• www.syndicollectif.fr

     

    Nos dernières publications dans : www.syndicollectif.fr


    OUVRONS LE DEBAT :


    * "Malaise dans la syndicalisation":

    un article de Jean-Marie Pernot:


    http://wp.me/p6Uf5o-49V

     

    * Dossier laïcité dans la revue Enjeux (U&A-FSU):

    http://wp.me/p6Uf5o-48b

     


    ACTIONS- PRISES DE POSITION:

    * Le 12 juin contre l'extrême-droite :

    http://wp.me/p6Uf5o-49Q

    * Les résultats agrégés de la représentativité et les réactions syndicales :

    http://wp.me/p6Uf5o-492

    * Le 29 mai : journée internationale de lutte dans la Santé:

    http://wp.me/p6Uf5o-49s

    * Assurance-chômage : les syndicats saisissent le Conseil d'Etat:

    http://wp.me/p6Uf5o-48X

    * Newsletter CFDT : contre la réforme assurance-chômage:

    http://wp.me/p6Uf5o-482

    * La Chapelle Darblay : le bras de fer continue :

    http://wp.me/p6Uf5o-49E

    * Manifestation de la police : prises de position SUD intérieur et CGT Police:

    http://wp.me/p6Uf5o-48H

    * Tribunes de militaires : réaction de la CGT travailleurs de l'Etat:

    http://wp.me/p6Uf5o-47c

    * Projet Hercule d'EDF : les syndicats ne sont pas dupes des évolutions :

    http://wp.me/p6Uf5o-47D

    * Protestations contre la criminalisation des manifestations en soutien à la Palestine :

    http://wp.me/p6Uf5o-47n

    * Achetez des produits SCOPTI !

    http://wp.me/p6Uf5o-47R

     


    ECO-SYNDICALISME-PUBLICATION :


    * Pas d'emploi sur une planète morte: une brochure de Plus jamais ça:

    http://wp.me/p6Uf5o-47J

    * "Pensons l'aéronautique de demain" :

    le tour du monde en 80 euros:
    http://wp.me/p6Uf5o-49i

    * Expression Solidaires N° 100 : journal de lutte:

    http://wp.me/p6Uf5o-49I



    HISTOIRE, MEMOIRE:

    * Les 150 ans de la Commune : montée au mur des Fédérés:

    http://wp.me/p6Uf5o-49x

    * Robert Piot, militant CGT chômeurs, décédé:

    http://wp.me/p6Uf5o-48y

     


    INTERNATIONAL:

    * Birmanie: les enseignants résistent à la junte :

    http://wp.me/p6Uf5o-48s 



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  • François Molins ne comprend pas

    "que des politiques s'associent à des manifestations

    où on remet en cause l'indépendance de la justice"

     "Alors que la justice devrait être une ambition, c'est en train de devenir un enjeu", déplore le procureur général près la Cour de cassation.

    France Info >>>>>


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  • Fachosphère.

    Sur YouTube, Papacito appelle au meurtre de militants de gauche

    Mardi 8 Juin 2021
     

    Dans une vidéo vue 130 000 fois entre dimanche et lundi, l'influenceur d'extrême droite et son acolyte Code Reinho expliquent comment s’en prendre « aux gauchistes ». La France insoumise et le PCF portent plainte.

     

    Ses protagonistes ont le sourire aux lèvres, jouent la décontraction. La vidéo n’en est que plus glaçante. Le youtubeur d’extrême droite Papacito et son acolyte Code Reinho, sous couvert d’ « expérience scientifique », y tirent sur un mannequin représentant un militant de gauche – un « électeur de Jean-Luc Mélenchon », équipé d’un T-shirt floqué d’un « Je suis communiste », et posté à côté d’un drapeau Che Guevara. « Le but, c’est de savoir si Jean-Gauchiste pourra survivre aux gens normaux qu’il insulte et qu’il méprise depuis des années », explique l’un, au cas où il subsisterait un doute sur la nature de cet appel au meurtre publié dimanche en fin de journée.

    Un tuto pour se procurer des armes

    Les deux influenceurs de la fachosphère ne s’arrêtent pas là et transforment la séquence en tuto pour se procurer des armes. « 180 euros et un quiz de merde, c’est ce qui vous sépare de l’assurance d’être entendu quand vous avez quelque chose à dire », lâche Papacito à propos du permis de chasse, et après avoir défini une arme de catégorie C comme « l’assurance de vous faire respecter dans les moments où on mettra en doute vos convictions ».

