• Deux personnes seraient décédées à La Réunion

    à cause du dysfonctionnement des numéros d'urgence

    France Info >>>>> La Réunion 1ère


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  • États généraux de la justice :

    "On débat sur du vent, sur des impressions",

    se méfie la présidente du Syndicat de la magistrature

    Katia Dubreuil s'étonne du calendrier choisi, "un an avant la fin de la mandature et alors qu'il y a eu deux réformes de la justice".

    France Info >>>>


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  • Évasion fiscale et taxation des super profiteurs...

     

    "Et la Macronie qui nous disait

    que "l'évasion fiscale"

    ça n'existait pas..."

     

    Un petit exemple ?

    256 milliards de bénéfices et zéro euro versé au fisc.

    C’est le bilan enviable d’une filiale irlandaise de Microsoft immatriculée aux Bermudes avec un seul salarié (son directeur).

    Cela représente les trois quarts du budget national irlandais…

    Voilà qui donne du grain à moudre aux partisans de cette taxe !

    Pour les détails, c'est sur le site du Guardian

    (c'est en anglais, I know).

    Impôt minimal mondial sur les sociétés :

    "Un accord historique est possible" dès ce samedi matin, assure Bruno Le Maire au G7 Finances

    La taxation à 15%, proposée par les États-Unis, doit être "un point de départ et pas un point d'arrivée", a déclaré à franceinfo le ministre de l'Économie et des Finances.

    France Info >>>>>

    Les pays du G7 s'accordent sur un impôt sur les sociétés "d'au moins 15%", la France salue une étape "historique"

    Pour Bruno Le Maire, la France a obtenu "gain de cause" dans son combat pour une "juste taxation des géants du digital".

    France Info >>>>>

     

    Impôt mondial minimal sur les sociétés : "Le dumping fiscal prend fin avec cet accord", estime le ministre de l'Economie Bruno Le Maire

    Les pays du G7 s'accordent sur un impôt sur les sociétés "d'au moins 15%", la France salue une étape "historique".

    France Info >>>>>


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  • Corpsus électoralus...

     

    Au hasard d'une "Brève France Info" ...

    #REGIONALES

    On l'oublierait presque, mais dans deux semaines, il y a le premier tour des élections régionales.

    Le Parisien s'est interrogé sur le vote des classes populaires, sur lequel pas mal d'idées reçues circulent.

    "On a trop tendance à dire que les bataillons des classes populaires sont passés du vote de gauche au vote FN, explique au journal Stéphane Zumsteeg, directeur du département Politique-Opinion d’Ipsos.

    C’est vrai que le RN y est plus fort que la moyenne nationale.

    Mais c’est moins dû à un abandon

    de la part des électeurs des années 1980,

    aujourd’hui retraités,

    qu’au renouvellement de génération.

    En clair, les nouvelles classes populaires,

    qui n’ont pas ce passé politisé et syndiqué de leurs aînés,

    se tournent vers ce vote."

     

    Ben ouai quoi...

    500.000 décès par an

    800.000 naissances...

    donc 800.000 citoyens qui atteignent chaque année leurs 18 ans...

    il y a renouvellement du parc

    des inscrits sur les listes électorales

    et en plus il parait que plus on devient vieux, plus on devient c..

    Bon j'ai même l'impression

    que ça commence de plus en plus jeune...

    YeD !


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  • Regards
     
    Second tour de la législative partielle dans Paris XXè,
    ce dimanche :
    Libération et Regards avaient proposé un débat
    entre les deux finalistes Lamiaela (PS) et Simonnet (LFI).
     
    La candidate socialiste Lamiaela a décliné l’invitation. #circo7515
     

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  • Communiqué CGT Orange

    Panne concernant les numéros de téléphone d'Urgence,

    15 ,17, 18, 112.

     

    Communiqué Sud


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  • Télécoms.

    Chez Orange,

    la libéralisation des numéros d’urgence

    au banc des accusés

     

     

    Si l’incident gravissime de l’accès aux numéros d’urgence interroge en interne, il n’est pourtant pas un cas isolé.

