• La NUPES

    La NUPES

    La Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale

     

    Le site internet

    https://nupes-2022.fr/

     

    Le Programme

    https://nupes-2022.fr/le-programme/

     

    Les candidats

    https://nupes-2022.fr/les-candidats/

     

    La NUPES - Liens vers le site internet


    votre commentaire
  • Israël réprime les funérailles

    de la journaliste Shireen Abu Akleh

    après l’avoir assassinée

    Ce mercredi, une journaliste d’Al Jazeera, Shireen Abu Akleh, est morte sous les balles des forces d’occupation israélienne. Alors que son cercueil venait de sortir de l’hôpital Saint-Joseph de Jérusalem ce vendredi, la police israélienne a réprimé durement les Palestiniens, venus assister aux funérailles de la journaliste.

    Révolution Permanente >>>>>


    votre commentaire
  • Lutte Ouvrière Morlaix

    Législatives à Morlaix : Patricia Blosse pour « la lutte des classes ouvrières »

    Le Télégramme Abonnés >>>>> 14 mai 2022


    votre commentaire
  • Affaire Taha Bouhafs :

    « La France insoumise a pris ses responsabilités »,

    par Clémentine Autain

     

    TRIBUNE

    Clémentine Autain

    Députée LFI de Seine-Saint-Denis

    Le journaliste et militant s’est retiré de la course aux législatives en début de semaine, expliquant subir « une tempête d’attaques sans précédent », avant d’être accusé de violences sexuelles.

    La France insoumise, qui l’avait investi candidat dans le Rhône, a enclenché une procédure interne.

    Face aux critiques, la députée LFI de Seine-Saint-Denis répond dans une tribune à « l’Obs ».

    L'Obs >>>>> accès libre

     

    Taha Bouhafs :
    Fil complet sur notre site  ouvert le mardi 10 mai 2022 >>>>>

    votre commentaire
  • Législatives

    12 et 19 juin 2022

    Finistère

    Candidats soutenus par la NUPES

    Nouvelle Union Populaire Écologiste et Sociale

     

    Finistère

    1ère circonscription (Briec, Fouesnant, Quimper) :

    Grégory Lebert (Pôle écologiste-EELV)

     

    2e circonscription (Brest ville) :

    Pierre-Yves Cadalen (La France insoumise)

     

    3e circonscription (Brest rural) :

    Pierre Smolarz (La France insoumise)

     

    4e circonscription (Morlaix) :

    Sylvaine Vulpiani (Pôle écologiste-Génération. s)

     

    5e circonscription (Landivisiau, Lesneven) :

    Nathalie Sarrabezolles (Parti socialiste)

     

    6e circonscription (Châteaulin, Carhaix) :

    Mélanie Thomin (Parti socialiste)

     

    7e circonscription (Pont-l’Abbé, Douarnenez) :

    Yolande Bouin (La France insoumise)

     

    8e circonscription (Concarneau, Quimperlé) :

    Youenn Le Flao (La France insoumise)


    votre commentaire
  • « Nous écrivons l'Histoire » 

    Convention de la

    Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale

     

    Vidéo 3h28 minutes environ

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     Finistère législatives juin 2022 NUPES

     

    1 Quimper EELV    
    2 Brest Ville LFi Cadalen  
    3 Brest Rural Ploudalmézeau Lfi    
    4 Morlaix Génération's    
    5 Landerneau Lesneven PS    
    6 Carhaix Chateaulin PS    
    7 Douarnenez Lfi    
    8 Concarneau LFi  Youenn Le Flao  

    votre commentaire
  • La lettre "Chez Pol" de Libération : 

     

    Du vol et du plagiat

         

    Par S.T. Libération >>>>>

     

    Les plus fins limiers de la gauche ont tiqué hier en entendant l'appellation de la nouvelle fédération macroniste : Ensemble.

    Car c’est aussi (avant tout ?) le nom du mouvement fondé en 2013 et longtemps incarné par l’Insoumise Clémentine Autain. 

    «Ça m'a fait rire. Quel hommage !», ironise auprès de Chez Pol la députée, qui confie que «l’opportunité et la possibilité d’une plainte» sont actuellement «en débat»

    «On est en train de regarder ce qu’on peut faire juridiquement», précise-t-elle, même si Ensemble était surtout lié à l’aventure du Front de gauche et n’est plus franchement actif avec l’irruption de l’Union populaire (puis de la Nupes).

     

    «C’est orwellien»

    Si la forme interroge, le fond aussi. 

    «Ça me fait penser au titre du livre de Macron en 2017 : Révolution. C’est de la triangulation. Il essaye de surfer sur l’air du temps en détournant les mots de leur sens», poursuit Autain, dénonçant un vocable qui «participe à brouiller les repères»

    «Avec eux, plus rien n’a de sens. On a passé le mandat à observer leur folie orwellienne mais là encore, c’est orwellien», s’étonne-t-elle encore, rappelant qu’à la création du mouvement Ensemble, les fondateurs s’étaient interrogés sur les mots avant d'atterrir in fine sur celui-là. 

