• Election présidentielle :

    qui sont les quatre candidats à la primaire écologiste ?

    Deux hommes et deux femmes se présentent à la primaire écologiste qui aura lieu en septembre : Delphine Batho, Yannick Jadot, Eric Piolle et Sandrine Rousseau.

    France Info >>>>>


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  • Vaccination universelle ou vaccination obligatoire ?

    Vaccination du personnel hospitalier :

    à Saint-Etienne,

    le CHU tente de "convaincre" les hésitants par la pédagogie

    Avec la menace du variant Delta, la question de l'obligation vaccinale pour les soignants est de nouveau posée. Les établissements de santé multiplient les efforts pour améliorer le taux de couverture, mais les hésitations restent nombreuses.

    France Info >>>>>


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  • Rouge ViF !

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  • Macron : ça rame, ça rame...

    à coups d'obligations et d'interdictions

    au pays des Amendes ...

     

    Covid-19 : face au risque de 4e vague, l'Elysée envisage de rendre le pass sanitaire obligatoire pour les restaurants et cinémas

    Emmanuel Macon va s'adresser aux Français ce lundi soir. Selon les informations de franceinfo, il pourrait annoncer la vaccination obligatoire pour les soignants et l'extension du pass sanitaire. Le chef de l'Etat va aussi évoquer la relance économique. 

    France Info >>>>>


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  • Cuba... juillet 2021

     Fil ouvert le 12 juillet 2021

     

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    Mardi 13 juillet 2021

    Cuba : ce que l'on sait des manifestations inédites contre le gouvernement

    Des dizaines de manifestations antigouvernementales ont émaillé le pays dimanche. Le président Miguel Diaz-Canel a appelé ses partisans à répliquer dans la rue.

    France Info >>>>>

     

    Cuba.

    Dans la Grande Île asphyxiée par le blocus,

    la colère déborde

     

    Mardi 13 Juillet 2021
     

    Des manifestants sont descendus dans les rues de plusieurs dizaines de villes.

    Les sanctions américaines, la pandémie de Covid-19 et la crise économique se conjuguent pour le pire, dans un climat de tension guetté par Washington.

     

    C’est une secousse sérieuse.

    Sans doute la plus forte depuis le Maleconazo du 5 août 1994, lorsque les dures restrictions économiques de la « période spéciale », dans une île sous blocus états-unien, ayant perdu ses appuis soviétiques avec la chute du bloc de l’Est, avaient donné lieu, à La Havane, à de violentes émeutes.

    Dimanche, des marches ont réuni, aux cris de « Liberté ! », des milliers de Cubains excédés par les pénuries d’aliments, de médicaments, par les coupures d’électricité.

    Parti de San Antonio de los Baños, une petite ville à 25 km au sud-ouest de La Havane, où le premier rassemblement a été signalé, cet élan a gagné plusieurs dizaines d’autres villes, dont la capitale, au rythme des images répercutées sur les réseaux sociaux, de plus en plus fréquentés depuis l’arrivée de l’Internet mobile, fin 2018.

     

    « Nous avons faim ! » 

    Conséquence logique de la pire crise économique depuis trente ans : la crise sanitaire, la mise à l’arrêt du secteur touristique et le brutal durcissement des sanctions américaines par l’administration Trump se sont combinés pour le pire, entraînant, ces derniers mois, une dégradation terrible des conditions de vie de la population.

    « Nous avons faim ! » scandaient les protestataires, en défiant d’imposants déploiements militaires et policiers.

    Les réformes économiques entrées en ­vigueur au début de l’année, dans le contexte le plus défavorable qui soit, avec une ­récession de 11 % en 2020, n’ont pas eu les effets escomptés.

    Au contraire, la fusion au début de l’année du peso (CUP) et du peso convertible (CUC), aligné sur le dollar, a entraîné une sévère spirale inflationniste.

    Les salaires des fonctionnaires et les retraites ont bien été multipliés par cinq, mais ces hausses, qui ne concernent que les trois cinquièmes de la population, ont vite été rattrapées par l’hyperinflation, malgré l’instauration d’un contrôle des prix.

     

    L’industrie du tourisme, l’une des principales pourvoyeuses de devises et d’emplois, qui représentait, en 2019, près de 10 % du PIB, s’est, elle, effondrée avec la pandémie de Covid-19 : Cuba n’a accueilli, en 2020, que 1 million de visiteurs étrangers, contre plus de 4 millions l’année précédente.

