• Affaire Cédric Herrou :

    l'aide aux migrants est-elle légale en France ?

    Cédric Herrou sera fixé sur son sort mardi. La cour d'appel d'Aix-en-Provence rend son jugement à l'encontre de cet agriculteur militant, poursuivi pour avoir pris des migrants en stop en Italie. Au coeur du débat : la loi de décembre 2012 sur l'aide à l'immigration.

    A lire ici >>>>> France Info TV


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  • Que devient François Ruffin,

    nouveau député de la France insoumise ?

    En juin 2017, François Ruffin était élu dans la 1ère circonscription de la Somme au deuxième tour des élections législatives.

     

    A lire ici France Info TV >>>>>


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  • Droit du travail. 60 députés signent un recours

    Les députés GDR, FI et Nouvelle Gauche ont déposé un recours constitutionnel contre la loi travail au motif que les conditions d’adoption sont contraires au principe de « clarté et sincérité ».


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  • Sébastien Jumel:

    «Il faut une gauche combative, démultipliée»

    Lire la suite...


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  • Casse du Code du travail:

    les députés de gauche vont déposer

    un recours collectif devant le Conseil constitutionnel

    A Lire ici L'Humanité >>>>>


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  • Le Conseil d’Etat rejette les appels du ministère de l’Intérieur et de la mairie de Calais contre la décision du tribunal administratif du 26 juin 2017  

    Communiqué commun de plusieurs associations,

    dont la LDH 

       

    A Calais, le 31 juillet 2017 

       

    Le Conseil d’Etat a reconnu ce 31 juillet 2017 que le sort réservé aux exilé-e-s dans le Calaisis, demeure constitutif d’un traitement inhumain et dégradant et d’une atteinte au principe de dignité humaine.  

    Il a confirmé ce que nous, militant-e-s et membres d’associations, n’avons eu de cesse de répéter, avec le Défenseur des droits, depuis maintenant plus de six mois, à partir des constatations dramatiques faites sur le terrain.  

    Le Conseil d’Etat a rejeté les appels qui avaient été présentés par le ministre de l’Intérieur et la commune de Calais contre l’ordonnance du tribunal administratif du 26 juin dernier qui avait enjoint au préfet et à la commune de mettre en œuvre différentes mesures de secours et d’orientation pour les exilé-e-s majeur-e-s et mineur-e-s, notamment :  

    - l’institution de maraudes permettant l’information, l’orientation et la protection des mineur-e-s ;  

    - la création de points d’eau, de services de douches et de latrines ;  

    - l’organisation de départs en centres d’accueil et d’orientation (CAO) au sein desquels les exilé-e-s qui le désirent pourraient préparer une demande d’asile.   

    Ces mesures s’imposaient au regard de l’urgence sanitaire qui existe à Calais, le tribunal administratif de Lille accordait un délai de dix jours à l’Etat et à la mairie de Calais pour leur mise en place en partenariat avec les associations requérantes.  

    La mairie de Calais et le ministère de l’Intérieur ont cru devoir faire appel de cette décision et – dans l’attente de ce recours – ont refusé de se soumettre aux injonctions prévues par le tribunal administratif alors même que cet appel n’était pas suspensif. Etat de droit ? Exemplarité des autorités publiques compétentes en la matière ? Trente-cinq jours viennent de s’écouler au mépris de la décision du tribunal administratif dont les effets s’imposaient nonobstant l’appel. Trente-cinq jours de grande précarité infligée, de traitements indignes de la part de nos autorités.  

    Ces mesures sont aujourd’hui confirmées par l’ordonnance du Conseil d’Etat. Cette défaite des autorités publiques, ancrées dans leur déni de réalité, est un point de départ. Ce n’est certainement pas l’aboutissement du combat quotidien de nos associations. Tandis que nous sommes forcées de nous battre pour des choses aussi évidentes que de l’eau et des douches, nos forces sont détournées de la construction sur le long terme d’une politique d’accueil digne. Car c’est là que se situe le véritable enjeu.  

