• Le philosophe Edgar Morin fête ses 100 ans

    Nous n'avons pas "la conscience lucide que nous marchons vers l'abîme", alerte le philosophe Edgar Morin, qui fête ses 100 ans

    Dans l'entretien qu'il a accordé à franceinfo, le sociologue et essayiste pointe les dérives identitaires et autoritaires de notre époque. 

    Mais au moment de tirer les "leçons d'une siècle de vie", il se défend de tout fatalisme :

    "Je demande aux jeunes de lutter contre toutes les forces de haine ou de mépris". 

     

    France Info >>>>>


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  • Affaire Mila : jugés coupables de harcèlement 2.0

    Jeudi 8 Juillet 2021
     

    Des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis ont été prononcées contre onze des treize prévenus, accusés d'avoir proféré des menaces de mort à l'encontre de la jeune femme sur les réseaux sociaux.

     

    Treize personnes s’étaient présentées à la barre du tribunal judiciaire de Paris en juin.

    Elles sont finalement onze à être condamnées, à des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis, mais aussi à des réparations de 2 500 euros pour le préjudice et les frais d’avocats de Mila.

     

    Un prévenu a bénéficié d’un vice de procédure, un autre a été relaxé faute de preuves.

    La victime, 18 ans aujourd’hui, avait subi plusieurs vagues de harcèlement sur les réseaux sociaux après la publication, en janvier puis novembre 2020, de deux vidéos dans lesquelles elle critiquait Allah et évoquait « (ses) doigts dans (le) trou du cul » du prophète. Menacée de mort par des hordes d’internautes, la jeune femme vit toujours sous protection policière et a dû quitter son lycée pour finir son année.

     

    Une décision qui fait jurisprudence

    « Les réseaux sociaux constituent un espace public (…) l’utilisateur doit s’attendre à ce que ses messages soient lus par un large public, y compris par la personne concernée », a tranché le tribunal.

    « Ce que vous ne faites pas dans la rue, ne le faites pas sur les réseaux sociaux », a insisté le président en rendant le jugement.

    La décision devrait faire jurisprudence, alors que les condamnations pour harcèlement, lorsqu’il est exercé sur Internet, restent rares.

    « Le tribunal retient une définition large du délit : tout message sur les réseaux et pas ceux simplement adressés à la victime », commente Richard Malka, avocat de Mila, habitué à défendre Charlie Hebdo, qui salue « une décision équilibrée ».

    De son côté, la jeune femme entend continuer à poursuivre ses harceleurs et « gagner à nouveau ».

     

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    Cyberharcèlement.

    Affaire Mila : le lynchage 2.0 au banc des accusés

     
    Mercredi 23 Juin 2021
    Paul Ricaud - L'Humanité >>>>>
     

    Treize personnes se sont retrouvées en début de semaine au tribunal de Paris pour avoir injurié, et parfois menacé de mort, la jeune femme qui avait posté sur les réseaux sociaux une vidéo critiquant l’islam.

     

    « Tu mérites de te faire égorger, sale pute » ; « Qu’elle crève » ; « Que quelqu’un lui broie le crâne, par pitié » ; « Mettez-lui un coup de machette » ; « Si je mets un coup de b*te à Mila, elle arrêtera de faire chier le monde, cette mal baisée. » 

    Ces expressions, plus violentes les unes que les autres, ont résonné pendant deux jours dans la salle d’audience de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, où étaient jugées treize personnes, lundi 21 et mardi 22 juin.

     

    Poursuivies pour harcèlement, ainsi que pour menaces de mort, pour huit d’entre elles, elles ont dû s’expliquer sur la vague de violences qui a déferlé sur Mila.

    La jeune femme, aujourd’hui âgée de 18 ans, subit depuis janvier 2020 des dizaines de milliers d’attaques sur les réseaux sociaux, après avoir produit un live Instagram dans lequel elle avait affirmé, en parlant de l’islam :  « Votre Dieu, je lui mets un doigt dans le cul. » 

    Les treize prévenus avaient publié ou envoyé des messages injurieux ou menaçants à l’adolescente, après une nouvelle vidéo en novembre dans laquelle elle avait réitéré ses propos sur la religion musulmane.

    Explications floues et maladroites

    À la barre, l’air penaud des trois femmes et dix hommes au casier judiciaire vierge contraste avec la brutalité des mots écrits sur les réseaux sociaux.

    Âgés de 18 à 29 ans, venus de toute la France, ils semblent surpris de se retrouver convoqués devant la justice pour quelques mots écrits sur le clavier de leur téléphone.

    Plusieurs fois pendant l’audience, ils peinent à expliquer le raisonnement qui les a traversés lorsqu’ils rédigeaient les insultes sexistes et homophobes adressées à Mila, mineure au moment des faits.

