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Privilèges des très riches...
En Bretagne,
de riches propriétaires refusent de partager
leur accès privé à la mer
La loi veut qu’au nom de l’intérêt général, un espace de trois mètres en bord de mer soit public. A Saint-Briac-sur-Mer, certains propriétaires refusent.
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La CGT Police ...
« MOTARDS PRIS A PARTIE » :
L’ÉTAT SEUL RESPONSABLE DES VIOLENCES !
Le samedi 22 décembre, une vidéo circule sur les réseaux sociaux, montrant des motards de la Police nationale jetant des grenades sur des manifestants. Un policier est allé jusqu’à sortir son arme de service pour se protéger.
Cette vidéo reprise de nombreuses fois suscite des avis très divergents, les uns s’indignant de l’agression des policiers, les autres critiquant l’usage des grenades de désencerclement à l’encontre des manifestants.
Cette scène a de quoi choquer. Comment dans une démocratie peut-on en arriver là ?
Nous, à la CGT-Police, nous avons des questions à poser au seul responsable de cette situation dramatique, à savoir le Préfet de police de Paris.
Premièrement, comment des motards de la Police nationale se sont-ils retrouvés en première ligne sur des opérations de maintien de l’ordre, alors que ce n’est pas leur mission ?
Deuxièmement, qui a donné l’ordre à ces policiers d’utiliser ce type de grenades ?
Monsieur le Préfet de police, en sur-utilisant les policiers dans le temps (ras le bol, fatigue, etc.), qui plus est pour des missions qui ne sont pas les leurs (exemple des motards sur un maintien de l’ordre), vous mettez en danger l’ensemble des acteurs (manifestants et policiers) sur ces manifestations.
Nous condamnons la violence d’où qu’elle vienne, mais en employant des policiers dans des situations risquées, pour ne pas dire périlleuses, vous obligez ces derniers à faire appel à des réactions instinctives de sauvegarde de leur intégrité. Ils se retrouvent contrains d’utiliser la force contre les manifestants. La situation que vous provoquez en utilisant les policiers de la sorte n’est pas acceptable. C’est à vous et à vous seul qu’incombe le bon déroulé d’une manifestation sans heurts, c’est cela l’exercice de la démocratie !
La CGT-Police vous rappelle, Monsieur le Préfet de police de Paris, que vous êtes seul responsable de la sécurité du personnel de police et que la première mission de la Police nationale est la protection de la population. Vous devez faire en sorte que les citoyens puissent exercer leurs droits fondamentaux de manifester et de revendiquer ! Si vous n’êtes pas en capacité de pacifier les manifestations, il vous faut alors publiquement en avertir le gouvernement et ainsi l’informer de la colère du peuple!
Paris, le 24 décembre 2018.
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Renault : la CGT dénonce les activités opaques d'une holding basée aux Pays-Bas, ayant servi à rémunérer des cadres
D'après des documents confidentiels consultés par franceinfo, un membre du comité exécutif de Renault a touché, par le biais de cette société, un complément de rémunération de 80 à 130 000 euros et ce, pendant plusieurs années.
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Le 27 décembre 1944,
mort du Colonel Fabien à 25 ans,
auteur du premier acte de résistance armé
contre les troupes d'occupation à Paris
Le Colonel Fabien, de son vrai nom Pierre Georges est né le 21 janvier 1919 à Paris et mort sur le Front d’Alsace, à Habsheim près de Mulhouse, le 27 décembre 1944.
"Pierre Georges, Jeune communiste engagé très tôt dans l’action contre le fascisme, s’engage en 1936 à 17 ans dans les Brigades Internationales pour combattre aux côtés des républicains espagnols après le coup de force du général Franco.
Dès l’occupation allemande, Pierre Georges participe à la réorganisation des groupes clandestins des jeunes communistes dans le 19è arrondissement, et en 1941, il devient l’adjoint du colonel Albert Ouzoulias, chef des Bataillons de la jeunesse, au sein des Francs-tireurs et partisans (FTP).
Il réalise lui-même ce qui est considéré comme le premier attentat meurtrier contre les troupes d’occupation, en abattant le 21 août 1941 un militaire de la Kriegsmarine, l’aspirant Moser, au métro Barbès-Rochechouart."
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