• Lundi, 20 Juillet, 2020

    Affaire Traoré :

    "Un combat qui appartient à tous."

    Notre reportage à Beaumont-sur-Oise

     

    Plus de 4 000 personnes ont manifesté

    à Beaumont-sur-Oise, samedi,

    à l’appel du comité Adama,

    qui s’appuie sur des militants écologistes d’Alternatiba

    et sur des gilets jaunes pour demander « vérité et justice ».

     

    Reportage.

     

    Une marée de T-shirts noirs ou orange portant l’inscription « Justice pour Adama », d’autres verts au logo d’Alternatiba, des gilets jaunes et même quelques écharpes tricolores : c’est un cortège dense et multicolore qui s’est élancé, samedi, de la gare de Persan-Beaumont, au cri de « Pas de justice, pas de paix ! » et « On n’oublie pas, on ne pardonne pas ».

    Pour ne pas oublier, comme chaque année depuis 2017, le comité Adama Traoré organisait une manifestation dans sa ville, le jour anniversaire de la mort du jeune homme de 24 ans, décédé le 18 juillet 2016 après avoir croisé la route de gendarmes, dont trois lui ont fait subir un plaquage ventral durant 9 minutes.

     

    "Une nouvelle alliance"

     

    Cette année, en plus des gilets jaunes déjà présents en 2019, des militants pour le climat appelaient à se joindre à la manifestation.

    « Ce sont les membres du comité Adama qui nous ont invités à marcher avec eux, car nous nous battons contre un même système.

    Alternatiba, que je représente, promeut une société plus juste écologiquement et socialement.

    Cela devrait notamment se traduire par une égalité de tous face à la police et la justice…

    Ce que l’on réclame ici aujourd’hui.

    Il faut savoir aussi que les quartiers populaires sont les plus impactés par la pollution de l’air et des sols.

    C’est primordial que ce combat pour le climat soit porté aussi par ceux qui en subissent directement les impacts néfastes.

    On est donc très heureux de cette nouvelle alliance »,

    explique Félix, 24 ans, en charge de l’adaptation au changement climatique dans une institution publique du nord de la France.

     

    "Un combat qui appartient à tous"

    Pour les gilets jaunes, l’expérience de la violence de la police lors des manifestations a déterminé leur participation à ces marches :

    « Ce que les jeunes des banlieues subissent de manière systémique depuis des années, nous l’avons vécu aussi dès que nous avons amorcé notre mouvement.

    Nous avons aussi fait l’expérience du déni de justice.

    Les gilets jaunes mutilés n’ont jamais pu faire condamner leurs agresseurs »,

    constatent Marcel et Fred, gilets jaunes de Pantin (Seine-Saint-Denis).

    « Le combat Adama n’appartient plus uniquement à la famille Traoré, il appartient au peuple, à tous ceux qui ont pris conscience de la réalité des violences policières et de leur impunité, et qui ont un désir de justice », résume un frère Traoré.

     

    "Quatre ans de déni de justice"

    Malgré tout, c’est bien l’enquête, ou plutôt l’absence d’enquête sérieuse sur la mort de son frère, qu’Assa Traoré a souhaité mettre en avant.

    C’est en effet seulement après les mobilisations massives des 2 et 13 juin derniers que 17 nouvelles investigations ont pu être lancées.

    « Alors même que l’institution judiciaire était sur le point de refermer le dossier et que l’on se dirigeait vers un non-lieu », rappelle la jeune femme, qui parle de « quatre ans de déni de justice ».

    La famille et les soutiens du jeune homme demandent maintenant que

    « les juges d’instruction soient récusés, qu’un procès public ait lieu et (que) les faits soient requalifiés en homicide volontaire ».

     

    Le témoin clé

    Avant cela, ils voudraient que la machine judiciaire accède enfin à une demande formulée de longue date : qu’il soit procédé à une reconstitution des dernières heures de leur frère.

