• Climat :

    "2 millions de morts dans 11 000 catastrophes"

    entre 1970 et 2019, selon l'ONU

    Plus de 91% des victimes vivent dans des pays en voie de développement.

    "Plus de 11 000 catastrophes" attribuées aux phénomènes météorologiques, climatiques et hydrologiques extrêmes "ont été signalées" au cours de des cinq dernières décennies "dans le monde", indique l’Organisation météorologique mondiale (OMM), l'un des organismes des Nations unies, dans un rapport dévoilé mercredi 1er septembre. Ces phénomènes "ont causé un peu plus de 2 millions de morts", dont "plus de 91 % dans des pays en développement" et "des dégâts matériels s’élevant à 3,64 milliards de dollars", soit près de 3,1 milliards d'euros.

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    France Info >>>>>


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  • Comment les Gafam ont touché 811 millions de dollars

    d’aides publiques pour créer... 837 emplois

    Mardi 31 Août 2021
     
     

    Passés maîtres dans l’art d’échapper à l’impôt, les Gafam exigent des avantages fiscaux pour s’implanter dans les villes états-uniennes.

     

    La fronde est née à Columbus, dans l’Ohio, au printemps. La ville courtisait Google pour qu’il y implante un data center, avec la promesse de 20 créations d’emplois, et elle a fini par promettre au géant 54,3 millions de dollars d’avantages fiscaux sur quinze ans. Un conseiller municipal a vite fait le calcul : c’est 2,7 millions par emploi créé !

    Des chiffres qui font peur

    Cette alerte a donné envie à Forbes de se pencher sur ces contrats négociés entre les Gafam et les villes états-uniennes pour l’implantation de centres de données. Et les chiffres font peur.

    En 2018, Facebook a négocié un abat­tement fiscal de 150 millions de dollars pour créer 50 emplois à Eagle Mountain, dans l’Utah, soit 3 millions de dollars par poste. L’année précédente, Apple avait reçu pas moins de 208 millions de dollars pour créer 50 postes à temps plein à Waukee, dans l’Iowa, soit plus de 4 millions de dollars de subventions par emploi créé.

    Apple, champion du titre

    Sur la quinzaine de contrats passés entre municipalités et Gafam ces dernières années pour l’implantation de data centers, que Forbes a pu analyser (et il y a 2 700 centres de données aux États-Unis), les géants du Net ont touché 811 millions de dollars d’aides publiques ou d’exemptions fiscales, en échange de 837 emplois créés. Pas mal pour des entreprises si réfractaires à l’impôt.

    Apple confirme sa position de champion en titre des aides publiques touchées – 4 millions par emploi – et conserve toujours le record du plus faible taux d’imposition sur les bénéfices payés : 0,005 % en 2014.

    Cachés derrière des sociétés écrans

    Si le scandale a mis quelques années à éclater, c’est que les Gafam se cachent derrière des sociétés écrans pour négocier. Amazon va jusqu’à faire porter des badges avec un faux nom d’entreprise à ses employés sur un site de Virginie... C’est que les popu­lations locales sont de plus en plus réticentes à la venue de ces géants, notamment à cause de la consommation énergétique démente de ces centres de données.


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  • A paraître le 8 octobre 2021
    chez Locus Solus Editions (Châteaulin)
    "Nous la Commune"
    de Dugudus et Hugo Rousselle
    (avec la participation de Mathilde Larrere Historienne  ):
     
    une évocation dessinée de la Commune
    qui s'annonce passionnante!
     
     

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  • Fatima Gailani

    Négociatrice afghane :

    « Les Américains nous ont laissés sans rien

    dans les mains »

     

    Mardi 31 Août 2021
     

    Au cours des onze derniers mois, la militante féministe Fatima Gailani a été l’une des quatre femmes engagées dans des pourparlers de paix avec les talibans à Doha, la capitale du Qatar. Entretien.

     

    Fatima Gailani Négociatrice afghane

    Est-ce que vous vous attendiez à une telle situation au moment du départ des troupes américaines ?

