• Mobilisation contre l'extrême droite

    Paris samedi 16 avril 2022

    Twitter Marcel >>>>> Vidéo

    Twitter Marcel >>>>> Vidéo le Média 15 secondes

    Vidéo TV YE  >>>>> 1 minute 49

    Vidéo Clément Lanot >>>>> 18 secondes


    votre commentaire
  • Samedi 16 avril 2022
     
    Extinction Rébellion bloque
    et s’installe pour plusieurs jours
    sur le Boulevard St-Denis
    au centre Paris.
     
     
    L’objectif,
    remettre les enjeux climatiques
    au centre du débat.
     

    votre commentaire
  • 12 avril 2022 ...

    Interpellation musclée de Jean-Baptiste Eyraud,

    porte parole du DAL

    et répression violente

    contre les familles « Oubliées du DALO »

    https://www.droitaulogement.org/2022/04/interpellation-musclee-jb-eyraud-et-repression-familles/

     

    Compte twitter de Droit au Logement

    https://twitter.com/federationdal/status/1513947726135894034


    votre commentaire
  • Dernière manif à Paris

    Samedi 9 avril 2022

    "Jusqu'au bout...

    on sera toujours là...

    On ne lâche rien..."

     

    Twitter >>>>> Vidéo

    Photo >>>>>Twitter


    votre commentaire
  • 8.000 Cheminots à Paris
     
    Plusieurs milliers de cheminots (8 000 selon la CGT) ont manifesté aujourd'hui à Paris pour dénoncer la logique marchande de la SNCF qui conduit à des suppressions de postes et de petites lignes et pour défendre le service public ferroviaire.
     

    votre commentaire
  • Sus aux pauvres ! que fait la gauche ?

     

    La proposition de Macron sur l’obligation « d'heures d'activité" pour les RSA n’est pas un surprise : c’est la reprise du revenu universel d’activité déjà promis par le gouvernement.

     

     

    C’est la suite de la réforme de l’assurance chômage de 2018 qui a ouvert la voie à une précarisation accrue et à une aggravation du contrôle des chômeur.euses pour les contraindre à accepter n’importe quel emploi.

     

     

    C’est l’idée que les chômeur.euses ( dont les RSA) sont pour le moins inactif.ves dans la recherche d’emploi et au pire fraudeur.euses : la chasse à la fraude se fait à la CAF et à Pôle Emploi au détriment des droits des plus fragiles.

     

     

    C’est une proposition démagogique pour complaire aux électeurs de droite qui ne savent pas ce que sont les situations de chômage précarité et pauvreté, qui ne savent pas l’énergie et le temps que coûtent les contraintes de survivre (et de répondre aux contrôles).

     

     

    On ne sait quelles sont ces « heures d’activités » et pourquoi elles ne donnent pas lieu à contrats de travail mais à un « bénévolat obligatoire » :

     

     

    Sus aux pauvres que fait la gauche ?

     

     

    soit il s’agit de créer une concurrence sauvage avec des emplois occupés aujourd’hui par des salarié.es pauvres : ce sont des secteurs entiers du travail qui seront alors désorganisés avec une pression à la baisse sur les salaires, les conditions de travail, etc... avec une fragilisation d’un nombre croissant de salarié.es .

     

    Soit ce sont des « occupations » comme c’est le cas de nombreux contrats aidés depuis des années : il n’y a pas, ou peu, d’insertion vers l’emploi. L’expérience montre que c’est sans effet sur le chômage.

     

    Tous ce beau monde a oublié que l’assurance chômage a été créée pour donner des ressources décentes à des gens sans emploi pour leur permettre de sorti la tête de l’eau pour se reconstruire et se mettre dans les meilleures conditions pour chercher du travail.

     

    Macron l’ignore quand il dit

    "personne ne considère que cette dignité est reconnue, respectée, avec une prestation".

     

    L’argent ne fait pas le bonheur disent ceux qui en ont.

     

     

    Même si une majorité sondagière est favorable à mettre au travail forcé les RSA, la gauche dans ses composantes politiques et sociales doit réaffirmer la droit à un revenu de remplacement qui assure inconditionnellement «  le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence », le droit au travail et au revenu pour toutes et tous.

     

     

    Ensemble propose des mesures d’urgence ( revenu minimum au dessus du seuil de pauvreté , abrogation de la réforme chômage) et à terme une assurance universelle qui garantisse ces droits fondamentaux.

     

    Il ne peut pas y avoir de démocratie quand une partie de la société ne peut accéder à ces droits.


    votre commentaire
  • Samedi 2 avril 2022

    Brest- Mobilisation Ukraine

     

    A l'appel du Collectif finistérien pour l'interdiction des armes nucléaires 

    (Mouvement de la Paix, Université Européenne de la Paix, Agir pour un environnement et un Développeement Durable, Association France Palestine Solidarité, Anciens Appelés en Algérie et leurs ami(e)s Contre la Guerre, CGT,FSU, Solidaires, Europe Ecologie Les Verts, Ensemble !, La France Insoumise, Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti Communiste Français, Union Démocratique Bretonne)

    et de  Brest Nouvelle Citoyenneté, Génération.s, Parti Socialiste, Radicaux de Gauche, Union Communiste Libertaire, La Liste Citoyenne, Confédération Nationale du Travail, Union Pirate, Ligue des Droits de l'Homme.

     

    Depuis maintenant plus d'un mois que la guerre en Ukraine est engagée, chaque jour nous apporte son lot de drames et de crimes. Cette situation n'a que trop duré. Ensemble une fois encore, retrouvons nous en grand nombre samedi prochain 2 avril pour

    * Dénoncer l'agression criminelle de Poutine sur l'Ukraine

    * Témoigner de notre soutien au peuple ukrainien dont la résistance héroïque à l'envahisseur force l'admiration de tous

    * Exiger le retrait des armées russes au delà des frontières et l'ouverture de véritables négociations dans le respect de la charte de l'ONU et d'abord du droit intangible des peuples à disposer d'eux mêmes.

    La guerre n'est jamais la solution, seule la voie de la négociation peut conduire à la paix, une paix durable entre l'Ukraine et la Russie.

     

    votre commentaire
  • Le coup de semonce des cheminots

     

    Mobilisation La CGT appelle les salariés de la SNCF à une manifestation nationale à Paris, ce jeudi, « pour le développement du service public ferroviaire et le progrès social ».

     

    Publié le Jeudi 31 Mars 2022

     
     

    Le rendez-vous a été pris il y a déjà plusieurs semaines.

    Ce jeudi, dix jours avant le premier tour d’un scrutin décisif, les cheminots, à l’appel de la CGT, vont battre le pavé parisien. Une irruption revendicative dans la dernière ligne droite de la campagne avec un objectif : « Alerter sur les choix politiques qui peuvent conduire à l’amélioration ou au contraire à l’effondrement du service public ferroviaire », assure le syndicat. « On entend partout parler de la relance du transport ferroviaire, de ses vertus environnementales, mais sur le terrain, tous les jours nous constatons la dégradation de nos conditions de travail et du service rendu aux usagers », déplore Sébastien Nugou, secrétaire de la CGT cheminots en Centre-Val de Loire. Dans sa région, la situation s’est détériorée d’année en année, inexorablement. « Là, maintenant, il faut arrêter le massacre, tranche le conducteur TER,  les quinquennats se suivent et se ressemblent, les services publics sont systématiquement dans le collimateur ». Aujourd’hui, poursuit-il, « on est à l’os à l’effectif, on a du mal à former les nouveaux agents ».

    une politique du tout-digital

    Des postes d’aiguillage aux ateliers de maintenance, la difficulté de la tâche quotidienne, le manque de considération et les rémunérations au rabais n’incitent plus aux candidatures. « On n’arrive pas à recruter, nos métiers ne sont plus attractifs. La direction tente de nous acheter à coups de primes, mais ça ne marche pas, les primes ne sont pas cotisées », souligne Safia Benrabah, embauchée à la téléphonie ferroviaire par SNCF Réseau. Un phénomène aggravé par la perte du statut pour les nouveaux entrants, mise en œuvre par la réforme de 2018.

    À la paie rabougrie s’ajoute la dégradation des conditions de travail, conséquence des multiples réorganisations pensées pour réduire les coûts de production, dénonce Régis Roux. Sur son secteur de Brétigny (Essonne), les fermetures de guichets se multiplient dans la foulée d’une politique du tout-digital qui complique la vie des usagers et exclut, de fait, « ceux qui n’ont pas de carte de crédit, ne sont pas à l’aise avec les automates, comme les personnes âgées ou encore les personnes à mobilité réduite, qui ne bénéficient pas de l’accueil en gare auquel ils ont pourtant droit », explique le responsable CGT. Depuis des mois, les mobilisations s’enchaînent. Parfois victorieuses, comme il y a quelques semaines, lorsque les cheminots en lutte ont réussi à faire reculer la direction sur son projet de réorganisation des équipes de contrôleurs. « On a mené la bataille, et on a gagné, la direction a reculé », se félicite Régis Roux. Mais pas question d’en rester là. « Aujourd’hui, la situation devient ubuesque car d’un côté la direction ferme les guichets en gare et, de l’autre, elle renforce les contrôles de billets inopinés. En somme, l’entreprise met les moyens pour le contrôle de la fraude mais pas pour l’accès aux titres de transport », déplore le syndicaliste.

    La rationalisation n’épargne pas non plus la maintenance des infrastructures. « À Blois, reprend Sébastien Nugou, ils ont fusionné trois brigades voies (équipes chargées de la surveillance et de la maintenance des rails – NDLR). Résultat : les cheminots sont désormais obligés de prendre leur service dans une ville où ils n’habitent pas, de s’y rendre avec leur propre véhicule. » Un non-sens à l’heure où les prix à la pompe atteignent des sommets. Idem pour la maintenance du matériel roulant. « Les trains sont de moins en moins amenés dans les ateliers, ce sont les agents qui se déplacent, sur des kilomètres, pour aller réparer des pièces avec leur caisse à outils », poursuit Sébastien Nugou. En bientôt vingt ans de service, le cheminot a vu la situation basculer. « Quand j’ai commencé, lorsqu’il y avait trop de passagers, on rajoutait une ou deux voitures et tout le monde avait une place assise. Aujourd’hui, on entasse les voyageurs, on ne touche plus à la composition des trains. » Ces péripéties quotidiennes font perdre le sens de leur mission aux cheminots de la SNCF et les démissions, y compris chez les « anciens », sont de plus en plus nombreuses, relèvent les syndicalistes. D’autant plus dans un contexte où l’ouverture à la concurrence menace en sus les agents d’un transfert dans une entreprise privée concurrente. « L’avenir des cheminots se complique, déplore Safia Benrabah, on se bat juste pour pouvoir travailler dans de bonnes conditions. »

    Pour contrer cette trajectoire funeste, la CGT exige non seulement que la SNCF redevienne une entreprise publique et intégrée, mais également qu’elle fixe un objectif de développement par l’offre : « 1 000 trains de marchandises supplémentaires d’ici à 2050 et le passage de 15 000 à 20 000 trains de voyageurs par jour », avance le syndicat. Et pour les cheminots, le syndicat revendique une politique massive d’embauche, de formation et l’élaboration d’un « nouveau statut social de haut niveau ».

     

    ---------------------------------------------------------------

    « L’État doit mettre les moyens pour le système ferroviaire »

    Pour le syndicat majoritaire à la SNCF, le développement du service public ferroviaire exige des ressources humaines et financières, de nouvelles garanties sociales pour les agents et le retour à une entreprise publique intégrée.

    Publié le Jeudi 31 Mars 2022

     
     

    Laurent Brun Secrétaire général de la CGT cheminots

     

    À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, quel message allez-vous faire passer aux candidats ?

    Dans cette campagne, la question des transports et des mobilités est occultée. Pourtant, au même titre que l’énergie ou les télécommunications, l’organisation des grands réseaux est un sujet fondamental pour l’économie, pour le quotidien des gens. Aujourd’hui, la trajectoire donnée au système ferroviaire n’est pas la bonne. Il est urgent d’en changer.

    Vous dénoncez la dégradation du service public ferroviaire ; pourtant, le discours du gouvernement et de la SNCF s’est un peu infléchi, notamment sur la question des moyens. Qu’en est-il sur le terrain ?

    Notre réseau continue de se dégrader fortement. L’âge moyen de l’infrastructure baisse uniquement parce que les voies les plus anciennes ont été fermées : 269 kilomètres pour la seule année 2020. Le système de signalisation est vieillissant et la proportion des voies hors d’âge atteint désormais 21 %. En parallèle, le transport de marchandises est toujours dans une situation très précaire malgré les aides publiques de l’an dernier. Pour ce qui est du transport de voyageurs, la rationalisation qui résulte de la mise en concurrence devient une réalité désastreuse. Certaines lignes TGV comme Paris-Lyon vont connaître la concurrence quand d’autres seront abandonnées, avec des arrêts supprimés. Quant aux TER, la concurrence a déjà des effets, comme en Normandie où les circulations ont été diminuées de 30 % au motif que la SNCF ne peut plus se permettre de faire rouler des trains à 20 % d’occupation. Tout cela est en train de se mettre en place sournoisement. Alors, bien sûr, le discours de la SNCF a changé, c’est logique. Le système privatisé est incapable de financer l’infrastructure, il faut donc l’intervention publique. En dix ans, il faudrait 100 milliards d’euros pour maintenir et développer le réseau, d’après la direction. C’est la condition sine qua non, y compris pour que les opérateurs privés puissent dégager des bénéfices.

    Cette année encore, 2 000 postes vont être supprimés à la SNCF. Qu’exigez-vous en termes de recrutement et de garanties sociales ?

    Dans un premier temps, il faut stopper ces baisses d’effectifs et faire un inventaire des forces dont on a besoin réellement pour produire, puis recruter et former. Il faut aussi rendre nos métiers attrayants. L’État doit définir ce qu’il veut pour son système ferroviaire, puis mettre les moyens humains et financiers pour répondre aux objectifs fixés et, enfin, rediscuter impérativement du cadre social.

    Le groupe CRCE au Sénat va déposer une proposition de loi qui abroge le pacte ferroviaire de 2018…

    C’est absolument nécessaire. Pour sortir la SNCF de cette trajectoire financière qui l’étrangle, pour revenir sur une organisation de la production sans concurrence, pour remettre sur la table le statut des cheminots et gagner des garanties sociales.

    Alors que les prix des carburants explosent, certains pays baissent les prix des transports publics. Est-ce un exemple à suivre ?

    Oui. En France, la TVA pourrait par exemple être immédiatement diminuée. Elle avait été augmentée sous François Hollande. Mais quand les prix des carburants s’envolent, l’État, au lieu de donner 400 millions à la SNCF pour baisser ses tarifs et faire en sorte que les gens se reportent sur le transport collectif, préfère donner 400 millions d’euros aux transporteurs routiers pour compenser la hausse du gazole. On ne s’en sortira jamais comme ça.

     

    --------------------------------------------------

    Acte I : abroger la réforme de 2018

     

    Les sénateurs du groupe CRCE vont présenter une proposition de loi visant à annuler le « pacte ferroviaire » de 2018, qui est aujourd’hui au cœur de la colère des cheminots.

     
    Publié le Jeudi 31 Mars 2022
     

    Pour les sénateurs du Groupe communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), c’est « une manière de soutenir la journée de mobilisation des cheminots ». Ce jeudi, juste avant le départ de la manifestation parisienne à l’appel de la CGT, les élus vont présenter une proposition de loi – portée par Gérard Lahellec et Marie-Claude Varaillas, membres de la commission de l’Aménagement du territoire et du Développement durable – visant à abroger le pacte ferroviaire.

    Votée en 2018, malgré une opposition historique des cheminots et de leurs organisations syndicales, cette réforme marque une accélération dans la casse du service public. En transformant l’entreprise publique SNCF en société anonyme, en filialisant bon nombre d’activités (dont Fret SNCF), en parachevant l’ouverture à la concurrence du transport de voyageurs et en supprimant le statut de cheminot pour tous les nouveaux embauchés, ce « pacte ferroviaire » a profondément désorganisé la production et déstabilisé les agents. C’est d’ailleurs contre les conséquences concrètes de sa mise en application que les cheminots, entre autres, se mobilisent ce jeudi.

    Dans leur proposition de loi, les sénateurs communistes engagent également l’abrogation « de l’ensemble des ordonnances prises sur le fondement de cette loi », explique le groupe CRCE. Une précaution indispensable alors que, désormais, « les ordonnances, pour avoir valeur législative, n’ont plus besoin d’être au préalable ratifiées ».

    LA RATP EST aussi CONCERNée

    Dans la foulée, la proposition de loi inscrit également l’abrogation des dispositions d’ouverture à la concurrence prises pour la RATP. « Il n’est plus possible que la libéralisation soit l’alpha et l’oméga des politiques en matière de transport public », souligne-t-on chez les sénateurs communistes.

    Côté calendrier, et après présentation ce jeudi, le texte devrait être officiellement déposé lundi, sans examen prévu pour l’heure, les sessions étant interrompues pour quatre mois. M. d’A.

    ---------------------------------------------------------

     


    votre commentaire
  • Rassemblement le 30 mars,

    pour tous les droits du peuple palestinien 

     

    https://cnpjdpi.org/ 

     

    Communiqué
     

    Chaque 30 mars, les Palestiniens et les Palestiniennes commémorent la journée de la Terre en souvenir de leur grève et mobilisations historiques en 1976, face au gouvernement israélien qui annexait plus de 2 500 hectares de terres en Galilée et de la répression criminelle qui s’ensuivit. L’armée israélienne réprima brutalement ce mouvement : 6 morts, des centaines de blessés et des centaines d’arrestations.

    Aujourd’hui Israël ne respecte toujours pas le droit international et accentue sa politique de colonisation des territoires palestiniens occupés. Les colons israéliens représentent 13,8 % de la population en Cisjordanie, vivant dans plus de 500 colonies toutes illégales [1]. Régulièrement des maisons palestiniennes sont démolies et des villages disparaissent laissant des Palestiniennes et des Palestiniens dans la plus grande précarité.

    La situation dans laquelle se trouve le peuple palestinien est marquée par la poursuite du blocus imposé à Gaza, par le refus du gouvernement israélien de respecter le droit international, qu’il s’agisse du droit au retour des réfugié·e·s, de la construction du Mur jugé illégal, de la colonisation, ou encore de la situation des prisonniers et des prisonnières.

    Nombre d’organisations dénoncent un régime d’apartheid israélien envers le peuple palestinien : après un groupe important d’ONG palestiniennes, puis des ONG israéliennes, ce sont maintenant de très grandes organisations internationales de défense des droits humains qui le documentent et le dénoncent.

    La société civile en France et dans le monde se mobilise pour apporter sa solidarité au peuple palestinien, et demande que soient prises des mesures contraignantes vis-à-vis d’un État qui piétine le droit international et commet au quotidien des crimes de guerre. Cela passe par la suspension de l’accord d’association U.E./Israël. C’est aussi pour cela que nombre de nos organisations soutiennent l’ICE (Initiative Citoyenne européenne pour l’interdiction du commerce des produits des colonies dans le territoire de l’Union européenne).

    Il est également temps de répondre à une exigence élémentaire : la reconnaissance par la France de l’État de Palestine, admis à l’ONU depuis novembre 2012, avec Jérusalem-Est comme capitale.

    Le Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, qui regroupe de nombreuses associations, des partis politiques et des organisations syndicales, sera mobilisé le 30 mars prochain pour la journée de la Terre.

    À Paris, le rassemblement aura lieu  place de la République à 18h30. À cette occasion, de nombreuses représentantes et de représentants politiques, associatifs et syndicaux, prendront la parole pour exprimer leur soutien au peuple palestinien.


    Membres du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens signataires :
    Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui (ACCA) - AFD International - AILES Femmes du Maroc - Alternative Libertaire (AL) - Américains contre la guerre (AAW) - Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) - Association des Tunisiens en France (ATF) - Association France Palestine Solidarité (AFPS) - Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR) - Association pour la Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC) - Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF) - Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) - Association Universitaire pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) - Confédération Générale du Travail (CGT) - Cedetim / IPAM - Collectif des Musulmans de France (CMF) - Collectif Faty Koumba : Association des Libertés, Droits de l’Homme et non-violence - Collectif Judéo-Arabe etCitoyen pour la Palestine (CJACP) - Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis) - Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO) - Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5) - Comité pour le respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunie (CRLDHT) - Confédération Paysanne - Droit-Solidarité - Ensemble ! - Europe Ecologie les Verts (EELV) – Fédération Syndicale Unitaire (FSU) - Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) - Forum Palestine Citoyenneté - Génération Palestine – La France Insoumise - La Courneuve-Palestine - le Mouvement de la Paix - les Femmes en noir - Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF) (LIFPL) - Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF) - Organisation de Femmes Egalité – Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) – Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF) - Parti Communiste Français (PCF) - Parti de Gauche (PG) - Parti de l’émancipation du peuple - Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM) – Socialistes pour la Paix - Sortir du colonialisme - Union Juive Française pour la Paix (UJFP) - Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) - Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) - Union syndicale Solidaires

    [1Les données sur les colonies proviennent du site de la Plateforme des ONG pour la Palestine : https://plateforme-palestine.org/Colonies-les-chiffres-cles-2020





    votre commentaire
  • Réseau européen :
    Solidarité avec l’Ukraine et Contre la guerre
    (consensus de base)

     

    Nous, collectifs de mouvements sociaux, syndicats, organisations et partis, dEurope de lEst et de lOuest, opposé-es à la guerre et à tous les néo-colonialismes dans le monde, voulons construire un réseau par en bas, indépendant de tout gouvernement...

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique