• Fralibres ! 5 ans !!!

    Communiqué de presse SCOP TI 1336

     

    Il y a 9 ans le 28 septembre 2010, la Multinationale UNILEVER annonçait le projet de fermeture de notre site.
    Et cela fait maintenant 5 ans que nous avons créé notre coopérative SCOP TI et nous sommes toujours là...!

     

    Nous tenons cette conférence de presse au cœur de la foire internationale de Marseille, lieu important concernant l’activité commerciale d’une entreprise comme la nôtre.

     

    Le bilan pour les 76 ex-Fralibs qui sont restés dans le combat collectif pendant 1336 jours, est un bilan 100% positif.
    Tous sont soit salariés chez SCOP TI (42), soit en retraite (24), ou bien salariés ailleurs pour quelques-uns d’entre eux (10) ayant choisi une autre orientation professionnelle à l’issue du combat.

    Nous avons donc atteint tous les objectifs que nous nous étions fixés collectivement le dernier étant la  réembauche de tous les ex-Fralibs qui en avaient émis le souhait.

     

    Nous avons créé SCOP TI le 5 août 2014. Cela fait 5 ans que notre coopérative progresse de jour en jour. Cette année, nous aurons multiplié notre chiffre d’affaires par 10 depuis la reprise de l’activité, passant de 460 000€ la première année à près de 4 Millions à fin 2019...!

    Et nous prévoyons encore des croissances à deux chiffres pour les prochaines années. Ceci grâce à nos innovations permanentes, à notre dynamisme et à notre motivation sans faille. 

     

    Depuis notre création, nous avons répondu à plusieurs appels d’offre de la grande distribution, afin d’obtenir des marchés indispensables au volume d’activité nécessaire pour faire vivre notre très important site industriel.

    Aujourd’hui nous gérons 6 contrats de ce type avec plusieurs grandes enseignes. D’autres appels d’offre en cours et devraient générer des marchés supplémentaires.

     

    En complément, l’évolution des ventes de nos gammes de thés et d’infusions à la marque 1336 est en progression permanente: 10 Tonnes la première année, puis 25 Tonnes, 30 Tonnes et 34 Tonnes …

    Cette année encore nous sommes encore en très forte progression; le taux de pénétration du marché par nos marques est exceptionnel pour une marque aussi jeune que la nôtre, mais reste encore insuffisant.
    Nous avons donc une belle marge de progression, au vu du manque encore trop important de présence de nos produits dans certaines régions de France (rappel de notre boutique en ligne pour ceux qui ne nous trouvent pas  encore en magasins : www.boutique1336.fr).

     

    Notre situation actuelle reste délicate, pénalisée par une trésorerie serrée. Ce point étant amplifié du fait que les banques nous soutiennent très peu…

     

    Dans ce contexte, la solidarité qui s’est organisée autour de nous, est vraiment très importante, pour nos finances comme pour notre détermination.

    La relance cet été de notre campagne de socio-financement, est un véritable succès (avec 67 000€ de récoltés depuis début juillet).

    Cette générosité nous permettant de tenir financièrement et dont nous avons toujours besoin.

     

    Nous bénéficions également des soutiens venant du milieu de l’Economie Sociale et Solidaire.
    Aujourd’hui, le projet initié par 2 Mutuelles, (Mutuelle France Unie et Mutuelle Entrain) d’acquérir les bâtiments et terrains qui sont la propriété de La Métropole, est en passe d’aboutir.

    La décision, qui est entre les mains de La Métropole, est en très bonne voie.

    Outre l’effet très significatif que cela aura sur les comptes de SCOP TI, cette opération concrétisera l’une des options qui avaient étaient évoquées dès 2012; celle de créer sur le site de “feu-FRALIB” un solide Pôle de l’Economie Sociale et Solidaire.

     

    Nous vous donnons rendez-vous dans 5 ans, pour fêter les 10 ans de SCOP TI …!

     

    Retrouvez nos thés et infusions dans tous vos magasins.
    (Sinon, sollicitez le chef de rayon pour les référencer...)

