• [Mardi 04 Mai 2021

    Les Actualités Politiques ]

     

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  • TOUS MANIPULÉS ?

    Propagande, langage et idéologie

    François Boulo

    Pourquoi les politiciens nous apparaissent-ils aussi incompréhensibles ? Derrière leurs formules creuses ou absconses, il se pourrait bien qu’ils tentent de nous cacher leurs véritables intentions et les effets concrets de leur politique. Entre propagande et manipulation du langage pour se draper sous le sceau du « pragmatisme », les dirigeants politiques ne font en réalité que se soumettre à une certaine idéologie, dans l’intérêt exclusif de quelques-uns…

     


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  • Rouge ViF !
    Fanatisme...

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  •  

    Ensemble ! Autogestion et Émancipation

     

     

     

    FACE AU RN,

    RELEVER LE DÉFI

    ET PASSER A L’OFFENSIVE !

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  • À Paris, des militants de la CGT victimes

    d’un déchaînement de coups et d’injures

     

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour violences volontaires et dégradations, après des heurts qui ont fait 21 blessés dans les rangs du syndicat, dont quatre graves. L’indignation est partagée bien au-delà des rangs syndicaux.

     

    Samedi 1er mai, 18 h 30. Après plusieurs heures d’un défilé régulièrement interrompu par des interventions policières, le cortège de la manifestation parisienne arrive enfin place de la Nation. « Normalement, c’est le moment où on remballe le matériel, on désinstalle. Mais là, ça n’a pas pu se passer comme ça », relate Benoît Martin, secrétaire de l’union départementale de la CGT de Paris. Alors qu’ils venaient de franchir le point d’arrivée de la manifestation, lui et des dizaines de ses camarades ont été pris à partie par des individus violents. Si ce sont des membres du service d’ordre du syndicat qui ont essuyé les premiers coups, les assaillants ont fini par frapper « sans distinction », assure le syndicaliste. « En manifestation, j’ai souvent vécu des moments violents, mais là, nos militants ont été attaqués, des gens ont été frappés avec des bâtons, ils ont reçu des coups de pied, les camionnettes ont été détériorées. On a été insultés de collabos, on a été caillassés. Ça a été un vrai déchaînement de haine », confie Benoît Martin.

     

    « Une extrême violence à l’encontre des manifestants »

     

    Le déferlement de violences, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux par des manifestants et des journalistes, a été fermement dénoncé par la confédération syndicale. « Un groupe d’individus, dont certains se revendiquant gilets jaunes, ont fait usage d’une extrême violence à l’encontre des manifestants. Insultes homophobes, sexistes, racistes ont précédé des actes de vandalisme des véhicules des organisations et, bien plus grave, la haine s’est exprimée par un déchaînement de coups et de jets de projectiles », dénonce l’union régionale d’Île-de-France de la CGT dans un communiqué. Au total, le syndicat déplore 21 blessés dont « quatre graves ». Face à ce lourd bilan, Philippe Martinez a pointé du doigt « des erreurs graves dans la gestion de cette manifestation ».

     

    L’indignation a rapidement été partagée par d’autres organisations syndicales et élus, qui ont témoigné leur soutien à la CGT après cet épisode de violences. « Honte à ceux qui, plutôt que de lutter contre la politique du gouvernement, ont préféré taper sur ceux qui défendent les salarié-es ! » a réagi le secrétaire national du parti communiste, Fabien Roussel. « Solidaire des militants CGT agressés par un commando masqué. La violence déployée contre le grand syndicat signe la gravité de l’événement. Où va la France ? » s’est quant à lui révolté Jean-Luc Mélenchon, député de la France insoumise.

     

    Si l’épisode a secoué les militants CGT agressés, ces derniers restent confiants dans la justesse du combat qu’ils mènent et refusent de voir la haine ternir leur lutte. « Bien sûr, ça nous a fait réfléchir. On se dit qu’il faudra qu’on renforce notre service d’ordre », admet le secrétaire de l’UD de Paris. « Mais ça ne nous refroidit pas pour autant, nous continuerons à aller manifester pour la solidarité, la justice et le progrès social », conclut-il.


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  • VIRER LES ACTIONNAIRES ?

    Réunion-Débat en Visio (Zoom)

    organisée par Ensemble Finistère !

