• Voici les tutoriels des hôpitaux pour fabriquer soi-même un masque

    Pour venir en aide aux soignants ou pour se protéger soi-même, des tutoriels circulent sur internet permettant de fabriquer soi-même un masque de protection.
     

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  • La Chine s'est figée quelques minutes

    pour rendre hommage à ses morts du Covid-19

    Cet hommage coïncide avec l'équivalent chinois de la Toussaint, date à laquelle les Chinois vont fleurir les tombes de leurs proches. 

    France Info >>>>>


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  • ENQUÊTE FRANCE INFO.

    Comment la France a sacrifié sa principale usine de masques basée en Bretagne

    Alors que la France manque cruellement de masques face à l’épidémie de coronavirus, une entreprise française, installée en Bretagne, qui pouvait en fabriquer jusqu’à 200 millions par an, a fermé en 2018 après avoir été rachetée par un groupe américain.

    Qui est responsable de ce fiasco ? 

    La cellule investigation de Radio France a enquêté.

    France Info >>>>>


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  • Voici un article de la Tribune  sur la responsabilité de la haute administration de la santé dans l'imprévision de la pandémie actuelle.


    Tous ces gens sont enfermés dans leur idéologie qui agit sur eux comme une fausse conscience et les empêche d' analyser.

    Sans compter leur europếo-centrisme allié à une conception de la supériorité de l'Occident qui devait nous éviter la pandémie.


    Ceci devrait nous inciter à reprendre un débat sur les appareils D’État
    Bonne lecture



    Face au covid-19,

    les technocrates français pris au dépourvu

    Par Marc Endeweld  La Tribune

     

    Certaines interviews sont parfois très cruelles, après coup.

    C'est le cas de celle qu'Agnès Buzyn, alors candidate à la mairie de Paris, a donné le 3 mars aux « 4 Vérités » de France 2.

    Car ce matin-là, l'ancienne ministre de la santé explique :

    « J'ai préparé évidemment en tant que ministre l'arrivée de ce virus bien avant qu'il n'arrive en France en réalité, puisque nous avons, dès que l'épidémie a augmenté en Chine, travaillé à avoir des stocks de masques, faire des commandes, vérifier que les services de réanimation avaient le nombre de machines suffisantes. Tout cela a été préparé en amont. Le stade 3 est prêt ».

    Malheureusement, rien n'était prêt.

     

    Incapable de faire face

     

    La France, sixième puissance économique mondiale, a été incapable de faire face d'une manière raisonnable à cette pandémie mondiale.

    Faute de moyens, le confinement national a été décidé dans la précipitation quand le pouvoir s'est aperçu (un peu tard) que nos services de santé n'allaient pas pouvoir faire face à l'afflux de malades graves.

    C'est en réalité une solution prise par défaut, dans la plus totale impréparation et urgence.

    Éberlués, les Français n'ont pu que constater l'indigence de l'hôpital public, et l'incurie de L’État, à travers le manque cruel de masques, de tests, et de respirateurs.

    Il faut se rendre à l'évidence, depuis trente ans, la France est devenu à bas bruit « un pays sous-développé en matière de santé », comme l'a dénoncé le professeur Juvin, chef des urgences de l'hôpital Pompidou à Paris.

     

    Depuis le début du confinement, la colère gronde dans les hôpitaux, mais également dans chaque famille française.

    Face aux plaintes déposées pour mise en danger de la vie d'autrui, les ministres du gouvernement, comme les hauts fonctionnaires, sont tétanisés, multipliant les signaux contradictoires.

    Car bloquer et confiner l'ensemble d'un pays, et notamment sa capitale politique et économique  (Paris représente 30 % de la croissance française chaque année et centralise la plupart des réseaux de communication), n'est pas du même ordre que de mettre sous quarantaine une partie de la Chine.

    Certes, face à l'ampleur d'une telle crise, les tâtonnements sont compréhensibles, mais les mensonges sont inexcusables.

    Comme prétendre que le port d'un masque ne sert à rien, alors que George Gao, le directeur général du Centre chinois de contrôle et de préventions des maladies, a expliqué à Science que ne pas en porter était une « grave erreur ».