    SCOPTI éveille les papilles et réveille les consciences

     

    Et souvenez-vous :

    « Qui n’y a pas goûté, n’a pas saisi la beauté du combat ! » 

     

    Bonne fin de journée et excellent week-end

    Amicalement, les Coopérateurs de SCOP-TI


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  • Aides à domicile

    Face à la mobilisation contre cette inacceptable mesure

    Le gouvernement macron Philippe renonce finalement à raboter la niche fiscale pour les personnes âgées non-dépendantes

     

    France info >>>>>


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  • Mardi 24 septembre2019 Finistère

    contre la réforme anti-sociale des retraites

     

    Manifestants contre la réforme des retraites :

    Morlaix. 120 
    Brest 1.500
    Quimper 300
    Quimperlé 200
    Carhaix 140

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  • Le mépris condescendant...

    de celui qui enfume et gaze les mobilisations

    Manifestations des jeunes pour le climat : "Défiler tous les vendredis, c'est sympa" mais "qu'ils aillent manifester en Pologne", lâche  Macron

    Le président de la République recommande à la jeunesse des actions plus concrètes car selon lui les "incantations ne suffisent plus".

    France Info >>>>>


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  • Quimper 21 septembre 2019
    Climat, social, pesticides, Retraites, Paix !
    (Photos Ensemble Finistère !)
     

    Accueil  - Ensemble Finistère !

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    Accueil  - Ensemble Finistère !

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  • Crise aux urgences :

    2 300 professionnels de santé souhaitent

    "des états généraux de l'hôpital public"

    Ils signent cet appel dans le "Journal du Dimanche" daté du 22 septembre.

    France Info >>>>>

    JDD >>>>> Abonnés


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  • Mouvement climat et «gilets jaunes» convergent

    en dépit des forces de l’ordre

    21 septembre 2019 Par Christophe Gueugneau et Mathilde Goanec
     

    Un peu partout en France, des manifestants ont défilé pour alerter sur le climat samedi 21 septembre, également jour de rentrée pour les « gilets jaunes ». À Paris, le cortège a dû faire demi-tour, noyé sous les gaz lacrymogènes, provoquant la colère des associations et des collectifs organisateurs. Le matin, gilets jaunes et mouvement vert avaient déjà été empêchés de manifester dans la capitale.

     

    Marcheurs pour le climat et « gilets jaunes » main dans la main : l’image était attendue depuis de nombreux mois. Associer le jaune et le vert, en somme. C’était sans compter, dans la capitale, sur le bleu policier. 

    À Paris, entre 15 000 (chiffre du cabinet Occurrence) et 38 000 (chiffre des organisateurs) personnes ont défilé samedi après-midi pour une marche associant justice climatique et justice sociale. Une marche entravée, dès le matin, par un dispositif policier impressionnant et rebutant présent toute la journée.

     


     

    Dans le reste du pays, des marches pour le climat étaient également organisées à Lille, Bordeaux, Metz, Rouen, Nancy, Marseille, Tours, Angers, Bayonne et Caen, où des milliers de personnes ont défilé, souvent rejointes par des gilets jaunes. Ce fut notamment le cas à Bordeaux (Gironde), où les deux cortèges se sont un temps réunis, avant de partir chacun de leur côté. Le matin même, la ville avait déjà vu défiler entre 300 et 500 personnes, venues manifester à l’appel de plusieurs syndicats, contre la fermeture de l’usine Ford Blanquefort, rapporte Sud Ouest. Sur toute la France, Greenpeace annonce 150 000 participants.

     

    À Nantes (Loire-Atlantique), le slogan « 1, 2, 3 degrés, c’est un crime pour l’humanité » a résonné dans les rues tout au long de l’après-midi. « Le homard rouge, symptomatique de l’affaire De Rugy, cet été, s’invite également sur les pancartes des manifestants », écrit Ouest France, qui évoque également le moment où de nombreuses personnes se sont allongées sur le bitume, « telles des victimes d’une planète malade ». À Rennes (Ille-et-Vilaine), ils étaient entre 3 000 et 3 500 à défiler dans le centre-ville, un millier à Caen (Calvados) et à Angers (Maine-et-Loire) 300 à Saint-Lô (Manche) indique le quotidien régional.

    Des homards en peluche ont aussi été aperçus à Lille (Nord) où près de 1 500 personnes sont descendues dans la rue, selon France 3 Hauts-de-France. Aucun incident à signaler sinon quelques tensions près d’un magasin Apple où des CRS étaient postés et devant lequel les manifestants sont passés en scandant « Apple paie tes impôts ! », avant d’être repoussés. La marche pour le climat et le cortège des gilets jaunes ont également convergé à Marseille (Bouches-du-Rhône) dans une ambiance qualifiée de « bon enfant » par La Provence.