    « Cela permettrait de confronter les policiers, dont les versions ont varié au fil du temps, mais aussi le témoin clé, dans l’appartement duquel Adama a subi le plaquage ventral, et de savoir, enfin, comment et à quelle heure est mort mon petit frère »,

    espère Assa Traoré, qui souligne la fragilité des déclarations de l’unique témoin :

    « Il a posé cette question au moment de son interrogatoire :

    “Si je dis la vérité, qui va me protéger ?

    ” Nous aimerions savoir de qui il a peur… »  lance la jeune femme.

    Si elle dit n’avoir « plus confiance en la justice », elle a quand même déposé plainte pour mensonge contre cet homme « pour l’obliger à dire ce qu’il a réellement vu et entendu, pas ce qu’on lui a demandé de raconter ».

    D’ores et déjà, la figure de proue de la famille Traoré prévient :

    « Si l’enquête n’avance pas, nous irons, en septembre, manifester devant le tribunal de Paris pour demander justice. »

     

    Une blessure renouvelée

    En attendant, c’est le parcours effectué en courant par Adama pour échapper à ses poursuivants qui a guidé la manifestation.

    Avec des étapes marquantes, notamment devant le portail métallique bleu de la gendarmerie,

    où Assa a demandé à la foule de « faire du bruit »

     

    Un peu plus tard, avant que la journée ne se termine en musique avec, entre autres, les rappeurs Youssoupha, Abd al Malik et Féfé, Awa Traoré, la sœur jumelle d’Adama, est venue à la tribune témoigner de cette blessure, chaque année renouvelée depuis 2017, de fêter seule son anniversaire.

    Oumou Traoré, la mère du jeune homme, a dit sa peine de devoir, en plus de la perte de son enfant, subir le mensonge et la calomnie.

    « Nous sommes des guerriers, nous ne lâcherons pas », a conclu celle dont le vœu le plus cher est de voir la justice rendue «avant de mourir ».

    Le même désir de vérité a été formulé par les familles de Cédric Chouviat, Lamine Dieng, Ibrahima Bah, Babacar Gueye, Gaye Camara et Sabri, qui ont pris la parole pour dénoncer la mort de leurs proches, tués par la police.

     

    Le rôle des élus locaux

    « La lutte contre les violences policières et les discriminations est notre affaire à tous, explique Lamia Kerouani, conseillère départementale (PCF) du Val-de-Marne.

    Il nous faut des gardiens de la paix, pas des forces de police. »

    Un chemin que semble prendre la ville d’Ivry, selon Medhi Mokrani, son maire adjoint (PCF) :

    « À Ivry, il existe un suivi des relations entre les jeunes et la police qui favorise le dialogue et permet d’éviter les dérapages.

    On est force de médiation, et surtout on est très exigeants quant au strict respect de la déontologie par les policiers dans notre ville. »

    Des propos qui font réagir Sabri, un jeune manifestant :

    « Il est important que des politiques s’engagent, au niveau local comme au niveau national, et que des signaux forts soient envoyés pour affirmer le refus catégorique de l’abus de pouvoir, de l’usage disproportionné de la force, des violences et des discriminations racistes.

    Il ne faut pas que les élus accompagnent l’impunité par leur silence complice ou leur soutien inconditionnel à leur police.

    Or, c’est ce qui se passe aujourd’hui, c’est pour ça qu’on est là »,

    explique le jeune homme de 21 ans, venu de Creil avec ses deux sœurs de 17 ans et 19 ans.


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  • Quatre ans après la mort d'Adama Traoré,

    ses proches organisent une marche

    avec des militants écologistes

    L'affaire est revenue sur le devant de la scène médiatique suite au décès en mai, aux Etats-Unis, de George Floyd,

    dont l'écho a ouvert en France un nouveau chapitre de mobilisation contre les violences policières et le racisme.

