• "Les Sentinelles", un film-hommage aux lanceurs  d'alerte sur les grands scandales sanitaires.

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  • 39-45. Un mémorial virtuel redonne vie aux fusillés

    Résistants ou simples civils, ils s'appelaient René, Félix ou Marie et sont morts fusillés, pendus, brûlés, torturés pendant l'Occupation : au terme de dix ans de travaux, un site internet les sort de l'oubli en publiant biographies, photos et bouleversantes lettres d'adieux de milliers d'entre eux.

    A Lire ici >>>>> Le Télégramme


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  • Louis Chauvel.
    « Les Français sont prêts à entendre la vérité »
     
    Professeur de sociologie à l'université du Luxembourg, Louis Chauvel vient de publier « La Spirale du déclassement » : un pavé dans la mare de la campagne présidentielle.


    © Le Télégramme

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  • Migrants :

    Collectifs de citoyens : un phénomène d’engagement nouveau ?

    A Lire Ici >>>>>


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  • Belfort est préservé, mais Alstom a-t-il un avenir?

    4 octobre 2016 | Par martine orange

    Plus de 700 millions d’euros de commandes publiques vont être engagés pour sauver Belfort et ses emplois. Si ce plan permet d’assurer le maintien du site historique d’Alstom, l’avenir du groupe ferroviaire reste incertain. Alstom peut-il se maintenir seul ? L’absence de stratégie industrielle claire et le gaspillage de 3,2 milliards d’euros en rachat d’actions posent question.

    A Lire ici Médiapart >>>>>


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  • Vues de photographes :

    4 mois contre la loi travail.

    Trente-et-un photographes engagés, avec des statuts, des motivations et des niveaux d’expérience différents se sont rencontrés dans les manifestations contre la loi El Khomri et ont eu envie de se retrouver autour d’un projet commun.

    Pour que leurs photos ne restent pas sur les ordinateurs, sur les pages facebook ou sites internet, mais pour qu’elles reviennent aux acteurs et actrices de ce mouvement, ils ont décidé de réaliser cette première exposition collective qui a eu lieu à la bourse du travail.

    Reportage journal l’Humanité. 


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  • Une tribune de  Christian LAVAL et Michèle RIOT-SARCEY

    4 Octobre 2016

    Au lieu de s'autodétruire,

    la gauche critique doit enfin s'unir !

     

    La gauche gouvernementale s'est auto-anéantie, les " frondeurs " s'égarent dans le bal des ego.

    Pourtant, la gauche radicale peut encore s'organiser et élaborer un programme unique


    Au temps du massacre du peuple syrien,

    face aux morts en Méditerranée,

    pendant le scandale du mur de Calais,

    au présent de l'affaire Alstom,

    du procès de ce pitoyable Jérôme Cahuzac

    et de l'affaire Bygmalion,

    cette liste de scandales nous oblige à nous poser une simple question : que pouvons-nous espérer ?

     

    En ce temps défait, éclaté, où les mots les plus usités perdent leur sens, dans un espace fragmenté et concurrentiel où chacun ne voit plus l'autre que sous la figure d'un rival menaçant, le plus intolérable, c'est que nos représentants, totalement coupés du monde social, deviennent encore plus autistes à l'approche d'une campagne électorale qui incite aux délires les plus inattendus.

    " Le temps " sortirait-il " de ses gonds " ?

    Sommes-nous vraiment les contemporains de nos représentants politiques ?

    Sont-ils eux-mêmes les contemporains de ces hommes et de ces femmes qui chaque jour doivent lutter pour leur propre survie ?

    Sont-ils à l'écoute de ce qui se passe autour d'eux, autour de nous ?

    Comment osent-ils parler de démocratie quand il faudrait avant tout tenir compte de ce qui est crié ou écrit sous toutes les formes de l'expression critique à distance du pouvoir en place ?

    Une masse croissante d'individus parfaitement conscients de la catastrophe qui s'annonce - humaine, écologique - s'époumone en vain, sans parvenir à ébranler la certitude affichée et dérisoire de " représentants " qui ne les représentent pas.

     

    Que lesdits représentants de la droite s'ingénient à regarder la réalité de leurs contemporains à la lueur de leurs fantasmes, que l'extrême droite se délecte du délitement des consciences en faisant croire à son adhésion à la démocratie, rien de surprenant, mais que ces dits représentants osent parler en notre nom, cela est proprement hallucinant.

     

    Et que devient la gauche dans tout cela ?

    Que faut-il en attendre ?

    Rien de la gauche gouvernementale, elle s'est auto-anéantie pendant cinq ans.

    Il subsiste bien sûr la galerie des frondeurs, restés au PS !

    Quelles initiatives ont-ils prises ?