    Fatima Gailani Non. Personne ne s’attendait à ça. Y compris les talibans. Personne ne pensait que Kaboul allait tomber si rapidement et que l’Afghanistan allait s’effondrer de cette façon. C’est comme si les talibans s’étaient préparés à se trouver en face d’un mur de béton et qu’au final ce n’était qu’un trompe-l’œil. Cela a été un choc pour tout le monde. Le plus triste est que je reste convaincue qu’il y avait une possibilité de paix, d’un règlement politique. Mais il m’a été difficile de faire comprendre aux parties que nous étions en train de perdre du temps, que les besoins des populations devaient nous amener à conclure rapidement. Personne n’imaginait que la situation que nous vivons actuellement arriverait. Pourtant, à l’époque, j’avais déjà mis en garde sur le fait que si nous ne parvenions pas à un règlement politique nous nous retrouverions dans une situation particulièrement mauvaise. Cela a été au-delà de ce qu’il était possible d’imaginer.

    Aujourd’hui marque la date de départ définitif des troupes américaines d’Afghanistan. Comment le vivez-vous ?

    Fatima Gailani Les Américains sont venus avec un mandat de l’ONU et devaient repartir. Mais ce qui me met en colère est qu’ils n’auraient dû partir qu’après un règlement politique bien établi. Pas avant. Personne ne voulait que les Américains ou l’Otan restent éternellement. Mais ils nous ont laissés sans rien dans les mains : pas d’accord politique, pas de paix. Rien.

    Que s’est-il passé exactement ? Vous étiez en négociation à Doha mais l’accord passé entre les États-Unis et les talibans n’a-t-il pas mis fin à vos discussions ?

    Fatima Gailani L’accord original entre les talibans et les Américains, et c’est certainement la partie la plus importante, évoquait un règlement politique. Mais personne n’a pris ça au sérieux. Ils affirmaient tous qu’ils y travaillaient. Mais ça prenait tellement de temps. L’envoyé spécial de l’ONU pour l’Afghanistan, Jean Arnault, aurait pu être un atout. Mais les Nations unies ont trop tardé avant de décider qu’il devait venir. Il existe une énorme frustration car tout le monde a joué la montre et nous ne sommes pas parvenus à conclure un règlement politique. Maintenant c’est du passé. Nous avons fait des erreurs de notre côté, en tant que délégation gouvernementale. Les talibans en ont également fait. Mais, maintenant, ils sont au pouvoir et dans une position où ils peuvent faire ce qu’il faut et former un gouvernement inclusif. Ils sont en mesure de faire en sorte que tous les Afghans puissent se détendre et tous se sentir représentés dans le gouvernement.

    Quelle est la réponse des talibans ?

    Fatima Gailani Ils n’ont pas répondu. Ils parlent de gouvernement inclusif et nous attendons. Les négociations ne se passent pas à Doha mais en Afghanistan. Mon souhait est qu’ils réalisent que des gens comme Abdullah Abdullah (ex-président du Haut Comité pour la réconciliation nationale – NDLR), l’ancien président Hamid Karzai et d’autres dirigeants croient en l’avenir du pays et ne se sont pas enfuis. Ils doivent être consultés pour former un gouvernement et revenir à Doha, devant la communauté internationale, et laisser la normalité revenir en Afghanistan.

    Comment expliquer qu’après vingt ans, les talibans soient aussi forts ? La corruption est-elle un facteur déterminant ?

    Fatima Gailani La grande erreur a été de ne pas les associer à l’accord de Bonn, en 2001. Vous ne pouvez pas mettre de côté une partie du pays. Or, dans un pays où l’appartenance tribale est si importante, de tels groupes ne disparaissent jamais. Ils ont toujours un foyer quelque part. Ils ont eu ainsi le temps de se réorganiser. Et tous les problèmes que nous avons en Afghanistan ont évidemment pavé le chemin pour leur retour. J’avais même dit qu’il ne fallait pas les pousser dans les bras de nos voisins. De plus, à l’époque, certains éléments des moudjahidin ont accusé des gens d’être des talibans, les ont jetés en prison sans raison. Avec l’aide des Américains, ils les ont envoyés à Guantanamo, à Bagram (la plus importante base américaine en Afghanistan – NDLR). Ce qui a été une erreur énorme. C’est tout cela qui a permis le retour des talibans.

    N’y a-t-il pas un danger que la solution inclusive se réalise au détriment des femmes ?

