• Covid-19 : Manifestations des personnels de Santé,

    cinquième vague,

    augmentation des cas positifs,

    des hospitalisations et réanimations, des décès,

    variants Delta et Omicron...

     

    "Ce sont des criminels" : dans le cortège des manifestants pour l'hôpital public, les soignants mettent en cause les gouvernants

    Les soignants étaient appelés à manifester samedi pour alerter sur les difficultés de l'hôpital public. Dans le cortège parisien, les professionnels racontent un quotidien fait de manque de moyens, aux conséquences désastreuses.

    France Info >>>>>

    Covid-19 : cinquième vague, variant Omicron... Pourquoi la situation met le gouvernement sous pression d'ici les fêtes de fin d'année

    A l'approche des fêtes de fin d'année, un conseil de défense sanitaire se tiendra lundi pour tenter d'enrayer la cinquième vague d'épidémie de Covid-19 et contenir l'arrivée du variant Omicron.

    France Info >>>>>

     

    Pet de lapin...

    Covid-19 : le Pr Didier Raoult écope d'un blâme de l'Ordre des médecins

    France Info >>>>>


    votre commentaire
  • Pierre Rabhi,

    figure de l'agroécologie,

    est mort à l'âge de 83 ans

    Ce militant de la cause écologiste était l'auteur notamment de "Vers la sobriété heureuse", vendu à plus de 460 000 exemplaires

    France Info >>>>>


    votre commentaire
  • Covid-19 :
    est-il vrai que 80 % des hospitalisations
    concernent des non-vaccinés
     
    Actuellement :
    75% de la population française totale est vaccinée
    soit 90% de la population adulte (hors les moins de 12 ans...)
     
    Or les non vaccinés représentent 43% des hospitalisations
    et les vaccinés 57 %...
     
    "...depuis l’extension de la couverture vaccinale en France (75 % de la population, dont 90 % des adultes), les rapports se sont – mathématiquement – modifiés. Concernant les hospitalisations conventionnelles, les non-vaccinés représentent désormais 43 % des entrées, contre 57 % pour les vaccinés..."
     
    Pour les entrées en soins critiques,
    les proportions sont équivalentes
    (50 % de non-vaccinés et 50 % de vaccinés)
     
    Et pour les décès, enfin,
    les non-vaccinés, là aussi,
    deviennent minoritaires (46 %).
     

    Conclusion

    FAUX.

    Ce chiffre est désormais largement caduc.

     

    Même si bien évidemment

    il y a plus de risques à ne pas être vacciné

    qu'en étant vacciné...

    sauf que parmi les "non vaccinés"

    un grand nombre ne peuvent pas être vaccinés

    pour des raisons... médicales ...

     
     
     
     
    CheckNews

    Covid-19 : est-il vrai que 80 % des hospitalisations concernent des non-vaccinés, comme le dit Karine Lacombe ?

    Libération >>>>> 3 décembre 2021


    votre commentaire
  • Les managers et les comédiens...

    Brive : l’hôpital engage des comédiens pour jouer les patients et tester ses agents, les syndicats hurlent au scandale

    La direction a employé deux acteurs pour tester l’accueil dans six de ses services. Sauf qu’un comédien, qui est allé trop loin dans son rôle, a été démasqué. En plein Covid-19, cette initiative ne passe pas auprès de certains agents.

    Le Parisien >>>>>3 décembre 2021


    votre commentaire
  • Les mécanismes des violences sexuelles...

    Que révèlent les affaires Nicolas Hulot et Patrick Poivre d'Arvor des mécanismes des violences sexuelles ?

    Pour la sociologue Alice Debauche, les témoignages visant Nicolas Hulot et Patrick Poivre d'Arvor sont révélateurs des logiques de silence et de pouvoir qui sous-tendent les affaires de violences sexuelles.

    France Info >>>>>


    votre commentaire
  • Le Bloc bourgeois et réactionnaire de droite dure !

    Congrès LR. Ciotti en tête, Pécresse favorite

    Vendredi 3 Décembre 2021
     

    Après un premier tour très serré, le député et l’ancienne ministre, soutenue par tous les éliminés, s’affrontent jusqu’à samedi pour représenter LR en 2022.

     

    L’extrémisation de la droite se confirme.

    Au bout d’une campagne monopolisée par les thèmes de l’immigration et de la sécurité, par les ­surenchères permanentes de propositions de plus en plus dures et irresponsables, la primaire « Les Républicains » (LR) a abouti à un scénario quasi impensable il y a quelques semaines :

    Éric Ciotti est arrivé en tête du premier tour de ce congrès (avec 25,59 % des voix).

    Le député des Alpes-Maritimes ­affrontera Valérie Pécresse (25 %) lors du deuxième tour de vote de ­désignation du candidat LR pour la présidentielle 2022, dont les ­résultats seront connus samedi, à 14 h 30.