     

    «Il y avait l’idée d’incarner une perspective unitaire dans le Front de gauche et les mots comme gauche étaient déjà devenus vides et dévalués», remarque l’élue de Seine-Saint-Denis.

     

    Autain note également le nouveau nom de LREM, Renaissance, et sourit : «Au moment où on revient au Moyen Âge…» 

    D’ailleurs, Macron pioche là encore dans une sémantique utilisée par la gauche, après avoir osé reprendre à son compte pendant la campagne le slogan du NPA.

     

    Car un parti créé en 2016 à Malzéville, Renaissance à gauche, existe.

    Et ils ne sont pas contents non plus.

     

    «Vilenie»

    «Nous souffrons déjà du préjudice que cette assimilation à la macronie nous porte et nous réfléchissons aux suites à donner à cette vilenie du camp du Président», fustigent-ils dans un communiqué au vitriol et plein d’ironie. 

    «Nous militants et responsables de Renaissance à Gauche, apprenons avec effroi que le parti du Président décide de nous voler notre nom», écrivent-ils d’emblée, ajoutant : 

    «Nous comprenons son désir de se faire une virginité après les 5 années catastrophiques qu’il nous a imposées.

    Nous ne pouvons que déplorer que pour ce faire, il décide de profiter de notre notoriété et de l’image très positive dont nous bénéficions auprès des électeurs et de la population.»

     Du vol et du plagiat


    votre commentaire
  • Élections législatives :
    déclaration du Conseil politique national du NPA
     
    5 Mai 2022

     
    Les résultats de l’élection présidentielle donnent une responsabilité à l’ensemble des organisations du mouvement ouvrier et du mouvement social, à la gauche qui refuse le libéralisme et la destruction de nos droits, pour l’unité d’action dans la rue et dans les urnes.
     
    C’est dans ce sens que le NPA a souhaité discuter avec l’Union populaire de candidatures communes aux élections législatives.
     
    En effet, face à la montée de l’extrême droite et au danger fasciste, contre le nouveau mandat de cinq ans de Macron et de ses sbires organisant les attaques antisociales et autoritaires, nous souhaitons qu’une majorité de gauche de rupture, au moins le plus d’élu.e.s possible, puisse exister à l’Assemblée.
     
    Nous pensons donc qu’une dynamique d’union serait un signal positif en direction du mouvement social et des luttes, redonnant confiance aux opprimé.e.s et aux exploité.e.s.
     
    La perspective d’organiser les résistances et d’arracher de nouveaux droits par tous les moyens, doit nous unir.


    Nous avons donc rencontré l’Union populaire
    pour tenter d’aboutir à un accord.
     
    Sur le plan programmatique, nous avons écrit ensemble un texte qui rappelle la nécessité d’une rupture avec les politiques libérales, de revenir en particulier sur les lois de Hollande et de Macron concernant le droit du travail, la répression, d’accueillir les migrant.e.s, d’augmenter le SMIC, de mettre en place la retraite à 60 ans pour toutes et tous, d’éradiquer la pauvreté...
     
    Ces mesures sont loin de représenter l’ensemble du programme anticapitaliste du NPA, mais elles sont suffisantes pour être défendue dans le cadre d’une alliance et même pour soutenir leur mise en œuvre par un gouvernement qui serait issu d’une telle coalition si elle était majoritaire, avec Jean-Luc Mélenchon pour Premier ministre, sans renoncer à notre indépendance.


    Cependant, au fur et à mesure des discussions avec les autres forces politiques, l’équilibre politique de la coalition s’est modifié progressivement, atténuant le caractère de rupture avec les politiques libérales qui faisait sa force.

    Ainsi l’accord trouvé avec Europe écologie-Les Verts, très avantageux en termes de circonscriptions offertes, revient sur plusieurs points du programme partagé entre le NPA et l’UP, par exemple sur la nécessité de ruptures avec l’Union européenne.

    Par ailleurs, la faible place de collectifs de quartiers populaires dans l’accord unitaire comme « On s’en mêle » n’est pas le bon signal donné à celles et ceux qui subissent de plein fouet les politiques antisociales, sécuritaires, racistes et islamophobes.

    Malgré tout, il nous semblait toujours important de participer à cette dynamique d’union.


    Cependant, l’accord noué, mercredi matin, par l’Union populaire avec le Parti socialiste, est problématique à plus d’un titre.
     
