• Européennes 2019 :

    le PCF est pour un scrutin de liste nationale

    mais veut plus de garanties démocratiques

    Communiqué du Parti communiste français. 

    Mardi,23 Janvier, 2018
     

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  • Macron se dit « prêt à attaquer en diffamation »

    toute personne dénonçant les violences policières »

    Ce mardi, Emmanuel Macron se rendait à Calais afin d'exposer et de défendre sa politique migratoire. Lors de cette visite, ce dernier a maintenu sa ligne dure et autoritaire. Au menu, toujours plus de répression à l'égard des migrants, avec la promesse d'examens accélérés des demandes d'asiles, ainsi que des reconduites à la frontière plus efficaces. Mais ce tournant répressif s'adresse également aux militants, avec une extension du délit de solidarité.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Ruffin :

    " Les Chiottes d'Hugo, Sniper à Lidl,

    Rugby Pognon contre Nation"...

     


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  • Catalogne Corse : Pourquoi Roger Martelli fait fausse route

     

     

    Roger Martelli a eu la bonne idée de rapprocher la Corse et la Catalogne dans une récente tribune publiée par Libération.

     

    Même si les situations en Corse et en Catalogne ne sont pas identiques, il y a tout lieu de se réjouir de ce rapprochement, particulièrement pour une "gauche de gauche", pour reprendre ses termes.

     

    Car ce qui justifie ce rapprochement, sur le fond, c'est bien ce qui est commun aux deux situations, et qui a fait l'objet de commentaires dans toute l'Europe : l'aspiration des peuples à l'autodétermination.

     

    C’est malheureusement une aspiration et un droit qui sont absents de la tribune de Roger qui passe donc, hélas, à côté de l'essentiel.

     

    Il fait le choix d'opposer le « eux et nous » et l'option « identitaire » –  procédé réthorique pour le moins malvenu -  au clivage social cher à la gauche et à ce à quoi il renvoie : l'aspiration à se soustraire à la domination pour aller à l'émancipation.

     

    Or, c'est précisément cette volonté de se soustraire à la domination et l'horizon de l'émancipation qui pointent en Corse comme en Catalogne au travers de l'aspiration à l'autodétermination. 

     

    Que cette volonté et cette aspiration ne soient pas partagées par toutes et tous, c'est l’évidence. Que, comme tout processus social et politique radical, celui-ci sécrète la réaction, est une autre évidence.

     

    Que cette volonté et cette aspiration s'expriment sur le plan électoral par des canaux extérieurs à la gauche en Corse et en partie extérieurs à la gauche en Catalogne, c'est la réalité. La gauche devrait donc plutôt s'interroger sur ce qu’elle n’a pas su ou voulu intégrer dans son programme et dans sa stratégie. Il pourrait d’ailleurs sembler que la gauche dont nous parle Roger est une gauche rêvée, une gauche qui a souvent été aveugle aux multiples contradictions du capitalisme, une gauche qui s’est par ailleurs souvent arc-boutée sur la défense du statu quo étatique et capitaliste.

     

    Le Front populaire qu’invoque Roger n’a-t-il pas considéré que le décret Blum-Violette règlerait la question du droit à l’autodétermination du peuple algérien? Une certaine gauche n’a-telle pas nié jusqu’à l’existence d’un peuple algérien ? Le Frente popular d’Espagne n’a-t-il pas « omis» d’accorder le droit à l’autodétermination des colonies espagnoles ?  La gauche française n’a-t-elle pas  voté les pouvoirs spéciaux à Guy Mollet au nom de la défense de l’unité de la gauche et de la question sociale ?

     

    L'histoire ne nous aurait-elle rien appris, du principe des nationalités à la révolution coloniale puis à la réapparition de la question nationalitaire en passant par les débats du mouvement ouvrier du XX° siècle ? 