    Et on passe sur le flot continu d’insultes, de propos virilistes ou homophobes, ou encore les invitations à s’inspirer des pires moments de l’histoire. La chute de la vidéo, vue lundi par 130 000 personnes, est à l’avenant, avec une scène dans laquelle le mannequin est poignardé à de très nombreuses reprises par Papacito.

    « Des actes odieux suggérés »

    Ses électeurs directement visés, le candidat FI à la présidentielle a tiré la sonnette d’alarme lundi. Visiblement ému par ce torrent de haine, Jean-Luc Mélenchon a jugé « indispensable » d’en diffuser des extraits pour montrer la véritable nature « des actes odieux suggérés ». « Qui que vous soyez, quelle que soit votre opinion politique, à mon sujet ou celui des insoumis, je suis certain qu’aucun d’entre vous n’approuve une telle mise en scène », a déclaré le leader insoumis lors d’une conférence de presse de dernière minute. Le député a également fait le lien avec la polémique née la veille après son interview sur France Inter : « Je mets en garde, en discernant les choses, contre la violence verbale qui nous entoure et peut parfois conduire à nous désigner en permanence comme des cibles. »


     

    Sur certains plateaux TV, cette intervention de FI n’a été présentée que comme un « contre-feu » tandis que, à l’heure où nous écrivons ces lignes, la vidéo d’appel au meurtre n’avait pas suscité de réactions unanimes. Les insoumis l’ont signalée à YouTube, d’où elle a finalement disparu en fin de journée, à la plate-forme dédiée Pharos, et au commandant militaire du Palais-Bourbon. Ils portent plainte et invitent les citoyens à se joindre à leur démarche.

     

    Un « ami » d'Éric Zemmour

    Si cette dernière vidéo a franchi un nouveau cap, Papacito, égérie d’extrême droite, n’en est pas à son premier fait d’armes avec de multiples publications et 100 000 abonnés sur YouTube. Éric Zemmour, par exemple, l’évoquait sur CNews la semaine dernière comme son « ami ». Celui-ci le lui rend bien, prêt à le soutenir s’il « permet via sa présidence de sortir de plus en plus du cadre républicain » et d’instaurer « un climat qui fait qu’il y aura des flingues ».


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  • Anti-racisme

    "On laisse ces gens là faire" :

    Youssoupha dénonce la banalisation du discours d’extrême-droite

    Depuis que le rappeur Youssoupha a été désigné pour interprété la musique officielle de l'équipe de France pour l'Euro 2021, l’extrême-droite a engagé une campagne raciste de grande ampleur à son encontre. En réponse à ce déchaînement, l'artiste a dénoncé la banalisation de l'extrême-droite dans le champ médiatique.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Le billet de Maurice Ulrich.

    Déterminé

     

    On a dû rater une partie du film. Bruno Le Maire, notre ministre des Finances, aurait été à l’avant-garde, au sommet du G7, d’un soulèvement des grands pays contre les comportements fiscaux des multinationales et particulièrement des géants du numérique, en proposant de les taxer à 15 %, ce qui, pour la France, représenterait, si jamais ça arrivait, un peu plus de 4 milliards d’euros.

    On dit même que Bruno Le Maire aurait demandé plus lors du déjeuner, où il était assis aux côtés de la secrétaire d’État au Trésor des États-Unis, Janet Yellen.

     

    L’élection de Joe Biden, même s’il en a rabattu sur ses annonces à 25 %, a changé la donne, précise ainsi le Journal du dimanche, alors que notre ministre « avait tenté depuis quatre ans de rallier à cette proposition ses homologues européens ».

    Pour dire vrai, sa détermination nous avait un peu échappé.

    Sans doute que nous en étions restés à la suppression de l’ISF, à la baisse des impôts dits de production pour une dizaine de milliards, à la taxe forfaitaire sur le capital…


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  • Législatives partielles Dimanche 6 juin 2021

     

    L'Abstention

    (sans parler des votes blancs et nuls )

    victorieuse par KO...

     

    Paris..................... : 83,6 % d'abstention

    Pas de Calais........: 76,0 % d'abstention

    Indre et Loire.....: 82,0 % d'abstention

    Oise.......................: 76,0 % d'abstention

     

    Sur Wikipédia :

    Quinzième circonscription de Paris >>>>>

    Sixième circonscription du Pas-de-Calais >>>>>

    Première circonscription de l'Oise >>>>>

    Troisième circonscription d'Indre-et-Loire >>>>>

    Législatives partielles :

    LREM l'emporte dans le Pas-de-Calais, victoire du PS à Paris

    Les scrutins organisés dimanche dans le Pas-de-Calais, l'Oise, à Paris et en Indre-et-Loire ont été marqués par une très faible participation.