     

    « Je me suis mal exprimé et je suis désolé », regrette Enzo, un Savoyard de 22 ans qui se dit chrétien « mais pas forcément à fond dedans ».

    Après avoir insulté Mila dans son post Twitter en évoquant son égorgement, le jeune homme plaide la « connerie », commise alors qu’il était choqué par le blasphème, et lui adresse ses excuses.

    « J’ai réagi comme un gamin ! » clame Mehdi, 18 ans, qui plaide l’immaturité.

    « Le but, c’était de susciter une réaction de sa part », explique celui qui lui a envoyé par message quelques bribes d’un texte de rap : « Famas, Kalash, neuf millimètres, Uzi et P-38. Les armes sont payantes mais les rafales sont gratuites. »

     

     « C’était pour rigoler et avoir des abonnés »

    Chez les prévenus, les explications floues et maladroites s’enchaînent.

    « Je n’ai pas réfléchi, j’ai juste posté ça comme ça (…) Je n’ai pas écrit en pensant à mal », reconnaît Lorraine, l’étudiante qui proposait de broyer le crâne de Mila.

    « C’était pour rigoler et avoir des abonnés », admet Manfred, tout juste majeur.

    Lui s’était fait passer pour l’auteur de messages enjoignant Mila à se suicider,  « pour faire rire les gens ».

     

    Malgré la violence de leurs injures et de leurs menaces, ils sont plusieurs à avouer qu’ils ne se sont pas penchés en profondeur sur l’affaire Mila et ne se rendaient pas compte de l’ampleur du harcèlement qui la visait.

    « Il aurait fallu que je me renseigne un peu plus avant d’émettre des accusations », concède Pierre, 20 ans et athée.

    Interpellé chez ses parents au petit matin, quelques mois après avoir écrit qu’il fallait « faire sauter » Mila, celui-ci se défend d’avoir proféré des menaces et explique qu’il s’agissait de « faire suspendre » le compte Twitter de la victime.

     

    « Poser les règles de l'acceptable et de l'inacceptable »

    Les usages des réseaux sociaux, les « top tweets », « hashtags », pseudonymes et « expressions de jeunes » sont au cœur du procès, «historique » pour le président Michaël Humbert.

    Plusieurs fois, il interrompt les débats pour définir les termes utilisés et revenir sur le fonctionnement des plateformes.

    L’affaire se retrouve devant un tribunal grâce aux investigations du nouveau pôle contre la haine en ligne du parquet de Paris et aux signalements transmis via la plateforme Pharos, dispositifs censés contrer le développement du harcèlement en ligne.

     

    « C’est un phénomène de société que nous, les vieux, on aimerait comprendre », commente Michaël Humbert, lorsqu’il dirige l’audience.

    « Nous sommes en train de poser les règles de l’acceptable et de l’inacceptable », estime-t-il.

    Lors des débats, la question de la liberté d’expression revient régulièrement.

    Pour nombre de prévenus, il s’agissait, via les insultes, de répondre à Mila sur le même ton, excessif et grossier, que lorsqu’elle critiquait l’islam.

     

    Pour Mila, peu d'espoir de retrouver une vie normale

    « C’est le genre de personnes que je pourrais croiser dans la rue sans imaginer ça d’elles », constate Mila à la fin de la première journée, après avoir vu défiler ses harceleurs pendant une dizaine d’heures.

    Cheveux verts au carré et chemise blanche sur robe noire, suivie de près par les policiers assurant sa protection, la post-adolescente revient sur ses conditions de vie depuis un an et demi de polémique.

    Contrainte de quitter son lycée, de se confiner chez elle et de s’isoler, la jeune femme est toujours exposée sur les réseaux sociaux.

    «  Les menaces de mort ne s’arrêtent pas, je n’ai jamais un seul moment de tranquillité », explique celle qui a toujours refusé de se faire discrète sur Internet et de revenir sur ses propos.

     

    Pour elle, il existe très peu d’espoir de retrouver un jour une vie normale.

    « J’ai de plus en plus souvent l’impression d’avoir tout perdu. Ce qu’il me reste, c’est la justice », expose-t-elle solennellement.

    « On n’envisage pas l’avenir de Mila. Elle est lucide et elle voit elle-même qu’elle ne peut pas en avoir », confirme sa mère, qui se bat aujourd’hui pour collecter et rapporter à la police un maximum de messages de haine adressés à sa fille.

    Le procès coïncide avec la sortie de son livre Je suis le prix de votre liberté (Grasset), dans lequel elle revient sur le combat pour la liberté d’expression qu’elle se retrouve contrainte de mener, à la suite de l’emballement des réseaux sociaux et des médias, ainsi que sur le symbole qu’elle représente, malgré elle, pour certaines personnes.

