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[La Chute des Premiers de Cordée (affaire Benalla) - Jeudi 19 et Vendredi 20 Juillet 2018]
Rouge ViF !
[La Chute des Premiers de Cordée]
Jeudi 19 et Vendredi 20 Juillet 2018
La République exemplaire ...
ou la République bananière ?
Affaire Benalla : une affaire d’État au coeur de la Macronie !
Agression d'un manifestant
par un collaborateur de l'Elysée
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Les Infos à suivre ...
Chronologie Depuis le 19 juillet 2018 >>>>>
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Ci-dessous
Journées du Jeudi 19 et du Vendredi 20 Juillet 2018
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20 juillet 2018
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Sur le site national d'Ensemble !
L’affaire « Benalla »
est en réalité
l’affaire « Macron-Collomb »
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En moins de 24 heures, la Macronie des premiers de cordée vient d'imploser avec l'affaire Benalla, cet adjoint du Chef de Cabinet du Président de la République qui, au coeur d'une opération des forces de l'ordre, a agressé physiquement, casque de police sur la tête, deux militants lors d'une soirée apéro, Place de la Contrescarpe à Paris le 1er mai 2018; soirée militantes qui avait rassemblé moins d'une centaine de personnes pour un débat public sur les suites à donner à la lutte contre ParcourSup.
Des vidéos accablantes témoignent de la violence des agressions par Benalla contre deux militants pacifiques quasiment sous le regard impassible des forces de l'ordre.
Ceci bien après les manifestations de l'après midi du 1er mai 2018 qui avaient donné lieu à des violences entre les Forces de Police et des blacks blocks, en avant de la manifestation syndicale.
En dévissant, le chargé de mission Benalla, adjoint du chef de cabinet, entraine tous les premiers de cordée, Macron en tête, dans sa chute.
Cette agression est devenue un véritable scandale d'Etat.
Que faisait cet homme et quel était son rôle au coeur du dispositif présidentiel de la Macronie ?
Les informations qui pleuvent dans la presse sont terribles pour le pouvoir macronnien et dévoilent un système autoritaire, violent et dangereux pour la démocratie.
Ces informations posent aussi un nouveau regard et de nouvelles questions pour savoir sur ce qui s'est réellement passé lors de la manifestation de l'après midi du 1er mai et sur les violences entre les Black Blocks et les force de l'ordre.
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Le premier article du Monde
sur l'affaire Benalla - macron
18 juillet 2018
« Le Monde » identifie, sur une vidéo, un collaborateur de Macron frappant un manifestant, le 1er mai, à Paris
Equipé d’un casque à visière des forces de l’ordre, Alexandre Benalla, chargé de la sécurité du chef de l’Etat, s’en est pris à un homme à terre, place de la Contrescarpe
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Violences d'un collaborateur de l'Élysée :
"C’est une affaire d’État", affirme Alexis Corbière
Le député de La France insoumise, invité vendredi sur franceinfo, juge que "si l’affaire a mis autant de temps à se retrouver à la lumière", "c’est qu'il y a une volonté d’étouffer".
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Informations : c'est de nouveau le déluge ce matin ...
Infos presse du jour...
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20 juillet 2018 Nouvelle vidéo Médiapart
sur l'agression de la Place Contrescarpe
Comment Benalla a fait interpeller sa victime
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Alexandre Benalla a été placé en garde à vue des chefs de "violences en réunion par personne chargée d'une mission de service public", "usurpation de fonctions", "port illégal d'insignes réservés à l'autorité publique", "complicité de détournement d'images issues d'un système de vidéoprotection", annonce le parquet de Paris.
La présidence de la République a engagé "la procédure de licenciement" d'Alexandre Benalla, chargé de mission, annonce l'Elysée.
Selon les informations de Libération, le ministère de l'Intérieur s'était renseigné sur Alexandre Benalla, lorsqu'il était membre de l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron, et avait refusé de lui accorder un permis de port d'armes. En cause : un comportement de "Rambo". "Benalla était très mécontent et a menacé le cabinet de représailles", selon un responsable ministériel, cité par le quotidien.