     

    À Paris, dès 8 h 30, la place de la Madeleine est quasiment inaccessible, des policiers patrouillant en nombre à chaque accès.

    Au bout de la rue Tronchet, à une centaine de mètres, Jean-François Julliard de Greenpeace, Éric Beynel du syndicat SUD, ou encore des membres d’Alternatiba ANV COP21 ont donné rendez-vous à la presse.

    Alors que leurs organisations – de même qu’Attac – avaient donné rendez-vous à 9 h place de la Madeleine pour organiser la convergence avec les gilets jaunes, le rassemblement a été interdit la veille par la préfecture de police.

    Les organisateurs ont déposé un référé-liberté mais celui-ci a été rejeté samedi matin.

    Le petit groupe d’une dizaine de personnes tente tout de même de rejoindre la place, au prix de nombreuses fouilles et de déclinaisons d’identité. Ce premier rendez-vous, destiné à jeter des ponts avec le mouvement social des gilets jaunes qui en est à son quarante-cinquième samedi de manifestation, est apparemment craint par les autorités.

    Peu de temps après 9 h, première sommation, sans mégaphone, pour évacuer les lieux. « Depuis le mois de décembre, on n’avait pas été chargés si tôt ! », plaisante un manifestant, légèrement blasé. Suivant les consignes, une jeune femme s’engage avec ses amis dans une rue perpendiculaire à la place, elle est néanmoins violemment tirée par le bras par un policier. « C’est moi qui dirige ici ! », gronde-t-il, alors qu’elle fond en larmes.

     

    Pendant deux bonnes heures, des centaines de gilets jaunes sans gilet jaune – ils seraient de toute façon saisis par les forces de l’ordre – vont tenter de manifester dans l’ouest de la capitale, par grappe de 50, 100 personnes.

    C’est un jeu du chat, de la souris et de la lacrymo qui a lieu dans les rues. De nombreux voltigeurs, ces policiers à moto, sont présents, bloquant les rues, cassant les cortèges sauvages en deux. Un groupe de manifestants regroupé rue de Rome est ainsi dispersé. Un autre traverse en courant le parc Monceau un peu plus tard. Certains chantent, nassés dans les petites rues de la capitale, les mains en l’air : « Police, doucement, on fait ça pour vos enfants ! »

     

    Dans la gare Saint-Lazare, les policiers n’hésitent pas à gazer. Une photojournaliste se fait confisquer son casque, proteste, reçoit un jet de lacrymogène. Bérengère, gilet jaune de Paris, accompagnée d’Anaïs, venue de Lyon, racontent être descendues dans le métro, pour se protéger des violences à l’extérieur. « Les flics nous ont suivies. Nous étions dans les lacrymogènes, il y a avait du gaz en profondeur, jusque dans les couloirs de la ligne 14. Des enfants pleuraient, des vieux couraient. On a fini par sauter dans la rame. »

    Vers 11 h, plusieurs centaines de personnes parviennent finalement à pénétrer sur les Champs-Élysées, faisant face à un dispositif policier qui pourrait être hors norme s’il n’était pas habituel. 7 500 policiers ont été déployés dans la capitale pour ce samedi, a précisé la préfecture, autant que pour le 1er mai. 

    Une demi-heure plus tard, la préfecture de police annonce 90 interpellations, 1 249 contrôles et plus de 120 verbalisations.

    Et vers 12 h 30, les Champs-Élysées étaient à nouveau vidés de manifestants

     

    Éparpillés, les groupes de gilets jaunes cherchent à savoir comment rejoindre la manifestation de l’après-midi qui part du jardin du Luxembourg, dans le Ve arrondissement.

    Sur le chemin, les policiers procèdent à des contrôles d’identité au hasard, prennent des photos des personnes contrôlées avec leur pièce d’identité. Les policiers sont, eux, cagoulés, équipés, énervés.