    D’abord parce qu’il revient sur plusieurs propositions essentielles, une augmentation du SMIC qui ne serait plus « immédiate », une rupture avec l’Europe libérale aux modalités devenues floues, « la retraite à 60 ans pour tous » présente dans les accords contractés avec EÉLV et le PCF devenue un « droit à la retraite à 60 ans » (dont on sait qu’il signifie l’existence d’importantes décotes)…

    Dans cette logique, le PS se voit octroyer 70 circonscriptions (dont 30 gagnables), soit bien plus que la proposition initiale de l’UP d’une répartition à la proportionnelle entre les différentes forces parties prenantes.

    En ajoutant à ces candidatures PS les nombreuses candidatures d’EÉLV qui ne représentent pas une rupture avec le libéralisme, la marque de cette gauche, qui a gouverné à de nombreuses reprises contre les classes populaires et dirige aujourd’hui bon nombre de villes ou de régions, devient significative.

    Tout cela constitue pour nous un point de bascule : cette « Nouvelle Union populaire écologique et sociale » (NUPES) n’assume pas la continuité politique de l’Union populaire qui a conduit, dans le cadre de l’élection présidentielle, Jean-Luc Mélenchon à représenter un espoir de transformation radicale de la situation, ou alors de façon bien ambiguë et contradictoire.

    Nous savons que de nombreuses et nombreux militantEs de gauche espéraient « voir Philippe Poutou à l’assemblée », mais ils et elles doivent savoir qu’à aucun moment une circonscription n’a été proposée par l’Union populaire permettant son élection, ni même sa candidature en Gironde.
     
    Dans le cadre d’un accord avec le Parti socialiste, l’UP nous propose seulement cinq circonscriptions – bien loin de la proportionnelle entre les différentes forces – dont aucune n’est éligible, ni ne correspondant  à nos implantations militantes.
     
    Ainsi, le PS s’est vu accorder trois fois plus de circonscriptions que ce qu’il a pesé dans la présidentielle, tandis que le NPA se voit proposer trois fois moins que ce qu’il a pesé. Tout un symbole !

     
    Dans les faits, l’Union populaire aurait souhaité une participation du NPA à la NUPES, mais sans possibilité d’existence politique réelle en son sein.

    Nous constatons donc avec regret que l’UP a fait le choix de trouver un accord avec les composantes gestionnaires du système au détriment d’un accord avec le NPA, qui a pourtant répondu favorablement à la proposition de l’UP dès le début, et qui a poursuivi les discussions jusqu’au bout dans l’espoir d’aboutir à un accord.


    Nous aurions pu nous mettre d’accord avec l’Union populaire, le PCF, et même EÉLV, mais nous ne pouvons pas valider un tel accord incluant le Parti socialiste et sur la base des propositions qui nous ont été faites.
     
    Le NPA ne signera donc pas l’accord de la NUPES.

    Le NPA organisera sa participation aux élections législatives lors d’un Conseil politique national qui se tiendra le 14 mai.
     
    En tout état de cause, nous appellerons à voter et soutiendrons, y compris de façon militante, les candidatEs de gauche de rupture de la NUPES, face auxquels nous ne présenterons pas de candidatEs.
     
    Dans d'autres circonscriptions, là où les conditions sont réunies, le NPA cherchera, face à des candidats labellisés NUPES incarnant une continuité avec le social-libéralisme, à faire entendre une alternative, avec des candidatures unitaires, issues du monde du travail et des quartiers populaires, représentant une gauche de combat, indépendante des institutions et du social-libéralisme.

    Le 5 mai 2022

    votre commentaire
  • Nouvelle union populaire écologique et sociale:

    que vive ce «bloc arc-en-ciel»!

     

    par Aurélie Trouvé,

    Présidente du Parlement de l’Union populaire,

    Enseignante chercheuse en économie

    le 4 mai 2022
     

    La gauche est sortie du XXe siècle pour entrer enfin dans le XXIe.

    Les historiens futurs verront peut-être les 22 % obtenus par l’Union populaire et son candidat au premier tour de la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, comme le moment où la crise des gauches, advenue avec la chute du mur de Berlin, a commencé à se résoudre.

    Le moment où la gauche a clarifié son ancrage.

    Non pas dans le social-libéralisme et les aménagements à la marge d’un système à bout de souffle.

    Mais dans une conscience partagée qu’il faut changer le système pour répondre à des défis écologiques et sociaux immenses.

    Il aura fallu pour cela changer de logiciel.

    Trois innovations y ont contribué.

    Une innovation programmatique d’abord.

    L’Avenir en commun est le premier programme à combiner de manière aussi précise les questions sociale et environnementale.

    Aucun aspect du fonctionnement de nos démocraties ne lui échappe.

     

    Une innovation organisationnelle ensuite : le parlement de l’Union populaire, que je préside.

    Composé de près de 300 personnes à parité, pour moitié membres de La France insoumise et pour l’autre de militants associatifs, syndicaux, citoyens.

    Il a été un élément moteur de la campagne.

