• Converger , ensemble le Jeudi 19 avril 2018 !

    Rarement une période économique et sociale n’aura été autant porteuse de dangers et d’incertitudes pour l’avenir de l’ensemble des salariés... Contradictoirement, rarement la séquence qui s’ouvre ne nous aura offert la possibilité de construire un mouvement capable d’inverser la courbe des remises en cause et des mauvais coups.

    Ces dernières semaines, des initiatives d’actions avec des grèves et manifestations ont été organisées dans plusieurs secteurs professionnels et territoires. Les retraités et les salariés des EHPAD étaient mobilisés dans l’unité le 15 mars dernier. Ils étaient des milliers dans les rues. Les uns aspirent – à juste titre – à des niveaux de pensions leur permettant de vivre dignement, et les autres à travailler dans des conditions décentes.

    Le 22 mars, les salariés de la fonction publique, des entreprises privées et publiques, les cheminots, étaient en arrêt de travail et en manifestation dans tout le pays.

    Le 30 mars, les salariés de Carrefour se sont mobilisés contre le démantèlement du groupe orchestré pour répondre aux seules exigences de rentabilité des principaux actionnaires.

    Depuis le 3 avril, une mobilisation massive des cheminots est engagée pour le service public ferroviaire.

    Toutes ces actions montrent que les salariés, les retraités, les jeunes ne s’en laissent pas conter. Ils exigent une autre action politique du gouvernement et que le patronat réponde à leurs revendications dans les entreprises.

    Tous les éléments semblent être réunis pour contraindre gouvernement et patronat à répondre aux attentes légitimes des salariés et des retraités. Pour se faire il est certes nécessaire d’amplifier le mouvement dans les entreprises, mais il faut également, de toute évidence, créer les conditions de leur convergence. C’est dans ces conditions et avec cet objectif que les organisations syndicales du Finistère CGT, FSU, Solidaires, avec le soutien de FO prennent l’initiative de faire du 19 avril 2018 une journée de convergences revendicatives et de luttes interprofessionnelles, appellent à se rassembler :

     

    à partir de 11 heures dans les localités le 19 avril 2018,

    à

    Brest - place de la liberté,

    Quimper - place St Corentin,

    Morlaix - place des otages,

    Carhaix - place du champ de foire

    Quimperlé (avec un rendez-vous à 10h30 place Jean Jaurès)


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  • Communiqué unitaire

    contre la répression dans les universités

     

    Pour le collectif : Alternative Libertaire (AL), Ensemble!, Gauche Démocratique et Sociale (GDS), Génération.s, Europe Ecologie – Les Verts (EE-LV), Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Parti Communiste Français (PCF), Parti Communiste Ouvrier de France (PCOF), Parti de Gauche (PG), République et Socialisme (R&S), Nouvelle Donne.

     

    Après que des interventions policières aient eu lieu sur plusieurs universités, comme Strasbourg ou Bordeaux, pour déloger les blocages et les occupations mis en place par le mouvement étudiant, les incidents qui se sont produits ces derniers jours à Lille et à Nanterre démontrent un saut dans la politique répressive du gouvernement d’Emmanuel Macron contre la jeunesse.

    A Nanterre, après avoir été agressés à l’intérieur du bâtiment où ils organisaient une assemblée générale, 6 étudiants ont été mis en garde à vue, et trois déférés en Justice.

    Au moment même où, dans cette fac qui a vu naître le mouvement du 22 mars, on commémore le cinquantenaire de mai 68, les CRS ont ordre de matraquer et d'arrêter des étudiants pour le simple fait de s’organiser…

     

     

    Par ailleurs, suite à l’appel à une intervention policière sur Tolbiac par son président, nous alertons sur la menace d'une décision du gouvernement d'évacuer par la force dans les prochains jours l’ensemble des occupations et blocages d’université.

    Nous affirmons notre rejet le plus absolu de cette politique autoritaire qui cherche à étouffer sous les coups la contestation bien réelle qui émerge, dans les universités, dans les gares et bien ailleurs.

    Notre solidarité est du côté de cette jeunesse qui se bat pour une université ouverte à toutes et tous et qui fait face à la violence de l’Etat et de bandes d’extrême-droite, comme cela a été le cas à Montpellier sans grande réaction du pouvoir en place.

    Nous serons à leurs côtés pour défendre leur droit de manifester et de s’organiser, ainsi que pour dénoncer toute forme de répression contre les étudiants et le mouvement social plus en général.


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  • Tract Unitaire 86

     


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  • [Dimanche 15 avril 2018 - La Bataille du rail]

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  • [Dimanche 15 avril 2018 - Notre Dame Des Landes]

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  • Rouge ViF !

    Le boulet du 5 mai...

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  • 50 ans de Mai 68 :

    Emmanuel Macron le "commémore tous les jours

    à coups de matraques",

    affirme François Ruffin

    Le député La France insoumise de la Somme, François Ruffin, était l'invité de "Questions politiques" sur France Inter et franceinfo Canal 27 dimanche. Il est notamment revenu sur le mouvement de grève à la SNCF.

    France TV Info >>>>>


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  • Que sait-on du vol du reliquaire

    du cœur d’Anne de Bretagne

    à Nantes ?

    Ouest-France >>>>>


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  • Ruffin

    14 avril 2018


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  • Ouest-France - ANALYSE.

    L’expulsion de la Zad de Notre-Dame-des-Landes

    vire au fiasco

    Emmanuel Macron avait promis de faire revenir l’état de droit dans la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Une semaine plus tard, la situation s’est, au contraire, aggravée.

    Dès le premier jour de l’opération, la grosse boulette. Et, du même coup, la renaissance d’un bourbier incommensurable. Les zadistes de la ferme des 100-Noms, « très modérés et prêts à se mettre dans les clous de la légalité » selon de multiples sources, sont expulsés. Leur bergerie et leurs cabanes démolies.

    Anecdotique ? Non, le lieu est trop emblématique pour nombre de militants écolos et opposants historiques. Une trahison, crie la délégation, composée notamment de zadistes, qui négocie depuis des semaines, des projets d’installations agricoles alternatifs avec la préfète. La révolte gronde. La pluie de grenades de toutes sortes n’arrange rien.

    ... A Lire ci-dessous

    Ouest-France >>>>>


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