    Quelle alternative politique ont-ils proposée à tous ceux qui ont exprimé leur rejet de la loi El Khomri et leur lassitude du macronisme ?

    Quelle espérance d'émancipation renouvelée offrent-ils ?

    Et comment osent-ils se présenter à tour de rôle, seuls, au nom d'un peuple qu'ils ne connaissent guère à force d'avoir fréquenté les allées de l'Elysée ?

     

    Responsabilité immense

    La gauche de la gauche, comme il est convenu de l'appeler, ne semble pas plus avertie ni plus lucide que les autres représentants " élus ".

    Certes, elle promet, pour plus tard, de changer les règles du dispositif de délégation de pouvoir dont personne ne veut plus, mais en attendant, lorsqu'il s'agit de désigner ses candidats, rien ne change : les ego de personne et les égoïsmes de parti s'imposent.

    C'est à qui s'autoproclamera " égotiquement " le seul représentant de tous parce qu'il est naturellement le meilleur.

    Il faut cesser ces petits jeux suicidaires entre amis.

    Il est encore temps.

    La gauche dite radicale ou critique a perdu plus de dix ans à s'autodétruire alors que la colère était partout, que le néolibéralisme montrait ses conséquences désastreuses, que, pour d'importantes fractions des classes populaires, la gauche n'était pas encore synonyme de renoncement et de lâcheté devant les puissants.

    Oui, cette gauche-là, dont nous nous revendiquons, a été incapable de se constituer en force démocratiquement organisée, prisonnière des vieux schémas des partis d'avant-garde, des arrangements électoraux à géométrie variable, des " sauveurs suprêmes ".

    Elle a logiquement laissé place au découragement et au Front national.

    Oui, elle porte une responsabilité immense dans le désastre politique.

     

    Et cela suffit !

     

    Il existe un mouvement social, des syndicats, des initiatives collectives, un foisonnement d'associations que nous avons rencontrées partout.

    Cette nébuleuse démocratique pratique la mise en commun des énergies et des idées, elle reformule l'avenir possible en renouant avec les utopies d'hier.

    Cette mouvance ne se sent plus représentée par les appareils, petits ou grands.

    La déconnexion entre l'activité démocratique à la base et le jeu des organisations politiques s'accroît.

    Nuit debout en est la plus manifeste des expressions créatrices.

    Oui, il faut faire de la politique autrement, pour qu'elle soit l'affaire de tous.

    Pourquoi ne pas repartir de la base, c'est-à-dire du commencement ?

    Avant de parler au nom des " insoumis " ou tout simplement des mécontents, avant que chaque organisation ne désigne son candidat ou ne décide de soutenir untel ou untel, pourquoi ne pas mettre en oeuvre, tous ensemble, avec la mobilisation de toutes les organisations, l'élaboration d'un programme unique de la gauche critique à partir d'une réflexion construite collectivement ?

    Ce fut en juin l'idée des assemblées de citoyens, qui a échoué parce qu'elle était isolée.

    Mais, si toutes les composantes de cette gauche parvenaient in extremis à s'entendre sur un tel processus, il est certain qu'il aboutirait.

    Oui, nous espérons, malgré tout, que ceux qui se réfèrent sans cesse au " peuple ", à la " démocratie " et à la " république " mettent enfin en pratique les fondements de la liberté collective.

    Oui, nous disons qu'il y a encore une toute petite chance pour que cette gauche qui se dit différente fasse réellement la preuve de sa différence.

    Faute de quoi elle risque d'être engloutie dans les ténèbres des années qui nous attendent.

    Par CHRISTIAN LAVAL et MICHÈLE RIOT-SARCEY


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  • « Jeu de société », le court qui en dit long

    Pascal Jouary
    Dimanche, 2 Octobre, 2016

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  • François Jullien :

    «Une culture n’a pas d’identité

    car elle ne cesse de se transformer»

    Dans son dernier ouvrage, le philosophe et sinologue s’oppose au concept figé d’«identité» et défend celui de «ressources culturelles» telles que les langues mortes et vivantes. Des outils à disposition de tous, mais menacés par la mondialisation et le communautarisme.

    A Lire ici >>>>>


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  • A Hayange, le maire FN ferme le Secours populaire jugé «pro-migrants»

    30 septembre 2016 | Par La rédaction de Mediapart

    Le maire FN d’Hayange a demandé au Secours populaire d’évacuer le local municipal qu’il occupait de longue date, reprochant à la présidente de l’association caritative de faire « de la propagande pro-migrants toute l’année ». « Le seul combat qu’on mène, c’est contre la misère », rétorque celle-ci. L'association refuse de rendre les clés.

    A lire ici >>>>>


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