• Elle s'appellait Maryam Nuri Mohamed Amin.

    Agée de 24 ans,

    cette jeune femme kurde est la première victime identifiée

    du naufrage dans la Manche

    qui a causé la mort de 27 personnes, mercredi 24 novembre 2021.

     

    17 hommes, sept femmes et trois jeunes sont morts

    lors de ce drame survenu au large de Calais.

     

    Naufrage de migrants dans la Manche :

    la première victime identifiée est une femme kurde

    La jeune femme de 24 ans a envoyé un message à son fiancé au moment où l'embarcation commençait à couler.

    France Info >>>>>


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  • Révélations sur une opération secrète :

    comment une mission française

    censée lutter contre le terrorisme

    a été détournée par le régime égyptien

    Le 25 novembre, en partenariat avec le média d'investigation Disclose, "Complément d'enquête" révèle, grâce à des documents confidentiels, comment une mission française censée lutter contre le terrorisme a été dévoyée par le régime égyptien pour bombarder des civils. La France s'est-elle rendue complice d'exécutions extrajudiciaires en Egypte ?

    France Info >>>>>


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  • Vive la compétitivité....

    Une étude européenne révèle que

    trois quarts des enfants ayant pratiqué un sport

    ont subi des abus psychologiques ou physiques

    Cette étude porte sur plus de 10 000 personnes dans six pays européens. 

    France info >>>>>


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  • Guadeloupe

    "Nous avons un passif" :

    en Guadeloupe,

    la crise ravive la défiance

    vis-à-vis de l'Hexagone

    Reportage France Info >>>>>


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  • Covid 19 - Variant Omicron

    Variant B 11.529…

    Le monde devrait aider l’Afrique Australe,

    non en bloquant les frontières,

    mais en levant les brevets

    pour vacciner au plus vite sa population

    et éviter la diffusion mondiale du nouveau variant.  

     

    En quelques heures, la nouvelle s’est répandue.

    Un nouveau variant du Sars cov2 a été séquencé, d’abord au Botswana avec trois cas, puis en Afrique du Sud avec six cas.

    Le nouveau variant B.1.1.529 présente 32 mutations sur la protéine spike, un chiffre record.

    La protéine spike qui permet au virus de pénétrer les cellules humaines, et qui est à la base de toute la stratégie de vaccination contre la Covid.

    Ce nouveau variant serait plus infectieux, c’est à dire rentrerait plus facilement dans les cellules humaines grâce à ces mutations, et échapperait plus facilement aux anti-corps anti-covid, de la vaccination ou des patients guéris.

    Ce qui potentiellement veut dire que les vaccins pourraient être moins efficaces en terme de protection contre le nouveau variant, alors qu’ils étaient restés bien protecteur face au delta, et que les patients qui ont déjà eu la covid pourraient plus facilement se réinfester.

     

    Mais l’information clef pour l’avenir, c’est la transmissibilité, c’est à dire la capacité de se transmettre d’un individu à un autre, ce qui est différent de l’infectivité, la capacité à pénétrer la cellule.

    On a peu d’information sur ce dernier point capital, car il faudra du temps pour bien l’établir.

    Cependant, une mauvaise nouvelle est rapportée par le Dr Susan Hopkins, médecin chef de l’Agence de Sécurité Sanitaire de Grande Bretagne.

    Le R temporel, c’est à dire le taux de  reproduction du virus à un moment donné, a bondi à 2 dans la région du Gauteng, en Afrique du Sud, où le nouveau variant a été retrouvé.

    Sans qu’on sache cependant si le B.1.1.529 est déjà dominant dans la région, et donc responsable du fait qu’une personne en contamine deux autres, un chiffre qui a presque doublé!

    Prudence donc.  

     

    Aujourd’hui, on apprend que le nouveau variant a été retrouvé chez une jeune femme non vaccinée en Belgique, sans contact retrouvé avec l’Afrique Australe.

    Ce qui peut vouloir dire que le virus circule déjà hors de sa région d’origine.

