• Panne des numéros d'urgence :

    "Cet incident était prévisible",

    déplore le porte-parole de l’Association

    des médecins urgentistes de France

    Christophe Prudhomme, porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France, dénonce un accident qui aurait pu être anticipé, et pointe l'État, qui n'a pas pris "ses responsabilités".

    France Info >>>>>

     

    Après une panne Orange,

    les numéros d'urgence (15, 17, 18 et 112) perturbés

    Jean Castex, Gérald Darmanin et Cédric O sont rentrés à Paris pendant la nuit pour une réunion de crise alors que les appels aux Samu, pompiers et police ont été perturbés.

    HuffPost >>>>>

     

    Ouest-france >>>>>

    Le Monde >>>>>

     

     

    Un problème de routeur, selon l'opérateur Orange...

    Panne massive des numéros d'urgence :

    ce que l'on sait de l'incident

    qui a perturbé le 15, le 17, le 18 et le 112

    Les numéros du Samu, des pompiers, de la police ont été perturbés mercredi dans la soirée. Des numéros alternatifs ont été mis en place.

    France Info >>>>>

     

    Brève France Info 3 juin 2021 13h00
    Stéphane Richard PDG d'Orange

    "Pour une raison que nous ne connaissons pas aujourd'hui,

    plus probablement une défaillance logicielle,

    [la panne a] touché l'intégralité des six sites en même temps.

    Ce n'est jamais arrivé. C'est très rare."

    NUMEROS URGENCE

    Stéphane Richard revient sur les circonstances de la panne.

    Il explique qu'il y a eu un dysfonctionnement sur une plateforme qui achemine les appels.

     

    Direct France Info >>>>>

     

    Panne des numéros d'urgence :

    on vous explique le fonctionnement du 15, du 17, du 18 et du 112

    Le Samu, la police, les pompiers et le numéro unique d'urgence européen reçoivent chaque jour plus de 150 000 appels. Mercredi, un incident technique a empêché les utilisateurs de contacter ces services.

    France Info >>>>>


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  • Vrai ou fake  

    Les milliardaires français ont-ils augmenté leur capital de 55%,

    comme l'affirme le député LFI Adrien Quatennens ?

    Le député de La France insoumise Adrien Quatennens assure que "les milliardaires français sont les plus riches d'Europe" et que leur fortune s'est accrue de 55% "en pleine pandémie". Le classement de Forbes montre que cette hausse est plus importante encore.

    France Info >>>>>

     


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  • Birmanie.

    Quatre mois après le coup d'État,

    un pays au bord de la guerre civile

     

    Mercredi 2 Juin 2021
     

    Si le mouvement de contestation ne faiblit pas depuis le 1er février, la population s'inquiète de la militarisation du conflit, qui prend de plus en plus d'ampleur sur tout le territoire.

    Selon l’ONG birmane Association d’assistance aux prisonniers politiques, 840 manifestants ont été tués depuis le putsch.

     

    Quatre mois après le retour de la junte militaire au pouvoir,

    en Birmanie, le mouvement de contestation ne faiblit pas.

    Ce mardi, journée de réouverture des établissements scolaires au terme d’un an de fermeture du à la pandémie de Covid-19, des centaines de milliers d’élèves et d’enseignants ont boycotté la rentrée.

    Ces derniers avaient déjà rejoint les appels à la grève des médecins, ingénieurs, ouvriers et cheminots qui paralysent depuis plusieurs semaines des secteurs entiers de l’économie.

     

    Plusieurs autres rassemblements se sont tenus, mardi, pour marquer ce triste anniversaire et protester contre la sanglante répression.

    Depuis le coup d’État du 1er février, 840 manifestants ont été tués, selon l’ONG birmane Association d’assistance aux prisonniers politiques.

    Ce qui inquiète le plus la population, c’est la militarisation du conflit, en marche dans une bonne partie du territoire.

    Des groupes ethniques qui revendiquent plus d’autonomie et des nouvelles forces de défense populaires ont clairement pris les armes contre l’armée.

    « Le Myanmar est au bord d’une nouvelle guerre civile. Le peuple n’a pas d’autre choix. Ils n’ont tout simplement plus d’autre option », a averti, lundi, le Dr Sasa, porte-parole du gouvernement d’unité nationale de Birmanie, qui souhaite créer une nouvelle armée fédérale.

     

    Raids militaires, arrestations et assassinats contre plusieurs ethnies

    L’armée birmane, qui compterait 400 000 hommes, ne cesse de mener des raids militaires, des arrestations et des assassinats contre plusieurs ethnies, réunies principalement dans les régions frontalières.

