• Sans partage des richesses, nous nous noierons tous ensemble.

    L'Avis de mes Potes

    Sans partage des richesses,

    nous nous noierons tous ensemble.

     

     


    Nous sommes dans le discours traditionnel de la diabolisation de tous ceux qui osent ne pas courber l'échine...

    Mon message est simple,

    il y a d'un côté ceux qui n'agissent que dans le but de passer sur terre dans une meilleure cabine que les autres en fond de cale

    et de l'autre ceux qui mettent leurs savoirs au service du collectif et qui se battent pour que tous aient une vie décente ici sur Terre...

     

    Nous sommes avant tout des habitants de la planète Terre avant d’être Français, américains, africains ou Chinois etc.

    Il n'y aura pas de bonheur pour les uns, une minorité,  entourés d'un océan de misère pour les autres .

     

    L'inverse de la misère ne passe pas automatiquement par plus de création de richesses ou de croissance continue mais par le partage .

    Il faut stopper cette hypocrisie ambiante, comment peut-on vivre dans une société apaisée quand des millions d'hommes et de femmes s'entendre dire qu'ils sont de trop.


    Cette mondialisation se fait contre les peuples, les populations, les êtres humains alors que celle-ci devrait être au service des travailleurs, des faibles,  et non des seuls capitalistes, des riches ou des puissants.


    L' Europe que vous défendez avec autant de zèle est à l'image de ce libéralisme débridé qui gouverne la planète... 

    Les institutions sont devenues des fabriques à pauvreté .


    Le plus dangereux des intégrismes, c'est l'intégrisme économique qui gouverne ce monde et qui nous mène tous à la catastrophe, autant économique, que sociale qu'écologique...


    Où étions-nous quand le FMI et autres a saigné à blanc l'Afrique pour livrer ses richesses aux multinationales tout en laissant crever des dizaines de millions de personnes .


    Et voilà que c'est le tour de l'Europe .

    Vous pensiez quoi, que les capitalistes pouvaient un jour être rassasiés ?


    Nous n'avons plus d'autres choix que d'affronter le capital, ou continuer à subir sa dictature donc le pillage de notre pays, de nos pays, de notre Planète au profit d'une petite minorité.


    La peur a changé de camp, beaucoup de nos concitoyens n'ayant plus rien à perdre sont prêt à en découdre avec le Capital.


    C' est un combat très périlleux que de vouloir déclarer la guerre aux possédants, mais au bout du chemin tortueux il y a l'espoir de la liberté.


    La gauche molle de nos quartiers huppé des grandes villes est en décalage avec une grande partie du peuple, vivant décemment, celle-ci a trop à perdre d'une confrontation avec le capital.


    La vraie gauche n'a pas vocation à sauver le capitalisme financier en faisant accepter au peuple "la mise au tout-à-l'égout d'une grande partie de ces acquis sociaux", ce que la droite n'aurait pas pu faire sans mettre le chaos dans le pays.

    .
    Il y a des moments dans la vie d'un peuple ou celui-ci n'a plus d'autres alternatives que de résister, que de se révolter.

     

    PB!


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