     

    Richard Malka appelle la justice à apporter une réponse ferme

    Un emballement pointé du doigt par la défense, qui craint que les prévenus ne soient condamnés pour l’exemple.

    Comme lorsque l’avocat Juan Branco dénonce une « mise en scène du procès » alors que, pour lui, les treize prévenus ne sauraient être tenus pour responsables de l’ensemble du harcèlement de la jeune femme.

    Mais Mila est « ininstrumentalisable », selon les propres mots de son avocat, Richard Malka, habitué à défendre le droit au blasphème du journal satirique Charlie Hebdo depuis 1992.

    « Ils se sont tous réunis, ils avaient des pierres de tailles différentes, mais ils lui ont tous lancé une pierre, ils ont tous participé à son lynchage et à sa mort sociale », plaide-t-il.

    Et d’appeler la justice à apporter une réponse ferme à cette « lapidation numérique » et à déplacer la peur « du côté des prévenus et non du côté des victimes ».

     

    « La vie de Mila a basculé dans l’incertitude permanente et la crainte physique  ! » s’indigne le représentant du ministère public.

    Il a requis des peines de six mois avec sursis pour les coupables de harcèlement et de menaces de mort, et de trois mois pour ceux qui seront reconnus seulement de harcèlement.

    « Le traitement de l’affaire n’est pas terminé et il y aura d’autres audiences », précise le procureur.

    En octobre 2020, un homme de 23 ans avait déjà été condamné à trois ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis, pour des menaces de mort à l’encontre de Mila.

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    Affaire Mila :

    "Je me suis sentie soutenue en tant que victime",

    témoigne la jeune femme, "la justice a tapé là où il faut"

    France Info >>>>>

     


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  • Asie. La Corée du Nord menacée par la famine

    Jeudi 8 Juillet 2021
    Lina Sankari - L'Humanité >>>>>
     

    Les pénuries alimentaires et l’inflation pourraient entraîner une catastrophe dès le mois d’août.

    Une situation aggravée par le maintien des sanctions.

     

    Maintes fois, l’effondrement de la Corée du Nord a été prophétisé.

    Le retour de la famine agité.

    Sur ce dernier point, c’est cette fois Kim Jong-un qui tire la sonnette d’alarme en concordance avec l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations unies (FAO).

    Durant la 6e conférence des secrétaires de cellule du Parti des travailleurs en avril, le rapport de session décrivait un contexte «extrêmement difficile », mais toutefois incomparable à celui qui avait précédé la grande famine des années 1990 et son cortège de centaines de milliers de morts.

    Le dirigeant nord-coréen était moins nuancé :

    « Pour apporter le maximum de bien-être matériel et culturel à notre peuple, j’ai décidé que les organisations du parti à chaque niveau (…) effectueront la “marche ardue” la plus difficile. »

    En référence au repli en Sibérie de son grand-père Kim Il-sung et de son unité de guérilla face à l’occupant japonais dans les ­années 1930 et à la crise alimentaire des années 1990.

     

    Un manque de 860 000 tonnes faute d'importations suffisantes

    Régulièrement employée dans la presse nord-coréenne, l’expression fait surtout référence à l’esprit grâce auquel le peuple a surmonté l’adversité ; elle est beaucoup plus rare dans la bouche de Kim Jong-un.

    Aucun indicateur économique ne laisse présager par ailleurs une conjoncture économique digne d’il y a vingt-cinq ans.

     

    De son côté, la FAO alerte quant à la production de grains évaluée à 5,6 millions de tonnes cette année.

    En clair, il manque 1,1 million de tonnes pour nourrir la population.

    « Les importations commerciales officiellement prévues sont de 205 000 tonnes », poursuit le rapport, ce qui signifie une pénurie de l’ordre de 860 000 tonnes qui pourrait se faire sentir dès le mois d’août en l’absence d’importations suffisantes et d’aide alimentaire.

    Or, les sanctions internationales continuent de peser durement sur une population nord-coréenne qui avait déjà vu une série de typhons et d’inondations ravager les cultures l’an dernier.

     

    Une situation aggravée par la fermeture des frontières – et donc la suspension des échanges avec la Chine – afin de lutter contre la pandémie de Covid-19.

    Depuis le début de l’année, les prix du maïs et du riz ont grimpé en flèche.

    Le 17 juin, Kim Jong-un signait une commande spéciale pour libérer les stocks de riz de l’armée vendus à un cours inférieur, mais insuffisants pour couvrir les besoins, selon des données sud-­coréennes.

    En 2019, la Corée du Nord acceptait l’envoi de 800 000 tonnes de riz par la Chine.


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  • Espagne.

