• Palestine. Une centaine de manifestants
     

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  • Ils veulent tuer l'Hôpital Public

    et la Sécurité Sociale !

    vidéo réalisée à
    Rennes le 6 Avril lors d'une action régionale unitaire pour la défense
    des hôpitaux publics et de la sécurité sociale

    organisée pars
    différents comités de défense des usagers de la région, Sud santé des
    4 départements de la Bretagne administrative avec le soutien  du NPA,
    du PCF, d'Ensemble!, etc...


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  • Insolite. Sur l'île d'Oléron, une ZAD pour éclipser un MacDo

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  • Communiqué CGT : 19 AVRIL 2018

    Une journée de convergence

    qui en appelle d’autres.

    Sur 190 points de rassemblement et à l’appel, le plus souvent, de la seule CGT, près de 300 000 salari-é-e-s se sont mobilisés avec, parfois, des appels à la grève s’ajoutant à celui des cheminots, toujours aussi fortement et unitairement mobilisés.


    Des rassemblements ou cortèges déterminés malgré la période de congés.

    Salariés du privé, du public, électriciens et gaziers, usagers des services publics, retraités, jeunes lycéens et étudiants : rassemblés autour du refus de la société que Macron et son gouvernement nous proposent.

    Et, aussi, mobilisés sur leurs propres revendications autour de l’emploi, des salaires, des garanties collectives, du service public, de la suppression de la CSG, de l’accès à l’université.


     

    Partout, dans le calme et la détermination, les jalons ont été posés pour poursuivre et amplifier partout les mobilisations, à partir des entreprises, professions et des cahiers revendicatifs locaux.


    À quelques endroits, comme à Paris où la préfecture de police a multiplié les provocations, les salariés sont restés calmes et dignes, refusant de répondre à la violence.

    Violence qui décidément devient la seule réponse gouvernementale aux justes exigences des salariés et populations.

    En témoigne la situation à Notre-Dame-des-Landes.

     


    Les exigences et mécontentements montent sur de multiples sujets et le gouvernement écoute, dit-il, mais n’entend pas.


    Il serait pourtant inspiré de le faire !


    Les cheminots restent durablement déterminés, les électriciens et gaziers les rejoignent.

    Les fonctionnaires unis ont d’ores et déjà le 22 mai et ses suites en ligne de mire.

    Les retraités, unis eux aussi, vont continuer à se mobiliser.


    ADP, Air France, les transporteurs routiers, les chômeurs et précaires, les salariés des Ehpad, de la collecte des déchets, s’organisent sous formes différentes pour faire avancer leurs légitimes revendications… et ils ne sont pas seuls.


    La CGT les soutient plus que jamais. Elle va travailler à l’unité la plus large, au plus près du terrain, pour que, partout, s’ouvrent de sérieuses négociations et soient entendues nos propositions.


    Le Président Macron et son gouvernement doivent entendre l’exigence sociale et prendre la mesure des oppositions grandissantes à sa politique qui flatte les plus riches et punit le plus grand nombre quand les moyens existent pour faire autrement.


    Nous ne lâcherons rien !


    De nombreuses initiatives auront lieu dans les professions et les territoires dès la semaine prochaine.


    Nous appelons à faire du 1er-Mai, dans l’unité la plus large, une puissante journée de mobilisation et travaillons, dès à présent, à ses nécessaires suites, pour gagner.

     

    Montreuil, le 19 avril 2018


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  • Communiqué de la CGT

    Journée de solidarité

    Perte d’autonomie, pour une vraie solidarité

    mercredi 18 avril 2018

    Voir en ligne : Propositions de la CGT, pour un droit à l’autonomie :

     

    Une nouvelle idée lumineuse circule… que le président de la République trouve intéressante : pourquoi ne pas financer et améliorer la prise en charge de la perte d’autonomie par la mise en place d’une nouvelle « journée de solidarité » ?


