• Cian 29 

    SAMEDI 18 JANVIER à QUIMPER

    STOPPER LE PÉRIL DE GUERRE

    Bonjour... et meilleurs vœux à chacun(e)

    En ce début d'année, nous aurions souhaité pouvoir vous les adresser avec sérénité.

    L'actualité nous vole cette tranquillité: l’environnement social et sociétal est en ébullition.

    C'est particulièrement le cas au plan international du fait de la surenchère agressive entre les USA et l' lRAN sur fond de menaces d'usage d'armes nucléaires, qui ravive les périls de guerres embrasant encore plus la région et attisant à l'extrême les tensions du monde .

    Le CIAN29*, dont l'UEP est membre, prend l'initiative de lancer l'alerte maximum, avec l'organisation d'une mobilisation publique ce Samedi 18 Janvier à QUIMPER.

    Le rendez-vous est prévu, place Terre aux Ducs et pont Médard à 10heures30, pour se rendre au Jardin de la Paix dans l'heure qui suit.

    Nous vous engageons à faire le maximum pour réussir ce temps de barrage à la barbarie.

    Amitiés.

    * CIAN 29 =Comité finistérien pour l'Interdiction des Armes Nucléaires

     


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  • Levallois-Perret : plusieurs centaines de personnes rassemblées en hommage à Cédric Chouviat, livreur mort après son interpellation

    Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées autour de la famille de Cédric Chouviat, mort après son interpellation par des policiers. Ils ont souhaité lui rendre hommage et demandent "justice".

    France Info >>>>>


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  • Communiqué de la CGT 11 Janvier 2020

    Le gouvernement maintient son projet en l’état

    et confirme l’instauration d’un âge pivot

    11 jan 2020
     
    Le gouvernement vient de confirmer aux organisations syndicales, le maintien de son projet de loi en l’état.
    Il renouvelle dans un courrier envoyé ce jour, ses nombreux éléments de communication qui n’ont pourtant convaincu personne depuis presque deux ans et demi.
     

    Ainsi, le premier ministre parle d’un projet « juste et simple » alors que tout le monde s’accorde sur la complexité à comprendre ce projet.

    Même les différents ministres ne peuvent expliquer ce qu’est une carrière complète pour prétendre percevoir les 1000 euros minimum de pension.

    Les annonces de mesures d’exception par profession à l’application du système « universel » se multiplient.

    C’est à se demander s’il n’y aura pas plus de régimes dits spéciaux avec cette loi qu’il n’en existe aujourd’hui...

    On ne change rien mais on gagne du temps.

     

    L’âge pivot devenu âge d’équilibre reste l’objectif indiscutable du gouvernement.

    Alors qu’on sait que le débat sur l’âge pivot n’est que de l’enfumage dans le but d’obtenir l’adhésion de certains syndicats (pour ne pas les nommer...) le gouvernement maintient le cap dans ce domaine aussi.

    En fixant des objectifs d’économie aux « partenaires sociaux », il refait le coup de l’assurance chômage.

    Au final, c’est le gouvernement qui décidera y compris par ordonnances, comme le stipule le courrier.

     

    Le gouvernement confirme donc ce jour que son projet de loi est d’abord budgétaire dans le but de faire de nouvelles économies sur le dos du monde du travail et les générations futures.

     

    La CGT est plus que jamais déterminée à obtenir le retrait de ce texte et à améliorer le système actuel.

    C’est le sens des propositions concrètes qu’elle fait depuis plusieurs mois notamment pour augmenter les ressources de notre protection sociale.

    Après la nouvelle mobilisation d’aujourd’hui, la CGT appelle les salariés, chômeurs, retraités et jeunes à participer massivement aux grèves et manifestations prévues dès la semaine prochaine.


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  • Carton rouge contre la révolution conservatrice de Macron

    Nous prenions pour un coup de com’ le titre du livre-programme du candidat Macron, Révolution.

    Nous avions tort.

    Élu président, Emmanuel Macron développe avec son gouvernement une révolution libérale autoritaire sans précédent depuis Margaret Thatcher.

    Avec violence contre quiconque proteste.

    Carton Rouge >>>>>


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  • Quimper Retraite aux flambeaux 10 janvier 2020

    Près de 300 manifestants pour la descente du Frugy aux flambeaux

    le Télégramme >>>>>


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  • Très belle manif nocturne aux flambeaux à Brest

    pour le retrait du projet Macron.

    Nous étions des centaines de personnes avec beaucoup de flammes.