Selon l'Elysée, Alexandre Benalla "aurait été destinataire d'un document de la préfecture de police qu'il n'était pas autorisé à détenir". Une déclaration qui semble confirmer les informations publiées par Europe 1. La radio nous apprend ce matin que trois policiers, dont deux commissaires, ont été suspendus, car ils "sont soupçonnés d'avoir extrait des images des caméras de vidéo surveillance du plan de protection de la Ville de Paris, qui montrent la scène de violence place de la Contrescarpe sous un autre angle" et d'avoir "copié puis transmis la vidéo" à Alexandre Benalla.
Vincent Crase, le deuxième collaborateur de l'Elysée mis à pied dans le cadre de l'affaire Benalla, a également été placé en garde à vue, en fin de matinée, des chefs de violences en réunion par personne chargée d'une mission de service public et usurpation de fonction, annonce le parquet de Paris.
Aucune déclaration d'Emmanuel Macron n'est prévue pour le moment (vendredi 20 juillet 2018).
Le chef de l'Etat a d'ailleurs évité les questions des journalistes hier, lors de son déplacement jeudi à Périgueux (Dordogne), où il présentait le nouveau visage de Marianne.
Le silence ne semble pas tenable très longtemps face à l'opposition, qui appelle Emmanuel Macron a s'exprimer personnellement.
Pour l'instant, nous n'avons entendu que le porte-parole de l'Elysée, le Premier ministre et quelques ministres.
Vendredi, contrairement aux usages en vigueur lors d’une visite de chef d’Etat, le déjeuner de M. Macron avec le président de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliev, n’a pas été suivi d’une conférence de presse commune des deux dirigeants.
Le Monde : Place de la Contrescarpe, ainsi que sur d’autres images prises dans Paris, un homme en civil accompagne M. Benalla sans jamais s’interposer : il s’agit d’un membre de l’état-major de la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC), Philippe Mizerski, chargé d’encadrer M. Benalla en tant qu’« observateur » de l’Elysée, selon nos journalistes Soren Seelow et Julia Pascual.
Jeudi, Jean-Luc Mélenchon a par ailleurs déclaré identifier « formellement » ce policier comme étant celui qui lui « a demandé (…) de [s]e retirer de la marche silencieuse » en hommage à Mireille Knoll, le 28 mars, où il avait été chahuté. Une vidéo atteste de la présence de ce fonctionnaire.
Selon la préfecture de police de Paris, les images de vidéosurveillance transmises à Alexandre Benalla ont été "indûment communiquées" mercredi soir, soit le jour même des révélations du Monde.
Un avocat affirme qu'une si longue conservation des enregistrements serait illégale.
Maitre_Eolas : Donc elles seraient conservées illégalement au-delà du délai d'un mois ? https://t.co/b9heTiPFe5
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Sur les évènements de la place Contrescarpe, largement en marge de la manifestation syndicale du 1er mai:
les événements qui ont précédé ces actes de violence ne sont pas encore très précis. Les manifestants, une centaine, étaient réunis place de la Contrescarpe pour un "apéro militant". La situation a dégénéré quand des CRS ont bouclé la place, mais on ignore ce qui s'est produit précisément. Selon les images filmées par les témoins, Alexandre Benalla s'en est pris à une femme puis à un homme qui se trouvait à terre.
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#affaireBenalla - Révolution Permanente
Première grande crise politique de Macron
L’épuisement prématuré du macronisme
Tout un record. Non seulement, Emmanuel Macron n'a pas eu le regain de popularité attendu avec la victoire de l'équipe nationale de football, mais aussi, depuis quatre jours, l’Élysée est à la défensive. Une illustration éloquente de l'épuisement prématuré du macronisme.