    Après avoir fait les poches des retraités, le gouvernement envisage de sabrer les jours de repos des salariés…

    Une nouvelle manière de remettre en question les 35 heures ?


    Pourquoi les travailleur-euses devraient être encore une fois les dindons de la farce ?

    Cette mesure avait été largement contestée à l’époque, de nombreuses mobilisations avaient éclaté pour mettre à mal ce dispositif.


    Le bilan de la première journée de solidarité est sans appel, cette mesure est socialement injuste.

    La question de la perte d’autonomie concerne tout le monde.

    Pourquoi son financement pèserait sur les seuls travailleurs ?


    En tout état de cause, la CGT le réaffirme une nouvelle fois, la perte d’autonomie, quel que soit l’âge, fait partie des risques qui doivent être couverts par la branche maladie de notre sécurité sociale.

    En aucune façon, elle ne peut être gérée en dehors de celle-ci et financer autrement que par la cotisation sociale sur le travail, seul système solidaire comme il l’a démontré de longue date.


    Il serait inacceptable qu’une nouvelle fois ce soit les travailleurs qui soient mis à contribution parce que le gouvernement a fait le choix de servir les riches et les entreprises.

     

    Les moyens de financement d’une sécurité sociale pour tous sont là, il faut juste la volonté politique, en toute justice et équité :


    • exonération de cotisations sociales faite aux entreprises : 35 milliards d’euros ;


    • Crédit Impôt Compétitivité Emploi : 27 milliards d’euros perçus surtout par les grosses entreprises et qui n’a pas réduit le chômage de masse ;


    • Crédit Impôt Recherche : 6 milliards d’euros, là aussi pour les grosses entreprises et pourtant une recherche en pleine déconfiture ;


    • réforme de l’impôt sur la fortune : 5 milliards d’euros rendus aux très riches.


    Ces quatre éléments représentent 73 milliards d’euros, et, encore, ce n’est qu’une partie des 230 milliards d’euros d’argent public octroyés aux entreprises chaque année.


    La prise en charge de la perte d’autonomie est estimée à environ 10 milliards d’euros par an, « seulement » pourrait-on dire, au vu des sommes octroyées aux nantis et aux entreprises.


    La CGT pose également la question de la politique de prévention et des fonds qu’il faut y allouer.

    Pour bien vieillir, il faut bien travailler.

     

    La CGT propose de créer un nouveau droit dans le cadre de la branche maladie, à côté de la maladie, de la maternité, de l’invalidité et du décès.

     

    Montreuil, le 18 avril 2018


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  • Finistère ! AG Interluttes !

    Une AG Interluttes s'est tenue ce soir de 18h à 21h à la Fac Ségalen Amphi 2.
    Environ 70 personnes présentes.

    Résumé:

    ZAD :
    Retour des camarades qui sont allé ce Week-end à la ZAD apporté le matériel sur le site. Sentiment que le dispositif policier et gendarmesque est débordé par le nombre. Le site étant tellement grand qu'il était possible de rejoindre les zadistes sans se faire contrôler. Il y a une réelle logique politique de réappropriation des terres et une volonté de rayonner au-delà du national.
    Au niveau local:
    - AG mardi 17/04 à 18h à Pont de Buis pour préparer une action
    - Action guirlande (constituée de tout les restes de grenades récupérées sur la ZAD) le lendemain 18/04 à 18h à la gare de Pont de Buis. Possibilité de covoiturage mercredi à 17h au parc à chaines au port. N° si besoin: 07-55-78-98-69

    Cheminots:
    - Petit déjeuner le mercredi 18/04 de 8h à 10h à la gare de Brest pour sensibiliser sur la contre-réforme SNCF et AG à suivre à 10h ouverte à tous!!!
    - Invitation de tous les secteurs en lutte à venir les rejoindre le 19/04 au matin (8h) au rond point devant la gare pour une action de tractage (tract commun cheminots, étudiants, hosto et migrants en cours d'élaboration). AG ouverte à tous à nouveau de 10h à 11h et convergence vers la manif de 11h place de la liberté.


