• Alerte !

    Ce que cache le projet droitier d’abaissement du salaire brut !

    Attention dangers. Si l’électorat de gauche, si nos concitoyennes et nos concitoyens attachés à la sécurité sociale, restaient l’arme au pied à l’occasion des élections présidentielle et législatives, s'ouvrirait, bien malgré eux, une vaste entreprise de démolition de notre système de protection sociale.

    Patrick Le Hyaric >>>>> L'Humanité


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  • Pourquoi les cahiers de doléances des Gilets jaunes

    n’ont jamais été rendus publics ?

    C’est une plongée dans les cahiers de doléances de 2019 qu’a effectuée l’ancien ambassadeur Didier Le Bret, au côté d’une équipe de chercheurs, enseignants et bénévoles.

    Ouest-France >>>>>


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  • Il y a 50 ans...

    Le Bloody Sunday

    ( Derry - Irlande du Nord )

     

    Wikipédia >>>>>

     

     

    "Bloody Sunday" :

    un demi-siècle après,

    les habitants de Derry réclament toujours

    "que justice soit faite"

    Une marche du souvenir dimanche 30 janvier à Derry, en Irlande du Nord, pour commémorer la mort de 13 civils abattus par l'armée britannique le 30 janvier 1972. Le gouvernement a présenté ses excuses mais les soldats incriminés n’ont pas été poursuivis en justice.

    France Info >>>>>

    Cinquante ans après le Bloody Sunday,

    l’Irlande du Nord espère encore une nouvelle ère

    Entre le Brexit, un projet d’amnistie des crimes de guerre et des élections qui approchent, la nation britannique commémore une fois de plus le massacre du 30 janvier 1972 sans vraiment croire en des jours meilleurs.

    Médiapart >>>>> Abonnés

    "Ce n'est que le soir qu'on a compris l'ampleur du massacre" :

    le 30 janvier 1972, le Bloody Sunday ensanglante l'Irlande du Nord

    France Info >>>>>

     

     

    REPORTAGE. Cinquante ans après le Bloody Sunday, les habitants de Derry demandent justice

    Les rues de la deuxième ville d’Irlande du Nord portent encore les traces d’un massacre qui a changé le cours de la guerre civile et marqué les mémoires dans le monde.

    Ouest-France >>>>>

     

    Le "Bloody Sunday" a 50 ans

    et "le Brexit a surtout réanimé les peurs identitaires""

    Pour Fabrice Mourlon, professeur de civilisation britannique et irlandaise, le processus de paix engagé depuis 1998 avait pourtant permis d'apaiser les tensions en Irlande du Nord.

    HuffPost >>>>>


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  • Dissolution de "Nantes révoltée" : l

    a Ligue des droits de l'Homme réclame l'interruption du processus

    Le groupe d'extrême gauche est accusé par Gérald Darmanin d'avoir diffusé des "appels à la violence". Le gouvernement veut "réduire au silence les voix de contestation politique", pointe l'association.

    France Info >>>>>


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  • Le Chesnay-Rocquencourt :
    l’arrestation musclée d’un ado déclenche une tempête judiciaire
     
    78actu Yvelines >>>>> Article
     
     
     
     
     

    Scandale. Une mère condamnée pour avoir filmé les policiers qui tabassaient on fils

    La procureure de Versailles a condamné une mère pour avoir filmé les policiers entrain de frapper son fils. La magistrate a en outre participé à étouffer ce cas de violence policière, en couvrant ces derniers, comme le résume Me Yassine Bouzrou, son avocat.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Énergie Électricité EDF

    Tract intersyndical

     


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  • Pouvoir d'achat :

    "Le reste à vivre,

    notamment pour les familles les plus modestes,

    se contracte",

    selon un professeur d'économie

    "On devrait revenir à une situation normale à la fin de l'année 2022" estime Philippe Moati, professeur d'économie à l'université de Paris. 

    France Info >>>>>


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  • Combien passeront la barre des 500 parrainages ?
    Tiens Macron n'est pas candidat ?
     
    2022

    Qui sont les 45 candidats déclarés à la présidentielle 2022 ?

    Libération >>>>>


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  • Primaire populaire, un rassemblement qui divise...

    Jeudi 27 Janvier 2022

    Naïm Sakhi Diego Chauvet - L'Humanité >>>>>

     

    Démocratie

    Les 467 000 inscrits ont jusqu’à dimanche pour départager sept candidats.

    Loin d’avoir tordu le bras aux partis, l’initiative pourrait propulser une candidature de plus, celle de Christiane Taubira.

     

    « On est nous-même surpris, c’est au-dessus de nos espérances. »

    La porte-parole de la primaire populaire, Mathilde Imer, n’en revient toujours pas.

    Son organisation a réussi son pari : réunir 467 000 sympathisants de gauche, soit trois fois plus que les participants inscrits au congrès LR ou à la primaire écologiste.

