• Montpellier

    Etudiants tabassés à la fac de Montpellier :

    la polémique résumée en quatre actes

    Des hommes cagoulés ont fait irruption dans les locaux de la fac de Montpellier, jeudi soir, pour évacuer violemment un amphithéâtre occupé par des étudiants. Retour sur une polémique qui a mené à la démission du doyen de la faculté de droit, vendredi.

    France TV Info >>>>>

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    Démission du doyen P. Pétel

    après l'attaque d'étudiants

    par une milice fasciste: une première victoire !

    Communiqué d’Ensemble !34 >>>>>


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  • Coup de force pour briser le mouvement social

    à l'Université Jean Jaurès à Toulouse

    Ensemble! >>>>>


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  • Sur les traces

    du Mouvement du 22 mars 1968

    A l’intiative d’anciens du Mouvement du 22 mars, avec des chercheurs et archivistes, des laboratoires de l’Université de Paris-Nanterre, se tient un Colloque les 23 et 24 mars 2018 à l’Université Paris Nanterre - Amphithéâtre du bâtiment Max Weber.

    Occasion de revenir sur ce "prélude au mouvement étudiant" de mai et juin 1968*.

    Le 22 mars 1968, 150 étudiants occupent, jusque tard dans la nuit, le bâtiment administratif de Nanterre. Le Mouvement du 22 Mars est né.

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  • 22 Mars 2018

    Tract Ensemble !


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  • Défendons tous les services publics !

    Solidarité avec les cheminots et les cheminotes !

    Déclaration unitaire

    Voilà des années que les gouvernements successifs ont fait le choix de la privatisation des transports contre le climat, l'égalité et le social : sous-investissent dans le rail et  investissement massif  vers autoroutes et autocars, privatisés qui favorisent notamment l’explosion du trafic de marchandises par poids lourds.

    Depuis 1997 et la création de RFF, la SNCF est toujours plus segmentée, pour casser le corps social cheminot et poursuivre les privatisations  préconisées par les « directives » européennes. Aujourd’hui Macron pousse au bout la logique, de l’éclatement de la SNCF. Partout en Europe, les recettes qu’il veut appliquer  produisent la disparition de  lignes, l’explosion des prix, la vétusté des installations et des trains, la disparition du fret. C'est toute la population qui paie triplement l'addition : financièrement, par l'inégalité territoriale induite et par sa santé altérée par la pollution générée.

    Après 20 ans d'une libéralisation amplifiée, l'empilement des directives européennes poussant dans ce sens, Macron propose d’achever le service public ferroviaire par ordonnances avec des conséquences dramatiques pour les usagers et l’aménagement des territoires. Pour y arriver, Il accable les cheminot•tes, les faisant passer pour des privilégié.es qui, comme les retraité.es, les étudiant.es ou les chômeurs.ses, ruineraient la France. La réalité est tout autre : ils et elles se battent pour sauver l'emploi des générations qui viennent.

    Le train n’est pas qu’un moyen de locomotion, c’est un service public, un outil essentiel à la transition écologique et il est insupportable qu’il puisse s’arrêter aux portes des grandes métropoles. La bataille du service public ferroviaire est d’abord une bataille pour l’égalité.

    Face à ce gouvernement, qui veut parachever la transformation d’un service public censé être guidé par l’intérêt général en une entreprise du CAC 40, , les cheminots et les cheminotes ne sont comptables de rien. Pas plus que les étudiant.es qui perdent une partie de leurs APL, les retraité.es qui voient la CSG augmenter, les personnels de soins, les enseignant.es, les chômeurs.ses ou l'ensemble des fonctionnaires. Pas plus que les migrant.es qui subissent une politique indigne.

    Macron et Philippe veulent en faire des bouc-émissaire  ? Nous affirmons collectivement qu’ils et elles sont les victimes des politiques libérales menées depuis tant d’années, qui expliquent la montée de l'extrême droite partout en Europe.

    Ils nous veulent désunis ? Nous répondons que nous serons dans la rue le 22 mars pour défendre l’accès au service public, à commencer par le ferroviaire, les cheminot-e-s, mais aussi l’ensemble des fonctionnaires et l’intérêt des usager-e-s.

    Alternative Libertaire (AL) ; EELV ; Ensemble ; Gauche Démocratique et sociale (GDS) ;  Géneration.s, ;Groupe Parlementaire FI,  NPA ; Nouvelle Donne, PCF ;  PCOF ; Parti de Gauche (PG), République et socialisme

     

    Ensemble ! >>>>>


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  • Brésil :

    Marielle Franco et Anderson Gomes, présent !

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  • Région Occitanie

    Face à la volonté de bâillonner

    4 élu.e.s régionaux.ales d'Occitanie,

    où en sommes-nous ?

    Explications de

    Liem Hoang Ngoc, Myriam Martin, Jean-Christophe Sellin, Guilhem Serieys,

    Conseillers régionaux.ales d'Occitanie, membres de la France Insoumise

     

    La volonté de bâillonner 4 élu.e.s régionaux.ales

    Respectueux de nos engagements électoraux, nous nous étions opposés lors de l'Assemblée plénière du Conseil régional du 21 décembre dernier à l'augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire des agents régionaux.ales, à l'inverse des élu.e.s du PS, du PRG, d'EELV et du PCF.

    Les élu.e.s du PCF et d'EELV avaient alors décidé de quitter le groupe « Nouveau Monde en Commun » issu des dernières élections, avec la volonté de nous priver de moyens d'expression, humains et matériels.

    Nous avions dénoncé la duplicité de ceux qui prônent la réduction du temps de travail dans les programmes électoraux et acceptent l'inverse une fois élus, qui prônent le « rassemblement » dans leur communication nationale et le détruisent en région Occitanie.

