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  • Cent ans du Parti communiste :

    pour les Chinois,

    "le monde tout entier doit tendre vers l'idéal communiste",

    selon une sinologue

    Cent ans et pas un doute ! La foi en "l'idéal communiste" reste intacte en Chine. Et "aucun signe d'ouverture ou de démocratisation du système politique actuel" n'est donné, souligne Alice Ekman.

     

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  • Gauche. Le PS fait marche arrière sur l’union pour 2022

     

    Jeudi 1 Juillet 2021
     

    Plutôt qu’un ralliement aux Verts, Olivier Faure pose les jalons d’une candidature d’Anne Hidalgo. Cette dernière est déterminée à se lancer dans la présidentielle.

     

    C’est un virage en épingle digne d’un grand prix de Formule 1.

    Depuis son élection en 2018 comme premier secrétaire d’un PS ayant perdu prétention à l’hégémonie, Olivier Faure s’applique à faire advenir l’union de la gauche et des écologistes pour la présidentielle.

    Il est d’ailleurs le seul dirigeant de parti à être aussi clair sur la question.

    Sauf qu’à la faveur des récents résultats aux régionales et départementales qui ont vu les socialistes maintenir leurs positions, il n’affiche plus vraiment la même détermination.

    Il n’a qu’une phrase à la bouche : « La force motrice à gauche, c’est le PS. »

    Selon lui, les scrutins ont bouleversé les rapports de forces, avec EELV notamment.

     

    Maintenant que les socialistes pensent avoir repris du poil de la bête malgré l’abstention record aux deux tours des derniers scrutins, se ranger derrière les écologistes n’est plus une option pour celui qui annonçait pourtant, mi-avril, qu’il y aurait un candidat commun.

    La porte reste entrouverte mais elle a tendance à se refermer, d’autant plus vite que les écologistes n’entendent pas lâcher le leadership au PS.

    « Je crois toujours au rassemblement, mais je ne sauterai pas comme un cabri dans le désert en criant “union, union”. Je ne vais pas courir après tout le monde », a déclaré le député de Seine-et-Marne au magazine Challenges.

     

    Pour 2022, Olivier Faure a une autre idée en tête qui porte le nom d’Anne Hidalgo.

    « Nous préparons la candidature d’Anne Hidalgo. Notre ligne n’a pas bougé : quand on parle de l’union, on dit qu’il faut que le ou la meilleur du bloc social-écologiste porte le rassemblement.

    À nous de démontrer que c’est une socialiste qui le peut », explique Corinne Narassiguin, numéro deux du PS.

     

    L’état-major du parti n’est d’ailleurs pas seul à vouloir propulser la candidature de la maire de Paris.

    Plusieurs centaines d’élus locaux socialistes publient, ce jeudi, une tribune pour pousser sa candidature.

    Parmi les signataires, la maire de Lille Martine Aubry, celle de Nantes Johanna Rolland ou encore l’édile de Montpellier Michaël Delafosse.

    « Pour nous, Anne Hidalgo représentera dignement la France et possède toutes les qualités pour être la prochaine présidente de la République française », écrivent-ils.

    De quoi réjouir Patrick Bloche, l’un de ses adjoints à Paris : « Ils veulent nourrir un projet national de leurs expériences locales et dire leur souhait que cet espoir soit incarné par Anne Hidalgo. »

     

    « Sa détermination se formalisera à l’automne »

    Cette dernière, qui réunira ses soutiens le 12 juillet à Villeurbanne, se tient prête à se lancer dans le match pour « contrer le duel Macron-Le Pen ».

    « Elle est déterminée à y aller. Le 12 juillet, ça ne sera pas une déclaration mais quasiment », glisse un membre de son entourage.

    Anne Hidalgo y prononcera un discours de précampagne.

    « Il s’agira de parler de la France et des Français. Tout n’est pas encore arrêté mais il sera question de la préoccupation du travail au sens large, de l’éducation, du logement, de la santé et de l’écologie », explique Patrick Bloche.

    « Sa détermination se formalisera à l’automne. Elle n’a aucune raison de se précipiter : elle n’a pas de concurrence au PS », fait savoir ce très proche de l’édile parisienne, qui pointe à 8 % d’intentions de vote dans le dernier sondage Ipsos.

    Un bien faible niveau pour espérer se qualifier au second tour mais qui n’empêcherait pas Anne Hidalgo de concourir.

    Selon un responsable avec lequel elle échange souvent, « elle a décidé de ne pas faire dépendre sa candidature des sondages ».


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  • SNCF.

    Ces erreurs d’aiguillage qui menacent le service public

     

    Jeudi 1 Juillet 2021
     
     

    À l’appel de la CGT, les cheminots seront en grève, ce jeudi.

    Ils dénoncent la libéralisation à marche forcée, l’absence d’un État stratège, la dégradation du service et de leurs conditions de travail.

    Décryptage

     

    À l’orée des grands départs,

    les cheminots n’auront pas la tête aux vacances d’été.

    À l’appel de la CGT, les agents de la SNCF ­seront en grève, ce jeudi.

    Un mouvement national pour exiger l’amélioration de leurs conditions de travail, de leur rémunération, l’arrêt des restructurations et le développement du service public ferroviaire.

    Car, malgré leur présence tout au long de la crise sanitaire, les cheminots voient leur contexte social se tendre.

    « Nous affrontons les dernières étapes d’un projet de société qui vise à déréguler les chemins de fer », déplore la CGT.

     

    1. La SNCF malmenée par la crise, abandonnée par l’État

     

    Plombée par la crise sanitaire et les confinements, la SNCF affiche des pertes de près de 4 milliards d’euros pour 2020.

    Pourtant, l’opérateur public reste soumis à la réalisation d’objectifs financiers stricts, imposés par la réforme de 2018.

    « Ces objectifs étaient déjà intenables, ils le sont d’autant moins ­aujourd’hui », souligne Sébastien Gasc.

    Le secrétaire fédéral CGT en charge du pôle économie rappelle que, si la crise a dégradé les comptes du groupe, « les pertes sont très différentes d’une activité à l’autre ».

    Ainsi, « les TER, largement subventionnés, n’ont pas tellement souffert dans la période. Le trafic fret s’est également maintenu. Mais l’activité TGV, elle, s’est écroulée, tout comme le trafic Eurostar », détaille le syndicaliste.

    Regarder cette donnée de près oblige à interroger le modèle de la SNCF, « trop sensible aux aléas du TGV, son activité la plus rentable », souligne Sébastien Gasc, « d’autant plus que la clientèle d’affaires, encore largement en télétravail, n’a pas encore repris le chemin des gares ».

     

    À l’automne dernier, le gouvernement a dégainé son « plan de relance ferroviaire ».

    Doté d’une enveloppe de 4,7 milliards ­d’euros, il est décrié pour sa faiblesse par la CGT.

    « Pour ne compenser que les pertes sur deux ans liées au Covid, la SNCF elle-même estimait ses besoins à 10 milliards d’euros », relève Sébastien Gasc.

    Quant à la dette du système ferroviaire, évaluée avant la réforme de 2018 à plus de 50 milliards d’euros ­cumulés, elle continue de se creuser et la reprise par l’État de 35 milliards d’euros demeure une demi-mesure, estime le syndicat qui plaide pour une reprise à 100 % de la dette de la SNCF par l’État.

     

    2. L’entreprise historique éclatée

     

    Loin de n’être qu’une simple équation économique dictée par des objectifs de rentabilité, la réforme ferroviaire de 2018 a profondément remodelé la SNCF, de sa structure juridique à son organisation sociale.

    Depuis le 1er janvier 2020, les trois établissements (Epic) qui constituaient le groupe ont laissé place à cinq sociétés anonymes.

    Désormais cloisonnée et filialisée, l’entreprise publique historique est affaiblie, assure la CGT, qui dénonce une « SNCF (qui) continue de se transformer par mimétisme du fonctionnement des entreprises privées».

    Sur le terrain, les impacts d’un tel bouleversement sont concrets.

    Car « contrairement à un établissement, une filiale impose des barrières juridiques, de la bureaucratie, des cloisons et interfaces pour une efficacité médiocre », relève le syndicat CGT des agents de maîtrise et cadres de la SNCF.

    Sur ce point-là, la deuxième organisation syndicale de la SNCF rejoint d’ailleurs la première.

    Dans une longue lettre au président du groupe Jean-Pierre Farandou, le secrétaire général de l’Unsa ferroviaire évoque les réorganisations «incessantes à la SNCF depuis 2002 », qui font « perdre le sens » de leur travail aux cheminots.

    « Nous assistons à un compartimentage de plus en plus étanche des organisations du groupe, à des tensions dans les relations ­sociales et, enfin, à des cloisonnements des parcours professionnels qui ­faisaient pourtant la force et l’attractivité d’un groupe comme la SNCF », note ainsi Didier Mathis.

     

    3. Mise en concurrence dangereuse

     

    Menée sous l’impulsion de Bruxelles depuis les années 1990, la libéralisation du ferroviaire en Europe s’est traduite, en France, par la casse progressive de l’unité de ­l’entreprise publique.

    En somme, résume-t-on à la CGT , « l’objectif des libéraux est de transformer le système ferroviaire en un ensemble de petites concessions soumises à concurrence ».

    Un modèle inefficace, assure l’organisation, car « la spécificité du mode ferroviaire – un transport guidé sur un réseau interconnecté – n’est pas prise en compte. Cette balkanisation créée de l’inefficacité dans l’exploitation ».

    Vendue par ses promoteurs comme la garantie d’une meilleure offre à moindre coût pour les usagers, la mise en concurrence est un échec.

    Émis avec enthousiasme par les régions Hauts-de-France, Paca ou Grand-Est, par exemple, les appels d’offres révèlent surtout que les candidats ne se pressent pas au portillon.

    Pour les lignes dites subventionnées, comme les Trains d’équilibre du territoire (TET), l’État, qui les opère, a même déclaré sans suite ceux émis sur les lignes Nantes-Lyon et Nantes-Bordeaux, la SNCF s’étant retrouvée seule en lice.

     

    4. Le fret ferroviaire laissé à quai

     

    Ouvert à la concurrence en 2006, le transport ferroviaire de marchandises n’a non seulement jamais regagné de parts de marché, mais en a perdu.

    Ainsi, de 17 % en 2000, sa part modale n’est plus que de 9,5 % aujourd’hui, dont 5 % seulement assurés par Fret SNCF, rappelle la CGT cheminots.

    Pour promouvoir son plan de relance ferroviaire, Jean Castex a pourtant appelé à la « reconquête » du transport de marchandise par rail.

    La réalité du terrain contredit, là encore, les belles déclarations.

     

    Pour assurer le redressement des comptes du groupe public, la direction de la SNCF, sous pression de Bercy, a par exemple ­entrepris de vendre ses actifs pour faire rentrer du cash.

    Il en fut ainsi, en avril, de la filiale Ermewa, spécialisée dans la location de wagons fret.

    « Comment, dès lors, relancer le fret quand on vend ses wagons à deux fonds de pension qui vont assurément augmenter les prix de la location ? » interroge Sébastien Gasc.

    Dans le même temps, la mise au rebut du dernier train de produits frais, le Perpignan-Rungis, met à elle seule sur les routes 20 000 poids lourds supplémentaires chaque année.

    Quant aux autoroutes ferroviaires, ces « corridors longue distance », elles « ne permettent d’extraire environ que 120 000 semi-remorques par an de nos routes, quand des dizaines de millions les parcourent chaque année », rappelle la CGT cheminots.

    « La réalité du fret ferroviaire, c’est un service public qui n’a plus les moyens de mener sa mission, un gouvernement qui subventionne la demande alors que les effectifs s’effondrent et que les fermetures d’installations ferroviaires se multiplient », conclut son secrétaire général, Laurent Brun.

     

    5. Une convention collective inachevée

     

    Face à une stratégie mortifère et à une pression accrue sur la productivité des agents, l’exaspération gagne le corps social à la SNCF.

    Localement, les actions se multiplient.

    L’arrêt des recrutements au statut, imposé par la réforme de 2018, a créé une inégalité de traitement entre cheminots.

    Or, les négociations relatives à l’élaboration de la Convention collective nationale de la branche ferroviaire patinent.

    Son volet « classification et rémunération » a d’ailleurs été dénoncé par la CGT, SUD et FO.

    En parallèle, « depuis 2015, les cheminots ne bénéficient d’aucune augmentation générale, alors que l’inflation grignote leur pouvoir d’achat», relève la CGT, qui dénonce, en outre, le recours « abusif » aux contrats courts et à l’intérim.

    Les plans de suppressions de postes dégradent les conditions de travail des agents, alors que la sous-traitance gagne partout du terrain.

     

    En somme, la mobilisation de ce 1er juillet « est une étape du calendrier revendicatif », assure Sébastien Gasc.

    Elle « est le résultat d’une certaine montée en pression sur ­plusieurs sites en mai et juin, qui illustre l’accentuation de la tension interne », précise Laurent Brun, rappelant aussi qu’elle inter­vient à « une période charnière de discussions sur le futur statut social du groupe ». 


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  • [Jeudi 1er Juillet 2021

    Les Actualités Politiques ]

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  • Régionales 2021

    Abstention, crise pour LREM et échec du RN,

    la droite victorieuse se positionne pour 2022

    Sans surprise, avec 65% d'abstention le second tour des élections régionales a confirmé la défiance des classes populaires vis-à-vis de la classe politicienne et des institutions de la Vème République. A moins d'un an des élections présidentielles, c'est une claque pour Macron mais aussi pour le RN qui prétendait faire de ces élections un test avant 2022.

    Révolution Permanente >>>>>


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    En avant première...

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  • Après les régionales,

    où en est la gauche à dix mois de la présidentielle ?

    Après des élections régionales et départementales aux enseignements ambigus, les partis de gauche ont désormais les yeux tournés vers la présidentielle de 2022.

    France Info >>>>>

     

    Vrai ou fake  

    Elections régionales :

    les écologistes et la gauche en sortent-ils vraiment "renforcés", comme l'affirme Yannick Jadot ?

    Yannick Jadot a déclaré sur TF1 que le bloc formé par la gauche et les écologistes était sorti renforcé des élections régionales de 2021. Les résultats des différents scrutins sont pourtant bien plus nuancés.

    France Info >>>>>


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