     

    Pour Xavier Bertrand, la fin des ambitions nationales

    « C’est un honneur et une force qui affermissent ma volonté de servir la France, comme Jacques Chirac, comme Nicolas ­Sarkozy », s’est réjouie la présidente de la région Île-de-France.

    Pourtant, ce scrutin s’est joué à très peu de chose : Michel Barnier (23,93 % des suffrages) et Xavier Bertrand (22,36 %) échouent pour moins de 3 000 voix sur plus de 100 000 votants (80,89 % de participation).

    « Je n’ai pas réussi à convaincre », a reconnu le président des Hauts-de-France.

    Celui qui a longtemps rechigné à participer à cette primaire apparaît comme le grand perdant et a annoncé que ce résultat mettait fin à ses ambitions nationales.

    Ces deux grands perdants qui figuraient en tête des sondages (réalisés auprès des sympathisants LR et non des seuls adhérents) ont rapidement apporté leur soutien à Valérie Pécresse pour le second tour.

    Cette dernière est pour Michel Barnier « la mieux préparée pour gagner l’élection présidentielle ». 

    Philippe Juvin, arrivé cinquième du scrutin (3 % des voix), a lui aussi appelé à voter pour Valérie Pécresse et évoqué « un choix évident, car elle représente une droite européenne, libérale et humaniste ».

     

    « Le second tour n’est pas fait pour autant, on sait que maintenant plus personne n’écoute les consignes de vote », a relativisé le trésorier du parti, Daniel Fasquelle.

    Ces soutiens apportés à Valérie Pécresse paraissent logiques, tant Éric Ciotti représente une ligne très proche de l’extrême droite, partageant de nombreux constats et propositions avec Éric Zemmour, qui l’a d’ailleurs félicité sur Twitter.

    Même si Valérie Pécresse n’a pas été en reste pendant cette campagne en proposant par exemple de doubler les peines pour des actes commis dans « des banlieues sensibles », où elle veut envoyer l’armée, ou encore de revenir sur le droit du sol.

    « Avec Éric Ciotti, on est quand même au-delà, ce sera compliqué pour beaucoup de le suivre dans ses propositions », confie un cadre LR.

     

    Le député n’a pas tardé à prendre la parole, jeudi après-midi, cherchant rapidement à mobiliser pendant un entre-deux-tours express qui a pris fin dès vendredi matin avec le début du second.

    Éric Ciotti a insisté sur son « puissant projet d’autorité, de sécurité, de liberté, de baisse des impôts », avant de distribuer des pics indirects envers Valérie Pécresse :

    « L’élan ­populaire qui s’est levé pour que la France reste la France me confère aujourd’hui des devoirs.

    Un devoir de fidélité, je n’ai jamais quitté ma famille politique.

    Un devoir de dureté : j’ai refusé de voter Emmanuel Macron en 2017 et je ne le ferai jamais », contrairement à Valérie Pécresse.

    Celle-ci, qui apparaît en position de force, a attendu les ralliements des déchus du premier tour pour prendre la parole et se présenter, déjà, en rassembleuse. 


    votre commentaire
  • Donc il parait que 8 français sur 10 se disent heureux...

    "Près de trois Français sur dix se disent "attristés" (29% des personnes interrogées) ou "inquiets" (28%) à l'évocation des fêtes de fin d'année, selon un sondage Ifop pour l'association Dons solidaires, publié jeudi 2 décembre"

    29% + 28% = 57% !!!

    Noël :

    près de trois Français sur dix se disent "attristés" ou "inquiets"

    à l'approche des fêtes de fin d'année,

    selon une étude Ifop

    Si la majorité des personnes interrogées se réjouit de cette période festive, de nombreux ménages font part de leur inquiétude, notamment liée au pouvoir d'achat.

    France Info >>>>>


    votre commentaire
  • Zémmour... Zé'mmort...

     

    Election présidentielle 2022 :

    les obsessions de Zemmour...

    réactionnaire d'extrême-droite

     

    Election présidentielle 2022 : les obsessions d'Eric Zemmour, polémiste devenu candidat à l'Elysée

    France Info >>>>>

    ...on fait le point sur les procédures judiciaires contre le polémiste

    Depuis treize ans, Eric Zemmour a accumulé une dizaine de dossiers judiciaires contre lui. Certaines procédures sont toujours en cours, d'autres se sont soldées par des condamnations définitives, notamment pour "provocation à la haine raciale", ou par sa relaxe.

    France Info >>>>>


    votre commentaire
  • Argent public.

    Où sont passés les 400 milliards d’aides au privé ?

     

    Mercredi 1 Décembre 2021
     
     

    Une commission parlementaire et citoyenne s’est constituée afin d’établir plus de transparence sur les subventions versées sans conditions aux entreprises.