    Direct France Info >>>>>

     

    Pourquoi

    le Comité Adama Traoré et les écologistes marchent ensemble

    La marche est prévue ce samedi 18 juillet à Beaumont-sur-Oise, à l’appel, commun et inédit, du Comité Adama et Alternatiba.

    HuffPost >>>>>

     

    Enquête vidéo :

    le déroulé des événements

    qui ont conduit à la mort d’Adama Traoré

     vidéo

    Grâce à l’analyse de la vidéosurveillance, des échanges radio des forces de l’ordre et à des témoignages-clés, « Le Monde » a reconstitué en images et en 3D les dernières heures d’Adama Traoré, mort le 19 juillet 2016.

    Le Monde >>>>>

     

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  • D’étranges amendes « sans contact »

    ont été envoyées à des manifestants en Aveyron

    16 juillet 2020 Numérama
     

    En Aveyron, près de cinquante amendes ont été envoyées à des habitants après deux manifestations.

    Particularité : aucun d’entre eux n’a directement été averti, ni contrôlé par un agent de police.

    Une première en France pour des manifestations politiques.

     

    Numérama >>>>>


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  • Communiqués en soutien

    à notre camarade inspecteur du travail Anthony Smith

    convoqué pour un conseil de discipline le 21 juillet

    au ministère de la Santé

     Communiqués en soutien  à notre camarade inspecteur du travail Anthony Smith  Communiqués en soutien  à notre camarade inspecteur du travail Anthony Smith


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  • A Pôle emploi Bretagne,

    l’énigme Yann Gaudin

    Lanceur d’alerte pour les uns, collègue ingérable pour les autres…

    Yann Gaudin, le conseiller Pôle emploi soutenu par les intermittents du spectacle, était convoqué ce mardi 23 juin pour un entretien disciplinaire.

    Sans qu’on comprenne vraiment ce qui lui est reproché…

    France 3 Bretagne >>>>> 3 juin 2020


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  • La manifestation des soignants
    gazée a paris.
    Macron : la stratégie de la tension...
     
     
     
    Là-bas si j'y suis
     
    Marcel Aiphan >>>>> Manif 14 Juillet Paris

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  • Pour un vrai plan de bataille

    14 juillet :

    malgré les trahisons,

    les soignants appellent à manifester contre le plan Ségur

    A la veille du 14 juillet, c’est une grande opération de com’ que le premier ministre Castex a mis en scène à l’Elysée. « Monsieur T2A » comme il est surnommé, responsable de la casse de l’hôpital public, y a paraphé un accord dit « historique » avec la complicité traitre des directions syndicales de la CFDT, FO et de l’UNSA. Un « accord » marqué sous le sceau du « dialogue social » que les soignants comptent bien dénoncer, à contre-pied de la mascarade de la parade militaire, en manifestant ce 14 juillet.

    Révolution Permanente >>>>>


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  • Dimanche, 12 Juillet, 2020

    Personnels soignants. Médailles et représailles !

    Texte collectif

     

    Masques, surblouses, tests, traitements, injonctions contradictoires sur le confinement… depuis le début de la pandémie se succèdent improvisations et faux pas de pouvoirs publics pris à contre-pied dans leur « régulation » de l’hôpital, tandis que les médias multiplient les hommages aux « héros » en blouse blanche.

    L’amnésie institutionnelle semble avoir commencé !

    Depuis la fin du confinement, nous constatons une floraison de menaces de sanction disciplinaire à l’encontre de soignants qui ont affronté la Covid-19, parfois au péril de leur vie.

    Certains, à raison de leur mandat syndical, ont exprimé des critiques et ont témoigné de la pénurie de matériel, unanimement constatée dans notre pays.

    En région parisienne, deux aides-soignantes, dont une représentante syndicale, ont été convoquées le lundi 6 juillet 2020 par leur direction pour entretien avant sanction disciplinaire, sans enquête administrative préalable !

