• Soutien à la résistance du peuple Ukrainien

    Mobilisation

    à l'appel de 27 organisations Finistériennes

    12 Novembre 2022 à 14h30

    Brest

    Place de la Liberté

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mobilisations contre les bassines

    Deux-Sèvres : Sainte-Soline 

     

    Manifestations contre les bassine,

    un projet aberrant de réserve d’eau

    pour l’agriculture intensive.

    Malgré un arrêté d’interdiction,

    plusieurs milliers d’opposants

    à ce qu'on appelle "les bassines"

    ont prévu de se rendre

    dans le secteur de Sainte-Soline.

     

    France 3 >>>>>


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  • 27 Octobre 2022

    Mobilisation

    Pour les salaires et les pensions

    contre la vie chère

    Manifestations en Finistère

    Brest Quimper Quimperlé Morlaix Carhaix


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  • Samedi 29 Octobre 2022 à Morlaix

    manif pour le droit au logement en Bretagne


    Article de Ouest France

    https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/morlaix-une-manifestation-pour-l-acces-au-logement-pour-tous-820b6bd4-5453-11ed-b746-5d6d3b4acaba


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  •    

     

    CGT

    UNIONS LOCALES de CARHAIX, d'HUELGOAT et de ROSTRENEN.

    Communiqué de presse

    Après le 18 octobre, poursuivre la mobilisation.

    ON NE LÂCHE RIEN !

    La journée interprofessionnelle et intergénérationnelle unitaire du 18 octobre a été marquée par de nombreux conflits, grèves et d’imposantes manifestations. Plus de 300 000 personnes au plan national, à Carhaix, nous étions 200.

    Face à ces mobilisations pour une augmentation du smic, des pensions, une indexation de tous les salaires sur l’inflation, une revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, le Gouvernement et le patronat restent sourds. Pire, il poursuit sa politique ultralibérale tournée résolument vers les plus riches. L’exemple du budget de l’État 2023, imposé avec le 49.3 est démonstratif, un des amendements rejetés dans le débat est la taxation des profits. Quel Aveu !
    Même si les actions ont imposé des mesures d’augmentation générale des salaires et des pensions, le compte n’y est pas, par rapport à l’explosion du coût de la vie, le niveau de l’inflation et les pertes de pouvoir d’achat, cumulés depuis 15 ans.

    La CGT a décidé de ne rien lâcher, l’augmentation des salaires et des pensions est une urgence sociale.

    Les moyens existent. Jamais les directions d’entreprises et les actionnaires n’ont engrangé autant de bénéfices et de dividendes.

    La CGT appelle à une nouvelle journée d’action interprofessionnelle et intergénérationnelle, le 27 octobre.

    l’Union Locale CGT Carhaix appelle à

    un rassemblement devant la Maison des Syndicats

    le Jeudi 27  OCTOBRE à 11h30

     

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  • Nouvelle journée de mobilisations

    Salaires, Pensions

    Contre la vie chère

    Jeudi 27 octobre 2022


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  • La CGT appelle à deux nouvelles journées

    de mobilisation nationale et interprofessionnelle,

    les 27 octobre et 10 novembre 2022

    La mobilisation intersyndicale de mardi

    a réuni près de 300 000 manifestants...

    France Info >>>>>


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  • C'est donc bien par la mobilisation

    et la grève

    que les salariés obtiennent des augmentations de salaires...

     

    Monoprix : accord sur les salaires après la vague de débrayages

    Le Télégramme >>>>> (abonnés)


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  • Victoire pour Anthony Smith

     

    Victoire 

    Après 918 jours de lutte

    la justice annule la sanction disciplinaire

    prise par E Borne à mon encontre.

     

    Je n’ai fait que mon métier d’Inspecteur du travail.

    Des larmes, de la joie, merci à vous.

    Notre communiqué par ici

     

    Twitter >>>>> Anthony Smith

     

    Victoire pour Anthony Smith


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  • Alexandre, salarié de Total Dunkerque, 

    raconte le choc de la réquisition

    Grève.

    Une vingtaine de prérogatives ont déjà eu lieu au dépôt Total de Mardyck, près de Dunkerque. Alexandre a reçu la visite des gendarmes. Encore choqué, il témoigne.