    Cependant la patiente avait voyagé via l’Egypte et la Turquie en avion.

    Donc là aussi incertitude.

    Une personne a été retrouvée porteuse du variant à Hong Kong, après un voyage au Malawi.

    Israel vient d’annoncer son premier cas.  

     

    Huit pays européens, plus le Japon et Israel, ont immédiatement décidé de fermer leurs frontières aux voyageurs d’Afrique Australe.

    Une décision qui a fait réagir  Christian Lindmeier, porte-parole de l’OMS, qui a déclaré lors d'un briefing à Genève que « l'OMS recommande que les pays continuent d'appliquer une approche scientifique et fondée sur les risques lors de la mise en œuvre des mesures de voyage (…)

    Et qu’à ce stade, encore une fois, la mise en œuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée ».

     

    Ces annonces et ces nouvelles restrictions ont fait chuter le rand sud-africain de 3% par rapport au dollar américain, soit son niveau le plus faible depuis un an.

    Tandis que la bourse de New York s’ouvrait à la baisse.  

    Alors que l’émergence du variant peut relancer encore la pandémie, et son cortège de morts, les seules annonces concernent les restrictions au transport.

    Un vrai scandale, car l’on sait que ce type de mesures ont déjà été inefficaces pour bloquer le variant delta!

    Des annonces très politiques donc, et bien peu scientifiques, de gouvernements des pays riches qui flattent depuis le début le nationalisme vaccinal, et une illusoire fermeture des frontières.

    Or l’émergence de ce nouveau variant est un acte d’accusation terrible contre toutes les politiques de nationalisme vaccinal, qui privent de dose de vaccins les pays pauvres et notamment l’Afrique australe, où le delta était déjà né.

    Un apartheid vaccinal qui fait que sur les 6,5 milliards de doses injectées, seulement 2,5 % l’ont été en Afrique!

    Un apartheid vaccinal pour défendre les profits des Pfizer et Moderna.

    Un apartheid vaccinal dénoncé depuis de longs mois par les activistes qui se battent pour la levée des brevets et de la propriété intellectuelle sur les vaccins, tests et traitements anti-covid.

    Un apartheid vaccinal qui favorise la circulation virale, et donc l’émergence de variants.

    Ce qui met en danger l’efficacité des vaccins.

    La pandémie nous appelle au contraire à la solidarité, au partage des doses, à l’augmentation urgente des capacités de production, à une campagne ultra-rapide de vaccination en Afrique australe pour ralentir la diffusion virale et protéger le monde, comme cela aura du être fait en juin face à l’explosion virale en Inde, qui a fait probablement plus d’un millions de morts.

    Cette politique a un nom.

    C’est la levée des droits de propriété, la levée des brevets!!

    Les capitalistes la refusent pour défendre les 1000 dollars par seconde que les brevets sur les vaccins covid leur rapportent.

    L’éditorial de juillet 21 du British Médical Journal n’hésitait pas à dénoncer cette politique comme « un crime contre l’humanité ».  

    Pour le variant nu comme pour le variant delta, il est probable que la mutation soit apparue chez une personne vivant avec le VIH/ Sida, avec une baisse profonde de l’immunité, car non traitée contre le VIH.

    Pour le delta, c’est ce que suggéraient les études d’infectiologie dans la baie de Nelson en Afrique du Sud.

    Hier "les malades sont au sud, les traitements sont au nord" pour le sida.

    Et les capitalistes de la pharmacie qui osaient mettre en procès l’Afrique du Sud pour sa loi de 1997, qui l’autorisait à fabriquer et importer des génériques contre le VIH.

    Avec à la clef 400.000 morts supplémentaires.

    Aujourd’hui l’apartheid vaccinal.

    Terrible conjonction.  

    Le 30 novembre s’ouvre à Genève la réunion inter-ministérielle de l’OMC.

    C’est déjà un scandale que ce soit une instance sur le commerce qui décide de fait de la politique sanitaire face à la pandémie.