    Le vote en ligne visant à départager les sept candidats retenus se tient jusqu’à dimanche.

    Mais il est d’ores et déjà certain que cette initiative ne parviendra pas à rassembler la gauche pour la présidentielle.

    À l’exception de Christiane Taubira, ni Anne Hidalgo (PS), ni Jean-Luc Mélenchon (FI), ni Yannick Jadot (EELV), candidats contre leur gré à cette investiture citoyenne, ne se soumettront à son verdict.

    Aux côtés de ces têtes d’affiche, figurent aussi des inconnus du grand public : l’écologiste Anna Agueb-Porterie, l’eurodéputé Pierre Larrouturou et la citoyenne Charlotte Marchandise.

    Lancé au printemps 2021, ce mouvement « s’était donné pour objectif de rassembler à gauche pour faire gagner la justice sociale et climatique en 2022 », assure sa porte-parole.

     

    Le message aux partis de gauche est assumé : « Comme vous n’arrivez pas à construire le rassemblement, laissez vos électeurs être vos juges de paix », tacle Mathilde Imer.

    En ce sens, pour Rémi Lefebvre, la primaire populaire est « un succès en termes de mobilisation, mais elle ne tue pas complètement le match ».

    Le politologue ne manque pas la comparaison avec les primaires ouvertes du PS de 2011 et 2016, réunissant 2,8 et 2 millions de participants.

    En réalité, « il s’agit d’une épreuve de force entre les vieux partis, qui proclament leur droit à désigner leur candidat, et un certain peuple de gauche, d’une sociologie jeune, diplômée, sensible aux questions d’écologie, qui conteste leur monopole », poursuit-il.

    D’ailleurs, Mathilde Imer, directrice générale de « 2022 ou jamais », la structure organisatrice de l’événement, est elle-même issue des marches pour le climat.

     

    Dans ce casting, une absence est à souligner.

    Celle de Fabien Roussel (PCF), pourtant au coude-à -coude dans les intentions de vote avec Anne Hidalgo et Christiane Taubira.

    « Il n’a pas été retenu lors de la première sélection paritaire, durant l’été », rappelle la porte-parole.

    « Sans doute est-ce lié aux divergences de fond », ironise son directeur de campagne Ian Brossat, en faisant allusion aux propositions du communiste sur la révision des traités européens et sur la mise au pas du monde de la finance.

     

    Les organisateurs assurent pourtant avoir rassemblé les formations de gauche à travers « un conseil des partis », qui s’était réuni durant cinq semaines pour concevoir le « socle commun » programmatique de la primaire.

    « Ils ont eux-mêmes produit une synthèse, avec des propositions qu’ils retenaient ou rejetaient sans notre avis. On leur avait dit : vous allez foutre la pagaille », rapporte Hélène Hardy, responsable élections chez EELV.

    « À l’époque, nous avions dit que nous n’étions pas d’accord avec ce socle de propositions, ils ont quand même mis notre signature ! » s’indigne Ian Brossat.

     

    « sans la participation des Verts, cette primaire a perdu tout son sens »

    Côtés insoumis, les relations ne sont pas au beau fixe non plus.

    Courant janvier, dans un communiqué lapidaire, le directeur de campagne Manuel Bompard accusait les organisateurs « d’empêcher les candidatures de Yannick Jadot et de Jean-Luc Mélenchon en appelant les maires à bloquer les parrainages d’élus ».

    « Nous assumons un rapport de forces, sur le nombre de nos inscrits, en soutenant les 120 élus de gauche qui refusent de donner les parrainages sans rassemblement, tout en influençant les dynamiques de sondages qui impactent l’octroi de prêts bancaires », tente de clarifier Mathilde Imer.

    De fait, pour Rémi Lefebvre , « Jean-Luc Mélenchon ne veut pas mettre son destin entre les mains d’un électorat social-démocrate ».

    Une victoire de l’insoumis pourrait pourtant définitivement enclencher une dynamique, alors que l’intéressé caracole en tête des intentions de vote à gauche.

     

    Dans cette confrontation, seul le PS était prêt à faire un pas de côté.

    Le revirement d’Anne Hidalgo en faveur d’une primaire ouverte à gauche, le 8 décembre 2021, s’était couplé d’un rapprochement avec les organisateurs de l’initiative.

    Depuis, fermez le ban.

    En meeting à Aubervilliers, samedi 22 janvier, la maire de Paris jugeait que « sans la participation des Verts, la primaire de la gauche a perdu tout son sens ».

    En coulisses, le PS s’est interrogé sur le corps électoral et sur la pertinence  des modalités de scrutin.

    Car, c’est là une originalité de la primaire populaire : les candidats seront départagés par un « jugement majoritaire », à un seul tour.

    « Au lieu de choisir votre préférée parmi les sept personnes présentées, vous pouvez choisir entre cinq mentions, explique la porte-parole , allant de très bien à insuffisant. »

     

    À ce petit jeu, Christiane Taubira est donnée favorite.