     

     

    Mardyck (Nord), correspondance.

    Alexandre est opérateur au dépôt Total de Mardyck, près de Dunkerque (Nord), où il travaille depuis quatorze ans.

    Jeudi 13 octobre, il est en repos.

    Le préfet du Nord vient de signer un arrêté de réquisition « des salariés compétents (…) aux fins d’effectuer les tâches nécessaires à la distribution du carburant au départ du dépôt ».

    Peu avant 18 heures, Alexandre reçoit un coup de fil d’un collègue, qui lui explique avoir reçu la visite des gendarmes et qu’il est le prochain sur la liste.

     

    « La police est venue à la maison »

    Quelques minutes plus tard, coup de sonnette.

    Un peu embarrassés, les deux militaires lui signifient qu’il est réquisitionné pour la prise de poste du lendemain, à 6 heures.

    « Mes deux enfants de 6 et 8 ans étaient à la maison. Ils ont été impressionnés. Avec mon épouse, nous avons dû les calmer. La nuit, le plus petit s’est réveillé en pleurs car il faisait des cauchemars », raconte-t-il, encore choqué.

    Le lendemain matin, alors qu’il est au travail, il prend des nouvelles auprès de sa femme.

    Elle lui répond que le plus jeune « ne fait que parler de la police » .

    Idem à l’école, où il répète en boucle que « la police est venue à la maison ».

    Au point que, à la sortie, la maîtresse demandera discrètement à la maman ce qu’il en est.

     

    Une vingtaine de réquisitions ont déjà été opérées

    Rencontré le 18 octobre sur le piquet de grève devant le dépôt de Mardyck, Benjamin Salvino, délégué CGT, estime qu’une vingtaine de réquisitions ont déjà été opérées.

    Trois personnes à chaque fois, le chef de quart, l’opérateur de console, qui surveille les opérations sur écran, et l’opérateur extérieur, qui assure le remplissage du camion-citerne.

    D’une quinzaine de camions ­approvisionnés par jour au début, le nombre est monté jusqu’à 70, contre une centaine habituellement.

    La CGT a attaqué l’arrêté devant le tribunal administratif de Lille.

    « On a été retoqués, regrette Benjamin Salvino. La décision reprend quasiment l’argumentaire du préfet, qui était venu en personne. »

     

    Le « refus d’exécuter, puni de six mois d’emprisonnement »

    Affiché à l’entrée du dépôt, l’arrêté décrit une situation quasi apocalyptique.

    Il évoque des « troubles à l’ordre public et à la sécurité engendrés par des files d’attente aux stations-service, pouvant s’étendre parfois sur plus de 2 kilomètres, sur des bandes d’arrêt d’urgence, notamment aux abords des stations-service autoroutières, par l’abandon de véhicules en panne d’essence, sur les bas-côtés des routes et autoroutes ».

    Il y est question de « comportements accidentogènes (qui) bloquent en outre la circulation des véhicules de secours et sanitaires » et de « conditions dégradées (qui) engendrent des tensions entre clients sur les points de distribution, de nombreux salariés étant empêchés de se rendre sur leur lieu de travail ».

    Conclusion de la préfecture, « seule la réquisition des salariés grévistes peut (…) endiguer les troubles à l’ordre public ».

    L’arrêté précise que le « refus d’exécuter » est un « délit qui est puni de six mois d’emprisonnement et de 10 000 euros d’amende ».

     

    Des augmentations « à la tête du client »

    « Je n’en veux pas aux gendarmes, assure Alexandre. Ils ont fait leur métier.

    Mais que ça se passe chez moi, devant mes enfants…

    Et puis j’habite un petit lotissement, il y avait du monde dehors. »

     

    Dès le lendemain, il a ouvertement condamné la méthode devant ses supérieurs.

    Il a également alerté la CGT, qui a demandé des comptes à la direction.

     

     

    L’accord signé chez Total par la CFDT et la CFE-CGC comprend, notamment, 2 % d’augmentation individuelle en moyenne.

    « À la tête du client », commente Alexandre.

    «Moi, conclut-il en prenant la chose avec humour,  

    je pense que je peux m’asseoir dessus. »


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