    Ce qui est reproché à la déléguée syndicale, c’est d’avoir fait son travail de syndicaliste : alerter, du CHSCT à la presse, sur le manque de protection et les conditions de travail et de sécurité.

    Au début de la pandémie, dans le Nord de la Seine-Saint-Denis, une jeune élève infirmière en seconde année, réquisitionnée dans le cadre de la Covid-19, filme une réunion de travail qu’elle diffuse à son entourage pour qu’il prenne conscience de la gravité de la pandémie. Cette maladresse lui a coûté sa place dans cet établissement, sans que l’on puisse savoir si cela lui a aussi coûté sa scolarité et son avenir d’infirmière.

    Dans l’agglomération de Rouen, neuf soignants et leur syndicat diffusent une note de la direction dans laquelle il était indiqué que les masques portés devaient être mis à sécher et réutilisés. La direction n’a pas toléré cette fuite et les commentaires sur les réseaux sociaux. Ainsi, une enquête interne a été ouverte fin avril 2020 avec des procédures disciplinaires engagées pour « diffusion de notes internes, insultes et injures publiques ».

    Dans le département de l’Aisne, un médecin gériatre est écarté par sa direction car il a considéré que l’organisation n’était pas adaptée. Il alerte et explique à l’administration que la Covid-19 est déjà dans le service, que le risque de contamination du secteur est considérable, que certaines personnes très âgées n’ont plus la ressource physiologique pour exprimer une symptomatologie typique de l’infection. Peine perdue. Les soignants qui ont demandé des protections ont été menacés de sanction. Ce médecin, lui-même atteint par le virus, a déploré 40 % de décès dans les EHPAD de son territoire. Il a dû quitter son établissement tant les pressions de la part de sa direction étaient fortes à l’encontre de son témoignage actif incontournable.

    En Côtes-d’Armor, un aide-soignant a été transféré en service de gériatrie comme mesure punitive après avoir publié une lettre ouverte dans la presse régionale quotidienne.

    Dans la région Sud-Est, un agent des services hospitaliers a été convoqué suite à son témoignage sur son profil Facebook : touché lui-même par la Covid -19, il s’est photographié sur son lit d’hôpital. Sur son message, il déplorait ne pas avoir eu accès à des protections. À peine rétabli, la direction le convoque et le menace d’un conseil de discipline.

    Dans le Val-d’Oise, un infirmier, membre actif de l’interurgence, est depuis le 19 juin 2020 en suspension de fonction. Le prétexte invoqué est qu’il aurait envoyé une patiente avec un bras cassé pour un examen radiologique sans prescription médicale écrite.

    Dans la région de Toulouse, deux infirmières ont été mises à pied parce qu’elles réclamaient des masques en pleine pandémie !

    C’est un échantillon des pressions que subissent les soignants depuis le début du déconfinement. À défaut de bienveillance humaniste, on pourrait comprendre que des circonstances exceptionnelles peuvent aussi expliquer une légitime émotion.

    Nous demandons l’abandon de ces procédures et l’annulation des éventuelles sanctions déjà décidées.

    Il faut que le ministère de la santé et les agences régionales de santé fassent cesser ces comportements aussi punitifs qu’inappropriées dans de telles circonstances et à quelques jours du 14 juillet !

    Une pétition est en ligne : https://www.change.org/p/olivier-v%C3%A9ran-nous-r%C3%A9clamons-le-retrait-et-l-arr%C3%AAt-des-sanctions-contre-les-soignantes-soignants/share_for_starters?just_created=true

     

     

    Premiers signataires (MAJ 12/07 11h25)