    Autre ressource vitale qui s’est réduite comme peau de chagrin : les transferts de fonds des Cubains établis à l’étranger, qui ont diminué de plus de 50 % au cours de l’année 2020.

    Une pénurie de devises propre à asphyxier un pays qui importait, en 2019, près de 70 % de ses denrées alimentaires.

     

    Le cynisme de Washington

    Dans ces circonstances, le marché noir prospère, mais à des prix inaccessibles pour l’écrasante majorité des Cubains, et, surtout, l’île est plus vulnérable que jamais aux effets de la guerre économique sans merci que lui livre Washington avec le blocus décrété en 1962, dont la portée extraterritoriale interdit le développement des échanges économiques et commerciaux avec des pays tiers.

    Au début de la pan­démie, la haute commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, avait mis en garde contre les effets humanitaires désastreux de ces sanctions, en appelant à les « assouplir » ou à les « suspendre ».

    Non seulement son appel n’a pas été entendu, mais Donald Trump les a au contraire renforcées, avec un arsenal de 243 nouvelles mesures et l’inscription de Cuba sur la liste des pays que les États-Unis tiennent pour « terroristes ».

     

    Avec cette politique d’étranglement aux conséquences criminelles, l’objectif stratégique de Washington est clair : pousser la population à bout, l’encourager à se ­retourner contre le gouvernement cubain pour le faire tomber.

    Sur ce terrain, l’admi­nistration Biden n’a pas manifesté de ­volonté de rupture.

    Dans un message adressé, le 20 mai dernier, à « tous ceux qui construisent un Cuba meilleur », le secrétaire d’État Antony J. Blinken exaltait la « quête de liberté, de prospérité et d’un avenir plus digne » appuyée selon lui par les États-Unis.

    Lesquels plaident désormais, avec un cynisme assumé, pour un « corridor humanitaire », Joe Biden imputant même « les souffrances économiques» des Cubains au « régime autoritaire » de La Havane.

    Réponse de Miguel Diaz-Canel, dimanche, à la télévision : « Nous n’admettrons pas que de quelconques contre-révolutionnaires, des mercenaires vendus au gouvernement des États-Unis (…) provoquent la déstabilisation dans notre peuple. »

    Le président cubain a solennellement appelé «  tous les révolutionnaires du pays, tous les communistes, à descendre partout dans la rue pour déjouer cette provocation » annonçant à ses yeux un « plan d’annexion ».

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    Le coût des sanctions

    Au total, La Havane estime à 9,157 milliards de dollars le préjudice causé par le blocus à son économie, entre avril 2019 et décembre 2020, soit 436 millions par mois en moyenne.

    Au cours de ces cinq dernières années, ces sanctions auraient coûté à l’économie cubaine plus de 17 milliards de dollars.

     

     

     

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    Lundi 12 juillet 2021

     

    RT France Vidéo >>>>>

     

    Cuba : la colère éclate dans les rues, les partisans du régime appelés à répliquer

    L’île est secouée par des manifestations inédites contre le gouvernement. Le président Miguel Diaz-Canel a demandé à ses partisans de répliquer dans la rue.

    Le Monde avec AFP >>>>>

     

    Cuba : des milliers de manifestants protestent contre le gouvernement

    Après que des milliers de Cubains ont investi la rue dimanche pour protester contre le gouvernement, le président Miguel Diaz-Canel a accusé "la mafia cubano-américaine" d'être à l'origine de ce soulèvement populaire.

    France Info >>>>>


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  • Ensemble ! Autogestion et Émancipation

     

    Autogestion et Démocratie,

    Force Nouvelle.

    Saison 2

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  • [Lundi 12 Juillet 2021

    Les Actualités Politiques ]

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  • Fiscalité.

    Impôt mondial :

    le diable serait dans les détails

     

    Lundi 12 Juillet 2021
     

    Les négociations à l’OCDE s’annoncent très serrées après le feu vert donné samedi par les ministres des Finances du G20 à l’impôt mondial de 15 % et à la taxation des multinationales.

     

    D’habitude avares en tout, les grands argentiers du G20 ont été prodigues en superlatifs.

    « Nous sommes parvenus à un accord historique sur une architecture fiscale internationale plus stable et juste », ont-ils annoncé samedi en clôture de leur sommet à Venise.

    Les ministres des Finances et des gouverneurs de banque centrale des vingt plus grandes puissances économiques mondiales ont repris à leur compte l’accord travaillé au sein de l’OCDE et appuyé par le G7 début juin.