    A cet égard, l’ouverture d’un centre permettant la mise à l’abri des exilé-e-s n’a pas été ordonnée. Le juge du référé-liberté, qui est un juge dont les attributions sont limitées, a retenu qu’il s’agissait d’une mesure de trop grande ampleur qu’il n’avait pas la compétence d’ordonner.  

    Nous, associations, restons convaincues que seules des solutions d’hébergements au bénéfice des personnes qui parviennent exténuées dans le Calaisis, pourraient permettre d’éviter que les exilé-e-s sans abri soient exposés à des conditions de vie indignes. Nous n’hésiterons donc pas, si l’administration persiste dans sa logique inhumaine, à engager toute démarche administrative et contentieuse pour obtenir la mise en place de solutions d’accueil sur le Calaisis et dans plusieurs autres villes de notre littoral ou le long des autoroutes qui y mènent.  

    Nous continuerons à exiger, au besoin devant la juridiction judiciaire, la fin des violences policières que nous dénonçons depuis plusieurs semaines et que le rapport Human Rights Watch a pu confirmer. Des plaintes ont été déposées. L’inspection générale de la police nationale a été saisie. Des témoignages, des photos et des enregistrements vidéo ont été communiqués. Nous demandons donc que des suites soient enfin données à ces procédures.  

    Enfin, nous soulignons que la situation déplorable de dénuement existant à Calais est la même que celle connue sur plusieurs secteurs du littoral Nord, comme à Grande Synthe, à Norrent-Fontes, à Steenvoorde, à Tatinghem…  

    Nous exhortons les autorités publiques à prendre acte de la décision du Conseil d’Etat et à mettre en œuvre de toute urgence sur ces territoires les mesures de secours et d’assistance permettant aux exilé-e-s d’obtenir le traitement digne auquel ils ont droit.  

       

    Associations signataires :  

    L’Auberge des migrants, la Cabane juridique / Legal Shelter, Care4Calais, Gynécologie Sans Frontières, la Cimade, Help Refugees, la Ligue des droits de l’Homme, le Réveil voyageur, Salam Nord Pas-de-Calais, Secours catholique Caritas France, Utopia 56.


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  • « La France insoumise »

    au travers de quelques textes - Été 2017

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    « La France insoumise »,

    ni refuge ni donneuse de leçon,

    une construction en devenir

    • 24 juil. 2017
    • Par FRANCIS PARNY
    Dix-huit mois « d’apprentissage » de la France insoumise. Treize ou quatorze de pratique en son sein. Ma réflexion a évoluée au cours de ces mois passés avec d’autres militant-e-s. Aujourd’hui j’éprouve le besoin de dire où j’en suis, à titre individuel bien sûr, mais pleinement dans la France insoumise pour discuter de ce qu’elle est, de ce qu’elle doit rester et de l’objectif qu’elle se donne.
     
     
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    Adrien Quatennens (France Insoumise, député):

    «Le risque,

    ce serait de faire de La France insoumise un parti figé»

    24 juillet 2017 Par Manuel Jardinaud et christophe Gueugneau

    Pour le député FI du Nord, porte-voix de son groupe à l'Assemblée contre la réforme du code du travail, le projet du gouvernement est d'une dureté sociale absolue. Le jeune élu veut prendre sa part dans la structuration du mouvement, mais estime qu'il faut se garder d'en figer le dynamisme.

    A Lire ici >>>>> Médiapart

     
     
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    Quelques mots.

    • 31 juil. 2017
    • Par Vincent Présumey
    Quelques mots à Pierre Rousset et au site Europe Solidaire Sans Frontières.
     
     

    Quelques réflexions sur la « France insoumise », suite :

    le 23 septembre, l’accueil fait au POI...

     
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    Quelques réflexions sur la « France insoumise », suite.

    • 28 juil. 2017
    • Par Vincent Présumey
    • Blog : Le blog de Vincent Présumey
    Sommaire : Présentation. Petit déblayage préalable. Les élections législatives. Le groupe FI à l'Assemblée. J.L. Mélenchon sur l'avenir de la FI. « Action » et unité d'action syndicale. POI et FI, ou ce qui n'a pas été dit … Mongénéral De Villiers défenseur du service public.

     

    A Lire ici >>>>>

     

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    Rappel

    Quelques réflexions sur la «France insoumise»

    • 7 juin 2017
    • Par Vincent Présumey
    • Blog : Le blog de Vincent Présumey
    La «France insoumise» a été inventée début 2016 lorsque J.L. Mélenchon annonça sa candidature à l'élection présidentielle de 2017.
     

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  • « La France insoumise »,

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    ni refuge ni donneuse de leçon, une construction en devenir

    • 24 juil. 2017
    • Par FRANCIS PARNY
    Dix-huit mois « d’apprentissage » de la France insoumise. Treize ou quatorze de pratique en son sein. Ma réflexion a évoluée au cours de ces mois passés avec d’autres militant-e-s. Aujourd’hui j’éprouve le besoin de dire où j’en suis, à titre individuel bien sûr, mais pleinement dans la France insoumise pour discuter de ce qu’elle est, de ce qu’elle doit rester et de l’objectif qu’elle se donne.
     

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  • Confiance dans la vie publique : l'Assemblée adopte les textes

    29 juillet 2017

    Dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 juillet, l'Assemblée a adopté le projet de loi organique et le projet de loi ordinaire pour la confiance dans la vie publique.

    Projet de loi organique : 283 députés ont voté pour, 37 députés ont voté contre et 52 députés se sont abstenus

    (voir l'analyse du scrutin http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/103 ).


    Projet de loi ordinaire : 319 députés ont voté pour, 4 députés ont voté contre et 49 députés se sont abstenus

    (voir l'analyse du scrutin http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/104).


    Ces deux textes reviendront en discussion jeudi 3 août à l'Assemblée, soit sur le rapport de la commission mixte paritaire, soit en nouvelle lecture.


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  • Vendredi 28 juillet 2017

    Lettre du Front Social


    à toutes les organisations syndicales,
    à toutes les associations et fronts de luttes,
    à toutes celles et ceux qui ne veulent
    pas revenir au XIXème siècle
    dans les mois qui viennent sous le gouvernement Macron

     

    Macron a achevé la concertation.

    Le gouvernement écrit les ordonnances en août et donne un rendez vous final aux organisations syndicales le 21 août.

    Les destructions envisagées par Macron sont d'une
    telle ampleur que c'est un véritable recul de
    civilisation qui s'annonce devant nous.

    C'est la fin du code du travail.

    C'est un code du travail
    par entreprise, chaque patron devenant un espèce de
    seigneur local, un patron de droit divin.

    C'est la fin du CDI.

    C'est aussi une contre révolution fiscale en même
    temps que la destruction des budgets des services
    publics, de toutes les solidarités pour les malades,
    handicapés, personnes âgées,chômeurs, la destruction
    de la Sécurité Sociale, des allocations chômage, du
    droit à la retraite, de la protection de l'enfance, d'une
    éducation pour tous, des soins pour le plus grand
    nombre, du logement à bon marché...

    C'est la fin de la démocratie telle que nous la
    connaissons depuis 70 ans avec l'intégration de l'état
    d'urgence dans le droit commun, la limitation des
    pouvoirs des juges au profit de ceux des policiers...

    En quelques mois, Macron veut liquider les acquis
    sociaux et les libertés issus de décennies de luttes
    ouvrières

    FACE A CETTE GUERRE TOTALE IL FAUT UNE
    MOBILISATION GENERALE D'UNE AMPLEUR TOTALE
    QUI COMMENCE LE 12 SEPTEMBRE

    C'est pourquoi tout doit être fait pour que le 12
    septembre soit une réussite afin de démontrer la
    réalité d'une mobilisation naissante. Mais une journée
    même réussie ne suffira pas.

    Le Front social appelle les syndicats, les associations,
    les fronts de lutte à se mettre autour d'une table pour
    voir comment ils pourraient faire du 12 septembre le
    lancement d'un mouvement général pour empêcher
    l'adoption des ordonnances prévue au Conseil des
    ministres du 20 septembre et commencer à
    construire un rapport de force global contre les
    ordonnances, la destruction du droit social et des
    services publics.


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