     

    Chaque responsable sort son parapluie

     

    Pour ne rien arranger, chaque responsable a tendance à sortir son parapluie.

    Concernant la pénurie de masques, les technocrates de la santé renvoient la responsabilité au SGDSN (Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité Nationale).

    Au sein de l'Etat, la faute est pourtant collective.

    L'actuel directeur général de la santé, Jérôme Salomon, n'était-il pas le conseiller en charge de la « sécurité sanitaire » des Français de la ministre socialiste Marisol Touraine ?

     

    Surtout, suite aux polémiques qui ont suivi l'épisode du H1N1 en 2009, L’État s'est peu à peu désarmé face une pandémie de grande ampleur.

    Pour la Cour des Comptes et Bercy, c'était alors toujours « trop cher ».

    Selon l'économiste Claude Le Pen, cette crise « a fait naître dans une partie de la haute administration de la santé le sentiment d'en avoir trop fait, d'avoir surestimé la crise et, finalement, d'avoir inutilement gaspillé des fonds publics au profit des laboratoires pharmaceutiques. L'Etat s'est ainsi convaincu qu'une réduction de la voilure était nécessaire ».  

     

    La santé vue dans une optique seulement comptable

     

    Durant dix ans, la santé des Français n'a été considérée que sous l'optique comptable, comme si le risque avait disparu !

    Ainsi, en plus de la liquidation des stocks de masques, l'Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (EPRUS), créé à l'origine par loi de 2007 sur la lutte contre les épidémies, portée alors par le ministre de la santé Xavier Bertrand, a vu ses crédits être rabotés avant d'être fondu dans « Santé publique France » bien impuissant face au Covid-19, faute de moyens.

    Dans la plus totale urgence, Emmanuel Macron a annoncé une dotation exceptionnelle de 4 millards d'euros à cet organisme pour commander « médicaments, respirateurs et masques » destinés à lutter contre l'épidémie.

     

    Une décision bien tardive : à l'automne dernier, la ministre Buzyn perdait les arbitrages financiers pour l'hôpital public face à Bercy et Matignon.

    Début mars, le cabinet d'Olivier Véran, qui avait annoncé une commande de 200 millions de masques fin février, n'avait procédé en réalité qu'à une première prise de contact auprès d'éventuels fournisseurs.

    Avec un souci de taille : la France n'ayant plus les moyens de produire des masques en grand nombre, la Chine a dû être appelée à la rescousse...

     

    Soutien aux "Kouchner boys"

     

    De fait, pour le gouvernement des « experts » promu par la macronie, cette crise sanitaire est une véritable débâcle.

    Et si l'ancien ministre de la santé, Bernard Kouchner se félicitait récemment que le gouvernement « gère très bien » la crise, c'est d'abord pour soutenir ses « Kouchner boys ».

    L'actuel directeur général de la santé, Jérôme Salomon, est en effet un proche du conseiller d'Etat Didier Tabuteau, qui fut son ancien directeur de cabinet à deux reprises :

    « Depuis son passage au ministère et à l'agence du médicament, Tabuteau a la haute main sur les politiques de santé depuis vingt ans », juge un ancien de la DGS.

    Mais on pourrait également citer un autre conseiller d'Etat, l'actuel patron de l'AP-HP, Martin Hirsch, autre directeur de cabinet de Bernard Kouchner par le passé.

    Ces trois-là sont bien sûr proches de l'ancien ministre de la santé, Agnès Buzyn, et de son mari, Yves Lévy, patron de l'Inserm, mais également du socialiste Aquilino Morelle, ou à droite, de l'ancien ministre de la santé, Xavier Bertrand.

     

    Forcément, ces dernières semaines, les déclarations intempestives du professeur Didier Raoult ont eu le don d'irriter tous ces hauts fonctionnaires de la santé.

    « C'est clan contre clan », pointe un initié.

    Par le passé, Raoult conseilla le candidat Jacques Chirac pour la partie santé de ses programmes.

    En 2003, le ministre Jean-François Mattéi lui confia un rapport sur le bio-terrorisme.

    Mais si Didier Raoult gêne, c'est que la stratégie qu'il propose (tester au maximum, et soigner le plus tôt par de l'hydroxychloroquine, une molécule ancienne, et peu chère, avec un antibiotique) met en lumière les difficultés actuelles de l'Etat français.