    France Info >>>>>


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  • Une militante palestinienne et une journaliste d'Al Jazeera interpellées à Jérusalem

    Ces arrestations ont eu lieu dans le quartier de Cheikh Jarrah, où des familles palestiniennes sont menacées d'expulsions au profit de colons israéliens.

    France Info >>>>>

     

    [ VIDÉO ] "Ne me touche pas !" Vidéo montrant le moment de l'arrestation de la journaliste d'Al-Jazeera Guevara Al-Budairi et de son agression brutale par les forces d'occupation israéliennes dans le quartier de #SheikhJarrah à Jérusalem occupée. #FreePalestine 

    Vidéo Twitter Gaza News >>>>>

     

    #SheikhJarrah

    https://twitter.com/search?q=%23SheikhJarrah&src=typeahead_click


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  • Oxfam

    Communiqués de presse

    Impôt minimum mondial sur les multinationales :

    un accord au rabais

     

    Alors que les Etats-Unis avaient proposé il y a un mois un taux minimum effectif de 21%, les pays du G7 ont adopté ce samedi 5 juin un compromis au rabais en s’accordant sur un taux de seulement 15%.

    Face au manque de soutien actif de plusieurs pays européens, dont la France, et la pression des paradis fiscaux, l’ambition a donc été largement écornée.

     

    Pour Quentin Parrinello, porte-parole d’Oxfam France :

     

    « Il était plus que temps que les plus grandes économies mondiales s’accordent sur un taux minimum d’impôt effectif pour les multinationales.

    Mais le taux de retenu de 15% est tout simplement trop bas.

    Comment peut-on penser qu’on va s’attaquer aux paradis fiscaux en établissant un taux à peine plus haut que celui de paradis fiscaux notoires comme la Suisse ou Singapour ? »

    « La première proposition américaine d’un taux minimum effectif à 21% constituait une première base de discussion qui pouvait être améliorée.

    Mais face à la pression des paradis fiscaux, et le manque d’ambition de certains pays européens comme la France, cette proposition a été abaissée à 15% et pourrait l’être encore d’avantage. »

     

    « Le manque de soutien actif de la France à la première proposition de Joe Biden est un très mauvais calcul politique : la France serait l’une des plus grandes perdantes d’un passage de taux de 21% à 15% avec des recettes fiscales attendues de 4,3 milliards d’euros, contre 16 milliards pour la proposition américaine.

    Au moment où le gouvernement s’interroge sur comment payer la facture du coronavirus, il vient de laisser filer l’opportunité de reprendre des dizaines de milliards d’euros délocalisés dans les paradis fiscaux ».

     

    « Dans le contexte de crise économique et sanitaire mondiale que nous vivons, les pays du G7 préfèrent protéger l’intérêt des multinationales et des paradis fiscaux, alors même alors que les besoins de financement pour répondre à l’urgence sont énormes et que de nombreuses multinationales ont réalisé des bénéfices exceptionnels durant la crise.»

     

    « Le deuxième problème de cet accord c’est qu’il devrait essentiellement servir les intérêts des pays riches puisque les recettes taxées iraient dans les pays où les entreprises ont leur siège social, alors que ce sont les pays en développement qui sont les principales victimes des montages d’évasion fiscale.

    Les pays du G7 ne peuvent pas s’attendre à ce que la majorité des autres pays se contentent des miettes de leur accord ».

     

    Contact presse :

    Pauline Leclère pleclere@oxfamfrance.org

    Notes aux rédactions :

    Les pays en développement sont privés chaque année d’au moins 100 milliards de dollars du fait de l’évasion fiscale des multinationales.

     

    L’ICRICT, une commission composée d’experts indépendants, de chercheurs et de représentants de la société civile, appelle à un taux minimum effectif mondial sur les multinationales de 25%.

     

    En mai 2019, le Cadre Inclusif de l’OCDE travaillant sur le plan BEPS (Base Erosion Profit Shfiting) a lancé, sous l’égide du G20, un nouveau round de négociation sur la réforme de la fiscalité des multinationales à l’ère du numérique.

    Près de 140 pays participent aux négociations.

    Ce round de négociation comprend deux trains de réforme organisées autour de deux piliers : le premier pilier traite de la distribution des droits à taxer (et notamment de la possibilité de taxer les entreprises du numérique) et le second pilier de la mise en place d’un taux minimum effectif pour les multinationales.

    Le G20 doit trouver un accord politique sur les deux piliers d’ici juillet 2021.

     

    Les pays en développement, dont les recettes fiscales sont largement plus dépendantes de l’impôt sur les sociétés, ont présenté plusieurs propositions dans le cadre des négociations pour assurer un accord tenant compte de leurs intérêts.

    Il y a quelques semaines, le Forum des administrations fiscales africaines (ATAF), représentant 38 Etats africains, soumettait une nouvelle proposition sur la distribution des droits à taxer.

    Le G24, représentant des dizaines de pays en développement, a également soumis plusieurs propositions de réformes pour un système fiscal plus juste.


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  • Faire le ménage dans les paradis fiscaux...

    Henri Sterdyniak, économiste à l'OFCE et membre des Économistes atterrés.

    Impôt mondial minimal sur les sociétés : "Cela lance le ménage contre les paradis fiscaux", selon l'économiste Henri Sterdyniak

    "L'intérêt pour la France, c'est avant tout d'éviter que les multinationales installées en France ne transfèrent des fonds vers des pays à fiscalité plus satisfaisante", estime sur franceinfo l'économiste.

    France Info >>>>>


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  • Nouveau pas vers un impôt minimum mondial

    pour les multinationales

     

    Les ministres des finances du G7, réunis à Londres ces deux derniers jours, ont préparé le terrain à un accord historique des chefs d’État la semaine prochaine.

     

    Un impôt minimal mondial a franchi un nouveau cap hier lors du G7 Finances qui s’est déroulé à Londres.

    Les « grands argentiers », qui se rencontraient en personne pour la première fois depuis le début de la pandémie, ont balisé le terrain pour une décision lors du G7 qui se tiendra du 11 au 13 juin qui, elle-même, devrait influencer le prochain G20 des ministres des Finances en juillet à Venise, avant une validation par les pays de l’OCDE.

    La route est donc encore longue, d’autant qu’il faudra affronter les récalcitrants qui profitent du système fiscal actuel (au premier rang, desquels l’Irlande ici appuyée par Chypre et la Hongrie) et négocier les détails dans lesquels sont parfois noyées de généreuses réformes.

    Mais, le processus – qualifié d’« historique » par le Chancelier de l’Échiquier, Rishi Sunak - a été engagé.

    Pour le Prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz, le tournant pris «  est à la fiscalité ce que l’accord de Paris est pour le changement climatique ».

     

    Un taux minimal d’au moins 15 %

    Le consensus semble avoir régné entre tous les participants, effet notamment du changement d’administration à Washington.

    Donald Trump ne voulait rien entendre en matière d’harmonisation fiscale internationale.

    Joe Biden en a fait l’une de ses priorités, en lien avec l’augmentation de l’impôt sur les sociétés dans son propre pays (de 21 à 28 %, objectif initial sur lequel il pourrait revenir) ainsi que pour les revenus les plus élevés.

    Le vocabulaire a changé.

    Il s’agit désormais de ne plus permettre les « stratégies d’évitement de l’impôt » des multinationales.

     

    À titre d’exemple, le quotidien britannique The Guardian citait dans son édition de jeudi 3 juin le cas de la filiale irlandaise de Microsoft qui n’a payé aucun impôt sur les sociétés, malgré 315 milliards de dollars de bénéfices, l’an dernier car elle est enregistrée aux Bermudes.

    Si un accord est trouvé entre les grandes puissances économiques, la firme fondée par Bill Gates, comme toutes les autres multinationales, paiera plus d’impôts, mais pas forcément autant que ne le souhaitait l’administration Biden qui avait, dans un premier temps, proposé un taux de 21 % avant d’en rabattre (15 %) afin de convaincre les récalcitrants.

     

    Le communiqué final du G7 finances fait état d’un objectif « d’au moins 15 %. » un taux qui resterait bien inférieur à celui pratiqué pour les entreprises dans la plupart des pays.

    Quelles seront les entreprises concernées ?

    Seulement les GAFAM ou un champ élargi de grandes entreprises ?

    Selon le périmètre choisi, le surplus de recettes pour les États concernés peut varier de plusieurs dizaines de milliards de dollars.

    Ce sera aux chefs d’État de trancher la semaine prochaine lors d’un G7 décisif.


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