    À défaut de l’ONU, non saisie sur la question, c’est à ce club des riches qu’est revenu l’honneur de poser la première pierre de cette construction fiscale à deux « piliers ».

    Le premier vise à taxer les plus grandes multinationales qui échappent à l’impôt à coups d’optimisations fiscales.

    Le second porte sur une imposition minimale mondiale de 15 % sur les bénéfices des entreprises afin de réduire le dumping fiscal entre pays ainsi que le nombre de paradis fiscaux.

    Si les principes sont posés, les détails restent à régler.

    Or, les discussions qui vont reprendre à l’OCDE jusqu’en octobre pourraient réduire cette maison commune fiscale aux ambitions déjà bien réduites en une baraque ouverte à toutes les exceptions.

     

    1. Un impôt mondial façonemmental

    Bruno Le Maire a salué samedi une « révolution fiscale » pour laquelle « il n’y a plus de retour en arrière possible ».

    Le ministre de l’Économie peut se montrer enjoué.

    Lui qui avait rué dans les brancards lorsque à l’OCDE un taux minimal d’impôt sur les sociétés de 25 % était discuté, puis bataillé contre les 21 % proposés il y a tout juste un mois par les États-Unis se contente fort bien des 15 % planchers entérinés par le G20.

    Un taux de 25 % aurait pourtant rapporté jusqu’à 32 milliards d’euros dans les caisses du fisc français chaque année ou 170 milliards d’euros à l’Europe, selon l’Observatoire européen de la fiscalité.

    Mais le gouvernement suit à la lettre son document de positionnement sur la transparence fiscale adressé à l’Union européenne, que le Medef avait rédigé.

     

    Si la France n’en a pas l’ambition, rien n’empêche d’autres pays de fixer un impôt sur les bénéfices des sociétés au-delà de ces 15 %.

    Mais alors bien plus haut.

    « Après plusieurs décennies de baisse des taux nominaux de l’impôt sur les sociétés, la convergence semble désormais se faire autour de 25 % », notait le Conseil des prélèvements obligatoires en fin de semaine dernière.

    Les États-Unis passeront à 28 %, les Britanniques à 25 %.

    L’Italie est à 24 %.

    L’Allemagne n’est pas loin en comptant son imposition locale.

    La France, qui vise les 25 % en 2022, ne dépareillera pas.

     

    Ces 15 % n’effraient pas non plus les multinationales.

    Moins de 10 000 grandes entreprises seraient concernées : celles dont le chiffre d’affaires annuel dépasse 750 millions d’euros.

    Elles pourront sans doute compter sur le club de paradis fiscaux, mené par l’Irlande, rassemblant notamment la Hongrie, l’Estonie, la Barbade pour négocier quelques exemptions afin de préserver leur « attractivité fiscale ».

    Voilà pourquoi l’OCDE table sur 150 milliards de dollars de recettes fiscales annuelles par an.

    Que ça. Mais déjà ça.

     

    2. Les multinationales tremblent peu

    La taxation des multinationales telle que prévue dans le « pilier un » ne fait pas peur non plus aux entreprises les plus riches.

    Dans l’état actuel des discussions, seules celles dont le chiffre d’affaires dépasse les 20 milliards de dollars et qui affichent une rentabilité supérieure à 10 % sont visées.

    20 % et 30 % de leurs « surprofits » pourraient être taxés.

    Mais à ce compte, Amazon échapperait au mécanisme du fait de son agilité fiscale.

    Quant aux entreprises financières et extractives, elles ont bon espoir d’être exemptées.

    Parties à cent, les multinationales visées pour payer leurs impôts dans le pays de leurs sièges sociaux et de leurs activités pourraient se retrouver à 70.

     

    Par ailleurs, comme le note Quentin Parrinello, d’Oxfam France, « des exemptions s’organisent déjà.

    Trois lignes dans le texte de l’OCDE indiquent que si vous disposez d’actifs, comme une usine, ou de salariés dans un pays, vous aurez droit à 5 % de déduction fiscale dans les cinq premières années de mise en place de l’accord, puis de 7,5 %.

    On ne parle plus de trous dans le plancher des 15 %.

    Ce sont carrément des parties qui ont été sciées ! ».

     

    Les multinationales tremblent d’autant moins que celles s’estimant trop taxées pourraient saisir des tribunaux arbitraux.

    Face à leurs bataillons d’avocats, les gouvernements désargentés pèseraient peu dans ces juridictions privées.

