• Loi Travail. L'ARC 29 répond à Bernard Poignant

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  • Philippe Martinez (CGT) :

    «Il faut qu’Emmanuel Macron revienne les pieds sur terre»

    A Lire Ici Le Parisien >>>>>


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  • Concarneau Travail. Les Insoumis lancent l'alerte

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  • Le MRAP condamne les massacres

    des Rohingyas en Birmanie


    et demande

    au gouvernement français d'intervenir

     

    Les Rohingyas sont un groupe ethnique de religion musulmane vivant principalement dans le sud-ouest de la Birmanie. De 1942 à 1991, ils ont été victimes de pogroms racistes nommés « davantage de pureté » ou encore « belle nation immaculée «  : massacres, viols, vols de terres, déplacements forcés. En 1982, une loi sur la nationalité adoptée en Birmanie spécifiait que seuls les groupes ethniques apportant la preuve de leur présence sur le territoire avant 1823 (soit avant la première guerre anglo-birmane qui a mené à la colonisation), peuvent obtenir la nationalité. Apatride, cette minorité musulmane de 1,3 millions de personnes, est visée par de nombreuses campagnes de haine et vit entassée dans des camps de fortune, sans accès aux écoles, aux hôpitaux et au marché du travail.

    En février 2017, un rapport de l'ONU dénonçait le « nettoyage ethnique » mais depuis le 25 août la répression s'est accentuée conduisant les Rohingyas à fuir vers le Bangladesh. En moins de deux semaines, 164.000 personnes ont fui les violences en Birmanie. Cela porte à 250.000 le nombre de personnes ayant fui depuis octobre dernier, soit près du  quart  des Rohingyas de Birmanie.

    On compte près de 430 morts depuis le 25 août et, environ 20.000 personnes, dont de nombreux enfants, sont elles encore bloquées à la frontière  dans l'attente d'être autorisées à la franchir, sans nourriture ou médicaments.

    Aung San Suu Kyi, symbole de la résistance durant la dictature birmane, prix Nobel de la paix , refuse de reconnaître la réalité des massacres et traitent les Rohingya de « terroristes musulmans »,  entretenant ainsi un amalgame scandaleux.

    Le MRAP demande au gouvernement français d'intervenir pour que cesse la répression et pour que des mesures humanitaires soient prises d'urgence

    Paris, le 7 septembre 2017 
     
    --
    Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples

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  • Front Social

    Décryptage Ordonnances contre le code du travail


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  • CGT Cheminots

    Communiqué de Presse 12 septembre 2017


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  • NPA

    Ordonnances contre le droit du travail :

    tous dans la rue le 12 septembre

     

     

    Le pire était à craindre, il est dans les cinq ordonnances présentées le 31 août par le gouvernement Macron. Pour l’empêcher, il n’y aura que notre mobilisation et notre unité.

     

    Les exigences du Medef par ordonnances

    Pour le Medef, il faut en finir avec le Code du travail, qu’il ne soit plus une garantie commune à tous les salariéEs. L’inversion de la hiérarchie des normes permet que soient mis en place au niveau des branches des contrats courts, des contrats de chantiers… plus précaires encore que les CDD et l’intérim. Les entreprises peuvent imposer des rémunérations et primes inférieures à ce qui est prévu par la convention collective de la branche.

    La rupture conventionnelle collective ou l’appréciation de la santé économique d’un groupe multinational sur le seul territoire français permettent de licencier beaucoup plus facilement.

    Les outils de défenses des salariéEs sont également attaqués. Le tribunal des prud’hommes est désarmé par  les barèmes qui réduisent drastiquement les indemnités en cas de licenciement illégal et par la réduction des délais de recours. La fusion du CHSCT, des délégués du personnel et du CE ou le référendum d’initiative patronale livrent les salariéEs au bon vouloir patronal.

     

    Tous ensemble le 12 septembre

    Macron veut aller vite et boucler l’affaire avant la fin septembre. Il se plaint que « La France n’est pas réformable », il sait bien que sa loi travail est majoritairement rejetée, que les résistances sont nombreuses. Malgré le passage en force de la loi par les ordonnances, il est possible de la faire retirer, comme le mouvement de la jeunesse avait fait retirer le Contrat Première Embauche.

    Pourtant, en cette rentrée, les salariés manquent cruellement d’une stratégie pour s’unir et gagner : certains syndicats ne veulent pas mobiliser, Mélenchon prépare le 23 septembre alors qu’il faudrait construire un front commun de lutte, un front de résistance sociale et démocratique, unir toutes les forces syndicales, politiques, associatives, militantes, faire converger tous les secteurs des salarié.e.s du privé comme du public, précaires, privéEs d’emplois et retraitéEs, jeunes... pour préparer et réussir la journée de grève et de manifestations du 12 septembre et préparer ses suites.

     

    Une stratégie pour gagner

    Seul un rapport de force global peut empêcher Macron d’appliquer son programme et celui du Medef. Ce rapport de force ne peut venir que de la convergence de plusieurs facteurs : un mouvement de grève massif du monde du travail, qui bloque l’économie et le pays, la mobilisation de la jeunesse, et de multiples formes d’auto-organisation dans les quartiers, sur les lieux d’études comme dans les entreprises.

    Il faudra d’autres échéances de mobilisation, d’autres rendez-vous, d’autre dates de manifestation, rapidement après le 12 septembre. Dans les lieux de travail, dans les quartiers, dans les lieux d’études, discutons-en.

    Ce gouvernement est issu d’un hold-up démocratique : élu avec 16% des voix, il veut imposer une politique au service du grand patronat, décider à la place de ceux qui font tourner la société. Ordonnances, état d’urgence, réduction des APL, sélection dans les universités, baisse de l’impôt sur la fortune, moyens totalement insuffisants dans l’éducation, suppression des cotisations salariales remplacées par la CSG… ça ne peut plus durer ! Si nous ne l’arrêtons pas, ce gouvernement est prêt à casser l’ensemble des droits des salariés et des classes populaires. Il faut donc lui infliger une défaite le plus vite possible, et imposer un autre projet de société.


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  • Avec la CGT,

    Mélenchon «ne va pas s’inventer des divergences qui n’existent pas»

    A Lire ici >>>>> Libération


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  • Jean-Luc Mélenchon et Philippe Martinez

    opèrent un geste de rapprochement

    Le chef de file de La France insoumise et le secrétaire général de la CGT doivent se rencontrer avant les mobilisations des 12 et 23 septembre.


    En savoir plus sur

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  • CGT - 12 Septembre 2017 - Tract

    Contre la casse du Code du Travail

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