    C’est un scandale que depuis un an l’Union Européenne, Macron, la Suisse, bloquent la demande de levée des droits de propriété intellectuelle sur la covid.

    Le prix à payer, c’est 10.000 morts par jour depuis un an!

    Et maintenant ce que nous craignions tous, l’émergence d’un nouveau variant.

    Et les ONG, syndicalistes, activistes du Sud qui voulaient aller à Genève pour clamer leur colère seront de fait interdit de se rendre devant l’OMS.

    Hier déjà avec les difficultés à faire reconnaître leur vaccination par la Suisse, aujourd’hui car ils risquent d’être bloqués dans les aéroports, ou d’errer à Genève. 

     

    Ainsi Fatima Hassan, l’infatigable avocate sud africaine de Health Justice Initiative, ne devrait pas pouvoir aller à Genève et déclare :

    « les personnes noires et brunes seront interdites de voyage, mais on ne votera pas de dérogation.

    C’est l’apartheid du vaccin.

    L’OMC, l'UE et le Royaume-Uni n'aiment pas que leurs nombreux anciens sujets coloniaux le disent, mais cacher la vérité n'aidera pas.

    L'interdiction de voyager est également anti-science, n'a aucun sens.

    Les pays qui nous interdisent de voyager nous ont également empêchés d'avoir accès à des vaccins vitaux en même temps qu’eux.

    Les personnes qui bloquent la dérogation sont celles qui nous interdisent de voyager.

    Nous avons mis en garde lorsque la dérogation a été proposée pour la première fois : vaccinez tout le monde, partout, rapidement, à cause des variants.

    Je devais me rendre au MC 12, mais je ne peux pas - mes vols transitent par des zones qui ne permettront pas aux Sud-Africains d'atterrir, la Suisse ne m'a pas encore donné de certificat de vaccination, même si je suis doublement vacciné avec Pfizer, ce qui signifie que je mangerais dehors dans le froid et que je ne pourrais entrer dans aucun bâtiment ou café - alors reportez le MC 12 - oui s'il vous plaît, reportez ».

     

    Le 30 novembre, jour de l’ouverture de la scession de l’OMC,

    un cri doit jaillir.

    Levez les brevets! Levez les droits de propriété.

    Quand? Maintenant !

     

    Collectif Brevets sur les vaccins anti covid, stop. Requisition.

    26 Novembre 2021

     

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    Covid-19 : ce que l'on sait du nouveau variant baptisé Omicron, qui pousse l'Europe à fermer ses frontières

    Plus contagieux que le variant Delta, selon les scientifiques sud-africains, ce nouveau variant inquiète la communauté scientifique et les gouvernements, qui commencent à fermer leurs frontières aux vols en provenance d'Afrique australe. 

    France Info >>>>>

    Dose de rappel : tous les Français éligibles pourront-ils recevoir leur vaccin avant la mi-janvier ?

    France Info >>>>>

     


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  • Ourse tuée en Ariège :

    une information judiciaire

    pour "destruction d'une espèce protégée"

    et "chasse illégale dans une réserve"

    Un chasseur avait tué l'animal lors d'une battue, samedi 20 novembre, dans une réserve domaniale. Blessé aux jambes par l'ourse, il avait dû être hospitalisé.

    France Info >>>>>


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  • Accusations de violences sexuelles contre Nicolas Hulot :

    Sandrine Rousseau dénonce

    "une impunité complète et une absence totale de culpabilité"

    France Info >>>>>

     

    Nicolas Hulot : ce que l'on sait des accusations d'agressions sexuelles visant l'ancien ministre

    Dans un numéro d'"Envoyé spécial" diffusé jeudi soir, plusieurs femmes accusent l'ancien ministre d'agressions sexuelles. Dès mercredi, avant la sortie de ces révélations, Nicolas Hulot avait évoqué des "affirmations mensongères" et annoncé son retrait de "la vie publique". 

    France Info >>>>>

     

    Affaire Nicolas Hulot : le parquet de Paris annonce l'ouverture d'une enquête préliminaire pour "viol" et "agression sexuelle"

    Cela intervient au lendemain des révélations d'"Envoyé spécial" mettant en cause l'ancien ministre de la Transition écologique.

    France Info >>>>>


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  • Calais.

    27 morts en mer :

    après la honte et l’émotion, le besoin d’accueil

     

     

    Le plus grave naufrage de réfugiés dans la Manche, mercredi, rappelle avec violence l’urgence de changer de politique migratoire pour la fonder sur l’accueil et la fraternité, quand le gouvernement et la droite montrent les muscles et fustigent avant tout les passeurs.

     

    Jamais autant de réfugiés n’étaient morts en un jour en tentant de rejoindre l’Angleterre depuis la France.

    Mercredi, au moins vingt-sept personnes ont perdu la vie en pleine mer, au large de Calais (Pas-de-Calais), après être montées sur une embarcation de fortune.

    La plupart étaient des Kurdes originaires d’Irak et d’Iran.

    Des hommes, des femmes, et des enfants.

    Avant ce naufrage, le bilan humain depuis janvier était de trois morts noyés et quatre disparus dans la Manche.

    S’il vient d’augmenter spectaculairement, il n’a hélas rien de surprenant.

    De nombreuses associations alertaient depuis des mois sur l’imminence d’une tragédie d’une telle ampleur.

     

    « Militarisation accrue de la frontière »

    « Ces morts sont la conséquence la plus dramatique, la plus grave et la plus insupportable de la politique de non-accueil menée depuis trente ans à la frontière franco­-britannique », a réagi la Cimade.

    « Cette frontière tue », ajoute Utopia 56, qui estime elle aussi que « ces décès sont les résultats de politiques migratoires mortifères » et les conséquences directes « de la militarisation accrue de la frontière et de la lutte acharnée contre la présence des personnes exilées sur le littoral français à coups d’expulsions de lieux de vie et de confiscations d’effets personnels ».

     

    À ce jour, 336 personnes sont décédées à la frontière franco-britannique depuis 1999, dont 36 au total rien qu’en 2021.

    Sans compter les milliers de réfugiés morts en Méditerranée et dans nos montagnes ces dernières années.

    De quoi rouvrir, plus que jamais, le débat sur la nécessité d’un accueil digne à l’échelle française, européenne et internationale devant les déséquilibres mondiaux liés aux guerres et aux graves inégalités sociales et économiques.

    Surtout à quelques mois de la présidentielle de 2022.

     

     

    Les passeurs ne sont pas les seuls responsables

    « La France ne laissera pas la Manche devenir un cimetière », a fait savoir Emmanuel Macron.

    Alors que notre pays prendra dans quelques semaines la présidence de l’Union européenne, le chef de l’État a surtout renvoyé l’essentiel de la responsabilité sur le dos des passeurs.

    Sans regarder la réalité de la politique française et continentale.

    Son ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, charge lui aussi les passeurs, et se fait fort d’accélérer le « démantèlement des réseaux criminels ».

    « Depuis le 1er  janvier, nous avons arrêté 1 500 passeurs », a-t-il annoncé, dont cinq personnes soupçonnées de l’être ­depuis le drame de mercredi.

     

    L’extrême droite cible, elle aussi, les mafias qui profitent du désespoir, en plus de condamner la politique du gouvernement, qu’elle estime insuffisamment répressive.

    « Le laxisme en matière migratoire entraîne des drames », a asséné Marine Le Pen.

    Ni une ni deux, une partie de la droite lui a emboîté le pas.

    « La seule solution, c’est de déclarer le littoral français comme une zone zéro migrant », défend Pierre-Henri Dumont.

    Le député LR, qui fustige les associations qui viennent en aide aux réfugiés, souhaite créer des centres d’accueil à distance de Calais où il propose de conduire les migrants « si besoin par la force ».