    - Anissa Amini, aide-soignante.
    - Corentin Chaillou, brancardier.
    - Dr Jean Doubovetzky, médecin généraliste.
    - Jean-Marie Fessler, directeur d'hôpital.
    - Dr Frédéric Pain, médecin urgentiste.
    - Nadia Kerlan, aide-soignante.
    - Dr Tristan Pinatel, médecin gériatre.
    - Fatima Le Griguer, psycholoque psychotrauma.
    - Dr Christophe Prudhomme, médecin urgentiste.
    - Marie-José Del Volgo, psychanalyste, ancien maître de conférences (HDR) et Praticien hospitalier, Aix Marseille Université.
    - Pr Roland Gori, psychanalyste, membre d’Espace analytique, professeur honoraire de psychopathologie clinique à l'université à Aix Marseille Université, Président de l’Appel des appels.
    - Françoise François, psychologue du travail, présidente et fondatrice de la Maison souffrance et travail.
    - Pascal Dias, secrétaire Sud Santé-Sociaux 93.
    - Annabelle Gougeon, infirmière.
    - Jean-Marc Devauchelle, secrétaire général Sud Santé Sociaux.
    - Fédération Sud Santé Sociaux.
    - Denise Geoffray, ancienne cadre sup de bloc opératoire.
    - Hugo Huon, infirmier.
    - Pauline Londeix co-fondatrice de l'Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament (OTMeds).
    - Benoit Martin, secrétaire général de l’UD CGT de Paris.
    - Jérôme Martin co-fondateur de l'Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament (OTMeds).
    - Dr Kamel Rezig, médecin anesthésiste.
    - Jean-Michel Toulouse, docteur en droit et directeur d'hôpital.
    - Torya Akroum, cheminote.
    - Laila Hamdouni, infirmière.
    - Malik Berkani, directeur établissement sociaux.
    - Nadiège Valoise, assistante sociale.
    - Dr Ghada Hatem, médecin gynécologue-obstétricienne, présidente et fondatrice de la Maison des femmes.
    - Gilles Ringenbach, retraité.
    - Annie Phalipaud, consultante formatrice.
    -Yves Morice, militant syndicat Sud santé-Sociaux.
    - Yasmina Kettal, infirmière.
    - Pr André Grimaldi, professeur émérite CHU Pitié Salpêtrière.
    - Farah Slimani, artiste.

    -le Collectif InterUrgences.

    -Antoinette Bertrant, aide-soignante.

    -Dr Maité Vandooren, médecin généraliste.

    -Jean-Luc Malétras, consultant en développement économique territorial.

    -Dr Alexandre Feltz, médecin généraliste, adjoint au maire de Strasbourg.

    -Dr Olivier Milleron, cardiologue à l'hôpital Bichat Paris.

    - Hamama Bourabaa, ingénieure, Healt supply chain manager.

    -Pr Perronne, Hôpital de Garches, AP-HP, université de Versailles-Paris Saclay.

    -Sarah Benmaazouz, assistante de ventes.

    - Patrick Farbiaz, militant écologiste (PEPS).

    - Dr Renaud Pequignot, chef du service gériatrie des hôpitaux de Saint-Maurice.

    - Pierre-André Juven, sociologue.

    - Marylene Morvan, aide-soignante retraitée.

    -Michel Jallamion, président de la convergence nationale des services publics.

    -Amina Fars, infirmière libérale.

    - Dr Alexandre Pariente, médecin retraité


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  • Manifestations partout en France

    contre « la culture du viol En Marche »

    Plusieurs milliers de manifestants ont protesté à Paris et dans plusieurs villes de France contre la présence au gouvernement de Darmanin, accusé de viol, et Dupond-Moretti, très critique envers le mouvement #metoo.

    Le Monde >>>>>

     

    Manifestations contre G. Darmanin et E. Dupond-Moretti :

    Emmanuel Macron "méprise les femmes victimes de violences",

    selon le collectif NousToutes

    Pour Madeline Da Silva, membre du collectif NousToutes et maire-adjointe des Lilas (Seine-Saint-Denis), le président de la République n'a pas la volonté de mettre en place une véritable politique publique de lutte contre les violences faites aux femmes.