    Dernièrement, la junte a effectué des opérations dans l’est de l’État de Kayah, utilisant des hélicoptères pour bombarder et tirer sur des combattants civils.

     

    « Certains groupes armés ethniques ont offert leur soutien aux forces anti-coup d’État, mais d’autres sont ambivalents. Les groupes pourraient chercher à exploiter le coup d’État pour leurs propres gains territoriaux, ce qui compliquerait davantage la crise », analyse le quotidien britannique The Guardian.

     

    La responsabilité sociale des entreprises françaises

    Alors que des « militants syndicaux ou membres de la société civile sont assassinés brutalement », la CGT interpelle dans une lettre le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, devant la présence encore sur place d’un certain nombre d’entreprises françaises : Total, Bouygues, le groupe Accor et l’entreprise Cheddite.

    Et dont « certaines travaillent avec le conglomérat militaro-industriel Mehl (Myanmar Economic Holdings Public Company Ltd) » et de leur rappeler « les règles de la responsabilité sociale des entreprises et les conventions de l’OIT, ratifiées par la France et qui leur sont donc applicables et que des sanctions peuvent leur être appliquées en cas de négation de leurs responsabilités et de violations des droits fondamentaux », rappelle la CGT.


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  • Un test avant les régionales

    Législatives partielles :

    LREM confirme ses difficultés d’ancrage

    sur fond d’abstention record

    Ce dimanche 30 mai avait lieu le premier tour des législatives partielles dans quatre circonscriptions. LREM voient se confirmer ses difficultés d’ancrage en refusant de présenter des candidats dans 3 circonscriptions, tandis que la gauche institutionnelle subit une déroute à l’exception de Paris.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Régionales 2021.

    Ce que les slogans choisis par les partis

    disent de ces élections

     

    Mardi 1 Juin 2021
     

    Les slogans des candidats et intitulés retenus pour identifier les listes des élections régionales des 20 et 27 juin 2021 sont riches d'enseignements sur ce scrutin peu lisible.

    Les signatures politiques, en particulier, restent floues.

    Décryptage.

     

    Certains veulent « la Région, partout et pour tous ».

    « Construisons la région de demain », enjoignent les autres.

    D’autres encore rêvent de « l’Alternative » ou d’« Un nouveau souffle ».

    Qui dit campagne électorale dit foire aux slogans.

    Car si la politique est affaire de convictions, de programme, de passion militante, elle est aussi une machinerie publicitaire.

    Une science en soi.

     

    Le synthétisme, tout un programme

    « Un bon slogan doit être à la fois assez marquant pour qu’on le retienne, assez pertinent pour porter un programme de manière synthétique, mais ne doit pas succomber à l’appauvrissement de la pensée. Tout ça en peu de caractères », résume la sémiologue Élodie Mielczareck.

    Les listes pour les élections régionales des 20 et 27 juin, désormais bouclées, ont un nom.

    Et ce n’est pas rien : c’est lui qui figure sur les affiches, les tracts et les bulletins de vote.

    C’est lui, aussi, qui fait office de slogan de campagne et doit donner une clé de lecture du scrutin à l’électeur.

    Ce qui, dans une campagne sans meeting ou presque, en fait un élément d’identification important.

     

    Le règne du générique

    Alors que dire des slogans de cette cuvée électorale 2021 ?

    Un grand absent : les partis politiques.

    Affaiblis et impopulaires dans les enquêtes d’opinion, ceux-ci se font tout petits.

    Surtout si l’on ajoute les listes d’union, qui interdisent toute référence à un parti plutôt qu’à un autre.

    Rare contre-exemple parmi les principaux partis, la liste « Bretagne insoumise ».

    Envie d’Île-de-France » (LaREM) ressemble davantage à une brochure d’office du tourisme ou à un tube de Peter et Sloane qu’à un marqueur politique.

    Pour les autres, c’est le règne du générique, comme en témoignent les slogans cités plus hauts, et pour lesquels nous avons volontairement omis de préciser l’étiquette politique.

    Dans ce festival du flou, on peut citer « la Région par cœur » (PS-PCF, en Bourgogne-Franche-Comté), l’étonnamment sobre « Rassembler l’Occitanie » (RN) ou l’improbable « Envie d’Île-de-France » (LaREM), qui ressemble davantage à une brochure d’office du tourisme ou à un tube de Peter et Sloane qu’à un marqueur politique.

