• [Mardi 9 Avril 2019 Actualités Politiques]

    [Mardi 9 Avril 2019

    Actualités Politiques]

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    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

     

     

     

     

     

     

     

    Mandats adoptés

    lors du Collectif National d'Ensemble!

    des 6 et 7 Avril 2019

     

     
     
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    Thomas Porcher 
     
    Les français ont aussi compris que vous avez baissé les impôts de 24 milliards (pour les riches et les entreprises) et, en contrepartie, retiré 25 milliards sur la sphère sociale (pour les plus pauvres). Ça s’appelle une fiscalité inégalitaire et antisociale.
     
    Edouard Philippe

    Les Français ont compris, avec plus de maturité que certaines formations politiques, qu’on ne peut pas baisser les impôts si on ne baisse pas la dépense publique.

     
     
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    Geneviève Legay:
    «Je veux que les mensonges cessent»
     
     
    Médiapart 8 avril 2019 Par Pascale Pascariello

     

    Mediapart a pu s’entretenir avec Geneviève Legay.

    Elle s’exprime pour la première fois depuis les faits. Passé le traumatisme psychologique, elle entend continuer son combat pour défendre les droits et qualifie de « lamentables » les propos tenus par Emmanuel Macron, dont le comportement est loin d’être « un exemple de sagesse ».

    Grièvement blessée par une charge de policiers, à Nice, lors des manifestations du samedi 23 mars, Geneviève Legay, 73 ans, est sortie des urgences de l’hôpital Pasteur. Elle a été transférée à l’hôpital Cimiez, son état de santé nécessitant encore une surveillance médicale.

     
    Deux jours après les faits, le lundi 25 mars, le président de la République Emmanuel Macron et le procureur de la République de Nice Jean-Michel Prêtre annonçaient que la porte-parole d’Attac n’avait nullement été heurtée par des policiers.
    Cependant, dès le samedi 23 mars, les premiers éléments de l’enquête relient l’origine des blessures de la victime à des violences policières.
     
    Les premiers constats médicaux dressent la liste des multiples fractures crâniennes de Geneviève Legay, dont l’état « se serait aggravé au fil des heures », selon le premier compte-rendu de l’officier de police judiciaire. 

     

    Le vendredi 29 mars, le procureur est donc obligé de revenir sur ces premières déclarations et reconnaît que la militante a bien été heurtée par un policier durant la charge.

    Une information judiciaire est alors ouverte.  

     

    Aujourd’hui, près de deux semaines après les événements, Geneviève Legay souffre d’une hémorragie méningée et d’un hématome sous- dural, c’est-à-dire au crâne, qui ne s’est pas résorbé.

    Elle n’a toujours pas retrouvé son équilibre, ni son odorat.

    Sa vue reste floue et elle n’entend plus de l’oreille droite.

    À l’arrêt de la morphine, des douleurs intenses sont apparues, qui ont provoqué de nouveaux examens, lesquels ont révélé une fracture du coccyx.

     

    Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?

    Geneviève Legay : Le moral va en fonction des douleurs, provoquées désormais par la fracture du coccyx. Parfois, j’en pleure mais ça va aller. Le médecin m’a dit qu’il fallait encore trois semaines minimum pour le coccyx. Il faut aussi contrôler l’hémorragie et l’hématome que j’ai au crâne. J’espère pouvoir retrouver l’équilibre parce que là je ne peux pas me lever. J’ai hâte de pouvoir marcher et regagner mon domicile. Cette nuit, j’ai rêvé que j’étais chez moi. En me réveillant et en voyant ma chambre d’hôpital, mes blessures, j’ai pleuré. Le choc a été violent, c’est indéniable. Je dois être aussi suivie par une psychologue. 

     

    Quel souvenir gardez-vous du samedi 23 mars ?

    Arrivée sur la place Garibaldi, j’ai retrouvé des amies, Radija et Sylvie. J’ai discuté avec de jeunes gendarmes. Je leur expliquais que nous manifestions pour eux et leurs enfants. Leur situation n’est pas meilleure que celle des manifestants et, en tant que pacifiste, je sais que discuter est toujours plus important que la confrontation dans laquelle l’État veut nous conduire.

    Nous étions alors plusieurs « têtes grises », comme moi, donc pas vraiment menaçantes. Nous chantions Bellaciao, L’Internationale. Puis nous avons été dirigées vers l’extérieur de la place, vers le café de Turin, sur les rails du tram. Là, je me suis retrouvée face à un cordon de policiers. Je leur faisais face et, derrière moi, il y avait, à quelques mètres, mes amies.