    Des pays comme la Corée du Sud, Taïwan, le Japon, ou encore l'Allemagne n'ont pas eu à choisir le confinement car ils ont pu, très tôt, tester massivement leurs populations respectives.

    Dans l'entourage du chef de l'Etat, on fait savoir que le contact n'est pas rompu avec Didier Raoult.

    Et pour cause : dans la sphère économique, ils sont nombreux à soutenir en coulisses le professeur marseillais, notamment la plus grande fortune française, Bernard Arnault de LVMH ou Serge Weinberg de Sanofi.

     

    L'OMS prend parti pour le traitement américain

     

    Face à une telle crise majeure, les enjeux économiques globaux vont-ils primer sur les gains à venir des laboratoires pharmaceutiques ?

    Le 24 février, le jour précédant les premières déclarations de Didier Raoult sur l'hydroxychloroquine, le directeur général adjoint de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Bruce Aylward, prenait parti pour un traitement breveté par l'américain Gilead, sans attendre les premiers résultats des tests :

    « Il n'existe actuellement qu'un seul médicament duquel nous pensons qu'il pourrait avoir une réelle efficacité, le remdesivir. »

     

    En France, si l'Inserm a fini par inclure l'hydroxychloroquine dans ses essais, ce n'est pour l'administrer qu'à des patients en détresse respiratoire.

    À l'inverse des recommandations Raoult que l'Italie a décidé de suivre : l'hydroxychloroquine y est prescrite aux patients ayant des signes débutants.

    C'est ce qu'explique le docteur Pierluigi Bartoletti, vice président de la Fédération italienne des médecins généralistes, au Corriere della Sera :

    « Nous venons de comprendre que le virus a une évolution en deux phases, et que c'est au cours de la seconde, après quelques jours (une semaine environ), que la situation peut brutalement, en 24 ou 48 heures, s'aggraver et conduire à une insuffisance respiratoire réclamant des soins intensifs.

    Les résultats que nous commençons à accumuler suggèrent que l'hydroxychloroquine administrée tôt, donne la possibilité d'éviter cette évolution à une majorité de patients et de désencombrer les salles de réanimation ».

     

    En attendant que la science se prononce, la guerre contre le Covid-19 continue...

     


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  • Christian Perronne : "Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos"

    Le professeur Christian Perronne estime que les hésitations du gouvernement et des experts médicaux concernant l'hydroxychloroquine et le protocole du professeur Raoult nous conduisent à commettre une grave erreur. Entretien.

    Le professeur Christian Perronne est chef du service infectiologie de l'hôpital Raymond Poincaré de Garches. Spécialiste de la maladie de Lyme, il a été président de la commission spécialisée maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique. Il est aussi coresponsable des cours en maladies infectieuses et tropicales pour l’université de Versailles-Saint-Quentin, et membre de l'OMS. Il s'inscrit en faux contre ce qu'il considère comme une vision erronée de la médecine de la part des experts médicaux ayant critiqué la méthodologie des essais du Professeur Raoult sur l'hydroxychloroquine. De même, il revient sur les suspicions concernant les effets secondaires de ce médicament, qu'il juge disproportionnées au vu de sa connaissance personnelle de ce dernier.

    Marianne >>>>>


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  • Le meeting NPA 1er avril 2020

    Coronavirus et capitalisme

    "Nos vies valent plus que leurs profits" avec O. Besancenot, Philippe Poutou, Christine Poupin, des militants du monde du travail et des anticapitalistes d'Italie, de l'État espagnol et d'Algérie.

    Meeting en ligne en live mercredi 1er avril

    https://www.youtube.com/watch?v=esUDXAvYipk


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  • ça rame, ça rame, ça rame...

    Agnès Buzyn et son mari, Didier Raoult et la chloroquine… On a examiné au microscope les 20 affirmations d'un message censé prouver un "scandale d'Etat"

    Les allégations contenues dans un message devenu viral sur les réseaux sociaux sont soit fausses soit imprécises. Mais, surtout, elles ne prouvent rien.