    Ou encore « Plus forts ensemble », si abscons qu’il est à la fois le slogan des socialistes dans le Centre-Val de Loire et celui des « Républicains » dans le Grand-Est.

     

    LaREM et l’idée abstraite de progrès

    « Ces slogans sont dans leur ensemble symptomatiques du moment : ils ne renvoient plus à une signature politique ou à une vision du monde, juge Élodie Mielczareck.

    Leur vacuité porte en creux la défaite des idées, la manière dont elles sont devenues interchangeables entre les partis. »

     

    Ce flou entretenu est particulièrement visible chez les marcheurs et leurs alliés, qui se contentent de références dépolitisées à l’idée abstraite de progrès :

    « Ensemble le meilleur est avenir » au Centre-Val de Loire ou « la Région de tous les progrès » dans les Pays de la Loire.

    Le Parti socialiste n’est pas en reste avec l’alambiqué « les Talents de nos territoires, l’union de nos énergies » (Nouvelle-Aquitaine) ou le passe-partout « la Normandie nous rassemble ».

     

    Plus un mot est utilisé,

    plus il est dénaturé et perd de sa charge sémantique. 

    Élodie Mielczareck, sémiologue

     

    Les mots « ensemble » ou « rassembler » reviennent d’ailleurs le plus dans les slogans, ignorant les frontières partisanes :

    « Ensemble pour notre région » (PCF-FI, en Auvergne-Rhône-Alpes),

    « l’Écologie ensemble » (EELV, dans les Pays de la Loire),

    « Ensemble faisons gagner nos territoires » (LR, en Centre-Val de Loire).

    Ironique à l’heure où le paysage politique n’avait jamais été autant éparpillé façon puzzle.

    « Plus un mot est utilisé, plus il est dénaturé et perd de sa charge sémantique », ajoute Élodie Mielczareck.

     

    EELV, l’écologie en vert et... partout

    D’autres partis en revanche ont fait le choix de résumer leur candidature à un motif relativement concret.

    Les Verts brandissent sans surprise le totem « écologie » dans tous leurs slogans, comme « l’Écologie évidemment ! », la liste de Julien Bayou en Île-de-France.

    « On voulait l’idée de l’urgence, la force de l’évidence, puisqu’on entre dans la décennie où il faut agir, tout de suite.

    Et il y a aussi l’idée que c’est l’écologie par les écologistes, et que nous parlons d’écologie tout le temps », précise-t-on dans son équipe de campagne.

     

    La liste FI-PCF a préféré « Pouvoir vivre en Île-de-France » :

    « Il fallait que le slogan propose une rupture par rapport au coût de la vie et du logement, au temps passé dans les transports, aux inégalités qui abîment la vie », raconte la communiste Céline Malaisé.

     

    Vocabulaire guerrier

    Chez LR, le vocabulaire guerrier est plébiscité :

    « la Région de toutes ses forces » pour Laurent Wauquiez, « Pour vous, de toutes mes forces » pour Valérie Pécresse, « Se battre pour vous » pour Xavier Bertrand.

     

    Quant au RN, il décline, dans la plupart des régions, un slogan unique :

    « la Région qui vous protège », parfois agrémenté d’un « Français, réveillez-vous ! ».

    Un choix aussi malin qu’il est malhonnête, puisqu’il ancre le slogan dans quelque chose de concret pour l’électeur – se sentir en sécurité – tout en faisant semblant d’ignorer que la sécurité n’est pas une compétence directe des régions.

     

    « On est là ! »

    Dernière tendance des slogans 2021 : ne pas trop mettre en avant le nom des nouvelles régions, auxquelles les électeurs ne se sentent pas attachés.

    Ainsi, la liste FI-NPA avait pensé à « Nouvelle-Aquitaine populaire », avant de se raviser.

    « On s’est dit que pour les gens du Limousin ou du Poitou, ça ne voulait rien dire », glisse-t-on en interne, où l’on a finalement opté pour « On est là ! », référence à un des cris de ralliement des gilets jaunes.

     

    Double problème démocratique

    « Il y a un double problème de fond sur l’identification, reprend Élodie Mielczareck. Un problème d’identité à l’intérieur des partis, et un problème d’identification à la région à laquelle les électeurs s’imaginent appartenir. »

    Et donc un double problème démocratique.

     

    Exception faite des régions historiques comme la Bretagne et la Normandie.

    Les noms des listes, tous courants confondus, qui concourent dans ces régions y font toujours référence.