    « La France et l’Europe n’ont pas les moyens d’intégrer cette immigration massive irrégulière, il faut la stopper. Dire le contraire, c’est risquer des vies. Notre devoir est de dissuader et d’arrêter clairement ces flux », a pour sa part réagi Éric Ciotti, candidat à l’investiture LR pour la présidentielle, qui comme ses concurrents à droite Xavier Bertrand et Valérie Pécresse fustige avant tout les passeurs.

     

    Les « passeurs sans scrupule » ne sauraient pourtant être les seuls fautifs.

    « Il ne sert à rien d’incriminer d’abord les passeurs ou de s’en prendre aux associations. Les vrais responsables sont ceux qui refusent d’accueillir ces hommes, ces femmes, ces enfants qui fuient leur pays et cherchent refuge en Europe », développe la Ligue des droits de l’homme.

    « Cette tragédie aurait pu être évitée. Car ses traversées du désespoir sont une des conséquences de ce qui se joue depuis près de vingt ans suite aux stupéfiants accords du Touquet, à travers lesquels la France accepte que la frontière britannique passe, de fait, sur son territoire », se désole SOS Racisme. 

     

    « Ces gens sont morts d’avoir espéré une vie meilleure »

    À gauche, les dirigeants de parti affirment l’urgence de changer de politique.

    « Ces gens sont morts d’avoir espéré une vie meilleure. Aujourd’hui, ce qu’il manque, ce sont des voies légales vers le Royaume-Uni », indique Olivier Faure, premier secrétaire du PS.

    « Aucune difficulté ne justifie qu’on maltraite les personnes exilées. Rien n’oblige à lacérer des tentes. On peut et on doit traiter les gens humainement », mesure Adrien Quatennens.

    Le coordinateur national de la FI appelle à se « préparer » devant les migrations qui vont s’intensifier, et donc à « créer les conditions pour traiter les causes et pour organiser les coopérations pour un accueil digne ».

     

    « Combien de temps allons-nous encore accepter que des hommes, des femmes, des enfants meurent sous nos yeux ?

    La France n’est plus elle-même quand elle n’agit pas pour la fraternité et des réponses humaines »,

    a déclaré Fabien Roussel, candidat du PCF à la présidentielle, dont le parti dénonce les accords du Touquet en plus de défendre l’abrogation des directives de Dublin et le plein respect du droit et des conventions internationales. 

     

     

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    Manche : des traversées plus nombreuses et plus mortelles

    La traversée jusqu’en Grande-Bretagne est dangereuse.

    Depuis 1999, au moins 336 personnes ont perdu la vie, « cachées dans la remorque d’un camion, électrocutées par une caténaire du site d’Eurotunnel, renversées sur l’autoroute », a rappelé, jeudi, le groupe Décès à Calais et Grande-Synthe, qui réunit plusieurs ONG.

    Depuis 2018, du fait du durcissement des stratégies policières pour interdire le passage par la terre, le nombre de tentatives par la mer sur des embarcations de fortune s’est accéléré et ne cesse depuis d’augmenter.

    Ils étaient 600 en 2018,

    2 300 en 2019,

    et 9 500 en 2020 à avoir tenté le passage par la mer.

    Cette année, entre le 1er janvier et le 20 novembre,

    31 500 exilés ont ainsi quitté les côtes françaises

    et, selon l’agence britannique Associated Press,

    25 700 auraient réussi à passer en Grande-Bretagne.


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  • Migrants :

    ce que l'on sait du naufrage

    qui a fait au moins 27 morts au large de Calais

    Selon le dernier bilan, au moins 27 personnes sont mortes mercredi après-midi dans le naufrage de leur embarcation dans la Manche, le plus meurtrier jamais observé. Cinq personnes soupçonnées d'être les passeurs ont été arrêtées. 

    France Info >>>>>


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  • Reportage France Info  

    Naufrage de migrants dans la Manche :

    "Les morts s'entassent, rien ne bouge",

    déplorent les Calaisiens impuissants

    Calais vit au rythme des tentatives de traversée des migrants. Beaucoup d'habitants expriment leur colère et leur émotion face aux tragédies. Et déplorent la politique menée par la France et le Royaume-Uni.

    France Info >>>>>


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