    Appréciée par une partie de la gauche, l’ex-garde des Sceaux n’a jamais caché ses liens avec la primaire populaire.

    D’ailleurs, Christian Paul, chargé du projet de la candidate, en est partie prenante depuis son lancement.

    « C’est tout bénef pour le vainqueur. Nos 5 000 bénévoles et 100 antennes locales sont prêts à se mobiliser pour faire campagne », rappelle Mathilde Imer.

    Au risque d’entériner une candidature de plus à gauche ?

    «  Quel que soit le vainqueur, il aura une légitimité de près de 500 000 personnes. Quelle sera alors la candidature de plus ? » balaye Daniel Goldberg, porte-parole de Christaane Taubira.

     

    Reste la question des financements.

    Sur ce point, la primaire indique sur son site la liste complète des donateurs supérieurs à 100 euros.

    Avec un budget de plus d’un million d’euros, l’équipe permanente est ­composée de 18 équivalents-temps plein, dont 7 auto­entrepreneurs.

    Le tout sous la surveillance de trois avocats spécialisés.

    L’annonce des résultats, dimanche 30 janvier, en début de soirée, ne devrait pas clore les débats.

    « En plus de désavouer le principe, les candidats vont discréditer le résultat », prévient Rémi Lefebvre.

    Au risque de connaître un nouvel affrontement entre les formations de gauche et une partie de ses électeurs, à soixante-dix jours du premier tour de la présidentielle.


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  • Les Français en ont ras-le-bol d’être sous-payés

     

    Enquête

    Selon notre sondage Ifop, 80 % des personnes interrogées adhèrent aux revendications des syndicats en cette journée d’action interprofessionnelle pour les salaires.

    La question est plus que jamais au cœur des préoccupations.

     
    Jeudi 27 Janvier 2022
     
     

    C’est un vrai plébiscite.

    Alors qu’une large intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL) appelle à se mobiliser ce jeudi dans le pays en faveur des rémunérations, 8 Français sur 10 considèrent que la demande d’une « augmentation immédiate et générale des salaires » est justifiée, selon notre enquête Ifop.

    Précisons que cette hausse est préférée à toutes les demi-mesures de type « prime et intéressement », ainsi qu’aux baisses de cotisations, ardemment défendues par le pouvoir en place et par la droite.

     

    « L’indicateur de légitimité atteint un niveau extrêmement élevé », observe Frédéric Dabi, directeur général Opinion de l’Ifop.

    Dans le détail, 36 % des sondés estiment la revendication d’une augmentation des salaires « tout à fait justifiée », soit six fois plus que ceux qui la jugent « pas du tout justifiée ».

     

    Par ailleurs, cette adhésion transcende pour l’essentiel les clivages sociaux et générationnels, même si elle est logiquement plus forte dans les milieux populaires (86 %) que dans les catégories « supérieures » (74 %).

    Surprise, même les chefs d’entreprise se disent favorables aux revendications syndicales, à 78 %… peut-être parce qu’ils ont l’impression qu’ils auront du mal à fermer la porte aux demandes de leurs salariés.

    Même unanimité sur le plan politique, puisque la demande d’une hausse des rémunérations est largement majoritaire, y compris chez les sympathisants En marche (65 %).

     

    Sans surprise, c’est la flambée des prix qui attise en priorité les mécontentements : seuls 25 % des sondés jugent « satisfaisant » leur niveau de salaire au regard du coût de la vie, contre 75 % qui pensent le contraire.

    La proportion des mécontents atteint des sommets parmi les catégories populaires (82 %) et les artisans et commerçants (96 %).

    « Cela corrobore nos enquêtes qualitatives, dans lesquelles le mot “inflation” n’avait jamais été à ce point cité, souligne Frédéric Dabi.

    On le voit, la question du pouvoir d’achat est en train de s’imposer comme une thématique majeure de la campagne présidentielle, un peu comme en 2007. »

     

    Les résultats du sondage ne surprennent pas les organisateurs de la journée de mobilisation.

    « Cela fait longtemps que nous nous battons sur ces questions de rémunération et, ces derniers temps, nous avons constaté qu’elles devenaient, pour les salariés, de plus en plus centrales », estime Céline Verzeletti, secrétaire confédérale CGT.

     

    La syndicaliste estime que les plans de relance des derniers mois ont fait leur chemin dans les esprits :

    « La période a prouvé que des centaines de milliards d’euros pouvaient, très rapidement, être mis à disposition pour soutenir les entreprises.

    L’argent existe et les salariés réclament leur dû.

    Aujourd’hui, dans le cadre des NAO, on voit de plus en plus de directions qui proposent d’emblée des augmentations de salaires.

    Même s’il faut lutter derrière pour qu’elles soient à la hauteur, c’est du jamais vu.  »

     

    L'Etude complète pdf >>>>>


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