    Mais comme en témoigne la liste « Vivre la Normandie » du sortant Hervé Morin, cela ne rend pas forcément les slogans beaucoup plus clairs…


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  • États-Unis.

    Joe Biden à Tulsa

    pour le centenaire du massacre « racial »

     

    Alors que le président américain se rend, ce lundi, en Oklahoma pour le centenaire d'une des pages les plus sombres de l’histoire des États-Unis, les derniers survivants demandent reconnaissance et réparation.

    Que s'est-il passé ce lundi 30 mai 1921 ?

     

     

    À quoi pouvait bien s’occuper, un jour chaud et tranquille de mai 1921, une petite fille de 7 ans dans le sud des États-Unis ?

    À la marelle ? À cache-cache ?

    Pour Viola Fletcher, c’était différent : « Je n’oublierai jamais la violence de la foule blanche lorsque nous avons quitté notre maison. Je vois encore les hommes noirs être tués, des corps noirs gisant dans les rues. Je sens encore l’odeur de la fumée et je vois le feu. Je vois encore les commerces noirs brûlés. J’entends encore les avions passant au-dessus de nos têtes. J’entends les cris. »

    Cheveux blancs, petites lunettes cerclées, boucles d’oreilles en forme de perles, la désormais centenaire a témoigné, mercredi 19 mai, devant le comité des affaires judiciaires de la Chambre des représentants, aux côtés de deux autres survivants de l’un des pires massacres de l’histoire américaine, qui n’en manque pourtant pas : son plus jeune frère, Hughes Van Ellis, et Lessie Benningfield Randle.

    « J’ai vécu avec ce massacre chaque jour. Notre pays peut oublier cette histoire, mais je ne peux pas ! » a-­ t-elle encore lancé.

     

     

    Le lynchage, pratique courante dans le Sud

    Tout a commencé comme dans un roman de Faulkner.

    En ce lundi 30 mai 1921, c’est Memorial Day, jour férié en hommage aux militaires morts au combat.

    Dick Rowland, un cireur de chaussures de 19 ans, se rend dans l’immeuble qui abrite les seules toilettes du quartier autorisées aux Noirs.

    Il prend l’ascenseur. Trébuche. Bouscule Sarah Page.

    Elle est la « liftière ». Elle a 17 ans. Elle est blanche.

    Le jeune homme est placé en détention.

     

    Dans la communauté noire, la rumeur se répand : il va être lynché.

    La pratique est courante depuis la mise en place de la ségrégation dans le Sud à partir de 1868. Encore plus dans cet après-guerre.

    Dans la foulée de la sortie de Birth of a Nation, en 1915, le Klu Klux Klan a ressurgi, exploitant les peurs du « Noir » et du « Rouge ».

    La révolution bolchevique a semé une grande « peur rouge », tandis que le retour au civil des militaires démobilisés du front européen attise la « concurrence » à l’emploi.

     

    Tulsa, une poudrière

    Durant l’été 1919, plusieurs villes du Nord-Est et du Midwest industriel ont connu des émeutes raciales lancées par des Blancs, parfois avec l’appui des autorités locales, contre des communautés noires.

    La revendication des droits civiques renaît timidement depuis 1909 et la création de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP).

     

    D’après les estimations, 3 200 des 72 000 habitants de la ville sont alors membres du Klu Klux Klan.

    À Tulsa, la prospérité, née du boom pétrolier, a attiré prospecteurs et entrepreneurs blancs, mais aussi de nombreux Noirs salariés et parfois diplômés.

    Mais ce que l’économie leur donne, la politique le leur retire.

    La première loi votée par l’Oklahoma, constitué en État en 1907, a institué la ségrégation dans les transports ferroviaires et établi des règles d’inscription sur les listes électorales qui en chassent les Noirs.

    Les villes peuvent prendre des mesures supplémentaires.

    Tulsa ne s’en prive pas. Dès 1916, elle établit la ségrégation résidentielle et la met en œuvre, malgré un arrêt de la Cour suprême qui la déclare inconstitutionnelle.

    D’après les estimations, 3 200 des 72 000 habitants de la ville sont membres du Klan.

     

    La ville est une poudrière. L’étincelle survient le 31 mai 1921, au lendemain de l’arrestation de Dick Rowland, lorsqu’une confrontation oppose les Noirs présents devant le poste de police et des Blancs.

    Le déchaînement de violence dure deux jours.

    Selon les historiens, 300 Noirs sont tués, 10 000 autres deviennent des sans-abri.