    Nous avons  descendu la rue de Siam jusqu'au pont de Recouvrance.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    Au retour, j'écoute la radio,

    j'ai du mal à croire ce que j'entends :


    En Angleterre, une start-up, vient d'inventer et va pouvoir commercialiser, le "WC inconfortable".

     

    Pourquoi ?

    Parce que les salariés passent environ 10 minutes par jour aux toilettes, et qu'avec les portables, cela ne s'arrangerait pas, soit-disant. 

    En un an ces 10 minutes, feraient 38 heures : très mauvais pour la compétitivité, ça !

    Cet "inventeur" a tout simplement imaginé une cuvette inclinée de 13 degrés vers l'avant, ce qui fait que l'on glisse et qu'il faut faire travailler certains muscles qui fatiguent vite, pour se maintenir dans la position assise!

    Et cela vient d'être accepté en Grande Bretagne, alors pourquoi pas bientôt partout ?

    Et le journaliste de conclure pour cette fois intelligemment : " Nos pipis valent plus que leurs profits !"


    A demain samedi dans les manifs à 11 heures !

    Amicalement, 

    Le Télégramme >>>>> Vidéo

    Ouest-France >>>>> Vidéo

     

     

       Hello en complément  ...

    Dans la série, "nos manifestants ont du talent" :

    "Macron, voici le trône que tu mérites !"

    Là-bas si j'y suis Twitter vidéo >>>>>


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  • Dans la manifestation parisienne

    du 9 janvier 2020

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=47&v=YhvWHefVZlM&feature=emb_logo


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  • Le Collectif Les Infiltrés.

    Nous, cadres supérieurs,

    aux côtés des grévistes

     

    Un collectif de hauts fonctionnaires et de cadres du public et du privé appelle à rejeter la réforme des retraites.

    D’autres pistes sont possibles, comme redonner la main aux salariés sur un système qui leur échappe.

     

    Le gouvernement ne se préoccupe des inégalités que pour dénoncer les supposés privilèges des régimes spéciaux et dresser ainsi les Français les uns contre les autres.

    Mais la manœuvre est grossière.

    Tout le monde comprend que les vrais privilégiés ne sont pas les quelques derniers détenteurs de ces régimes ; vestiges d’anciennes luttes sociales victorieuses par ailleurs largement laminés depuis des années.

     

    Oubliez donc les cheminots, les fonctionnaires, les profs, car les vrais privilégié·es, c’est nous !

    Passé·es par Polytechnique, Centrale, Sciences-Po et autres grandes écoles, nous sommes maintenant hauts fonctionnaires, cadres dirigeants du public ou du privé.

    Notre position nous permet de ne pas connaître la précarité financière et de rester relativement protégé·es de la mondialisation et des politiques d’austérité.

    Et pourtant nous rejetons en bloc la politique menée par M. Macron.

     

     

    Evoluant dans un milieu où la doxa néolibérale domine, à des postes où faire grève est souvent inconcevable, il nous est compliqué d’intervenir dans le débat public.

    Nous avons ainsi assisté, impuissants, car isolés, aux attaques successives du code du travail, à la mise en place d’une politique fiscale outrageusement favorable au capital (ISF, CICE, flat tax, etc.) ou encore à la réforme de l’assurance chômage institutionnalisant la précarité.

    Regroupé·es aujourd’hui en collectif, nous écrivons cette tribune car nous ne voulons plus laisser passer silencieusement ces contre-réformes.

     

    Ainsi le gouvernement attaque notre modèle de retraites alors qu’il n’a pas de problème de financement et assure un très faible taux de pauvreté chez nos anciens.

    Pourquoi alors se lancer dans une telle entreprise et mettre le pays dans cet état ?

    Il faut comprendre que ce projet n’est pas un simple ajustement technique mais un profond changement structurel et idéologique.

     

    Il s’agit d’abord pour l’Etat de poursuivre la reprise en main de la gestion du système de retraites initialement sous la responsabilité des travailleurs.

    Ce mouvement initié par M. Rocard avec la bascule de la cotisation à l’impôt (CSG) s’achèvera par la mise en place du régime à points.

    Sa mécanique permettra un ajustement automatique du niveau des retraites au budget alloué par l’Etat, et dont les 14 % du PIB que ce budget représente aujourd’hui semblent devoir être considérés comme un maximum.

    Cette transformation est un préalable nécessaire aux futures réductions d’impôts qui justifieront de «nécessaires» (et automatiques) réductions de pensions pour maintenir le saint «équilibre».

    Mouvement qui ouvrira «naturellement» la porte aux «nécessaires» (puis obligatoires) retraites complémentaires par capitalisation.