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Benalla en garde-à-vue : l’Elysée cherche à calmer la tempête
Après son identification sur une première vidéo, place de la Constrescarpe à Paris le 1er mai dernier, les charges continuent de tomber sur Alexandre Benalla, responsable de la sécurité de l’Elysée et proche du président. Après la sortie d’une deuxième vidéo où il violente une manifestante, Benalla vient d’être placé en garde-à-vue. Inculpé pour violence en réunion et usurpation d’identité, il est aussi accusé de détournement d’image de vidéo-surveillance de la police, une nouvelle charge énoncée par l’Elysée…
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Les fusibles de l’Elysée
Affaire Benalla : trois policiers suspendus, Collomb sur la brèche
Dans le sillon de la crise ouverte par l’affaire Benalla, l'Élysée cherche à se couvrir en colmatant les brèches. Après la mise en garde-à-vue de Benalla et Crase, trois policiers impliqués ont été suspendus. Mais c’est désormais l’implication de Gérard Collomb, ministre de l’intérieur au courant de l’affaire depuis le lendemain du 1er mai, ayant cherché à l'étouffer, qui est pointée du doigt.
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Presse
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Fil Actualités France TV Info (tous les articles) >>>>>
Direct Actualité Le Monde >>>>>
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Violences. Le retour des « barbouzes » de l’exécutif
Vendredi, 20 Juillet, 2018Grégory Marin, avec Olivier Morin et Lola RuscioAlexandre Benalla, collaborateur de l’Élysée, a fait le coup de poing dans la manif du 1er Mai sans être sérieusement sanctionné. Une illustration du clanisme qui règne au cœur du pouvoir.
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De l’affaire Benalla à Adama
L'éditorial de Laurent Mouloud.
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Anthony Caillé, CGT-Police.
« L’affaire Benalla porte atteinte aux valeurs de la République »
Jeudi, 19 Juillet, 2018L’un des collaborateurs de l’Élysée, Alexandre Benalla, a été identifié sur une vidéo tournée lors des manifestations du 1er mai dans laquelle il frappe l’un des participants, équipé d’un casque des forces de l’ordre et entouré de CRS. Avant qu’une enquête soit ouverte après la sortie de l’affaire dans la presse, ce membre de l’équipe présidentielle n’avait écopé que de quinze jours de suspensions. Entretien avec Anthony Caillé, le secrétaire général de la CGT-Police Île-de-France.
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Presse - Internet
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"C'est vraiment une stratégie du pire" : les ratés de communication en cascade de la majorité dans l'affaire Benalla
Depuis les révélations au sujet des violences commises par Alexandre Benalla, l'exécutif, le gouvernement et la majorité présidentielle enchaînent les cafouillages et les contradictions.
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Le Monde
Le point sur l’affaire Benalla,
quarante-huit heures après les premières révélations
Visé par une procédure de licenciement lancée par l’Elysée, Alexandre Benalla a été placé en garde à vue vendredi. Le directeur de cabinet de l’Elysée a été entendu comme témoin.
LE MONDE | 20.07.2018 à 16h42 >>>>>
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Le jeune homme frappé par Alexandre Benalla
a ensuite été menotté par des policiers
Une vidéo révélée par Mediapart vendredi montre que le collaborateur d'Emmanuel Macron a fait interpeller le manifestant qu'il avait frappé.
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Affaire Benalla : trois questions sur le rôle d'"observateur"
occupé par le collaborateur d'Emmanuel Macron lors du 1er-Mai
Le collaborateur d'Emmanuel Macron a été identifié alors qu'il frappait un manifestant lors d'un rassemblement organisé place de la Contrescarpe, le 1er mai.
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Pourquoi l'affaire Alexandre Benalla est explosive
pour Emmanuel Macron et le gouvernement
Les révélations du "Monde", mercredi, sur les violences commises par Alexandre Benalla lors d'une manifestation, le 1er mai 2018, ont plongé Emmanuel Macron et l'exécutif dans une tourmente inédite depuis le début du quinquennat.
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Ce que la polémique sur l’affaire Benalla révèle d’Emmanuel Macron
Les révélations du « Monde » mettent en lumière la personnalité d’un président entouré d’un petit cercle de fidèles.
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Vincent Crase, présent au côté d'Alexandre Benalla lors des manifestations du 1er-Mai, également placé en garde à vue
Cet employé de La République en marche était présent au côté d'Alexandre Benalla lors des manifestations du 1er-Mai.
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Alexandre Benalla placé en garde à vue
pour "violences en réunion" et "usurpation de fonctions"
Le collaborateur de l'Elysée avait été mis à pied deux semaines, après avoir frappé un homme lors des manifestations du 1er-Mai.
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Trois responsables policiers suspendus pour avoir transmis à Alexandre Benalla des images de vidéosurveillance
Les trois hommes sont soupçonnés d'avoir copié des extraits d’images de caméras de vidéosurveillance, qui appartienent à la préfecture de police de Paris et de les avoir transmis à Alexandre Benalla.
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Affaire Benalla: Quand Vincent Crase était au cœur de la sécurité du candidat Macron
Des images tournées par Le HuffPost et l'AFP montrent que le collaborateur faisait partie intégrante de la sécurité durant la campagne d'En Marche.
L'Élysée engage la procédure de licenciement d'Alexandre Benalla
L'affaire Benalla résumée en sept points
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Du service d'ordre du PS au premier cercle de Macron :
l'ascension express d'Alexandre Benalla,
ce collaborateur de l'Elysée qui a frappé un manifestant
Cet adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron a été filmé en train de s'en prendre à un jeune homme lors d'une manifestation, le 1er mai. D'anciens collègues et un membre de la campagne d'En marche ! reviennent, pour franceinfo, sur les années avant son arrivée à l'Élysée.
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Affaire Benalla :
"Ce n'est pas la première fois qu'il vient sur un service d'ordre",
selon le syndicat des commissaires de la police nationale
Le secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale a assuré sur franceinfo jeudi qu'Alexandre Benalla était "régulièrement sur les dispositifs opérationnels".
"avant de commencer à chercher un policier de base qui se retrouverait à dénoncer un conseiller de l'Élysée, il va falloir déjà savoir pourquoi ce monsieur, alors que ça s'est su à l'Élysée, a pu continuer à exercer et pourquoi on l'a revu sur des services d'ordre". Il souligne que ces policiers avaient "face à eux quelqu'un qui représente, même si c'est de façon indue, une forme d'autorité qui est supérieure à la leur. C'est là toute l'ambiguïté du sujet".
S'il s'était agi d'un policier, "il y aurait eu une suspension administrative immédiate demandée par le préfet de police et des poursuites judiciaires immédiates. On n'aurait pas eu ce temps de latence qui fait qu'on commence à parler de cette affaire aujourd'hui, au mois de juillet"
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Enquête, profil du suspect, réactions politiques…
ce que l’on sait de l’affaire Benalla
Un collaborateur de l’Elysée a été identifié en train de molester un jeune homme en marge des cortèges du 1er-Mai. Le point sur l’affaire qui embarrasse l’executif.
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Affaire Benalla. Nouvelle vidéo compromettanteAffaire Benalla. Macron sous pression-----------------------------
Affaire Benalla.
La voiture de fonction du collaborateur équipée d’accessoires policiers
Affaire Benalla. Emmanuel Macron sous pression, la justice saisit
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19 juillet 2018
Alexandre Benalla, chargé de mission auprès du chef de cabinet du président de la République Macron, a été filmé alors qu'il frappait un manifestant le 1er mai dernier, à Paris.
Eric Coquerel député La France insoumise :
"On trouve cette histoire assez incroyable. Depuis quand quelqu'un peut se mêler aux policiers et donner des coups de poing ? Pourquoi les policiers l'ont laissé faire et pourquoi la justice n'a pas été saisie ? Emmanuel Macron a été mis au courant et se contente d'une simple mise à pied ?"
Clémentine Autain, députée La France insoumise de Seine-Saint-Denis, dit avoir le "sentiment" qu'Alexandre Benalla a été "protégé". "Gérard Collomb [ministre de l'Intérieur] et Emmanuel Macron se sont tus, ils ont couvert, d'une certaine manière, leur collaborateur, alors qu'ils auraient dû saisir le procureur de la République", a-t-elle poursuivi, sur franceinfo.
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Les informations tombent drues...
et ça fait désordre...