     

    3.  Des mécanismes qui ne réduisent pas les inégalités

    Des pays en développement comme le Nigeria et le Kenya n’ont pour l’heure pas signé le texte de l’OCDE.

    C’est qu’ils ne profiteront globalement pas de ce surplus fiscal.

    40 % de la population mondiale la plus pauvre devra se partager, selon les projections de l’OCDE, 2,4 milliards d’euros à l’année, soit à peine un euro par citoyen, quand les huit États les plus riches récupéreront, eux, plus de 50 milliards.

    Or, ce sont les pays en développement qui souffrent le plus de l’évasion fiscale des multinationales.

     

    Pour tenter de faire passer la pilule, les ministres des Finances des 19 pays les plus riches et de l’Union européenne vont discuter d’une nouvelle émission de droits de tirage spéciaux (DTS) au profit des plus vulnérables.

     

    Derrière ce nom technique se cache la monnaie du Fonds monétaire international (FMI).

    Adossés aux grandes banques centrales, ces fonds soit servent de monnaie de réserve pour stabiliser la valeur de la monnaie intérieure, soit sont dépensés pour financer des investissements.

    Le G20 réfléchit ainsi à mobiliser un peu plus de 80 milliards d’euros en DTS, dès le mois d’août.

    Soit à peine une année de revenus de taxe sur les multinationales, dont les pays pauvres ne verront globalement pas la couleur.

     

    4. Les États-Unis donneront le la

    Une dernière incertitude demeure : l’application par les États des mesures une fois définies au sein de l’OCDE.

    La taxe sur les multinationales implique que les pays où les firmes ont leurs activités s’entendent avec ceux où ces mêmes firmes possèdent leurs sièges pour recouvrir les taxes dues.

    « Les modalités d’une telle coopération, qui pourraient faire l’objet d’une convention multilatérale, restent à fixer », prévient le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO).

    Quant à l’impôt mondial, il appartient à chaque pays de l’OCDE de le retranscrire.

    « Certains États – notamment ceux pratiquant les taux d’imposition les plus faibles – pourraient être tentés de transposer les règles de manière très restrictive », reprend le CPO.

     

    Les États-Unis, qui ont donné une impulsion décisive aux travaux de l’OCDE cet hiver, joueront là encore un rôle pivot.

    L’administration Biden n’a pas lâché son objectif d’affaiblir les Gafam.

    Le président états-unien a exhorté vendredi la juriste Lina Khan, pourfendeuse des géants du numérique à la tête de l’autorité américaine de la concurrence (FTC), de viser les activités anticoncurrentielles de ces firmes.

     

    Mais l’affaire s’annonce difficile au Parlement avec les républicains.

    Dans ce jeu de politique intérieure, les taxes Gafam, appliquées par exemple en France ou en projet en Europe, feront objet de monnaie d’échange.

    La secrétaire au Trésor Janet Yellen a appelé dimanche les Européens à reconsidérer ces taxes « discriminatoires à l’égard des entreprises américaines ».


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  • PCF Régionales et départementales... Bilan

     

     


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  • Mélenchon : Évaluer le tableau politique de 2022 (I)

    Sur son blog >>>>>

    Mélenchon :Évaluer le tableau politique de 2022 (II)

    Sur son blog >>>>>

     

    C’est la semaine qui concrétise l’erreur monstrueuse d’évaluation des résultats par les « instituts » de sondage à propos des élections régionales, avec l’élection des présidents de région qui clouent au mur du ridicule des devins de notre époque du type de l’IFOP qu’il ne faudrait plus appeler que « OPIF » pour rester dans la bonne humeur en dépit des dégâts provoqué par des publications d’anticipation de résultat qui ont pourtant pesé si lourd dans les votes de premier tour.

    Persévérant dans leur grossier mépris des faits, des médias nationaux claironnent que ce fut « le grand chelem des sortants » quand deux régions changent de couleur politique et que ce sont précisément dans notre sens comme en Guyane et à La Réunion.  

    Est-ce seulement un mépris pour l’outre-mer ou bien ne serait-ce pas encore une manifestation de l’extrême-droitisation du regard et des commentaires ?

    Toute cette comédie finira mal pour un système qui vit à ce niveau de déni du réel et de manipulation d’une opinion moins inerte qu’il le croit.

    Et pendant ce temps, le Chili forme son Assemblée Constituante, point d’orgue d’une révolution citoyenne commencée il a plus d’un an contre les tenants de la droite libérale et les comédiens du centre gauche.

    Suite >>>>>

     


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