    Le scénario est écrit, ce n’est pas pour rien que la réforme reçoit le soutien de tous les experts patentés de la finance et l’assurance.

     

     

    Il s’agit aussi d’en finir avec le salaire continué, fondement du régime général, pour basculer sur un système qui reste par répartition mais mime la capitalisation en terminant d’indexer les droits de chacun sur ses cotisations individuelles.

    Contrairement au propos de notre Premier ministre, ceci va à l’encontre de l’esprit de solidarité qui animait le Conseil National de la Résistance.

    Les conséquences pour les salariés les plus précaires ou les femmes ont été largement décrites.

    Mais au-delà de ces conséquences directes, il s’agit de préparer les esprits à la modernité néolibérale dans laquelle il est attendu de chacun qu’il accepte n’importe quel boulot précaire pour accumuler quelques points en vue d’une retraite misérable, pour préserver ses droits au chômage ou au futur revenu universel d’activité.

     

    Voici en quelques mots pourquoi nous rejetons cette réforme et tout le projet de société qu’elle contient.

    Mais pour ne pas rester dans la contestation, changeons de paradigme et donnons quelques pistes pour une autre réforme en nous appuyant par exemple sur les propositions historiques de la CGT, CGT dont on ne cesse pourtant de nous dire qu’elle ne propose rien.

    Puisqu’il s’agit de lutter contre les iniquités du système, pourquoi ne pas généraliser le régime général sur la base du salaire continué, et même déplafonner le régime général et supprimer les régimes complémentaires ?

    On pourrait ainsi d’une bien meilleure manière régler le problème, réel, des agriculteurs ou des indépendants.

    Et puisque bien sûr le gouvernement souhaite faire progresser la démocratie et la responsabilité de chacun, pourquoi ne pas redonner la main aux travailleurs sur la gestion des caisses comme c’était prévu en 1946 ?

     

    On nous objectera que nous ne sommes pas réalistes, que tout cela coûte trop cher.

    Pourtant nous n’avons jamais été aussi riches collectivement.

    Que les dividendes puissent aller de record en record quand la bonne gestion nécessiterait de plafonner la part des retraites dans le PIB n’a rien de naturel, c’est un choix politique.

    Le réalisme est-il du côté de ceux qui veulent repousser l’âge de départ avec une retraite digne quand le taux de chômage chez les seniors est déjà si élevé ?

     

     

    En attendant que se tienne un vrai débat de fond sur ces questions qui dépassent le cadre des retraites et définissent la société dans laquelle nous voulons vivre, nous, signataires de cette tribune, continuerons à soutenir la mobilisation pour le retrait complet du projet.

    Nous remercions les grévistes, cheminots et autres, d’assumer une bonne partie du coût de la grève.

    Le 9 janvier, et après encore, nous nous engagerons à leurs côtés, dans la rue et par la grève quand c’est possible, en donnant aux caisses de solidarité aux grévistes et par tous les moyens que nous trouverons.

     

    Le Collectif Les Infiltrés.


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  • De passage au CHU de Brest... La cavale Blanche

    le 7 janvier 2020

    Photos PYB

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Pétition nationale :
     

    Une majorité de citoyennes et de citoyens

    le demandent :

    retrait de la réforme Macron !

     

    Depuis le 5 décembre, des millions d'hommes et de femmes se retrouvent dans les grèves, dont beaucoup en reconductible, et les manifestations à l'appel des organisations syndicales.

    Ils et elles rejettent la réforme du système de retraites que veulent leur imposer le président de la République et son gouvernement.

    Ce projet n'est pas acceptable, car il est porteur de régression des droits de chacune et chacun : toutes les hypothétiques avancées proposées par le gouvernement devraient être financées par des baisses de pensions ou par l’allongement de la durée de la vie au travail. D’autres choix sont pourtant possibles.

    C’est pourquoi nous demandons le retrait du projet présenté par le Premier ministre, afin que soient ouvertes sans délai de vraies négociations avec les organisations syndicales, pour un système de retraites pleinement juste et solidaire, porteur de progrès pour toutes et tous, sans allongement de la durée de la vie au travail.

