• Le Monde et la théorie du complot...

     

    Nos conseils pour identifier les discours complotistes

    et ne pas tomber dans leurs pièges

    En 2020, les discours expliquant la pandémie de Covid-19 par des complots ont séduit des millions d’adeptes. Leur succès tient moins à leur véracité qu’à des ficelles rhétoriques éprouvées. Notre guide pour les débusquer.

    Le Monde >>>>>


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  • [Mercredi 23 Décembre 2020

    Les Actualités Politiques]

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  • Puy-de-Dôme :

    trois gendarmes ont été tués lors d'une "une opération de gendarmerie qui s'inscrit dans un cadre de violence intrafamiliale

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  • Élysée. La com enfiévrée du président

     

    Mercredi 23 Décembre 2020
    Malade, le chef de l’État a accordé à l’Express un entretien pour soigner son image.
     

    Infecté par le Covid-19, le président de la République vit à l’heure de la corona-­communication.

    Après la vidéo tournée le 18 décembre au smartphone, sur le ton de la confidence, pour assurer au peuple de France qu’il va « bien malgré une activité ralentie », Emmanuel Macron a accordé un entretien fleuve à l’Express, en deux parties publiées les 22 et 23 décembre.

     

    L’hôte de l’Élysée, dont « l’état est stable », ne s’est cette fois pas appesanti sur son bulletin de santé.

    Depuis sa quarantaine versaillaise, à la résidence de la Lanterne, il a préféré prendre de la hauteur.

    Au programme : son analyse des soubresauts français et son regard sur les trois années et demie de quinquennat écoulées.

     

     

    Après un dernier trimestre rythmé par des projets de loi marqués à droite (« sécurité globale » et « séparatismes »), le président donne à nouveau du « en même temps ».

    Ou du moins essaie.

    Ainsi peut-on y lire Emmanuel Macron défendre tout à la fois la diversité française – « ​​​​​​​je suis pour qu’on reconnaisse tous les affluents du fleuve France » – et avaliser le terme de « privilège blanc », emprunté à la gauche radicale, tout en fustigeant une « société victimaire et émotionnelle », des mots de l’extrême droite.

    Reniant le fait d’avoir adopté une approche multiculturaliste en tant que candidat, il salue son mentor Jean-Pierre Chevènement et « l’intuition » de Nicolas Sarkozy lors du débat sur « l’identité nationale » (bien que la « formule soit trop sujette à polémiques », précise-t-il).

     

     

    « Gaulois réfractaires »

     

    Réaffirmant la nécessité d’un roman national mais plus inclusif, il critique la « société du commentaire permanent », qui, selon lui, participe de « la crise de l’autorité ».

    De manière assez paradoxale et par un exercice de sortie de corps surprenant, c’est bien en commentateur et en observateur des remous de son époque que semble vouloir se positionner Emmanuel Macron dans cet entretien, comme s’il n’en était pas l’un des premiers protagonistes.

    Ainsi, sur la montée des complotismes et de la défiance, jamais le président n’envisage sa propre responsabilité, celle des atermoiements de l’exécutif, des discours qui ont changé du jour au lendemain, des réformes antisociales qui ont été vécues comme autant de brutalités.

     

    L’explication est autre : les Français sont « perclus de passions contraires », entretiennent un « amour-haine » avec l’État, qui est « tenu responsable de nos malheurs ».

    Bref, ils sont des « Gaulois réfractaires », récidive le chef de l’État.

    Mais cette fois en s’incluant dedans.

    Sans doute un effet de la fièvre.


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  • Marseille :

    Benoît Payan est-il bien un maire

    dans l’esprit du Printemps marseillais ?

    Mardi 22 Décembre 2020

    L’élection, lundi matin, du socialiste pour succéder à Michèle Rubirola n’a souffert d’aucune contestation au sein de la gauche phocéenne. Certains collectifs citoyens émettent toutefois des réserves quant au profil du nouvel édile.

     

    À 42 ans, Benoît Payan (PS) est devenu lundi le plus jeune maire de Marseille. Une semaine après la démission de Michèle Rubirola, son premier adjoint a été élu, dans la matinée, par le conseil municipal de la cité phocéenne avec 53 voix pour, et 48 abstentions, la droite ayant quitté l’hémicycle avant le vote, dénonçant un « déni de démocratie ». Pourtant, cette élection ne souffre d’aucune contestation au sein de la majorité, et, hormis ce départ des élus LR, le vote s’est déroulé dans la sérénité. Ce qui n’était pas le cas le 4 juillet dernier, lorsqu’il avait fallu plusieurs heures de conseil et de négociations pour que l’ex-PS Samia Ghali se désiste, laissant la voie libre à Michèle Rubirola.

     

    « Un doute planait sur la bonne tenue de cette nouvelle élection, après celle de juillet, concède Jérémy Bacchi, secrétaire départemental du PCF des Bouches-du-Rhône. Mais on s’est rendu compte qu’il n’en était rien, que les six premiers mois de gestion du Printemps marseillais conviennent aux citoyens mais aussi aux élus proches de Samia Ghali. » Le communiste assure également que « la majorité reste la même » et que, même si le nouveau maire est un membre du PS, « la mairie n’est pas devenue socialiste ».

     

    L’élu a aussi défendu « l’excellent » bilan de sa prédécesseure

     

    C’est ce que l’intéressé a tenu à rappeler également, peu après s’être vu remettre, des mains de Michèle Rubirola, son écharpe de maire, non sans émotion. « Je suis membre d’une majorité qui défend une ville plus verte, plus juste et plus démocratique qui se donne deux priorités : rassembler les Marseillais en combattant les injustices et dessiner l’horizon d’une ville durable », a-t-il déclaré lors de son discours d’intronisation. L’édile a aussi défendu « l’excellent » bilan de sa prédécesseure. Un constat qui n’est toutefois pas partagé par tous les membres des collectifs citoyens qui ont contribué à la victoire du Printemps marseillais. En marge de l’élection de Benoît Payan, une centaine de « citoyens », la plupart membres de collectifs locaux, ont mis en ligne une pétition exigeant de remettre la démocratie au cœur du projet municipal.

     

    « Durant ces premiers mois, il n’y a eu aucun moment fort avec la société civile et des dossiers qui patinent, sur le logement, l’écologie », explique l’un des signataires, Kevin Vacher, membre du collectif du 5 Novembre, l’un des moteurs du Pacte démocratique, qui n’avait finalement pas trouvé d’accord avec le Printemps marseillais en vue de constituer une liste commune lors des municipales. La majorité s’en explique, mettant en avant l’impossibilité de réunir les citoyens en raison des conditions sanitaires, ou encore que la crise a bouleversé certaines priorités – avec notamment le vote d’un million d’euros de budget pour des mesures sociales d’urgence. Pour les citoyens signataires de la pétition, c’est aussi le symbole dégagé par cette nouvelle personnalité à la tête de la ville qui interroge. Qualifié de « professionnel de la politique », Benoît Payan a une formation de clerc de notaire mais n’a jamais exercé, s’étant engagé dans la politique très jeune, ce qui tranche avec sa prédécesseure : « Michèle Rubirola symbolisait l’alliance entre les différents partis de gauche et les collectifs citoyens, détaille Kevin Vacher. L’incarnation de l’esprit du Printemps marseillais était importante, car elle s’inscrivait dans une volonté de rupture, un choc démocratique après quinze ans de Jean-Claude Gaudin et quarante ans de Gaston Defferre à la mairie. »

     

    Lors de son discours, lundi, Benoît Payan a voulu devancer ces critiques : « J’ai fait le choix à 20 ans de devenir un militant de gauche. Cet engagement, je l’assume et je le revendique. » Du côté des forces qui composent la majorité municipale, la confiance est aussi de mise : « Ni Michèle Rubirola hier, ni Benoît Payan aujourd’hui n’ont de majorité issue uniquement de leur famille politique, explique Jérémy Bacchi. Nous garderons malgré tout une certaine vigilance pour continuer à avoir une expression plurielle, collective. Mais, pour cela, le Printemps marseillais est le meilleur des garde-fous. »


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  • Le Conseil d’État interdit l’usage de drones

    pour surveiller les manifestations

    La haute juridiction a demandé mardi au préfet de police de Paris Didier Lallemand de suspendre l’utilisation de ces engins pour surveiller les manifestations.

    Ouest-france >>>>>


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  • Morbihan. Le coup de gueule d’agriculteurs contre un 4x4 embourbé dans leur champ devient viral

    Pour une raison indéterminée, un automobiliste s’est aventuré dans un champ de blé, à Plouay (Morbihan), ce week-end, ravageant une partie des cultures. Embourbé, le véhicule est depuis toujours bloqué sur place. Le couple d’agriculteurs a déposé plainte et partagé la mésaventure sur les réseaux sociaux.

    Ouest-France >>>>>

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  • Rouge ViF !

    Accident du travail

    Silence des ouvriers meurent

     

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  • Rouge ViF !

    Hurlements séparatistes ?

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