    Fatima Gailani Quand nous parlons de solution inclusive, comment les femmes pourraient-elles en être exclues ? Les femmes afghanes n’ont jamais été aussi fortes, aussi actives, aussi éduquées. Elles doivent faire partie de ce gouvernement inclusif. Les minorités existantes de même que les femmes sont l’avenir de ce gouvernement. Après ces horribles combats internes entre moudjahidin, les talibans ont pris le pouvoir en 1996. Cela leur a été facile de marginaliser les femmes. Beaucoup sont actives, éduquées, se sentent musulmanes et afghanes. Elles sont aussi capables que n’importe quel homme pour aider à la reconstruction de l’Afghanistan.


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  • "Nous sommes pour la vaccination,

    mais contre la vaccination obligatoire"

    rappelle le patron de la CGT (sic...)

    Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez s’oppose à l’obligation du pass sanitaire à partir de ce lundi à tous les salariés en contact avec du public.

    France Inter >>>>> 30 Août 2021


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  • Crise sanitaire.

    Le passe au travail, entre couacs et inquiétudes

     

    Des centaines de milliers de salariés qui sont au contact du public vont devoir, dès ce lundi, présenter à leur employeur un QR code les autorisant ou non à travailler.

    Une mesure inédite, aux contours loin d’être évidents.

     

    Pas moins de 1,8 million de salariés et d’agents de la fonction publique en contact avec le public ­seront soumis au passe ­sanitaire dès ce lundi, jusqu’au 15 novembre. Au minimum, car, avant même son application, le gouvernement a prévenu, par la voix du ministre de la Santé, que la mesure risquait d’être prolongée. Cette mesure est l’une des étapes clés prévues par l’exécutif dans la loi du 5 août sur la crise sanitaire. Viendront ensuite la vaccination obligatoire pour les personnels des hôpitaux et Ehpad et travaillant avec des personnes vulnérables au 15 septembre, puis l’ouverture du passe sanitaire aux 12-17 ans le 30 septembre et la fin des tests PCR gratuits au 15 octobre. Rappelons que l’obligation de présenter un passe sanitaire n’est pas ­synonyme d’obligation vaccinale. Le résultat d’un test PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement au Covid-19 est aussi efficace. Les tests négatifs PCR, antigéniques ou autotests fonctionnent 72 heures.

    1Qui sont les travailleurs concernés ?

    Les salariés obligés dès ce lundi de présenter un passe sanitaire sont ceux en contact avec des usagers ou clients qui ont eux aussi l’obligation de se munir du passe : dans les transports publics pour les trajets longs (avion, train et bus), les bars et ­restaurants, cinémas, parcs d’attractions, salles de spectacle, établis­sements sportifs – et les centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés, sous décision du préfet… Dans le détail, ce n’est pas si simple, chaque secteur ayant fait l’objet d’une négociation propre. À la SNCF, par exemple, sont concernés l’ensemble des contrôleurs, des chefs de bord et une partie du personnel de sécurité, soit 3 500 cheminots environ sur 70 000 (voir ci-contre). Dans la restauration, les travailleurs des bars et restaurants y sont soumis, même en terrasse, mais pas ceux des restaurants d’entreprise. Le personnel restant en cuisine, sans contact avec le public, est aussi épargné.

    L’ensemble des agents publics, qu’ils soient fonctionnaires ou contractuels, intervenant dans des établissements ou événements de loisirs, culturels ou sportifs, sont également soumis au passe sanitaire, comme leurs collègues du privé. Sauf les agents travaillant « en dehors des horaires d’ouverture dans les établissements recevant du public soumis au passe », précise la circulaire du ministère de la Fonction publique datée du 10 août. Autre particularité, si les gendarmes ont, depuis le 19 août, l’obligation de présenter patte blanche, « les agents publics chargés de missions de contrôle (police, inspection du travail, services ­vétérinaires, services de la répression des fraudes, douanes, par exemple) ne sont pas dans le périmètre de la mesure », poursuit le ministère.

    2 Quelles sanctions encourent-ils ?

    Au cas où les salariés concernés ne présenteraient pas leur passe sanitaire, un éventail de sanctions est prévu dans la loi. À l’origine, les CDD et intérimaires risquaient la rupture de contrat. Cette disposition a été censurée par le Conseil constitutionnel, en juillet dernier. Néanmoins, le patron dispose encore d’importants moyens de pression. Lorsque le ­salarié ne présente pas son passe, il peut choisir de « mobiliser, avec l’accord de son employeur, des jours de repos conventionnels ou des jours de congés payés ». Dans le cas contraire, il se voit signifier la suspension de son contrat de travail, avec suspension de sa rémunération. Si la situation se prolonge au-delà de trois jours, l’employé est convoqué « à un entretien afin d’examiner les moyens de régulariser la situation, notamment les possibilités d’affectation temporaire sur un autre poste non soumis à cette obligation ».