     

    Pour revenir à aujourd’hui, une grande partie de la gauche espagnole a mis en œuvre les politiques d'austérité et demeure plus qu'ambigüe face au nationalisme espagnol dominant. Quant à la gauche traditionnelle corse, elle s'est compromise de longue date avec les clans qui sont le relais de la domination coloniale française.

     

    Plutôt que d'enfermer le débat dans une caricature grossière des réalités corse et catalane ou d'ignorer qu'une partie importante du mouvement ouvrier et des mouvements citoyens et sociaux de Catalogne penche du côté de l'auto-détermination, ce qu’il faudrait approfondir dans un dialogue permanent avec la gauche radicale et la gauche indépendantiste, c’est une conception commune  d’une autodétermination ouverte, de la construction d'un peuple-communauté de destin,  de la perspective non pas de construction classique d'un Etat-nation bourgeois de plus mais d'une forme de souveraineté populaire à inventer en Corse, en Catalogne et ailleurs dans toute l'Europe, sans oublier l'autodétermination et l'indépendance des derniers confettis de l'empire français.

     

    La gauche ne reviendrait pas «en arrière » comme le craint Roger – encore que «revenir en arrière» pour renouer avec ce que John Larkin, secrétaire de l'Irish Transport and General Workers’ Union, déclarait en 1911: 
    «Nous sommes déterminés à établir non seulement la liberté nationale, mais quelque chose de plus grand encore : la liberté individuelle – celle qui libère de l’esclavage militaire et politique, de l’esclavage économique et salarial !» pourrait avoir un sens –  
    mais elle s’emparerait au contraire  de tous les leviers des contradictions pour se refonder autour d'un projet alternatif et émancipateur, s’appuyant sur les aspirations et les pratiques populaires que laissent entrevoir, d’une façon ou d’une autre, les phénomènes qui se déroulent sous nos yeux.

     

     

    Bruno Della Sudda et Patrick Silberstein
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    Une brève réflexion sur deux cas différents et pourtant complémentaires... par Roger Martelli

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  • Turquie : Erdogan n'est pas le bienvenu à Paris 
     
    MRAP
     
    Le Président Macron doit recevoir Erdogan ce vendredi à Paris. Or Erdogan a installé en Turquie une dictature autocratique, gouvernant par décrets.
     
    Il se livre à une véritable chasse aux démocrates, aux journalistes, aux avocats, aux universitaires, aux élus qu'ils soient kurdes ou turcs pour peu qu'ils osent tenir un discours différent de celui qui se prend pour un nouvel empereur ottoman. Erdogan, qui cite Hitler comme référence, ose déclarer « les terroristes ne sont pas seulement ceux qui brandissent des armes mais aussi ceux qui ont un stylo entre les mains »
     
    Depuis juillet 2016, il a mis en place un état d’urgence, 128 998 personnes  ont été arrêtées, 61 247 personnes sont toujours détenues, 8 693 universitaires ont perdu leur travail, 3 000 écoles et associations ont été fermées, 4 463 juges et procureurs ont été licenciés, 305 journalistes ont été arrêtés, 187 médias (journaux, télévisions) ont été dissous.
     
    Il mène une guerre sans merci contre la population kurde, se rendant responsable de crimes de guerre ;  les villes kurdes sont bombardées, assiégées ; le nombre de victimes civiles  se chiffrent par centaines ; 1,5 million de personnes vivent un blocus en vivres, eau, électricité, médicaments. 250 000 civils ont été poussés à l’exode.
     
    Des élu-es ont été destitué-e-s et les co-présidents du parti HDP, Selahattin Demirtas et Figen Yuksekdag ainsi qu’onze autres députés sont toujours incarcérés.
    Les personnes qui ont pu être relâchées de prison témoignent des plus graves tortures. Plusieurs avocats ont dénoncé  ces faits, mais ceux-ci sont à leur tour emprisonnés. 
     
    Les femmes n'échappent pas à la dérive conservatrice (les violeurs qui épouseraient leur victime même s'agissant de mineures, échapperaient à la justice)
     
    Il  intervient en Syrie contre les Kurdes syriens qui combattent Daesh que la Turquie n'a cessé depuis des années de soutenir et d'utiliser pour ses intérêts de puissance régionale.
     
    Cette visite intervient à quelques jours du 5ème anniversaire de l'assassinat à Paris des trois   militantes kurdes,  froidement exécutées d’une balle dans la tête, dans les locaux du Centre d'Information du Kurdistan.  L’enquête menée en France a révélé nombre d’indices faisant apparaître que le meurtrier présumé, Ömer Güney, arrêté quelques jours après le crime, avait agi pour le compte des services secrets turcs (MIT).
     
    La France et l'Europe hésitent à dénoncer ces attaques généralisées contre la démocratie et les droits de l'homme. Depuis 2016, elles se sentent en effet tenues par le pacte honteux qu'elles ont passé avec la Turquie sur la gestion des mouvements de réfugiés. La Turquie, qui accueille 2 millions de réfugiés syriens, en a fait une monnaie d'échange : elle s'est engagée à retenir les réfugiés qui voulaient continuer leur exil vers l'Europe, en échange de quelques milliards et d'une caution politique pour son régime. La France tient d'autant plus à cette politique qu'elle prétend en faire un modèle étendu à tous les pays de transit des migrants, en leur transférant le contrôle des mouvements migratoires.
     
    Face à cette situation, le MRAP estime que la venue à Paris d'Erdogan est une insulte aux valeurs de Liberté, d'Egalité, de Fraternité qui sont celles de la République française.
     

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  • NPA

    Ne pas se demander

    ce que Macron peut faire pour nous

    Lire la suite...


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  • Précarité. « Zéro SDF » : le compte n’y est pas, Monsieur Macron  !

    Camille Bauer
    Mardi, 2 Janvier, 2018

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  • Macron

    c'est le serpent qui essaie de vous hypnotiser

     

    Eric Coquerel

    Parti de Gauche

    député La France insoumise de Seine-Saint-Denis

     

    "Emmanuel Macron c'est un peu le mister Kaa de la politique, vous savez, dans Le livre de la jungle, le serpent qui essaie de vous hypnotiser."

    "Avec ses premiers vœux aux Français, "il a encore essayé de faire ça, avec à chaque fois beaucoup de blabla et de belles paroles qui sont toujours contredites par les actes",

    a commenté le député de la France insoumise sur franceinfo.

    source France TV Info

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    Emmanuel Macron dit "beaucoup de blabla"

    et de "belles paroles"

    dénonce Eric Coquerel, député La France insoumise

    Eric Coquerel, député La France insoumise de la Seine-Saint-Denis a vivement critiqué lundi sur franceinfo les voeux télévisés du chef de l'Etat. Selon lui, il y a "beaucoup de blabla" dans ce discours et peu de "fond".

    France TV Info >>>>>

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    Selon le titre...

    Pour ses premiers vœux, Macron n'a été regardé que par 11,2 millions de téléspectateurs sur 67 millions de Français soit 16,7%

    Pour ses premiers vœux, Emmanuel Macron a été regardé par 11,2 millions de téléspectateurs

    Fin 2016, les derniers vœux de François Hollande avaient attiré 10,1 millions de personnes.

    A Lire ici France TV Info >>>>>


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  • Contrôle des chômeurs :

    "On a un gouvernement de fainéants

    qui préfère s'attaquer aux chômeurs"

    plutôt qu'au chômage

    Pour le député La France insoumise du Nord, Adrien Quatennens, "la réalité du chômage, c'est des familles qui se paupérisent, des échecs scolaires, des inégalités qui se reconduisent".

    A Lire ici France TV Info >>>>>


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  • Mélenchon : le regard dans le rétroviseur

    Malgré l'espoir qu'il a suscité pendant la présidentielle, le chef de La France insoumise a du mal à parler de l'avenir, au risque d'éloigner des électeur

    A Lire ici >>>>> Libération


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