    « La déréglementation et la financiarisation du secteur sont à l’origine de ces problèmes », résume la CGT.

     
     
    Cette histoire est un trauma pour la boîte.
     

    « Cette histoire est un trauma pour la boîte. Le malaise interne est extrêmement fort », confie d’emblée Sébastien Crozier. Certes, une enquête interne, ouverte chez Orange, tente de déterminer les causes exactes de la panne géante qui a affecté dramatiquement l’accès aux numéros d’urgence, mais pour le président de la CFE-CGC chez l’opérateur il est désormais urgent de « repenser tout le modèle et de comprendre, enfin, que les télécommunications sont un service vital pour la nation que l’on doit protéger de la logique de marché. »

    Car si la gravité de l’incident justifie l’ampleur particulière qu’il a prise, ce type de panne n’est pas une exception, et « fait suite à une recrudescence d’incidents plus localisés mais de même type », rappelle la CGT qui cite en exemple l’Oise, la Haute-Savoie ou encore Narbonne où des événements similaires « ont récemment touché les services d’urgence ». Et pour le syndicat, « la multiplicité de ces situations ne peut pas être due à des erreurs humaines », mais révèle bien « une politique industrielle défaillante ». Ouverture à la concurrence, explosions de la mise en sous-traitance, sous-investissement chronique, plans massifs d’économies et de suppressions de postes, pertes de savoir faire, rallongement des délais d’intervention…, « la déréglementation et la financiarisation de notre secteur d’activité sont à l’origine de ces problèmes », affirme le syndicat.

     

    Perte de compétences

     

    En clair, la stratégie du groupe piloté par Stéphane Richard est clairement mise en cause par les représentants des salariés. La direction « a perdu depuis longtemps le sens du service public », déplore ainsi SUD-PTT. « Orange a fait le choix irresponsable et coupable de perdre la maîtrise de ses résultats, de ses processus et de ses compétences avec des dispositifs de contrôle de la qualité largement inopérants », poursuit le syndicat qui rappelle que « 70 % des emplois de techniciens n’ont pas été remplacés en 10 ans et (que) la chaîne technique d’Orange n’intervient quasiment plus ».

    Mais il est un autre acteur majeur dont la stratégie mortifère est à mettre à l’index, soulignent les syndicats : l’État. Car si cette panne catastrophique résulte de la conjugaison de plusieurs facteurs technologiques et organisationnels, la libéralisation du secteur orchestré par les politiques publiques depuis des années a répondu à la question centrale de l’accès aux numéros d’urgence par l’absurde. « Ces numéros ont été attribués à Orange par appels d’offres avec un cahier des charges édicté directement par le ministère de l’Économie », rappelle Sébastien Crozier. Un système par essence inopérant : « La durée de l’appel d’offres court sur trois ans. Or, le moindre investissement qui permettrait d’améliorer le réseau et l’infrastructure est par définition bien supérieur à la durée de l’appel d’offres. Quel intérêt alors, un opérateur a-t-il d’investir ? », interroge, perplexe, le syndicaliste. À l’évidence, la complexité du système – qui doit permettre un accès rapide et sécurisé à la fois à la santé, la police, les pompiers -, la multiplication des opérateurs intervenants et le caractère vital du service, imposent un changement de braquet radical. « Force est de constater que la privatisation du secteur est un échec », en conclut pourtant la CGT qui milite pour que soit mise sur la table « la question de la reconquête d’un service public des télécommunications ». Mais pas seulement. « Il faut un responsable interministériel qui ait la responsabilité de ces numéros d’urgence », plaide la CFE-CGC : « Aucun opérateur, même public, ne devrait avoir à en assumer la charge ».

     

    Retour de la maîtrise publique

     

    Un retour de la maîtrise publique d’autant plus indispensable que « cette panne doit aussi interroger sur les procédures d’exploitation d’autres réseaux stratégiques, comme celle des centrales nucléaires ou des réseaux de transport », insiste SUD-PTT. D’autant plus indispensable aussi que ces incidents risquent de se multiplier. « À chaque fois qu’il y a des intempéries, une tempête, que les poteaux électriques sont arrachés, que les centraux sont inondés, à chaque fois que du fait de la concurrence, n’importe qui intervient sur les armoires électriques sans forcément savoir le faire… des centaines de personnes n’ont plus accès au téléphone et donc aux numéros d’urgence », souligne Sébastien Crozier. Pour le syndicaliste, la réflexion doit donc se porter bien au-delà de la seule affaire de la panne survenue chez Orange. « Il faut repenser tout ce système, mettre en place des plans d’urgence car on sait aussi que pendant le covid, l’accès aux numéros d’urgence a failli planter des tas de fois et que si un attentat survient, le système ne résistera pas… »


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  • Panne massive des numéros d'urgence

    ce que l'on sait des morts signalées

    en lien avec les dysfonctionnements chez Orange

    Les numéros 15 (Samu), 17 (police), 18 (pompiers) et 112 (numéro européen unique) ont été inaccessibles ou très difficilement joignables dans l'ensemble de la France mercredi à partir de la fin d'après-midi. Des perturbations ont persisté le lendemain.

    France Info >>>>>

     

    Télécoms. Chez Orange,

    la libéralisation des numéros d’urgence au banc des accusés

    Vendredi 4 Juin 2021
    Marion d'Allard

    Si l’incident gravissime de l’accès aux numéros d’urgence interroge en interne, il n’est pourtant pas un cas isolé. « La déréglementation et la financiarisation du secteur sont à l’origine de ces problèmes », résume la CGT.

    L'Humanité >>>>>


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  • Le 5 juin 2013, Clément Méric,

    étudiant de 18 ans et militant antifasciste

    était tué 

    par deux militants d'extrême-droite

     

    Le 5 juin 2013, Clément Méric

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    5 juin 2021

    Une manifestation antifasciste a débuté à Paris

    en mémoire de Clément Méric.

    "8 ans après,

    Clément vit dans nos luttes,

    combattons le fascisme"

    Un millier de personnes ont défilé samedi 5 juin à Paris

    à la mémoire du militant antifasciste Clément Méric,

    tué en 2013 à la suite d'une agression

    de militants d'extrême-droite

    France Info >>>>>

    Twitter ben Barnier France Info >>>>>

    Twitter marcel >>>>>

    Cerveaux non disponibles >>>>>Twitter

    #ClémentMéric >>>>>

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    JeF Pellissier
     
    #paris: beaucoup de monde à la manif #antifa en mémoire de #ClementMeric!
    8 ans après #NiOublIniPardon On est là
    et nous serons à la Marche #pournoslibertes le #12juin!
     

     

    Manifestation en hommage à Clément Meric ce samedi à Paris.
    Un cortège jeune, compact, offensif, qui s'est étoffé pour atteindre 2.500 participantEs.
    Bonne présence de Solidaires, dont SUD étudiants dont Clément était membre, la mouvance autonome, les antifa dont le petit groupe Jeune Garde (qui a repris les 3 flèches du Front de fer- la Eiserne Front), la CNT, en fin de cortège des groupes de l'UCL et du NPA.
    Sinon quelques drapeaux de l'UD CGT Paris et de l'UNEF, 5 camarades d'Ensemble !  avec un drapeau ...

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    Mort de Clément Méric : deux ex-skinheads condamnés à 8 et 5 ans de prison en appel

    Les peines prononcées sont moins lourdes qu'en première instance.

    France Info >>>>>


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  • Éborgné par un tir de policier à Paris,

    un gilet jaune de Valenciennes

    perçoit 30 000 euros d'indemnisation provisoire

    18 mois après avoir perdu son œil gauche suite à un tir de projectile lors d’une manifestation des gilets jaunes à Paris, Manuel Coisne a reçu 30 000 euros d’indemnisation provisoire. Une première victoire pour lui, qui souhaite surtout voir le policier auteur du tir condamné.

    France Info France 3 >>>>>

     

    Le Monde enquête vidéo >>>>> décembre 2019/mars 2021


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