    Ces quelques lignes laissent dubitatif. « Cela met salariés et employeurs dans une situation absolument inédite, s’inquiète une avocate en droit du travail. Rappelons tout d’abord que la suspension d’un contrat de travail est un moyen de pression extrêmement fort, d’autant que le salarié ne pourra pas percevoir d’indemnités de chômage. Ensuite, il y a de nombreuses zones d’ombre. Que se passe-t-il, par exemple, si le salarié refuse le poste de remplacement que lui propose l’employeur ? Cela constitue-t-il un motif de sanctions ? »

    3Les inspecteurs du travail encouragés à lever le pied

    L’application du passe sanitaire pourrait entraîner des abus. « Il y a le risque d’une application à la carte, souligne Simon Picou, du bureau national CGT-ministère du ­Travail. En clair, des patrons pourraient se servir du passe pour se débarrasser de ­certains salariés, du fait de leur engagement syndical par exemple ou de litiges antérieurs. » Face à ces dérapages éventuels, seuls les juges des prud’hommes auront les moyens d’intervenir après coup : les ­salariés qui s’estiment sanctionnés de manière abusive devront les saisir pour obtenir réparation.

    Les inspecteurs du travail, eux, ne seront pas sollicités. « Pour l’instant, nous n’avons pas reçu de consigne particulière de la part de notre hiérarchie, assure une inspectrice du travail. On nous avait demandé de faire un effort particulier lors de la généralisation du télétravail, en menant des campagnes de vérification. Là, rien. » Mieux, une note interne de la Direction générale du travail, que nous avons consultée, enjoint les inspecteurs du travail à lever le pied dans leurs habituelles missions de contrôle, à mots à peine couverts : il s’agit de ménager les employeurs en ces temps difficiles. « Dans des secteurs déjà éprouvés économiquement et socialement depuis plusieurs mois (sport et loisirs, établissements culturels, hôtels cafés-restaurants, commerces de détail…), il convient de mettre en œuvre le droit d’entrée avec discernement », précise la missive, datée du 11 août. Ce droit ­d’entrée leur garantit pourtant la possibilité de mener des contrôles au sein des entreprises pour vérifier l’application du droit du travail. Bien sûr, précise la note, il n’est question « en aucune manière » de « renoncer » à ce droit d’entrée. Un peu plus loin, le document recommande toutefois aux inspecteurs du travail d’éviter autant que possible « les contrôles inopinés », afin de désamorcer d’éventuelles « tensions » avec les patrons. Ces derniers ne demandent pas mieux…

    4 Des craintes et des oppositions sur le terrain

    L’ensemble des syndicats des travailleurs concernés par le passe sanitaire tiennent une position commune : si la vaccination du plus grand nombre à l’échelle mondiale constitue la meilleure manière de stopper la pandémie, aucun salarié ne doit être sanctionné pour ne pas avoir de passe sanitaire. La CGT commerces et services estime que cette obligation « crée un chantage à la continuité de la rémunération et de l’emploi pour y contraindre le travailleur. Et même pour postuler à un emploi, qu’il soit en CDI ou en CDD ». Pour le syndicat, il s’agit d’une nouvelle attaque contre les salariés de première ligne, « qui ont travaillé et travailleront demain, quelles que soient les conditions ».