    Là encore, nous continuions à chanter. Je brandissais mon drapeau de la paix et je scandais « Liberté de manifester ». Nous étions d’humeur festive et très pacifistes.

    Puis, tout a été rapide et brusque. J’ai vu les policiers foncer sur nous, sans aucune raison. Puis, j’ai le souvenir d’avoir été sonnée, d’avoir été poussée par un policier. J’ai eu l’impression d’avoir reçu un coup et après je ne me rappelle plus de rien. J’ai dû m’effondrer à ce moment là, je suppose.  

    Je me rappelle m’être réveillée à l’hôpital, aux urgences, avec du sang qui coulait du nez et de l’oreille. Au début, les médecins ont dit à mes filles que je risquais de ne pas survivre. Ç’a été un choc pour elles. 

     

    Dans un entretien publié le lundi 25 mars, dans Nice Matin, le président de la République déclare que « pour avoir la quiétude, il faut avoir un comportement responsable. […] Quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci ». Emmanuel Macron assure par ailleurs qu’il n’y a eu aucun contact entre vous et les forces de l’ordre. Version appuyée le même jour par le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre. Que pensez-vous de ces déclarations ?

    C’est incompréhensible et surtout lamentable. Le lundi, lorsque Macron et le procureur tiennent ces propos, j’étais encore sous surveillance médicale accrue. Le président de la République n’a pas eu une seule pensée pour mes filles qui attendaient à l’hôpital pour savoir si j’allais pouvoir m’en sortir et avec quelles séquelles. Et Estrosi [maire de Nice – ndlr] se permet de dire de son côté que mes blessures sont légères. C’est une honte.

    Comment Emmanuel Macron peut-il donner des leçons de sagesse sans l’être lui-même ? C’est à l’image de ce qu’il fait avec le peuple qu’il ne comprend pas et qu’il ne veut pas comprendre. Il le méprise.

    Macron n’est pas un exemple de sagesse mais un exemple de mépris et de violence.

    En faisant ce que je fais, je suis sage, je défends un droit, le droit de manifester.

    Je pense, avec ce qu’il m’est arrivé mais, bien avant moi, avec toutes les violences qu’ont subies les « gilets jaunes », que nous ne sommes plus dans un État de droit. La réponse d’Emmanuel Macron est autoritaire.

    Je ne vais pas vous cacher que les deux premiers jours de mon hospitalisation, j’ai eu peur. Je n’arrivais pas à comprendre comment je pouvais me retrouver dans cet état pour avoir simplement et pacifiquement manifesté. Cela fait 50 ans que je milite et à 73 ans, je n’ai jamais vécu pareille violence. Le choc, la violence et la rapidité avec laquelle je me suis retrouvée blessée m’ont effrayée.

    Mais aujourd’hui, je suis déterminée et je vais poursuivre le combat. C’est encore plus nécessaire de le faire lorsqu’on voit les dérives anti-démocratiques de ce gouvernement. Je veux me battre, je ne vais pas lâcher et je veux continuer à défendre nos droits et celui de manifester.

    Votre avocat Maître Arié Alimi a déposé plainte contre « X » pour « violence volontaire en réunion avec arme par personnes dépositaires de l’autorité publique et sur personne vulnérable » et pour « subornation de témoin ». Une information judiciaire a été ouverte. Et, depuis le revirement du procureur de la République de Nice, un policier a reconnu vous avoir poussée. Qu’attendez-vous de ces procédures judiciaires ?

    Dès le lendemain de la manifestation, le dimanche, j’ai reçu la visite de deux policières, ensuite de deux policiers et encore de deux autres policiers. J’étais toute seule, sans que ma famille ne soit prévenue. Ils m’ont interrogée alors que j’avais des examens à passer. Je n’avais même pas mes lunettes de vue. Ma chambre était surveillée par un garde qui laissait facilement rentrer la police mais pas mes proches. 

    Le dimanche, donc, les policiers ont commencé l’audition avant que je passe mon scanner et l’ont continuée juste après, sans me laisser de temps de repos. Ils ont surtout insisté pour me faire dire que c’était un journaliste qui m’avait poussée. Or, c’est faux. Je me rappelle avoir été poussée par un policier et je le leur ai dit. Mais ils insistaient sur le journaliste. C’est pour cette raison, ces pressions qu’ils ont exercées sur moi, que Maître Alimi a aussi porté plainte pour subornation.

    Pour la suite de l’enquête, je ne veux pas me tromper de cible. Je sais que le policier qui m’a poussée a reçu des ordres de sa hiérarchie, du commissaire Souchi, du préfet de police, du ministère de l’intérieur. Je veux qu’on remonte vers les responsables et qu’on ne reste pas sur les simples exécutants. Je me rappelle très bien au début de la manifestation de ce commissaire Souchi, et de son regard. Il semblait animé de colère à notre égard. Comme si le drapeau de la paix que j’agitais le mettait hors de lui.

    Aujourd’hui, je veux que la procédure judiciaire permette de révéler la vérité sur mes blessures et que les mensonges cessent. J’aimerais que ce soit aussi un moyen de s’interroger sur la violence exercée par l’État. Mais vu comment a été menée l’enquête au début, j’ai peur que des éléments soient cachés ou enlevés. C’est cela mes craintes, surtout à Nice. C’est aussi pour cette raison que Maître Alimi a demandé le dépaysement de l’affaire.

    En tout cas, j’irai jusqu’au bout. Je me dois de le faire pour mes filles, qui ont été très choquées, et pour tous les manifestants qui me soutiennent. Je reçois chaque jour de nombreux courriers de France, de Belgique, d’Allemagne ou d’Angleterre. C’est très touchant. Les gilets jaunes me soutiennent et je continuerai de les soutenir. Je ne vais pas arrêter de me battre pour défendre, comme je le fais depuis 50 ans, nos droits et lutter contre la répression de l’État, sous toutes les formes qu’elle prend.

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    Affaire Legay:
     
    La policière chargée de l’enquête
    est la compagne du policier en cause
     
    Médiapart 8 avril 2019 Par Pascale Pascariello

    Le procureur de la République de Nice a confié l’enquête préliminaire sur l’origine des blessures de Geneviève Legay, la militante d’Attac blessée par une charge de policiers à Nice samedi 23 mars, à la compagne du commissaire chargé des opérations policières.

    Cette aberration est susceptible d’éclairer différentes incohérences de l’enquête. 

     

    À la suite des blessures graves dont a été victime la militante d'Attac Geneviève Legay, le samedi 23 mars, à Nice, lors d'une manifestation de gilets jaunes, une enquête préliminaire avait été ouverte par le procureur de la République, Jean-Michel Prêtre.

     
     

    Plusieurs sources proches de l’enquête ont, dès son ouverture, soulevé auprès de Mediapart une aberration remettant en cause de facto son impartialité : la personne chargée des investigations sur l’origine des blessures de la manifestante pacifique n’est autre que la commissaire divisionnaire Hélène P., qui se trouve être la compagne du commissaire Rabah Souchi, chargé des opérations le jour des manifestations.

     

    Depuis leur admission au concours de commissaire, en 2003, Hélène P. et Rabah Souchi se suivent dans toutes leurs nominations, d’Arras à Nice en passant par Amiens.

    Contacté par Mediapart, le procureur de la République de Nice a expliqué « être tout à fait au courant, au moment de l’ouverture de l’enquête préliminaire, des liens de concubinage qui unissent le commissaire Rabah Souchi et Hélène P. Cette dernière est le commissaire en chef de la sûreté départementale. Je ne vois pas en quoi cela pose problème ? ».

    Pourtant, l’enquête vise directement des opérations menées par son propre concubin, le commissaire Rabah Souchi.

    Contactée à de nombreuses reprises, Hélène P. n’a pas donné suite à nos sollicitations.

    Le commissaire Rabah Souchi a pour sa part répondu : « C’est ma vie privée. Ça ne regarde que moi », qualifiant la chute de Geneviève Legay d’« accident ».

     

    Interrogé sur ce conflit d'intérêts manifeste au cœur des investigations policières, le procureur de Nice tente de minimiser les faits. « Effectivement, les investigations doivent déterminer d’où viennent ces blessures, éventuellement commises par des hommes sous le commandement du commissaire. Mais au moment de son ouverture, il n’y a aucune preuve évidente que ce soit un policier. Il faut réunir les éléments de preuve matériels. »

     

    « Réunir des éléments de preuve matériels »… ou les écarter.

    Les liens entre l’enquêtrice et le commissaire éclairent en effet d’un jour nouveau les incohérences et les cafouillages qui ont très vite émaillé cette enquête – et auxquels Mediapart a pu avoir accès.

    Dès le samedi 23 mars, dans un procès-verbal, un officier de police judiciaire signale que Geneviève Legay aurait été bousculée par « un homme qui portait un bouclier » ; comprendre : un policier. Il s’avère qu’il avait une matraque et non un bouclier. Mais l’auteur des blessures est, dès l’ouverture de l’enquête, identifié comme faisant partie des forces de police.

    Le procureur de la République a-t-il été destinataire de ces éléments ? « Lorsque je me suis exprimé, lundi 25 mars, je me suis basé sur les vidéos. Je n’avais pas vérifié l’ensemble des procès-verbaux à ce stade », confie-t-il à Mediapart.

     

    Le lendemain des faits, la septuagénaire a été entendue à plusieurs reprises par des policiers placés sous l'autorité directe de Hélène P.

    Or, comme l’a expliqué Geneviève Legay à Mediapart : « J’ai reçu la visite de deux policières, ensuite de deux policiers et encore de deux autres policiers. J’étais toute seule, sans que ma famille ne soit prévenue. Ils m’ont interrogée alors que j’avais des examens à passer. Je n’avais même pas mes lunettes de vue […]. Ils ont surtout insisté pour me faire dire que c’était un journaliste qui m’avait poussée. Or c’est faux. Je me rappelle avoir été poussée par un policier et je le leur ai dit. Mais ils insistaient sur le journaliste. »

    Dans le procès-verbal d’audition que Mediapart a pu consulter, effectivement, la policière demande à la militante : « Vous rappelez-vous si un journaliste se trouvait à côté de vous et ce qu’il faisait ? » Geneviève Legay explique qu’il filmait et précise : « Je pense que ce sont les policiers qui m'ont poussée, car ils nous avaient déjà poussés avant. »

    La policière ne cherche pas à en savoir plus et n’insiste pas sur ce point.

     

    Une plainte déposée par l’avocat de Geneviève Legay, Me Arié Alimi, vise les « violences volontaires en réunion avec arme par personnes dépositaires de l’autorité publique et sur personne vulnérable », mais aussi de possibles faits de « subornation de témoins ».

    En effet, des policiers sont venus à plusieurs reprises dans la chambre d'hôpital de la blessée pour lui faire dire, selon son témoignage, que c’était un caméraman qui l’avait bousculée et non les forces de l’ordre.

     

    Les auditions de policiers ayant participé à la charge ont débuté le 25 mars. Un nom revient alors systématiquement : le commissaire Souchi, responsable des opérations à l’origine des blessures de Geneviève Legay.

    Comme le signale l’un des policiers auditionnés, « à un moment, je me retourne et j’entends monsieur Souchi dire “Chargez, chargez !”. Suite à ces ordres, nous avons chargé les trois sections en même temps ».

    Un autre policier affirme : « Nous avons chargé, donc effectivement nous avons poussé les personnes. » Aucune précision n’est demandée sur les personnes bousculées.

    Les auditions sont menées favorablement à l’égard du commissaire Souchi. Du moins la curiosité des officiers de police judiciaire pour comprendre l’origine des blessures de Geneviève Legay n’apparaît-elle pas comme débordante.

     

    La charge décidée par le commissaire Souchi pose pourtant problème.

    Elle n’a d'ailleurs pas été soutenue par l’ensemble des forces de l’ordre présentes.

    Les deux escadrons de gendarmerie mobile n’ont pas participé à ces opérations. Le commandement de ces escadrons a donné un avis technique divergent sur la manœuvre, estimant qu’une charge était disproportionnée compte tenu de la situation et des manifestants présents.

     

    « Une simple vague de refoulement aurait permis de les disperser sans les brutaliser », a d'ailleurs précisé un militaire auprès de Mediapart, avant d'ajouter : « Le commissaire Souchi était fébrile et d’une extrême nervosité mais dans toute opération, nous devons garder notre sang-froid et ne pas agir sous l’impulsion. Sinon c’est au risque de commettre des violences injustifiées sur des manifestants. »

    Ces propos sont corroborés par des sources policières, notamment syndicales, qui font part de multiples dérives du commissaire, mais jusque-là commises à l’encontre des agents qu’il dirige.

     

    Il y a une autre incohérence dans l’enquête. Très tôt, la liste des fractures à la tête de Geneviève Legay révèle deux points d’impact opposés, l’un en haut de la tête, à gauche, et l’autre en bas à droite. Outre la chute, la militante a donc reçu un coup, de pied ou de matraque.

    Là encore, aucune audition ne soulève cette question.

    « Lorsque je suis arrivée à l’hôpital, j’ai vu ma mère avec une marque au front en forme de U, qui n’est partie qu’au bout de deux jours, précise Delphine Legay, l'une des filles de la manifestante blessée. J’ai pris des photos. » 

    Les policiers n'ont pas fait état de ces marques lorsqu'ils ont auditionné Geneviève Legay au lendemain de son hospitalisation.  

     

    Geneviève Legay affirme avoir reçu un coup de matraque, propos corroborés par des témoins dont nous avions publié le récit.

    Il s’agit notamment de Thibault Huart, street medic (secouriste auprès des personnes blessées lors des manifestations), qui se trouvait « à un ou deux mètres d’elle avant et pendant la charge des policiers. Elle a bien reçu un coup des forces de police au visage, ce qui l’a fait tomber. Ensuite j’ai dû m’occuper d’un journaliste et je ne l’ai retrouvée que lorsqu’elle était à terre. J’ai voulu l’aider mais des policiers m’ont empêché de le faire ».

    Un autre témoin explique l’avoir vue recevoir des coups de pied une fois à terre. Mais de qui ? C’est une question aujourd'hui sans réponse.

    L’information judiciaire ouverte le 29 mars devra l’éclairer, tandis que l’enquête de police devrait, selon toute vraisemblance, être confiée à un autre service.

     
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    Presse...

    Affaire Legay

    L'enquêtrice est la compagne du commissaire en charge du maintien de l'ordre le jour de la manifestation à Nice

    Cet élément, rapporté lundi par Mediapart, était déjà confirmé par le procureur de la République lors d'une conférence de presse fin mars. 

    France Info >>>>>

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    L'enquête sur les violences contre Geneviève Legay

    serait menée par la compagne du policier mis en cause

    D'après Mediapart, un conflit d'intérêts manifeste existerait dans cette affaire, ce qui a scandalisé de nombreux politiques.

    HuffPost >>>>>

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    Affaire Geneviève Legay :

    l’enquête était confiée à la compagne du commissaire mis en cause

    Ce lien entre deux policiers, révélé par « Mediapart », était connu du procureur dès l’ouverture de l’enquête sur les blessures de cette manifestante de 73 ans à Nice.

    Le Monde >>>>>

     

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    Gilets jaunes en garde à vue :

    le droit à l'avocat est-il bafoué ?

    Libération >>>>>

     
     
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    Gilets jaunes: un vent libertaire souffle sur l'Assemblée des Assemblées à Saint-Nazaire
     
    Socialter >>>>>
     
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    Pouvoir d’achat, ISF, RIC :
    Edouard Philippe esquive la crise sociale

    Alors que le Grand débat se termine, le gouvernement tente fallacieusement de faire passer les résultats de la concertation comme une réponse à la crise sociale. Pourtant les annonces faites par Edouard Philippe ne répondent en rien aux revendications des Gilets jaunes, que ce soit sur le terrain du pouvoir d’achat ou des aspirations démocratiques.

    Révolution permanente >>>>>

     

    Le gouvernement se moque des Gilets jaunes

    Encore un enfumage de Macron :

    la ridicule taxe sur les GAFAM

    Parmi les revendications des Gilets jaunes, on entend souvent celle d'une taxation plus juste des profits des géants du numérique. Comme à son habitude, le gouvernement fait semblant d'entendre la colère mais en réalité fait tout pour sauvegarder les profits des grandes entreprises .

    Révolution Permanente >>>>>

     
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    [Élections européennes de 2019]

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    L'abstention est actuellement estimée

    à 60% des inscrits

    sur les listes électorales,

    Le vote blanc et nul serait de l'ordre

    de 3% des inscrits ...

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    Élections européennes de 2019 en France

    Wikipédia >>>>>

    Sondages sur les élections européennes de 2019

    Wikipédia >>>>>

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    Européennes Cevipof

     

    Enquête Cevipof Ipsos Mars 2019 >>>>>

    Enquête Cevipof Ipsos février 2019 >>>>>

    Fondation Jean-Jaurès - Le Monde

    Panel 10.000 personnes

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    Est-il vrai que les sondeurs ne publient pas
    leur méthodologie au nom du secret des affaires?
     

    La loi impose aux instituts de sondages de publier un certain nombre d'éléments de leur méthode. D'autres informations, comme les critères de redressement peuvent ne pas être rendus publics.

     
    Libération >>>>> ChecksNews
     
     
     
     
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