    Le Mardi 4 Mai A 20 H 30

    (durée environ 1h30)



    La crise sanitaire et sociale que nous vivons depuis plus d’un an aura mis en lumière comme rarement les impasses et le cynisme d’un capitalisme mondialisé :

    De la pénurie de masques aux manœuvres des laboratoires produisant les vaccins, le tableau est tragiquement éloquent.

     

    Alors que des millions de travailleur.se.s dans tous les secteurs (Industrie, Commerce, Services, Culture,...) sont réduit.e.s au chômage partiel, que la faillite menace de nombreux.ses indépendant.e.s et que les licenciements se multiplient, l'économie de casino continue de plus belle :

    Ce sont les entreprises du CAC 40, dont Sanofi, qui s'apprêtent à verser 51 milliards d'€ à leurs actionnaires.

    C'est Nokia qui, dans le cadre du plan de relance gouvernemental, va encaisser 10,5 millions d'€ pour un centre de cyber-sécurité à Lannion, après y avoir mené un plan social avec des dizaines de licenciements ...



    Peut on envisager une possible transformation sociale, écologique, féministe et démocratique tant que les actionnaires mèneront le jeu au détriment du plus grand nombre ?

    Peut on s'en débarrasser et comment y parvenir ?



    Pour en débattre, Ensemble ! Finistère, mouvement pour une alternative de gauche écologiste et solidaire, invite à une réunion-débat en visio conférence le mardi 4 mai à 20 h 30 avec Benoît Borrits, économiste, auteur du livre "virer les actionnaires, pourquoi et comment s'en passer".

     

    Pour participer à la réunion-débat en visio

    merci de vous inscrire auprès de

    ensemble29@orange.fr

    pour recevoir le code d'accès à la visio sur zoom


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  • Communiqué d'Ensemble !

    Après les manifestations du premier Mai

     

    Les manifestations du premier mai ont rassemblé beaucoup de monde.

    Elles montrent une remobilisation du monde du travail et de la jeunesse et une volonté de remettre les questions sociales au premier plan.

    C’est un encouragement aux luttes indispensables dans la situation de crise dont le gouvernement et le patronat veulent profiter pour accentuer les attaques contre les acquis sociaux, comme le montrent les mesures remettant en cause les droits des chômeurs/ses.

     

    Si ce premier mai est un encouragement pour nos luttes, il est aussi porteur d’inquiétudes quant aux divisions apparues dans les cortèges.

    En plus des habituelles violences policières, il s’est produit en fin de manifestation à Paris des agressions violentes contre des militant.es de la CGT de la part d’un petit groupe de manifestant.es.

     

    ENSEMBLE ! dénonce ces agissements inadmissibles et appelle à l’unité contre la politique gouvernementale et contre l’extrême droite.

    Ensemble ! assure les militant.es de la CGT de son entière solidarité.

     

    2 mai 2021


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  • [Lundi 03 Mai 2021

    Les Actualités Politiques ]

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  • La note qui révèle 

    les 160 milliards d'euros volés chaque année

    au service public

     

    Jeudi 29 Avril 2021
    Loan Nguyen
     

    Une note d’analyse de 14 pages qui paraît ce vendredi montre que le coût annuel de l’externalisation des missions de service public représente «l’équivalent du quart du budget de l’État ».

    Une politique qui revient, pour la puissance publique, à « saper sa capacité à agir », estiment une centaine de hauts fonctionnaires et d’agents publics.

    Ils critiquent ouvertement l’orientation austéritaire des gouvernements successifs qui ne cesse de faire la part belle au privé, au détriment de l’intérêt général.

    Explications.

     
     

    Nos services publics : le nom du collectif se veut sobre et simple.

    En creux, il en dit pourtant long sur le hiatus qui existe entre ceux qui élaborent les politiques et ceux chargés de les mettre en œuvre.

    Portée par une centaine de hauts fonctionnaires et d’agents publics issus de divers ministères et administrations, cette nouvelle entité livre une charge de l’intérieur particulièrement argumentée contre la logique de démantèlement du service public au profit du privé qui prévaut depuis une trentaine d’années.

     

     
     

    Concessions et prestations

    Dans une note d’analyse de 14 pages qui paraît aujourd’hui, les auteurs estiment à 160 milliards d’euros le coût annuel de l’externalisation des missions de service public, « soit l’équivalent du quart du budget de l’État ».