     

    L’union faisant la force, l’Observatoire des multinationales a rassemblé les parlementaires des groupes qui ont demandé ces dix-huit derniers mois, par voie d’amendement notamment, que les aides massives aux entreprises soient conditionnées par des clauses sociales et environnementales. 

    Ces élus, accompagnés d’associations et de chercheurs, se sont constitués en commission d’enquête parlementaire et citoyenne sur les aides publiques versées au secteur privé, présentée mardi à la presse.

    Étant donné la période préélectorale, cette association n’a ni le statut ni, malheureusement, les moyens d’une commission d’enquête officielle.

    Mais son but reste d’établir un état des lieux d’ici mars, pour peser sur la campagne présidentielle.

     

    À côté, ce gouvernement réduit l’enveloppe des APL de 1,1 milliard d’euros et veut réaliser 2,3 milliards d’économies sur le dos des privés d’emploi avec sa réforme de l’assurance-chômage.

     Mathilde Panot France (FI)

     

    Argent public. Où sont passés les 400 milliards d’aides au privé ?

     

    De combien d’argent public parle-t-on ?

    « Les aides aux entreprises sont en moyenne en hausse de 6 à 7 % par an et ont atteint les 140 milliards d’euros en 2019,

    explicite l’économiste Maxime Combes, de l’Observatoire des multinationales.

    Ajoutez les 240 milliards d’euros d’aides exceptionnelles liées à la pandémie, ainsi que celles notamment de la BCE et on dépasse allègrement les 400 milliards. »

     

    Le tout distribué sans conditions, du moins sans celles que les parlementaires associés s’accordent à demander : des exigences en matière de lutte contre le réchauffement climatique, de réduction des inégalités sociales et en faveur de l’égalité femmes-hommes.

    « À côté, ce gouvernement réduit l’enveloppe des APL (aides au logement-NDLR) de 1,1 milliard d’euros et veut réaliser 2,3 milliards d’économies sur le dos des privés d’emploi avec sa réforme de l’assurance-chômage », contrebalance Mathilde Panot (FI).

     

     

    Chaque parlementaire rappelle comment la majorité, épaulée par la droite, a fait front pour s’opposer à chacune des conditions proposées.

    Même celle interdisant la distribution de dividendes à une entreprise touchant des subsides pour sa survie a été refusée.

    « Le gouvernement n’organise de contrôle supplémentaire que pour faire reculer les droits sociaux », résume Elsa Faucillon (PCF), qui rappelle que l’inspection du travail, le contrôle fiscal comme le ministère de la Transition écologique sont trois des administrations qui ont le plus souffert en matière de réduction de postes et de moyens.

     

    Cette commission se donne un objectif de transparence.

    « Cinquante entreprises touchent la moitié de l’enveloppe du crédit d’ impôt recherche et 21 groupes touchent de l’État l’équivalent du budget de la Culture et du Sport réunis. On veut les noms ! Mais le gouvernement n’a aucun intérêt à ce que cela sorte ! » s’indigne Christine Pires-Beaune (PS).

     

    La députée Émilie Cariou (groupe Écologie Démocratie Solidarité) révèle un autre exemple éloquent :

    « La niche Copé, qui exonère d’impôt les plus-values réalisées sur les ventes d’actions par les entreprises, coûtait entre 30 et 32 milliards d’euros par an avec le régime des filiales intragroupes, développe l’ancienne LaREM.

    Je parle au passé parce que, depuis deux ans, ces exonérations ont disparu du recensement des niches fiscales au prétexte qu’elles font partie des modalités du calcul de l’impôt. Nous n’avons donc plus de chiffres… »

     

    Au bonheur des actionnaires

    Les entreprises du CAC 40 ont versé, au printemps 2021, plus de dividendes qu’elles n’ont engrangé de bénéfices en 2020.

    Ces versements ont ainsi représentés 140 % de leurs profits.

    La BNP Paribas, Alstom, Pernod Ricard et Vivendi (mise en Bourse d’Universal Music) ont poursuivi leurs distributions cet automne.

    Autre façon de contenter leurs actionnaires, les grands groupes ont dépensé cette année 17 milliards d’euros en rachats de leurs propres actions, pour augmenter artificiellement leurs cours de Bourse.

    ArcelorMittal, Bouygues, TotalEnergies, STMicro, BNP Paribas et Danone ont été les plus prodigues.


    votre commentaire
  • L'Île sur le Feu !

    30 novembre 2021

    Quand La Macronie

    ne fait que  répandre de l'Huile sur le feu...

    ça va plus vite

    pour envoyer 70 policiers supplémentaires

    il y en  a déjà 2.500...

    que pour régler les problèmes économiques,

    sociaux et humains

    de la population...

     

    Guadeloupe : Sébastien Lecornu annonce l'envoi de 70 gendarmes et 10 membres du GIGN supplémentaires

    Le ministre a appelé à une "prise de conscience collective" au sujet des violences qui "prennent pour cibles les forces de l'ordre".

    France Info >>>>>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique