• On a toutes et tous une bonne raison

    de s’opposer au TAFTA et au CETA



    Depuis 2013, une large mobilisation s’est mise en place contre le TAFTA, ce projet d’accord qui vise à libéraliser les échanges commerciaux et les investissements entre les États-Unis et l’Union européenne. Les négociations vont plus lentement que prévu, mais contrairement aux annonces récentes du gouvernement, elles continuent !

    Pendant ce temps, l’Union européenne s’apprête à signer un traité similaire avec le Canada : le CETA. Celui-ci doit être soumis à l’approbation des États membres le 18 octobre prochain. S’il est approuvé, il sera soumis à la ratification du Parlement européen dans les mois suivants.

    Le TAFTA et le CETA auraient des conséquences graves, telles que l’abaissement des barrières tarifaires en matière agricole qui aggraverait la crise que vivent déjà des centaines de milliers de paysans et le nivellement par le bas des normes qui protègent la qualité de notre alimentation, la santé publique, la sécurité industrielle et l’environnement.

    La « coopération réglementaire », conçue pour impliquer directement les multinationales dans l’écriture des lois et réglementations et « l’arbitrage d’investissement » mettraient en danger les droits sociaux, la lutte contre le réchauffement climatique et le principe démocratique même. Dès l’approbation du CETA, les multinationales américaines, qui possèdent de nombreuses filiales au Canada, pourraient utiliser ces mécanismes pour attaquer les réglementations qu’elles jugent défavorables.

    Alors le 15 octobre, toutes et tous mobilisé.e.s

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Communiqué de Ensemble!

    Affaire Tefal :

    relaxe pour l'inspectrice du travail

    et l'ex-salarié.

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  • Ensemble! Tract rentrée Septembre 2016

    Unir la Vraie Gauche Vite !

     


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  • Clémentine Autain Fête de l'Huma 2016
    en 59 secondes.

     


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  • Note spéciale mobilisation NDDL

    Pour Notre-Dame-des-Landes : résistance

    Tous et toutes sur la ZAD les 8-9 octobre

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  • « Faisons front commun » :

    un cas de résignation politique

    Dans cette tribune, Laurent Lévy – membre d’Ensemble! – discute l’appel récemment paru « Faisons front commun ». Signé par des militants et intellectuels, cet appel plaide en faveur de la candidature de Jean-Luc Mélenchon.

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  • Communiqué commun  des organisations locales :

    PCF, Parti de Gauche, Ensemble !,

    association du Front de gauche, NPA, Europe Ecologie les Verts

     

    Belfort c’est l’Alstom

     

    Dure rentrée dans l’aire urbaine pour 480 salariés d’Alstom Belfort menacés de perdre leur emploi, suite à l’arrêt programmé de la production de trains sur le site.

    Outre la catastrophe pour la ville, car historiquement «  Belfort c’est l’Alstom », tout un bassin d’emploi va être  sévèrement impacté. C’est aussi, au plan national, un exemple de plus d’une politique patronale qui ne recherche que les profits, sans que l’Etat, actionnaire à 20% d’Alstom, n’empêche la casse industrielle et sociale.

    Le prétexte invoqué, la baisse des commandes  en France, sonne faux.

    Récemment c’est une filiale commune de la SNCF et de la Deutsche Bahn qui passe une commande de 44 locomotives …auprès d’une société allemande Et la pilule est d’autant plus dur à avaler pour les travailleurs et les citoyens que le sabordement programmé  d’Alstom Belfort vient après l’annonce d’un contrat de 2 milliards d’euros signé par le constructeur aux Etats-Unis, et celle d’un partenariat entre l’Alstom et la SNCF sur la conception du TGV du futur, prévu en 2022 . Sans compter la promesse gouvernementale, par la voix de Macron en 2015, de garantir la pérennité de l’emploi à Belfort. De bonnes nouvelles qui se concrétisent aujourd’hu sur le terrain par des chiffres du chômage qui vont exploser

    La promesse d’un transfert de l’activité sur le site de Reichshoffen ne rassure personne alors même  que l’annonce  gouvernementale d’une commande publique de 30 trains  intercités n’a été suivie d’aucune décision concrète.

    Sauver les emplois à Belfort exige de la part de l’Etat une volonté politique claire, et une rupture avec les logiques de la mondialisation capitaliste qui ne recherche qu’à gonfler les profits des actionnaires.

    L’heure est à la mobilisation de tous. Dans notre région, L’Alstom sera au cœur de la journée d’action interprofessionnelle du 15 septembre  Et nous appelons  la population du Pays de Montbéliard  à venir devant la mairie de Belfort le lundi 12 septembre à 19h pour soutenir les salariés d’Alstom


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  • Communiqué de Ensemble!

    Mouvement pour une alternative de gauche écologiste et solidaire.

    Alstom tue l'emploi.

    Après l'annonce par la direction générale d'Alstom de l'arrêt de la production de trains à Belfort d'ici 2018, « Ensemble! » Partage la stupeur, l'indignation et la colère des 480 salarié-e-s, de leurs familles et de la population.

    C'est un véritable coup de massue qui détruit plusieurs centaines d'emplois directs et indirects dans un site industriel historique et met à mal tout un bassin d'emploi.

    Le prétexte invoqué, la baisse des commandes en France, sonne faux.

    Du travail, il y en a avec le TGV du futur prévu pour 2022. Mais encore faut-il faire le choix de maintenir et développer l'emploi à Alstom.

    Or, récemment, une filiale commune à la SNCF et de la Deustche Bahn a passé une commande pour 44 locomotives, mais auprès d'une société allemande.

    L'Etat, le gouvernement Valls est face à ses responsabilités.

    Actionnaire à hauteur de 20% d'Alstom, le représentant du gouvernement, qui s'était engagé en 2015 par la voix du ministre de l'industrie -E. Macron -, à ce qu'il y ait « zéro licenciement à Alstom transport », doit s'opposer à la disparition du site de Belfort et aux suppressions de postes.

    Cette mise à mort programmée appelle une riposte unitaire.

    Pour « Ensemble! » c'est : maintien du site de Belfort et aucun licenciement ou suppression de poste.

    C'est possible : les multiples contrats qu'Alstom a décroché à l'étranger, comme aux Etats-Unis ou en Italie, lui en donne les moyens.

    Toute notre solidarité et notre soutien à l'intersyndicale et aux salarié-e-s et aux actions à venir pour empêcher la disparition du site de production de Belfort.

    Aux politiques libérales anti-sociales, opposons un front de résistance pour le maintien et la création d'emplois, le partage du temps de travail.

    Le 8 septembre 2016.


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  • Tract d'Ensemble ! pour la fête de l'Humanité

     


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  • Tract Jeunes Ensemble !

    Septembre 2016


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