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La SNCF mise en garde par l'Inspection du travail
sur des sanctions des cheminots
Alors que droit de retrait et "grève surprise" s'opposent, l'Inspection du travail a répondu à la SNCF sur la question d'éventuelles sanctions contre les cheminots.
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Droit de retrait à la SNCF :
"Au lieu de trouver des solutions,
la direction et le gouvernement font le choix de la polémique",
selon Fabien Roussel (PCF)
Le secrétaire national du Parti communiste fustige les propos d'Edouard Philippe, qui avait dénoncé un "détournement du droit de retrait".
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CATALOGNE
Libération des prisonniers politiques
La réponse est politique et démocratique.
Le Tribunal Suprême espagnol a condamné le 14/10,pour « sédition », a des peines allant de 9 à 13 ans de prison,
9 responsables indépendantistes catalans
dont des élu.e.s et 2 dirigeants d' associations
( ANC et Omnium).
Ceci après 8 mois d'un procès politique
critiqué par la FDIH
(Fédération Internationale des Droits de l'Homme).
Le motif en est l'organisation le 01/10/2017
d un référendum non autorisé par le gouvernement espagnol,
mais autorisé par toutes les Chartes
et les droits internationaux.
Ce jugement est totalement disproportionné
fortement rejeté par le peuple catalan .
La grève générale du 18/10 a été un succèset l occasion
d une démonstration de force et de masse pacifique
rassemblant plus de 500 000 personnes à Barcelone.
Les violences d' une partie des manifestantssont pour l'essentiel, une réaction inadaptée
à la brutalité et aux violences policières
à l'encontre de la masse des manifestants pacifiques.
Cette situation est de l'entière responsabilité
des auteurs de ce jugement inique
et du gouvernement espagnol qui refuse tout dialogue
avec le mouvement indépendantiste majoritaire
au Parlement catalan.
L' élan d'indignation se poursuit
à travers des mobilisations diversifiées
dans toute la Catalogne et au-delà.
La solution est plus que jamais politique et démocratiqueet non pas judiciaire et répressive.
Un tel verdict, une telle répressionet un tel déni des aspirations d'un peuple
ne sont pas acceptables pour toute formation politique,
syndicale et associative
et pour toute personne attachée à la démocratie.
Ensemble! :
- soutient les mobilisations du peuple catalanpour plus de libertés et de démocratie
par le respect de son droit à décider de son avenir
( autodétermination).
Il a pris la forme le 01/10/2017,
avec le vote de plus 1,5 millions de catalans,
de l'exigence d'une
« République catalane démocratique et sociale ».
- soutient l'exigence de la libérationdes 9 prisonniers politiques indépendantistes
et de l'amnistie pour tous les indépendantistes poursuivi.e.s ,
- dénonce le silence assourdissantdes autorités françaises et européennes.
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L’homme ne vivra jamais sur une autre planète,
selon le lauréat du prix Nobel de physique, Michel Mayor
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Les cheminots
face à une guerre de communication acharnée contre leur sécurité
Samedi, 19 Octobre, 2019Sébastien CrépelLe trafic ferroviaire était fortement perturbé, vendredi et samedi, à la suite d'un accident dans les Ardennes qui a déclenché un droit de retrait des cheminots dans toute la France. Mais la demande des agents de ne plus se trouver seuls à bord des trains se heurte à une violente campagne de la SNCF et de l'Etat de banalisation du risque, et de criminalisation de leur action.
Thomas Portes
Droit de retrait à la SNCF. Question simple. Imagine-t-on un avion avec seulement le pilote à bord ? Non. La propagande anti-cheminot peut bien distiller son venin. Quand la sécurité est en jeu, il faut savoir faire front. Nos vies valent plus que leurs profits.
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SNCF
Droit de retrait à la SNCF : Edouard Philippe passe sous silence l’accident et intimide les cheminots
Hier les cheminots ont exercé massivement leur droit de retrait, après l’accident d’un train transportant 70 passagers dans les Ardennes, qui a fait 11 blessés. Edouard Philippe a affirmé ce matin que les perturbations d’hier sur le trafic ferroviaire seraient dûes à « la volonté de ne pas respecter la loi sur la grève dans les services publics ». Le chef du gouvernement élude ici complétement la vraie raison de l’exercice du droit de retrait par les cheminots, à savoir les risques que les suppressions de poste à la SNCF font peser sur les salariés et les usagers du rail, et menace les cheminots de représailles.
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