    France Info >>>>>

     


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  • Rassemblements féministes

    contre la nomination de ce gouvernement

     

    -Brest - vendredi 10/07 à 18h30 place de la liberté

     

    Partout en France, et à l'étranger :

     

    -Ajaccio - vendredi 10/07 - tribunal de grande instance

    -Amiens, 11/07, 15h
    -Angers - vendredi 10/07 à 18h - préfecture (habillées en noir)
    -Annecy - vendredi 10/07 à 18h - Palais de justice
    -Arles - vendredi 10/07 à 18h - Mairie
    -Barcelone - vendredi 10/07 à 18h - Consulat général de -France
    -Bastia - vendredi 10/07 - palais de justice
    -Berlin - vendredi 10/07 à 19h - ambassade de France
    -Besançon - vendredi 10/07 à 18h Esplanades des Droits de l'homme
    -Bordeaux, 10/07, 18h devant l’Hôtel de Ville
    -Brest - vendredi 10/07 à 18h30 place de la liberté
    -Bruxelles - vendredi 10/07, 18h - Ambassade de France
    -Caen - 10/07 - 18h45 - place Gambetta
    -Châteauroux, 14/07, 11h, place de la République
    -Clermont-Ferrand - vendredi 10/07, 17h30 - Place de Jaude
    -Cognac - vendredi 10/07 à 10h rue du 8 mai 1945
    -Dijon - vendredi 10/07 à 19h - place de la Libération
    -Grenoble - vendredi 10/07 - Palais de justice
    -Havre - vendredi 10/07 à 17h30 - palais de justice (habillées en noir)
    -La Rochelle - vendredi 10/07 à 18h Palais de justice
    -Laval - vendredi 10/07 à 18h - place du 11 novembre
    -Le Havre, 10/07, 17h30, devant le Palais de Justice
    -Lille - vendredi 10/07 à 18h - Grand Place
    -Limoges, 10/07, 18h, place d’Ainne devant le Palais de Justice
    -Londres - vendredi 10/07, 13h - ambassade de France
    -Lyon – vendredi 10/07 , 18h, Place de la Comédie
    -Marseille – vendredi 10/07, 18h, devant le Palais de Justice
    -Metz - 10/07 - 17h – devant le tribunal
    -Montpellier - vendredi 10/07 à 18h - Place de la comédie
    -Montréal - Consulat ce vendredi 10 juillet à 16h
    -Nancy - vendredi 10/07 14h - place Stanislas
    -Nantes - vendredi 10/07 18h Place Bouffay
    -Nice - vendredi 10/07, 18h - Palais de justice
    -Nîmes - vendredi 10/07 à 18h au palais de justice
    -Orléans - vendredi 10/07 à 18h palais de justice
    -Paris - vendredi 10/07 à 18h - Hôtel de ville
    -Pau - vendredi 10/07 à 18h - Préfecture
    -Périgueux (Dordogne), demain 16h45 Arbre de la Liberté puis mairie à 17h30.
    -Poitiers 10/07, 18h, place Charles de Gaulle
    -Rennes - la place de la mairie vendredi 10/07 à 18h
    -Rodez - vendredi 10/07 - palais de justice
    -Rouen - vendredi 10/07 18h - Palais de justice
    -Saint-Etienne - vendredi 10/07 à 18h - Préfecture
    -Saint-Nazaire - samedi à 14h - Hôtel de ville.
    -Sidney - vendredi 10/07 à 10h Hyde Park
    -Strasbourg - 13/07, (non-mixte), 18h - palais de justice
    -Tel Aviv - vendredi 10/07 à 12h Ambassade
    -Toulon - vendredi 10/07 - Palais 10h Palais de justice
    -Toulouse - vendredi 10/07 à 12h - Palais de justice
    -Tours, 10/07, Palais de Justice
    -Valence - vendredi 10/07 à 18h – tribunal

    Merci

    pour le travail de recensement !


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