     

    Marvin et Alicia, deux gilets jaunes de Mulhouse, sont montés en désespoir de cause dans un métro. Ils doivent retrouver leur groupe au rendez-vous donné pour la manifestation climat. Sans grand enthousiasme : « Les gens du climat  me gonflent un peu, ces grosses manifs-là, où on défile sagement, ça change quoi, ça dérange qui ? », s’interroge le jeune homme. Il est là quand même, ce samedi : « Quand tu as goûté à ce mouvement, tu ne peux plus revenir en arrière. Les gens qui sont sortis du rang n’y rentreront plus jamais. »

     

    « Travaille, consomme et ferme ta gueule »

    « La stratégie c’est de rejoindre la manif climat parce que comme le gouvernement fait beaucoup de greenwashing, on se dit qu’il sera peut-être moins prompt à la violence sur cette manif-là, explique de son côté Agnès, gilet jaune parisienne, et qui a passé sa matinée à tenter de rejoindre son groupe d’amis dans les rues de Paris, pour finir  à 13 h au Luxembourg, à quelques encablures du Sénat. Cela nous protégera peut-être. Macron, couronné “champion de la terre”, n’osera pas se mettre toute la population sensible à l’écologie à dos. »

    Marvin et Alicia ont eux fini eux par retrouver Françoise, Siar, Leila, tous venus de différents groupes de gilets jaunes du Haut-Rhin. « C’est un peu notre rentrée à nous aussi ! », plaisante Leila tout sourire. La jeune femme n’avait plus manifesté à Paris depuis le 16 mars. La convergence avec le mouvement écologiste lui fait plaisir. « Avant je m’en fichais un peu mais on a beaucoup été sensibilisé dans les QG. »

    Sur la place, pas sûr que tout le monde goûte le mélange des genres.

    Alors que s’élèvent les chants classiques du cortège antifa et anticapitaliste, une femme, agrippée à sa banderole Greenpeace, s’alarme : « Ah bon, il y a des black blocks ? Mais moi je suis venue pour le climat, hein ! » 

    Sur la petite tribune montée devant le Panthéon, pour accueillir les principaux organisateurs avant le départ vers Bercy, Jean-François Julliard de Greenpeace prend la parole pour espérer que la manifestation du jour ne soit pas une « énième mobilisation mais le début d’une nouvelle phase plus résolue et plus déterminée ».

    Plus bas, on crie « Révolution » et des airs anti-Macron.

    Quelques minutes plus tard, le défilé démarre enfin.

    La grosse abeille en papier et le petit char à vélo d’ANV-COP 21 sont précédés par plusieurs centaines – sans doute même un bon millier – de manifestants gilets jaunes et K-Way noirs. Tous remontent boulevard Saint-Michel. On entend à l’arrière l’éternel « plus chaud, plus chaud que le climat », mais à l’avant retentit le plus déterminé « travaille, consomme et ferme ta gueule ».

    Le cortège n’a pas fait un kilomètre que l’ambiance se tend déjà. Des manifestants brisent la vitrine d’une banque, provoquant la réplique immédiate de la police.

    Comme déjà vu le 1er mai, des forces de l’ordre foncent par petits groupes au travers des manifestants. Les grenades lacrymogènes volent, des coups de LBD sont tirés et des grenades de désencerclement font leur office. La manifestation est disloquée. S’ensuivent une grosse vingtaine de minutes de fortes tensions.

     
     Les gens courent dans tous les sens. Certains, plus habitués aux manifestations, crient aux autres de rester groupés. Les policiers sont copieusement hués, des canettes et autres objets leur sont jetés dessus et rebondissent sur les boucliers. Le boulevard est transformé en immense nuage de gaz lacrymogène. Des street medics sont appelés.


    Sur le trottoir les manifestants, manquant d’étouffer, donnent des coups dans les portes d’immeubles pour entrer, supplient les commerçants de les laisser passer. Un homme est assis au fond d’un fast-food, le front en sang, pris en charge par les medics. Dans un couloir, un autre est allongé, sans connaissance. Les gens hurlent de fermer les portes, car les tirs de gaz lacrymogènes ont envahi les alentours.

    Alors qu’ils ressortent, beaucoup découvrent avec stupeur que le cortège en lambeaux est reparti dans l’autre sens, direction le point de départ, jardin du Luxembourg.