    Hôpitaux:
    - Mardis de la santé en colère qui se déroulera demain de 12h à 14h30 à l’hôpital de Bohars.
    - Retour sur les mouvements en cours aux blocs, urgences Cavale Blanche et pédiatriques.

    Etudiants:
    Peu d'action ce week-end. Ils étaient sur la défensive du au risque d'agression fasciste du bloc identitaire du coin.
    - Tractage (tract commun toujours) place Strasbourg le 19/04 au matin et convergence place de la liberté (ou gare si délogé par la police).

    Lycéens:

    Coordination en cours, difficulté à mobiliser

    Maison des mineurs de Brest:
    Après une mise à l'abri ce Week-end face au risque d'une agression du bloc identitaire (fasciste), la maison des mineurs à été expulsée sans préavis ni ménagement ce matin (16/04). Un mineur a été arrêté puis relâché.
    Plus de 10 mineurs expulsés ainsi que des personnes en demande d'asile. Aucune solution de relogement. Destruction des parties communes pour empêcher toute réappropriation et murage des entrée.
    Je vous invite à voir les photos sur leur page FB : https://www.facebook.com/ZeropersonnealarueBrest/
    Pour plus d'info, l'article de Bastamag du 16/04/2018 : https://www.bastamag.net/Face-a-une-politique-inhumaine-a-Brest-une-requisition-citoyenne-pour-ne-pas

    Radio Pikez: (http://www.pikez.space/)
    Pour rappel, ils ont couvert le barbecue revendicatif de 2016 à l’hôpital de Brest.
    - Demain à 12h, la radio est à la fac pour enregistrer des témoignage des personnes en luttes (étudiants, etc...).
    - Nous sommes aussi invité à participer à une émission qui sera enregistré le mercredi 18/04 à 14h au studio de Radio Pikez. Il manque un volontaire pour venir parler de l’hôpital ;)

    Voilà, AG très intéressante.

    On continue, on lâche rien !


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  • Converger , ensemble le Jeudi 19 avril 2018 !

    Rarement une période économique et sociale n’aura été autant porteuse de dangers et d’incertitudes pour l’avenir de l’ensemble des salariés... Contradictoirement, rarement la séquence qui s’ouvre ne nous aura offert la possibilité de construire un mouvement capable d’inverser la courbe des remises en cause et des mauvais coups.

    Ces dernières semaines, des initiatives d’actions avec des grèves et manifestations ont été organisées dans plusieurs secteurs professionnels et territoires. Les retraités et les salariés des EHPAD étaient mobilisés dans l’unité le 15 mars dernier. Ils étaient des milliers dans les rues. Les uns aspirent – à juste titre – à des niveaux de pensions leur permettant de vivre dignement, et les autres à travailler dans des conditions décentes.

    Le 22 mars, les salariés de la fonction publique, des entreprises privées et publiques, les cheminots, étaient en arrêt de travail et en manifestation dans tout le pays.

    Le 30 mars, les salariés de Carrefour se sont mobilisés contre le démantèlement du groupe orchestré pour répondre aux seules exigences de rentabilité des principaux actionnaires.

    Depuis le 3 avril, une mobilisation massive des cheminots est engagée pour le service public ferroviaire.

    Toutes ces actions montrent que les salariés, les retraités, les jeunes ne s’en laissent pas conter. Ils exigent une autre action politique du gouvernement et que le patronat réponde à leurs revendications dans les entreprises.

    Tous les éléments semblent être réunis pour contraindre gouvernement et patronat à répondre aux attentes légitimes des salariés et des retraités. Pour se faire il est certes nécessaire d’amplifier le mouvement dans les entreprises, mais il faut également, de toute évidence, créer les conditions de leur convergence. C’est dans ces conditions et avec cet objectif que les organisations syndicales du Finistère CGT, FSU, Solidaires, avec le soutien de FO prennent l’initiative de faire du 19 avril 2018 une journée de convergences revendicatives et de luttes interprofessionnelles, appellent à se rassembler :

     

    à partir de 11 heures dans les localités le 19 avril 2018,

    à

    Brest - place de la liberté,

    Quimper - place St Corentin,

    Morlaix - place des otages,

    Carhaix - place du champ de foire

    Quimperlé (avec un rendez-vous à 10h30 place Jean Jaurès)


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  • Communiqué unitaire

    contre la répression dans les universités

     

    Pour le collectif : Alternative Libertaire (AL), Ensemble!, Gauche Démocratique et Sociale (GDS), Génération.s, Europe Ecologie – Les Verts (EE-LV), Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Parti Communiste Français (PCF), Parti Communiste Ouvrier de France (PCOF), Parti de Gauche (PG), République et Socialisme (R&S), Nouvelle Donne.

     

    Après que des interventions policières aient eu lieu sur plusieurs universités, comme Strasbourg ou Bordeaux, pour déloger les blocages et les occupations mis en place par le mouvement étudiant, les incidents qui se sont produits ces derniers jours à Lille et à Nanterre démontrent un saut dans la politique répressive du gouvernement d’Emmanuel Macron contre la jeunesse.

    A Nanterre, après avoir été agressés à l’intérieur du bâtiment où ils organisaient une assemblée générale, 6 étudiants ont été mis en garde à vue, et trois déférés en Justice.

    Au moment même où, dans cette fac qui a vu naître le mouvement du 22 mars, on commémore le cinquantenaire de mai 68, les CRS ont ordre de matraquer et d'arrêter des étudiants pour le simple fait de s’organiser…

     

     

    Par ailleurs, suite à l’appel à une intervention policière sur Tolbiac par son président, nous alertons sur la menace d'une décision du gouvernement d'évacuer par la force dans les prochains jours l’ensemble des occupations et blocages d’université.

    Nous affirmons notre rejet le plus absolu de cette politique autoritaire qui cherche à étouffer sous les coups la contestation bien réelle qui émerge, dans les universités, dans les gares et bien ailleurs.

    Notre solidarité est du côté de cette jeunesse qui se bat pour une université ouverte à toutes et tous et qui fait face à la violence de l’Etat et de bandes d’extrême-droite, comme cela a été le cas à Montpellier sans grande réaction du pouvoir en place.

    Nous serons à leurs côtés pour défendre leur droit de manifester et de s’organiser, ainsi que pour dénoncer toute forme de répression contre les étudiants et le mouvement social plus en général.


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  • Ouest-France - ANALYSE.

    L’expulsion de la Zad de Notre-Dame-des-Landes

    vire au fiasco

    Emmanuel Macron avait promis de faire revenir l’état de droit dans la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Une semaine plus tard, la situation s’est, au contraire, aggravée.

    Dès le premier jour de l’opération, la grosse boulette. Et, du même coup, la renaissance d’un bourbier incommensurable. Les zadistes de la ferme des 100-Noms, « très modérés et prêts à se mettre dans les clous de la légalité » selon de multiples sources, sont expulsés. Leur bergerie et leurs cabanes démolies.

    Anecdotique ? Non, le lieu est trop emblématique pour nombre de militants écolos et opposants historiques. Une trahison, crie la délégation, composée notamment de zadistes, qui négocie depuis des semaines, des projets d’installations agricoles alternatifs avec la préfète. La révolte gronde. La pluie de grenades de toutes sortes n’arrange rien.

    ... A Lire ci-dessous

    Ouest-France >>>>>


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  • Aisne : 13 salariés ex-grévistes de l'entreprise Daunat à Chambry mis à pied

    Alors que la grève des salariés de l'usine de fabrication de sandwiches et de salades Daunat à Chambry a pris fin jeudi, 13 d'entre eux ont reçu un courrier ce samedi matin leur informant leur mise à pied en vue d'une mesure de licenciement pour faute lourde

    France 3 >>>>>


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