    Chez les cheminots, les sanctions ­inquiètent. « Le licenciement semble désormais écarté de la loi, mais la suspension salariale est tout aussi intolérable. La direction indique qu’elle pourrait procéder à des réaffectations. La CGT refuse toute perte de rémunération pour les cheminots », affirme le syndicat. À l’hôpital, la situation inquiète particulièrement. Si plus de 80 % du personnel sont vaccinés, l’obligation va aggraver le sous-effectif. FO AP-HP a clairement posé la question : « Comment vont être remplacés les personnels qui risquent d’être suspendus ? » La direction locale a répondu : « On fermera des lits. »  

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    Des données personnelles à protéger

    Les données de santé contenues dans le QR code sont considérées comme des données personnelles par le Règlement européen de protection des données personnelles (RGPD). Leur accès est donc strictement encadré : l’employeur n’est pas autorisé à conserver le QR code contrôlé, seulement le résultat : valide ou non. De même, il n’a pas à connaître la nature du passe (vaccin, test PCR/antigénique/autotest, ou rémission du Covid). Cependant, afin de faciliter les contrôles au quotidien, la loi du 5 août 2021 autorise les entreprises à conserver une liste des salariés vaccinés, mais uniquement sur la base du volontariat. La Cnil avait demandé au Parlement de bien « circonscrire » l’extension du passe sanitaire, qui constitue selon elle une atteinte « particulièrement forte » aux libertés.


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  • Argentine.

    Parti des travailleurs socialistes

    Soutien à notre camarade Myriam Bregman, victime d’antisémitisme !

    La dirigeante trotskiste et élue de Buenos Aires Myriam Bregman a été traitée avec mépris de « militante juive » par un avocat conservateur, antiavortement et pro-dictature, ce qui a été fortement dénoncé par diverses organisations et grandes personnalités politiques et publiques qui ont également exprimé leur solidarité avec elle.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Le cercle de la raison macronien

    Dans un entretien à nos confrères du Monde, le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, M. Clément Beaune, dit tout de la stratégie du « président-candidat » dans la perspective des élections présidentielle et législatives.

    Homme d’expériences diverses, car passé du cabinet de Jean Marc Ayrault à celui de l’Elysée avant d’être nommé au gouvernement, il mérite d’être entendu.

    Après avoir justifié la « verticalité » qui a présidée aux décisions sur le passe-sanitaire, les contre-réformes de l’assurance chômage et de la fonction publique, « le plan de relance » sans contreparties, la « loi climat » critiquée par les membres de la Convention citoyenne pour ses graves insuffisances, il a confirmé la stratégie du président pour rester à l’Elysée : « incarner le camp de la République, de la raison et de l’équilibre de la société ».

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    A Lire ici :

    Patrick Le Hyaric >>>>>


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  • Covid-19 :

    où en est la recherche de traitements contre la maladie ?

    Si la vaccination reste pour l'heure la seule solution pour endiguer la pandémie, plusieurs médicaments sont à l'étude, notamment pour lutter contre les formes graves du Covid-19.

    France Info >>>>>


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  • Le virus de la Guerre froide...

    Chine - USA...

     

    La Chine dénonce les accusations américaines d'entrave à l'enquête internationale sur les origines de la COVID-19

    La Chine s'oppose fermement au rapport publié par les services de renseignement américains sur la recherche des origines de la COVID-19, qui accuse la Chine d'"entraver les enquêtes internationales" et de "refuser de partager des informations et de blâmer d'autres pays", a déclaré l'ambassade de Chine aux États-Unis dans une déclaration samedi.

    Le rapport est une fabrication dirigée par les services de renseignement américains et n'a aucune base scientifique ou crédibilité, indique le communiqué, ajoutant que la traçabilité de la COVID-19 est une question scientifique complexe, qui ne devrait être étudiée que par des scientifiques, et non par des experts du renseignement.

    CGTN >>>>>

     

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    Covid-19 : ce que l'on sait du rapport des services de renseignement américains sur les origines du virus

    Ces services, qui comprennent le FBI et la CIA, ne sont toujours pas en mesure d'identifier la source du Sars-CoV-2, et accusent la Chine de retenir des informations importantes pour cette enquête internationale.

    France Info >>>>>

     

    Covid-19 : Joe Biden accuse la Chine de dissimuler des "informations cruciales sur les origines de la pandémie"

    La Chine continue de rejeter les appels à la transparence, déplore le président américain, après la publication d'un rapport d'enquête du renseignement américain sur les origines du Covid-19.

    France Info >>>>>

     

    Covid-19 : la recherche des origines du virus "est au point mort", déplorent les experts de l'OMS

    "La quête des origines du virus Sars-CoV-2 est à un tournant critique" et "la fenêtre de tir pour mener cette enquête cruciale se referme rapidement", expliquent les experts et auteurs en mars d'un rapport sur le sujet pour l'OMS.

    France Info >>>>>


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