    France Info >>>>>


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  • Quelques éléments de réflexion

    sur différents aspects de la crise du coronavirus

     
    Une réflexion de l’équipe d’animation du Réseau pour l'Autogestion, les Alternatives, l'Altermondialisme, l'Ecologie et le Féminisme 

    L’extension de la pandémie de coronavirus et les mesures de confinement de la population qui se généralisent dans de nombreuses régions du monde créent une situation inédite à l’échelle planétaire. Cette crise sanitaire, économique, sociale mais aussi politique laissera des traces profondes dans nos sociétés. 

    1) Comme pour d’autres virus dits « émergents » ces dernières années (Ebola, Zika…), il semble que l’apparition de cette maladie ait son origine dans la pression que les activités humaines font peser sur l’environnement (déforestation, productivisme…) et qui favorise le franchissement de la barrière des espèces. 

    Pour autant, le développement de la pandémie en Europe prend une ampleur particulière qui renvoie aux politiques d’austérité et de casse des services publics menées un peu partout depuis des décennies, en particulier dans les services de santé : diminution continue du nombre de lits dans les hôpitaux, fermeture de services dans les hôpitaux de proximité et concentration des structures hospitalières, place grandissante de l’hospitalisation privée. 

    En France, dès avant la survenue de l’épidémie, la pénurie de médecins du fait du numérus clausus et les effets délétères de la tarification à l’activité (T2A) avaient déjà largement fragilisé notre système de santé. Ces politiques austéritaires démontrent aujourd’hui leur caractère criminel et de plus en plus de gens en prennent conscience (voir l’expression dans les médias de nombreux professionnels de santé pas forcément « de gauche » et la multiplication des manifestations de solidarité aux fenêtres). 
     

    2) La gestion de la crise révèle l’incurie des gouvernements qui se sont succédé comme l’extrême fragilité de nos sociétés livrées au capitalisme mondialisé : Pénurie de masques et de moyens individuels de protection, pénurie de tests de dépistage, pénurie de gel hydroalcoolique… 

    Un comble quand on sait par exemple que, dans les Côtes d’Armor, une entreprise qui avait une capacité de production de 200 millions de masques par an a fermé fin 2018 et que la production a été délocalisée en Tunisie par l’actionnaire américain (280 salariés licenciés). 

    Quand on apprend également que dans le Puy de Dôme, les travailleurs/ses de l’usine Luxfer, seule entreprise d’Europe à fabriquer des bouteilles d’oxygène médical, luttent depuis des mois contre la liquidation de leur entreprise décidée par leur actionnaire anglais (138 emplois en cause). 

    Il en découle que la France, comme les autres Etats européens, a été dans l’incapacité de mener une stratégie de gestion ciblée de l’épidémie comme ont pu le faire la Corée du sud ou Taiwan (dépistages de masse, isolement des porteurs du virus, port généralisé de masques). 

    Cette situation n’est pas le fruit de la fatalité mais le résultat de décisions politiques et il faudra bien que leurs auteurs rendent des comptes ! 

    3) Si dans les pays occidentaux la crise sanitaire est grave et ne doit pas être minimisée, en Afrique, en Amérique indo-afro-latine, en Asie et en Océanie, dans les pays dont les structures sanitaires et de protection sociale sont lacunaires ou inexistantes, c’est une véritable catastrophe qui se profile. 

    Au vu de l’incapacité des Etats européens à définir une politique commune de lutte contre l’épidémie ou à engager la moindre action de solidarité continentale, on peut très sérieusement craindre que les pays du Sud soient purement et simplement abandonnés face au défi sanitaire qui les attend. 

    4) Les comportements individualistes, classiques en période de crise, sont condamnables,mais la tentation est grande pour nos gouvernants de mettre à profit la crise sanitaire pour stigmatiser et mettre en place des politiques sécuritaires renforcées, en particulier en développant un discours de culpabilisation sur le non respect des mesures de confinement qui vise principalement les quartiers populaires. Il n’y a pas eu la même stigmatisation vis à vis de ces milliers de cadres qui ont quitté les grandes agglomérations pour venir se « réfugier » dans leurs résidences secondaires au risque de disséminer l’infection dans des régions jusqu’alors peu touchées. 

    Après le renforcement continu des mesures de confinement (confinement par ailleurs indispensable faute d’avoir su mener une autre stratégie), c’est du traçage de masse de la population via les réseaux téléphoniques dont il est maintenant question. Il est à craindre qu’après la fin de l’épidémie, ces dispositifs sécuritaires demeurent, au moins en partie. 

    Et ce d’autant plus que des semaines de confinement et de matraquage médiatique pourront avoir développé une « demande » de sécurité au sein de la population. La bataille pour le rétablissement des libertés démocratiques sera un enjeu majeur à l’issue de cette crise. 

    5) Paradoxe de la situation : alors que les autorités gouvernementales étendent le confinement généralisé de la population (fermeture des marchés y compris alimentaires), en même temps, elles font tout pour inciter les entreprises à poursuivre leur activité au mépris de la préservation de la santé des salariés, même celles dont la production n’a que peu de rapport avec la satisfaction des besoins vitaux de la population, comme dans le bâtiment. 

    Ce double discours indique quelles sont les véritables priorités du pouvoir macronien et là aussi, les prises de conscience grandissent. Des prises de position syndicales appelant à l’arrêt des productions non essentielles, des actions collectives pour le droit de retrait en témoignent mais sont peu médiatisées 

    6) Au dela de la crise sanitaire, il se profile une crise économique planétaire dont certains économistes prédisent qu’elle pourrait être pire que la grande dépression des années 30. L’effondrement des valeurs boursières ces dernières semaines en est peut être un signe avant-coureur. 

    La question de « l’après » est donc posée dès à présent : Le système pourra-t-il repartir « comme avant » dans une fuite en avant mortifère ? 

    Qui, dans l'esprit des capitalistes, devra payer demain les efforts de l'Etat pour aider les entreprises, si ce n'est les peuples ? 

    Cette crise donnera-t-elle l’opportunité de rompre avec le capitalisme mondialisé et la financiarisation de l’économie ? 

    De remettre à l’ordre du jour à une échelle de masse les questions de la socialisation des entreprises, de la relocalisation et de la finalité des productions (qu’est ce qu’on produit, pour qui et comment on produit) mais aussi la réduction massive du temps de travail, notamment pour lutter contre le chômage de masse qui se profile ? 

    C’est une bataille politique d’ampleur qui s’annonce et même blessée, la bête ne se laissera pas abattre sans réagir. L’issue n’est pas écrite d’avance et l’histoire nous rappelle que les années 30 ont accouché du pire. 

    Déjà, une partie des capitalistes -dont Trump et Bolsonaro sont aujourd'hui, après Boris Johnson il y a quelques semaines, l'expression politique- envisage de fait de sacrifier une partie de la population -âgée, peu productive, peu consommatrice et donc peu rentable-, sur l'autel des profits capitalistes. 

    La barbarie, l’extrême droite peuvent sortir renforcées à l’issue de cette crise 

    Malgré le confinement qui limite les possibilités d’action, il est indispensable de continuer à faire de la politique, à formuler des propositions offensives pour « l’après » qui ne pourra plus être comme "l'avant", en s'appuyant sur les pratiques et les expressions de solidarité citoyenne par le bas, comme sur les aspirations à une alternative écologique, solidaire et autogestionnaire. 

    Pour l’équipe d’animation du Réseau, 
    Jean Louis Griveau, 28 mars 2020

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  • Coronavirus

    La vidéo du maire de Tomblaine, Hervé Feron,

    a déjà été vue près de 200 000 fois sur les réseaux sociaux.

    Sous forme d'anaphore, il y exprime sa colère quant à la gestion de la crise par le gouvernement. 

    31 mars 2020

    https://www.francebleu.fr/infos/politique/une-video-du-maire-de-tomblaine-sur-la-gestion-de-la-crise-fait-le-buzz-sur-internet-1585665268.


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  • L’exécutif se prépare à une «tragédie» dans les Ehpad

    1 avril 2020 Par Ellen Salvi

    Le nombre de décès dus au Covid-19 est largement sous-estimé. Dans les maisons de retraite, où il n’y a pas encore de décompte officiel, la situation est dramatique. L’exécutif anticipe les risques de saturation des chambres mortuaires.

    Médiapart >>>>


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