    Car c’est au contact des mouvements sociaux, de toutes ces femmes et hommes qui résistent de multiples façons au système capitaliste, que les idées se régénèrent, et non dans les combines d’appareils.

    Le pari réussi de ce parlement est d’unir sans uniformiser, sur le modèle du «bloc arc-en-ciel» (1), avec le vert de l’écologie, le rouge des mouvements syndicaux et du communisme, le jaune des gilets et des insurrections populaires pour la démocratie, le violet du féminisme, le multicolore des luttes antiracistes.

    Mais c’est aussi un «bloc populaire», fort d’une colonne vertébrale politique, d’un programme et d’une stratégie en commun, en opposition frontale aux blocs de droite et d’extrême droite.

     

    Une innovation électorale enfin :

    mobiliser, en plus des électorats traditionnels, les abstentionnistes, ceux de nos concitoyens qui ne votent plus car ils sont dégoûtés par des décennies de trahison politique.

    Loin d’être le seul produit du «vote utile», le «vote Mélenchon» marque souvent un soutien véritable au projet proposé par l’Union populaire, pour 80 % de ses électeurs selon un sondage Ipsos.

    Il est parvenu à agréger des fractions de l’électorat dont la convergence ne s’était jamais produite jusque-là.

    Nous devons désormais inscrire cette convergence dans la durée.

     

    Rien n’est impossible

    Toute l’histoire des gauches le montre, le temps politique est long.

    Une lutte engagée aujourd’hui ne portera peut-être ses fruits que dans quelques années.

    Mais elle sera décisive le moment venu.

    Cette «lente impatience», empruntée à Daniel Bensaïd, est décisive dans la stratégie et les pratiques militantes de l’Union populaire.

    Il est pourtant des moments où le temps s’accélère, où les événements produits dans l’histoire longue s’enchaînent plus vite.

    C’est ce qui s’est passé au lendemain du premier tour.

    Celui-ci aurait pu laisser la place à la déception et la colère de tous ceux exposés à la violence du programme d’Emmanuel Macron.

    Mais l’immense espoir soulevé par l’Union populaire durant toute la campagne présidentielle reste intact.

    Mieux : il se transforme en une nouvelle aspiration, celle d’un troisième tour, pour prendre le pouvoir, celle d’imposer un gouvernement de cette gauche de rupture en installant une majorité de députés dès les 12 et 19 juin prochains.

    Qu’un président n’obtienne pas de majorité au Parlement au lendemain de son élection serait certes une première depuis la réforme du quinquennat en 2000.

    Mais la crise de nos institutions est si profonde, et la légitimité d’Emmanuel Macron si faible, que rien n’est impossible.

     

    S’appuyer sur les mouvements sociaux

    Avec l’accord passé par les différentes forces de la gauche en ce début de semaine, cette possibilité prend forme concrète.

    Le rassemblement que nous proposons d’opérer est l’un de ces moments où convergent des années de travail intellectuel, de réflexion programmatique, et de mobilisation des mouvements sociaux et citoyens.

    Ce rassemblement ne se veut pas un simple bricolage électoral.

    Il doit se hisser à la hauteur des attentes populaires, et marquer le tournant historique qu’exige la crise écologique, sociale et démocratique.

    L’Union populaire propose ainsi, aux forces sociales et politiques de gauche qui sont prêtes à la rupture avec le néolibéralisme, une méthode : se rassembler sur le socle programmatique et stratégique plébiscité par les électeurs de la gauche, et de manière pragmatique faire jouer à plein nos complémentarités.

    Comme le mouvement altermondialiste l’a initié, il s’agit d’articuler la diversité de nos histoires incommensurables pour lever une force puissante sur le plan électoral et, plus encore, capable de mobiliser un camp social majoritaire pour enfin changer d’avenir.

     

    Nous sommes lucides :

    si nous parvenons à installer notre Premier ministre à Matignon, des vents contraires se lèveront.

    Les classes dominantes s’efforceront d’entraver la mise en œuvre de notre programme.

    Durant la campagne présidentielle face au candidat de l’Union populaire, le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, menaçait de mener une grève de l’investissement s’il venait à l’emporter.

     

    Déjouer ces vents adverses nécessite non seulement une détermination sans faille – nous l’avons – mais aussi des mouvements sociaux puissants, capables de maintenir une forte pression, par tous les moyens.

    L’une des clés de cette Union populaire est là : s’appuyer sur ces mouvements sociaux, construire avec eux, tout en respectant leur autonomie, dont nous avons besoin.

    La Nouvelle union populaire écologique et sociale n’est pas tant un arrangement électoral qu’une recomposition profonde de la gauche et de la façon de faire de la politique.

     

    (1) Aurélie Trouvé, le Bloc arc-en-ciel. Pour une stratégie politique radicale et inclusive, la Découverte, 2021.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique