais c’est aussi un «bloc populaire», fort d’une colonne vertébrale politique, d’un programme et d’une stratégie en commun, en opposition frontale aux blocs de droite et d’extrême droite.
Une innovation électorale enfin :
mobiliser, en plus des électorats traditionnels, les abstentionnistes, ceux de nos concitoyens qui ne votent plus car ils sont dégoûtés par des décennies de trahison politique.
Loin d’être le seul produit du «vote utile», le «vote Mélenchon» marque souvent un soutien véritable au projet proposé par l’Union populaire, pour 80 % de ses électeurs selon un sondage Ipsos.
Il est parvenu à agréger des fractions de l’électorat dont la convergence ne s’était jamais produite jusque-là.
Nous devons désormais inscrire cette convergence dans la durée.
Rien n’est impossible
Toute l’histoire des gauches le montre, le temps politique est long.
Une lutte engagée aujourd’hui ne portera peut-être ses fruits que dans quelques années.
Mais elle sera décisive le moment venu.
Cette «lente impatience», empruntée à Daniel Bensaïd, est décisive dans la stratégie et les pratiques militantes de l’Union populaire.
Il est pourtant des moments où le temps s’accélère, où les événements produits dans l’histoire longue s’enchaînent plus vite.
C’est ce qui s’est passé au lendemain du premier tour.
Celui-ci aurait pu laisser la place à la déception et la colère de tous ceux exposés à la violence du programme d’Emmanuel Macron.
Mais l’immense espoir soulevé par l’Union populaire durant toute la campagne présidentielle reste intact.
Mieux : il se transforme en une nouvelle aspiration, celle d’un troisième tour, pour prendre le pouvoir, celle d’imposer un gouvernement de cette gauche de rupture en installant une majorité de députés dès les 12 et 19 juin prochains.
Qu’un président n’obtienne pas de majorité au Parlement au lendemain de son élection serait certes une première depuis la réforme du quinquennat en 2000.
Mais la crise de nos institutions est si profonde, et la légitimité d’Emmanuel Macron si faible, que rien n’est impossible.
S’appuyer sur les mouvements sociaux
Avec l’accord passé par les différentes forces de la gauche en ce début de semaine, cette possibilité prend forme concrète.
Le rassemblement que nous proposons d’opérer est l’un de ces moments où convergent des années de travail intellectuel, de réflexion programmatique, et de mobilisation des mouvements sociaux et citoyens.
Ce rassemblement ne se veut pas un simple bricolage électoral.
Il doit se hisser à la hauteur des attentes populaires, et marquer le tournant historique qu’exige la crise écologique, sociale et démocratique.
L’Union populaire propose ainsi, aux forces sociales et politiques de gauche qui sont prêtes à la rupture avec le néolibéralisme, une méthode : se rassembler sur le socle programmatique et stratégique plébiscité par les électeurs de la gauche, et de manière pragmatique faire jouer à plein nos complémentarités.
Comme le mouvement altermondialiste l’a initié, il s’agit d’articuler la diversité de nos histoires incommensurables pour lever une force puissante sur le plan électoral et, plus encore, capable de mobiliser un camp social majoritaire pour enfin changer d’avenir.
Nous sommes lucides :
si nous parvenons à installer notre Premier ministre à Matignon, des vents contraires se lèveront.
Les classes dominantes s’efforceront d’entraver la mise en œuvre de notre programme.
Durant la campagne présidentielle face au candidat de l’Union populaire, le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, menaçait de mener une grève de l’investissement s’il venait à l’emporter.
Déjouer ces vents adverses nécessite non seulement une détermination sans faille – nous l’avons – mais aussi des mouvements sociaux puissants, capables de maintenir une forte pression, par tous les moyens.
L’une des clés de cette Union populaire est là : s’appuyer sur ces mouvements sociaux, construire avec eux, tout en respectant leur autonomie, dont nous avons besoin.
La Nouvelle union populaire écologique et sociale n’est pas tant un arrangement électoral qu’une recomposition profonde de la gauche et de la façon de faire de la politique.
(1) Aurélie Trouvé, le Bloc arc-en-ciel. Pour une stratégie politique radicale et inclusive, la Découverte, 2021.
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