    Certains en ont déjà assez et s’échappent dans des rues adjacentes, vite bouclées par plusieurs camions de police. Derrière, des policiers tirent en cloche des palets de gaz lacymogènes, provoquant la colère des passants. « La police nous protège, tu parles ! », hurle un vieux monsieur. Deux jeunes femmes, le brassard Action Climat Paris autour du bras, sont affolées : « Moi j’y retourne pas, par où on part ? »

    De retour au Luxembourg, beaucoup s’interrogent : « On était nombreux quand même », dit un militant. « Oui mais on recule, quel symbole !, lui répond une plus jeune manifestante. Qu’est-ce que les médias vont retenir ? » 

    À 15 h 30, alors que tout le monde tourne en rond, la police donne les consignes au mégaphone : « La manifestation reprend, direction Port-Royal ». Après quelques minutes de flottement, le cortège s’exécute.

    Dans le cortège, Jean-François Julliard de Greenpeace France se dit « déçu » par la tournure des événements. « Les chars ne sont plus là, des gens venus avec leurs enfants sont partis, poursuit-il. Une marche climat, il n’y en aura plus avant je ne sais pas combien de temps, et encore, avec 12 militants et demi ».

     

    « une attaque policière, inédite dans l’histoire du mouvement social »

    Dans un communiqué, les organisateurs sont plus offensifs.

    Ils dénoncent « une attaque policière, inédite dans l’histoire du mouvement social » qui a contraint « les dizaines de milliers de manifestants réunis à faire marche arrière et de rebrousser chemin dans la stupeur la plus totale ».

    Le gros du cortège passe tout de même. À l’avant, une fanfare entraîne la foule. 

    À l’arrière cependant, les manifestants continuent de s’opposer aux forces de l’ordre. Avenue des Gobelins, des scènes de chaos se succèdent. Des barricades enflammées sont érigées en travers de la route. La police charge à de nombreuses reprises. La situation redevient à peu près calme place d’Italie. La fin du cortège poursuit sa route non sans placer du mobilier urbain en travers de la voie. Ce qui ne sert pas à grand-chose puisque la police est loin derrière.

    Arrivés au bord de la Seine, un moment de flottement saisit les derniers manifestants : certains appellent à repartir en manifestation sauvage, d’autres, l’air fatigué, préfèrent poursuivre pour traverser le fleuve et enfin arriver à destination : le parc de Bercy. Ce sont eux qui ont le dernier mot, même si de petits groupes ont quitté le cortège et se dirigeaient en fin de journée vers les Champs-Élysées.

    Au même moment, des militants d’ANV COP21 annoncent occuper le pont de Tolbiac et la passerelle Simone-de-Beauvoir pour dénoncer l’action du gouvernement.

    Des policiers à moto foncent sur les quais : comme un symbole de la vraie action du gouvernement aujourd’hui. À 18 h, la préfecture de police annonçait 163 interpellations et 395 « verbalisations sur périmètres interdits », ainsi que 99 personnes placées en garde à vue.


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  • Climat, social, retraites...

    manifestations tous azimuts...

    EN IMAGES. Un million de manifestants en Allemagne, un cortège perturbé à Paris... Retour sur les marches pour le climat dans le monde

    A New York, Londres, Berlin ou Paris, une foule immense d'adolescents et de jeunes adultes s'est rassemblée pour alerter les dirigeants sur la protection du climat.

    France Info >>>>>

     

    Climat, Social, Retraites :

    500 à Brest

    500 à Quimper

    300 à Douarnenez

    350 à Morlaix

    200 à Carhaix (20 septembre)

    360 à Quimperlé

     

     

    VIDEO. Quimper. Une manifestation pour la paix et le climat bien suivie

    Ouest-France >>>>>

     

    Brest. 500 manifestants pour la convergence des luttes

    Le télégramme>>>>>

     


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  • Attac et Solidaires privés de manifestation à Paris :

    "Cette liberté de manifester est grignotée.

    On a un gouvernement de plus en plus brutal"

    Sur franceinfo, la porte-parole de l'association Attac a réagi à l'interdiction d'un rassemblement samedi 21 septembre à Paris, par la Préfecture de police de Paris. "Nous voulons des alternatives, des politiques fortes, pour faire face à l'urgence climatique, mais aussi face à l'urgence sociale" a expliqué Aurélie Trouvé.

    France Info >>>>>

     


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  • Nul n’est à l’abri d’une décision de "justice politique" aujourd'hui

    La tendance à la dérive, en matière d’indépendance de la justice, est présente et tend à s’amplifier. Le dossier des gilets jaunes illustre cette forte interférence du pouvoir exécutif avec la justice.

     


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