• Mobilisation Chômage

    Samedi 22 mai 2021

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    Intermittents : manifestations dans plusieurs villes de France pour réclamer le retrait de la réforme de l'assurance chômage

    Des manifestations d'intermittents et de précaires se sont déroulées dans plusieurs villes de France pour réclamer le retrait de la réforme de l'assurance chômage, à l'appel de la Coordination nationale des théâtres occupés.

    France Info >>>>>


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  • 132 ème samedi consécutif
    et il y a toujours des Gilets Jaunes 
    dans les rues de Paris.
     
    Le GJ plie mais ne rond-point,
    même si Macron ne veut pas,
    on connaît la chanson
     

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  • Rassemblements Solidarité Palestine

    Samedi 22 Mai 2021

    AFPS >>>>>


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  • Robert Marchand, le doyen des cyclistes,

    est décédé à 109 ans

    Le champion cycliste Robert Marchand s'est éteint à l'âge de 109 ans dans la nuit de vendredi à samedi. 

    France Info >>>>>

    Ouest-France >>>>>

    L'Humanité >>>>>

     

    Le cycliste Robert Marchand

    était "un exemple pour les Français,

    voire partout dans le monde",

    salue l'un de ses amis

    Selon Gérard Mistler, président de "L'Ardéchoise", le doyen du cyclisme français, mort à 109 ans, avait beaucoup souffert de l'isolement lié à l'épidemie de Covid-19.

    France Info >>>>>

     

     

    À 109 ans,

    le cycliste communiste Robert Marchand

    s’en est allé

     

    Samedi 22 Mai 2021
     

    Titulaire de nombreux records, le plus vieux coureur du monde et adhérent au PCF depuis 1962 est mort dans la nuit de vendredi à samedi dans la commune de Mitry-Mory.

     

    Le 26 novembre 2020, jour de son 109e anniversaire, le doyen des cyclistes de cette planète Robert Marchand prend sa plume pour écrire un courrier au président de la République.

    Il n’a qu’une demande : qu’Emmanuel Macron maintienne l’Ardéchoise, mythique course cycliste qui rassemble chaque année plus de 14 000 coureurs, annulée l’an passé à cause du Covid-19.

    L’ambassadeur de la compétition et titulaire historique du dossard numéro 1 obtient gain de cause.

    La course se tiendra les 18 et 19 juin prochains mais Robert Marchand ne pourra pas donner le départ de cette trentième édition, comme il le souhaitait ardemment.

    Dans la nuit de vendredi à samedi, il s’est éteint paisiblement dans l’Ehpad où il vivait à Mitry-Mory (Seine-et-Marne), après plus d’un siècle rempli d’admirables péripéties.

     

    Robert Marchand a passé sa vie, et surtout ses dernières années, à enchaîner les records et démontrer que l’âge n’est qu’un chiffre.

    Jusqu’à devenir l’un des sportifs les plus âgés du globe.

    Le secret de sa longévité : « User de tout, n’abuser de rien », et une séance quotidienne de « culture physique ».

    « On peut être vieux et en forme. Les parties de cartes, très peu pour moi », riait celui qui n’a pris sa retraite sportive qu’à 106 ans.

    Et en forme, celui qui a donné son nom à un col ardéchois, l’était.

    À 102 ans, Robert Marchand est devenu le recordman du monde des plus de 100 ans, avec 24,251 kilomètres parcourus en une heure.

    Quatre ans plus tard, il pédale 22,547 bornes dans le même laps de temps, s’octroyant ainsi le titre de champion du monde des « plus de 105 ans », une catégorie spécialement créée pour lui par l’Union cycliste internationale.

     

    Rien d’étonnant puisque, selon la physiologiste Véronique Billat qui a étudié ses performances physiques, Robert Marchand avait l’énergie d’un homme de 45 ans !

    De quoi faire pâlir nombre de jeunots malgré une existence jalonnée de 98 Tours de France, 17 présidents et une participation active à la Résistance.

    Il n’y a qu’au crépuscule de sa vie que le fana de bicyclette, né avant les illustres coureurs Fausto Coppi, Louison Bobet et Jean Robic, dut troquer, à cause d’un problème d’audition lui faisant perdre l’équilibre, les balades au grand air pour un vélo d’appartement.