    Une politique qui revient, pour la puissance publique, à « saper sa capacité à agir », sans faire la preuve de son efficacité, même purement budgétaire.

    Dans le détail, ce sont les délégations de service public (120 milliards d’euros), le plus souvent sous la forme de concessions, qui constituent le gros de ces externalisations.

    Auxquelles s’ajoutent au moins 43 milliards d’euros de marchés de prestations.

    « Ces 43 milliards d’euros sont dépensés pour un tiers par l’État et les hôpitaux (14 milliards d’euros), pour un tiers par les collectivités territoriales (13 milliards d’euros) et pour le dernier tiers par les entreprises publiques et opérateurs de réseau (16 milliards d’euros) », précise le document.

     

    Une politique suicidaire

    Pour donner la mesure de cette politique suicidaire, le collectif Nos services publics pointe que le dernier exemple médiatisé de cette logique – le recours à des cabinets de conseil sur la vaccination entre mars 2020 et février 2021 – s’élevait à 11 millions d’euros, « soit moins de 0,01 % du total ».

    S’appuyant notamment sur l’exemple du Grand Paris et de son budget de 30 milliards d’euros annuels, deux fois supérieur à celui, similaire, de son voisin londonien, embauchant, lui, trois fois plus de fonctionnaires, les auteurs réfutent l’idée selon laquelle le recours au privé serait garant d’une meilleure efficience budgétaire.

    « Plutôt que de diminuer le coût du service, tout en maintenant sa qualité, on en réduit la qualité, tout en dégradant les finances publiques », concluent-ils.

     

    Un débat verrouillé 

    Soulignant la continuité parfaite dans ces orientations entre les gouvernements de droite et de gauche, le collectif pointe les carcans budgétaires et juridiques construits par les majorités successives pour verrouiller le débat dans une seule direction possible : toujours moins de fonctionnaires pour toujours moins de dépenses publiques.

     

    Plafonnement du nombre d’équivalents temps-plein introduit par la loi organique relative aux lois de finances (Lolfr – 2006), mais aussi mise en concurrence des opérateurs publics avec des acteurs privés et décentralisation de l’action publique sans moyens à la hauteur pour les collectivités locales expliquent que, de plus en plus, l’administration se retrouve contrainte à confier ses missions au privé.

     

    " Quand on voit qu’on a dû confier la prise de rendez-vous pour les vaccins à Doctolib parce qu’on n’était pas capables de faire ça en interne, cela pose problème. "

    Arnaud Bontemps,

    fonctionnaire à la Cour des comptes et membre du collectif

     

    « On ne dit pas qu’il faut tout réinternaliser, mais on appelle à ce qu’il y ait un tri qui soit fait en fonction de critères comme, notamment, la souveraineté, la nécessité de conserver des savoir-faire, la qualité et l’ambition du service public », explique Arnaud Bontemps, fonctionnaire à la Cour des comptes et membre du collectif.

    « La question se pose en particulier dans le domaine du numérique : quand on voit qu’on a dû confier la prise de rendez-vous pour les vaccins à Doctolib, pas par choix mais parce qu’on n’était pas capables de faire ça en interne, cela pose problème », précise-t-il.

     

    Le droit de réserve n’est pas un carcan

    Avec cette première note d’analyse, le collectif Nos services publics espère faire réagir à la fois au sommet des administrations, où la réflexion politique semble verrouillée, mais aussi l’ensemble des fonctionnaires, pour qu’ils cessent d’envisager le devoir de réserve comme un carcan les empêchant de remettre en cause les orientations systématiquement austéritaires de l’exécutif.

     

    Plus largement, les instigateurs de cette démarche espèrent remettre la question des services publics au centre du débat de société.

    « Il y a urgence à se saisir de ces enjeux, d’autant qu’on anticipe l’impact qu’aura la dette liée à la crise sanitaire sur les politiques publiques », ajoute Arnaud Bontemps.


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  • 02 mai 2021

    Après l’agression fasciste du cortège du 1er mai à Paris

    La filière Gapone*-Brigadier Kayser* réactivée



    Depuis l’attaque en règle subie par le cortège du 1er mai, il est très instructif de regarder sur les réseaux sociaux qui sont ceux qui revendiquent d’y avoir participé , ceux qui justifient, approuvent ou encouragent ces fascistes à l’œuvre.

    A lire ici >>>>> Pages à idées rouges


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