    Cette manœuvre politicienne, justifiée par un soutien inconditionnel à la majorité PS, avait pour but de nous réduire au silence en nous privant de l'appartenance à un groupe politique. Pourtant, l'indépendance par rapport au PS, les droits démocratiques des élu.e.s et leur liberté de vote étaient au fondement du programme de la liste « Nouveau Monde en Commun » et de sa charte éthique.

     

    Un règlement intérieur qui bafoue la démocratie

    Le règlement intérieur du Conseil régional d'Occitanie a été rédigé par la même personne qui a organisé cette manœuvre politicienne contre nous, Gérard Onesta. Ce règlement intérieur est un carcan qui a fortement limité les droits des élu.e.s (recul du droit d'amendement, du droit à l'explication de vote...) et qui étouffe la démocratie.

    Surtout, en proposant d'augmenter de 4 à 7 le nombre d'élu.e.s nécessaires pour former un groupe politique, Gérard Onesta s'est engagé contre les droits des minorités politiques au Conseil régional et agit délibérément pour y bâillonner la force politique à laquelle nous appartenons « La France Insoumise ». Ces manœuvres bureaucratiques sont l'apanage du vieux monde politique en crise qui agit ici au mépris des droits démocratiques élémentaires. Le droit de constituer un groupe politique dans une collectivité territoriale est en effet un droit garanti par le Code Général des Collectivités Territoriales qui permet l'expression de la diversité politique en assurant à chaque courant politique des moyens matériels et la possibilité de participer à l'organisation des débats en Assemblée.

    Dans les autres Conseil régionaux du pays, chaque sensibilité politique a le droit de constituer un groupe politique. C'est ainsi qu' EELV forme un groupe à 3 élu.e.s en Région Normandie, le PCF un groupe à 4 élu.e.s en Bretagne ou le PRG un groupe à 3 élu.e.s en Nouvelle Aquitaine. Le refus de donner le même droit en Occitanie est donc bien dirigé contre la France Insoumise au mépris des règles appliquées dans les autres Régions. C'est pourquoi nous utilisons tous les moyens juridiques et démocratiques pour que notre courant politique soit respecté et représenté au sein de la région Occitanie. Au delà des aspects juridiques, nous mesurons la gravité de cette situation : le refus de reconnaître à un courant politique qui existe tant dans l'institution que dans la société, les droits élémentaires démocratiques pour s'exprimer.

     

    La responsabilité de la Présidente du Conseil régional

    Depuis 2 mois et la décision des élu.e.s EELV et PCF, nous nous sommes adressé.e.s à Carole Delga afin que le pluralisme politique soit respecté au sein de l'institution et permette la formation d'un groupe politique des 4 élu.e.s de la France Insoumise. Nous avons essuyé une fin de non-recevoir et avons été déclaré.e.s comme « non inscrits », donc sans moyens et sans possibilité d'intervenir sur les différents sujets à l'ordre du jour dans les débats de l'Assemblée.

    Il suffirait pourtant que la présidente de Région propose à l'Assemblée régionale de ramener le seuil pour former un groupe à 4 élu.e.s, comme c'était le cadre fixé en début de mandat. Cette obstination à utiliser un artifice réglementaire pour limiter la démocratie au Conseil régional est inacceptable. On nous a donné comme explication à ce refus qu'en permettant la formation d'un groupe politique à 4 élu.e.s, le risque existait que les élus « La République En Marche » forment également un groupe politique. Cet argument est irrecevable et démontre la gravité de la situation. Nous sommes nous mêmes les premiers opposants à « En Marche » et à la politique menée par Emmanuel Macron.

     

    Mais c'est sur le terrain du débat que doit se faire la confrontation démocratique. On ne règle pas des difficultés politiques  avec des carcans administratifs et en privant des courants politiques de représentation.

    C'est pourquoi nous alertons nos concitoyen.nes et tous les élu.e.s de la Région Occitanie pour que cesse cette situation indéfendable.


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  • Ni rire, ni pleurer, ni haïr :

    critiquer les médias.

    Dévoiler les contraintes cachées qui pèsent sur les journalistes et qu’ils font peser à leur tour sur tous les producteurs culturels, ce n’est pas – est-il besoin de le dire ? – dénoncer des responsables, mettre à l’index des coupables. C’est tenter d’offrir aux uns et aux autres une possibilité de se libérer, par la prise de conscience, de l’emprise des mécanismes et proposer peut-être le programme d’une action concertée […].
    (Pierre Bourdieu, Sur la Télévision, Paris, Raison d’Agir, 1996)

    Depuis plusieurs jours, une certaine « critique des médias » semble avoir le vent en poupe – ou répandre son venin selon les versions – se cristallisant sur les relations que la France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon entretiennent avec le champ médiatique, ou sur les rapports des médias avec cette force politique.

    Sur le site d'Ensemble ! >>>>>


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  • Ensemble Hérault !

    Ce n'est pas la SNCF qu'il faut privatiser mais les autoroutes qu'il faut renationaliser !

    Journée blanche et grande pagaille !

    Montpellier à la recherche de son service public…


    L'épisode neigeux de la semaine dernière dans le département de l'Hérault et notamment sur la Métropole de Montpellier démontre les faiblesses et dysfonctionnement de l’État et des collectivités territoriales.


    Nous aurions pu vivre une véritable catastrophe si nous n’avions pas été en période de vacances scolaires et si le froid avait duré quelques jours de plus.

    Sur le blog d'Ensemble Hérault ! >>>>>


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  • Appel à l'action et à la grève pour les droits des femmes le 8 mars.

    Sur le site national d'Ensemble ! >>>>>


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