     

    Né à Amiens dans une famille de dix enfants en 1911, année de la victoire de Gustave Garrigou sur le Tour, Robert Marchand était, en plus d’être un cycliste iconique, un homme révolté par les injustices et engagé à gauche, notamment auprès du Front populaire en 1936 puis à la CGT.

    Il est également fidèle lecteur de l’Humanité, journal qui le comptait parmi ses plus vieux abonnés.

    S’il avait déjà 9 ans lorsque le Parti communiste français fut créé, l’homme haut d’1,52 m a attendu 1962 pour adhérer au  « parti qui, à (ses) yeux défendait le mieux la classe ouvrière et portait (ses) propres valeurs ».

     

    Des valeurs acquises grâce aux nombreux métiers qu’il a exercés loin de la vie de bureau - pompier, conducteur d’engins, éleveur de poulets, bûcheron, planteur de cannes à sucre - en France mais également au Venezuela, où il est parti après la seconde guerre mondiale, et au Canada.

    Ce sont ces mêmes valeurs qui ont guidé son refus de recevoir, en 2009, la médaille d’or de la Jeunesse et des Sports des mains de Roselyne Bachelot.

    « J’ai demandé que ce soit Corinne Dupont, la maire communiste de Mitry-Mory, qui me la remette », expliquait-il au Parisien en décembre dernier.

     

    C’est bien cet homme épatant que salue le PCF par la voix de son secrétaire national Fabien Roussel :

    « Il était pourtant inépuisable.

    À 108 ans, il continuait de relever tous les défis sur son vélo et nous faisait rêver.

    Il avait connu la grippe espagnole, la première puis la seconde Guerre mondiale…

    Ami et camarade, cher Robert Marchand, repose en paix. »


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  • Danièle Obono et la FI qualifiés d’« antisémites »

    sur un plateau de télévision

     

    Vendredi 21 Mai 2021
     
     

    Tandis que la députée de Paris rappelait que les tensions actuelles au Proche-Orient avaient pour origine la politique de colonisation d’Israël, un intervenant s’est empressé de lui rétorquer que « la France insoumise est un parti antisémite ».

    Une accusation et un amalgame inacceptables.

     

    Insupportable accusation.

    Régulièrement, ces derniers jours, des soutiens à la cause palestinienne sont stigmatisés par leurs détracteurs, qui les qualifient d’islamo-gauchistes, ou même d’antisémites pour oser remettre en cause la politique de colonisation d’Israël.

    Une accusation inadmissible qui a provoqué la colère de la députée insoumise Danièle Obono, jeudi.

     

    Les causes profondes du conflit

    Invitée sur le plateau de la chaîne israélienne francophone d’information en continu i24News, la parlementaire s’est d’abord dit « satisfaite » du cessez-le-feu annoncé par Israël et le Hamas, avant de rappeler les causes profondes du conflit en cours :

    « Le problème structurel n’est pas résolu, car l’origine des violences et des tensions en Israël, à Gaza et à Jérusalem est antérieure à ces bombardements et ces tirs.

    Tant que la question de la colonisation et la question de Jérusalem n'est pas réglée, tant que les demandes du conseil de l’ONU concernant les revendications légitimes de la population palestinienne ne sont pas entendues, je crois que les sources de ces tensions demeureront », a-t-elle développé.

     

    Sans attendre, depuis Israël, un intervenant de la chaîne, se présentant comme « homme de gauche » et « progressiste » bondit sur les propos de Danièle Obono :

    « Je crois que vous devriez rebaptiser, madame, votre parti non pas la France insoumise mais la "France soumise aux islamistes".

    Je crois que ça conviendrait mieux à votre politique. [...]

    Vous représentez un parti qui n’est pas antisioniste, mais qui est carrément un parti – je le dis et je n’ai pas peur des mots, je ne mâcherai pas mes mots ce soir – un parti antisémite. »

     

    « Un provocateur haineux, toxique »

    Essuyant cette inacceptable accusation fermant de facto tout débat, Danièle Obono a choisi de quitter le plateau :

    « Je vais vous laisser, monsieur, parce que je n’accepte pas de recevoir ce type d’insultes [...]

    Je ne me laisserai pas insulter sur ce plateau [...]

    Me faire traiter d’antisémite en direct...

    Je vais vous laisser finir le spectacle. »

     

    Le présentateur de l’émission a bien tenté de retenir son invitée, avec des arguments surprenants voire irresponsables :

    « Personne ne vous a accusée, personne ne vous a insultée. (…) C’est un débat d’idées et un débat politique, c’est dommage. »

    « Vous ne répondez pas ? Mais je croyais que vous étiez démocrate, madame ? » a quant à lui osé le fauteur de troubles.

     

    « Un provocateur haineux, toxique », comme l’a défini Danièle Obono, qui a réagi à cette séquence sur Twitter vendredi matin.

    « J’ai enlevé mon corps de ce plateau glauque et je garde mon énergie pour continuer la lutte de solidarité avec le peuple palestinien. »

     

    La (non) réaction de Philippe Val

    Un autre élément de cette séquence a fait réagir sur les réseaux sociaux.

    Sur le plateau d’ i24News, tout à côté de Danièle Obono, Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo et de France Inter, ne dit mot, arborant même un léger sourire lorsque le journaliste de i24 tente de reprendre son émission.

    Il faut dire que le journaliste a déjà plusieurs fois confondu critique du colonialisme israélien et antisémitisme, et accusé la gauche directement.

    En 2018, dans un Manifeste contre le nouvel antisémitisme, il écrit :

    « Au vieil antisémitisme de l’extrême droite, s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société.

    Parce que la bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif. »

     

    Vendredi, de nombreuses personnalités politiques de gauche et le PCF ont apporté leur soutien à Danièle Obono.

     

    Les propos d'Esther Benbassa, qualifiés de « négationnistes »

    Cette séquence peut aussi faire écho aux propos de Raphaël Enthoven, sur le plateau de C ce soir, sur France 5, lundi 17 mai.

    Le philosophe qualifiait alors de « négationnistes » les propos de la sénatrice écologiste Esther Benbassa qui s’exprimait en ces termes :

    « Pour quelqu’un dont la famille et les coreligigionnaires ont tant souffert, je ne peux pas fermer les yeux sur l’occupation israélienne en Palestine »,

    rappelant qu’elle est de « culture juive » et qu’une partie de sa famille est morte dans les camps.

    Raphaël Enthoven s’est ensuite excusé d’avoir utilisé ce mot, mais le fond de sa pensée reste le même.

     

    Esther Benbassa a ainsi dénoncé ce climat, mardi, dans une tribune intitulée

    « Qui, demain, osera encore critiquer le gouvernement d’Israël ? ».

    « Ceux qui, en France, soutiennent la cause palestinienne sans vouloir la destruction d’Israël, mais qui se permettent de critiquer, parfois durement, la politique de son gouvernement, sont allègrement rangés, par la droite, le centre, et même une partie de ce qui reste de la gauche, dans la catégorie infamante des antisémites », dénonce-t-elle.

     

    Amalgamer antisionisme et antisémitisme

    En 2018, ces amalgames avaient déjà suscité de vifs débats après qu’Emmanuel Macron avait estimé que l’antisionisme représente  « une des formes modernes de l’antisémitisme ».

    Dans une résolution adoptée à l’Assemblée nationale le 3 décembre 2019, le député LaREM Sylvain Maillard amalgame ainsi antisionisme et antisémitisme, cherchant alors à criminaliser une opinion politique qui consiste à critiquer le sionisme, idéologie visant à l’établissement puis à la consolidation d’un État juif en Palestine.

    « L’amalgame présidentiel relevait d’abord de l’analphabétisme historique : de 1897 à 1939, la majorité des juifs a rejeté le projet d’État juif en Palestine, analysait alors dans l’Humanité l’historien Dominique Vidal.

    Cette manœuvre est cousue de fil blanc : il s’agit pour Benyamin Netanyahou de faire taire les critiques de sa politique. »


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    La France : Pays des Devoirs de l'Homme

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  • Changer l’économie en profondeur :

    des propositions émancipatrices

    21 MAI 2021 PAR ROMARIC GODIN.

    Médiapart

     


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  • Rouge ViF !
    Israel-Palestine :
    un cessez le feu
    une défaite pour Netanyahou.

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  • [Samedi 22 Mai 2021

    Les Actualités Politiques ]

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  • À Morlaix,

    l’AFPS devant la sous-préfecture en soutien au peuple palestinien

    70 manifestants Vendredi 21 mai 2021

     

    Le Télégramme >>>>>


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