     
    Premiers signataires :
    • Éliane ASSASSI, sénatrice, Parti communiste français
    • Clémentine AUTAIN, députée
    • Guillaume BALAS, coordinateur, Génération.S
    • Josiane BALASKO, comédienne
    • Julien BAYOU, secrétaire national, Europe écologie-Les Verts
    • Ester BENBASSA, sénatrice, Europe écologie-Les Verts
    • Olivier BESANCENOT, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
    • Éric BEYNEL, porte-parole, Union syndicale Solidaires
    • Frédéric BOCCARA, économiste, membre du CESE, Parti communiste français
    • Paul BOUFFARTIGUE, sociologue CNRS
    • Marie-Pierre BRESSON, adjointe à la maire de Lille, co-présidente, Union des démocrates et des écologistes
    • Pierre CAILLAUD-CROIZAT, petit-fils d’Ambroise Croizat
    • Gilles CANDAR, historien
    • Damien CAREME, député européen, Europe écologie-Les Verts
    • André CHASSAIGNE, député, Parti communiste français
    • Jean-Louis COMOLLI, cinéaste, écrivain
    • Éric COQUEREL, député, La France insoumise
    • Alain COULOMBEL, porte-parole, Europe écologie-Les Verts
    • Laurence DE COCK, historienne
    • Anne DE HARO, Gauche démocratique et sociale
    • Dyenaba DIOP, porte-parole, Parti socialiste
    • Sylvie DURAND, secrétaire générale, Union générale des ingénieurs, techniciens et cadres-CGT
    • Eric FASSIN, sociologue
    • Olivier FAURE, premier secrétaire, Parti socialiste
    • Caroline FIAT, députée
    • Gérard FILOCHE, Gauche démocratique et sociale
    • Christakis GEORGIOU, chercheur, université de Genève
    • Gaël GIRAUD, économiste
    • Raphaël GLUCKSMANN, député européen, Place publique
    • Cécile GONDARD-LALANNE, porte-parole, Union syndicale Solidaires
    • Roland GORI, professeur honoraire des universités, psychanalyste, essayiste, président de l’Appel des appels
    • Pierre JOUVET, porte-parole, Parti socialiste
    • Régis JUANICO, député, Générations.S
    • Aurore LALUCQ, députée européenne, Place publique
    • François-Michel LAMBERT, député, co-président, Union des démocrates et des écologistes
    • Jean-Luc LAURENT, ancien député, Gauche républicaine et socialiste
    • Frédéric LEBARON, sociologue (Savoir/Agir)
    • Marie-Noëlle LIENEMANN, sénatrice, Gauche républicaine et socialiste
    • Myriam MARTIN, conseillère régionale LFI Occitanie, porte-parole, Ensemble
    • Philippe MARTINEZ, secrétaire général, Confédération générale du travail
    • Corinne MASIÉRO, comédienne
    • Laurent MAUDUIT, journaliste, cofondateur de Mediapart
    • Emmanuel MAUREL, député européen, Gauche républicaine et socialiste
    • Dominique MEDA, sociologue
    • Jean-Luc MÉLENCHON, député, La France insoumise
    • Gérard MEYLAN, comédien
    • Claire MONOD, coordinatrice, Génération.S
    • Chantal MONTELLIER, dessinatrice et écrivaine
    • Gérard MORDILLAT, écrivain
    • Jean NUMA-DUCANGE, historien
    • Jean-François PELLISSIER, porte-parole, Ensemble
    • Roland PFEFFERKORN, professeur émérite de sociologie
    • Michel PINÇON, sociologue, ancien directeur de recherche CNRS
    • Monique PINÇON-CHARLOT, sociologue, ancienne directrice de recherche CNRS
    • Christine POUPIN, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
    • Philippe POUTOU, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
    • Audrey PULVAR, journaliste, responsable associative
    • Adrien QUATTENENS, député, La France insoumise
    • Yvon QUINIOU, philosophe
    • Gilles RAVEAUD, économiste
    • Sandra REGOL, secrétaire nationale adjointe, Europe écologie-Les Verts
    • Fabien ROUSSEL, secrétaire national, Parti communiste français
    • Alain RUSCIO, historien
    • Stéphane SAINT-ANDRÉ, président, Les Radicaux de gauche
    • Jean-Paul SCOT, historien
    • Sylvie SCOT, professeur d’histoire retraitée
    • Gabrielle SIRY, porte-parole, Parti socialiste
    • Stéphane SIROT, historien et sociologue
    • Françoise SIVIGNON, médecin
    • Jo SPIEGEL, président, Place publique
    • Valère STARAZELSKI, écrivain
    • Henri STERDYNIAK, économiste (Les économistes atterrés)
    • Sophie TAILLÉ-POLIAN, sénatrice, Génération.S
    • Benoît TESTE, secrétaire général, Fédération syndicale unitaire
    • Marie-Christine VERGIAT, responsable associative

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