    Greenwood, alors surnommé le « Black Wall Street », est réduit en cendres après qu’une dizaine d’avions, dépêchés par la police locale, ont largué des boules de térébenthine sur les toits des maisons.

     

    Un siècle plus tard, ce drame n’est « qu’une note de bas de page »

    Pourtant, comme l’a noté Van Ellis lors de son audition au Congrès, «même cent ans après, le massacre racial de Tulsa est une note de bas de page dans les livres d’histoire ». 

    La fameuse Histoire populaire des États-Unis, de Howard Zinn, elle-même, n’en fait pas mention.

    C’est un épisode de la série Watchmen qui, en 2019, remet en lumière ce drame oublié.

     

    Les survivants, de leur côté, continuent de demander justice.

    En 2005, la Cour suprême a refusé de se saisir de leur cas.

    Mais, l’an dernier, ils ont de nouveau porté plainte afin d’obtenir des réparations de la part de l’État d’Oklahoma et de la Ville de Tulsa, qu’ils jugent responsables.

    « On m’a retiré des opportunités, à moi et à ma communauté. Le Tulsa noir est encore un merdier aujourd’hui. Ils ne l’ont pas reconstruit. C’est vide. C’est un ghetto ! » a lancé Lessie Benningfield Randle, 106 ans, devant les élus.

     

    « Ne me laissez pas quitter cette terre sans justice »

    « On vous a appris que lorsque quelque chose vous était volé, vous alliez devant les tribunaux afin que justice soit rendue. Cela n’a pas été le cas pour nous », a déclaré lors de son audition Van Ellis, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, portant ce jour-là une casquette de l’armée américaine.

    « On nous a fait sentir que notre lutte ne valait pas la peine, que nous comptions moins que les Blancs, que nous n’étions pas complètement américains. On nous a montré qu’aux États-Unis, pas tous les hommes étaient égaux devant la loi. On nous a montré que, lorsque des voix noires demandent la justice, personne ne s’en soucie. »

    Joe Biden se rend ce lundi 31 mai à Tulsa pour commémorer cet événement tragique.

    Qu’y dira-t-il ?

    Répondra-t-il à la supplique d’Hughes Van Ellis :

    « S’il vous plaît, ne me laissez pas quitter cette terre sans justice. »


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  • Législatives partielles Dimanche 30 mai 2021

    Abstention record... 

    Paris ..............15ème circonscription..... 84,4%

    Pas de Calais..... 6ème circonscription...... 75,74%

    Oise ...............1ère  circonscription ......73,59%

    Indre et Loire.....3ème circonscription ......81,07%

     

     

    Sur Wikipédia :

    Quinzième circonscription de Paris >>>>>

    Sixième circonscription du Pas-de-Calais >>>>>

    Première circonscription de l'Oise >>>>>

    Troisième circonscription d'Indre-et-Loire >>>>>

    Presse :

    LREM en tête du premier tour dans le Pas-de-Calais,

    Le PS devant LFI à Paris

    En Indre-et-Loire, la candidate UDI devance largement le PS

    La droite LR en tête dans l'Oise

    Le premier tour de quatre élections législatives partielles s'est tenu dimanche en Indre-et-Loire, dans l'Oise, le Pas-de-Calais et à Paris.

    France Info >>>>>


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  • Lettre n°2 - Brevets sur les vaccins anti-COVID

    Stop

    Réquisition


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  • L'appel de 1.664 artistes

    à ne pas opposer écologie et culture

    "Depuis 1985, la France permet au public de copier librement pour son propre usage des photos, musiques, films, séries… En contrepartie de la copie privée de leurs œuvres, qui est réalisée en grande partie grâce aux supports numériques (téléphones, tablettes, disques durs externes…), les artistes et le monde de la création perçoivent une rémunération sur la vente de ces objets. Ce mécanisme vertueux a depuis été adopté par 25 des 27 États membres de l’Union européenne."

     

    Le Monde >>>>>

    JDD >>>>> Texte de l'Appel


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  • Clémentine et sucreries...

    C'est comme ça que se passe dans les entreprises...

    Mis à pied une journée pour avoir mangé à son poste de travail,

    un salarié de La Redoute gagne en appel

    Dans sa décision, la chambre sociale de la cour d'appel de Douai (Nord) juge cette sanction "disproportionnée au regard des faits qui lui sont reprochés, dès lors qu'aucune autre sanction ne lui avait été infligée et qu'il bénéficie d'une ancienneté remontant à septembre 2004".

    France Info >>>>>


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