    Meurtre d’un jeune homosexuel

    au lendemain de la Marche des fiertés

     

    Jeudi 8 Juillet 2021
     

    L’Espagne est en deuil. Dans la nuit du 3 au 4 juillet, Samuel Luiz, aide-infirmier homosexuel de 24 ans, a été agressé à La Corogne, dans la région de la Galice. Passé à tabac, il est retrouvé inconscient et succombe à ses blessures après sa prise en charge par les secours. Son décès a suscité beaucoup d’émoi. Des milliers d’Espagnols ont répondu à l’appel des associations LGBT pour manifester lundi 5 juillet. À Madrid, Barcelone, La Corogne et dans le reste du pays, les manifestants ont rendu hommage à Samuel et ont demandé justice. La famille du jeune homme dénonce un crime homophobe. Le premier ministre, Pedro Sanchez, a déclaré sur Twitter : « Je suis persuadé que l’enquête de police trouvera bientôt les auteurs du meurtre de Samuel et fera toute la lumière sur les faits. C’est un acte sauvage et impitoyable. Les droits et les libertés ne reculeront pas. L’Espagne ne le tolérera pas. »


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  • [Jeudi 08 Juillet 2021

    Les Actualités Politiques ]

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  • La Lettre d'Ensemble !

    7 Juillet 2021

     


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  • Covid-19 :

    la Cnil valide l'envoi aux médecins

    de la liste de leurs patients non-vaccinés

    à certaines conditions

    La décision est justifiée par une "situation sanitaire exceptionnelle", explique la Commission nationale de l'informatique et des libertés dans un avis publié mercredi.

    France Info >>>>>


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  • "La levée des brevets (...). C’est ça le gros défi"
     
    49 % des habitants de l’Union européenne (UE)
    ont reçu au moins une dose,
     
    contre 2 % de la population africaine seulement.
     
    Christine Katlama infectiologue à la Pitié-Salpêtrière

    "On doit pouvoir sur la planète, s’organiser pour propulser cette vaccination qui empêchera que des variants de plus en plus contagieux et graves se développent."

    #COVID_19 Christine Katlama défend avec un collectif de chercheurs, dans une tribune publiée par Le Monde, un droit universel de santé. "La levée des brevets (...). C’est ça le gros défi", explique sur franceinfo l'infectiologue


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  • Finistère

    Régionales et départementales

    juin 2021

    Abstentions - participation

    - Blancs et Nuls

    - votes exprimés

     

    Quelques données...

     

     

    En Finistère Départementales

     

    sur 27 cantons

     

    La participation à un niveaux très bas (33%)

    diminue entre les deux tours dans 3 cantons

    et augmente très légèrement dans 24 cantons

     

    Le nombre de votes Blancs et Nuls augmente dans les 27 cantons

     

    Le nombre de votes valablement exprimés diminue dans les 27 cantons...

     

    Malgré une légère augmentation de la participation

    au second tour

    ... le nombre de "votes valablement exprimés" diminue...

     

    (Au second tour il n'y avait que des duels dans les 27 cantons)

     

     

     

     

     

    En Finistère aux régionales

     

    Le nombre d'abstentions diminuent entre les deux tours  -1,10%

    1er tour    64,49%    ( participation : 35,51 % )

    2ème tour 63,39 %   ( participation : 36,61 % )

     

    Le nombre de bulletin Blancs et nuls diminue de 0,13%

    1,53 % au premier tour

    1,40% au second

    (par rapport au nombre d'inscrits)

     

     

    Le nombre de votes valablement exprimés augmentent  de 1,23%

    33,98 % au premier tour

    35,21 % au second

    (par rapport au nombre d'inscrits)

     

    Il faudrait deux indicateurs supplémentaires :

    le nombre d'électeurs ayant voté au 1er tour mais s'étant abstenu au second : estimation - 3% des électeurs inscrits

    le nombre d'électeurs s'étant abstenu au premier tour et ayant voté au second...: estimation + 4,2 % des électeurs inscrits

     

     

    A noter qu'au second tour il y avait 5 listes

    13 listes au premier tour

    les votants du second tour avaient donc "un large choix"

    (PS-PCF-Ecolo / EELV / LR /Macroniste / FN)

    et en plus dans le cadre d'une proportionnelle...

    et pourtant seulement 36,61 % de participation

     

     

     


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  • Chine Europe

    Commentaire : faire avancer les relations sino-européennes par le consensus et la coopération

    Le président chinois Xi Jinping a tenu lundi, à Beijing, un sommet virtuel avec le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel. Il s'agit de la deuxième visioconférence entre les dirigeants de ces trois pays dans l'intervalle de trois mois. Cette rencontre montre sans aucun doute l'importance que la Chine et l'Europe accordent à leurs relations. Elle est aussi l'expression de la volonté des deux parties de renforcer le dialogue et la coopération.

    CGTN >>>>> Média Chinois


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