L'agression a eu lieu le 1er mai au soir lors d'un apéro militant contre ParcourSup place de la contrescarpe à paris
La vidéo où l'on voit Alexandre Benalla frapper un manifestant à terre, place de la Contrescape à Paris, le 1er mai, a été diffusée dès le jour des faits sur Twitter et YouTube. A l'époque, l'identité de l'homme qui porte les coups est inconnue. Ce sont les journalistes du Monde qui ont révélé le 18 juillet qu'il s'agissait de l'adjoint au directeur de cabinet d'Emmanuel Macron.
Les faits auraient été connus du Secrétariat de l'Elysée dès le 2 mai
L'agresseur aurait été mis à pied du 4 au 19 mai mais aurait conservé un poste administratif...
Et pourtant :
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Agression d'un manifestant par un collaborateur de l'Elysée
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VIOLENCE POLICIÈRE
Les violences seraient-elles couvertes en haut lieu ?
Communiqué de la CGT - jeudi 19 juillet 2018Sur les réseaux sociaux et dans les médias, circulent des images sur lesquelles on peut voir le responsable de la sécurité du président de la République s’adonner à des violences, lors d’une manifestation le 1er mai. À en croire les services de l’État (dixit le directeur de cabinet du président), il était en « immersion » parmi les forces de l’ordre afin de voir « comment se gérait la sécurité d’une grande manifestation » !
Pourtant, ce que l’on constate sur les images n’a rien à voir avec la gestion de la sécurité mais plus avec un déferlement de violence gratuite envers les manifestants. Violences importantes et répétées ! Nous constatons aussi, sur ces images, que des personnes, hors police, peuvent se munir de casques de policier et intervenir avec violence pour frapper des militants en toute impunité.
Comment les autorités peuvent-elles justifier la présence active d’un individu extérieur aux forces de police ? Etait-il habilité, par qui, pour quoi ?
Déjà, lors des mobilisations contre la loi travail, des violences avaient été constatées, la CGT avait exigé une enquête parlementaire.
La CGT est favorable à la sécurité des manifestations et de ceux qui y participent. Quels sont les ordres donnés par les autorités publiques aux forces de l’ordre ? Quels moyens leur sont attribués pour assurer une réelle sécurité ? Les autorités doivent tout mettre en œuvre pour y parvenir.
Cette enquête n’a jamais eu lieu. Elle doit maintenant être diligentée dans les plus brefs délais. Il est question de libertés fondamentales comme celle de manifester, revendiquer, se mobiliser pour faire valoir des exigences citoyennes.Montreuil, le 19 juillet 2018
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Lutte Ouvrière
Quand un « gorille » de Macron se défoule
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Violences d'un collaborateur de l'Élysée:
"C'était à la fois incompréhensible et d'une très grande violence" relate un témoin de la scène
Jérémie Ferrer-Bartomeu a assisté à la scène qu'il décrit comme "violente", et assure qu'il était impossible de distinguer cet homme des autres policiers présents.
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Qui est Alexandre Benalla, ce proche de M. Macron,
auteur de violences le 1er mai ?
Peu connaissent le visage de « l’adjoint au chef de cabinet » du président, identifié comme ayant frappé un jeune manifestant. Mais à l’Elysée, son goût pour les démonstrations de force ne passe pas inaperçu.
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Un collaborateur de Macron filmé frappant un manifestant
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Un collaborateur de l’Élysée suspendu puis réintégré après avoir frappé un manifestant le 1er mai
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Violences au sommet
1er mai. Quand un proche conseiller de Macron tabassait violemment un manifestant au sol
Nombre de manifestants se souviennent de cette vidéo de violences policières d’une extrême violence filmée place de la Contrescarpe à Paris. L’auteur de ce tabassage, assimilé jusqu’aujourd’hui aux forces de polices et dont le visage a fait le tour des réseaux sociaux, est en réalité un proche conseiller du président de la République. Une information du journal « Le Monde ».
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Affaire Alexandre Benalla : le collaborateur de l'Elysée était dans le bus des Bleus lors du défilé sur les Champs-Elysées
Alexandre Benalla, chargé de mission auprès du chef de cabinet du président de la République, a été filmé alors qu'il frappait un manifestant, le 1er mai dernier à Paris.
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Agression d'un manifestant par Alexandre Benalla,
un collaborateur de l'Elysée :
ce que l'on sait de l'affaire qui embarrasse Emmanuel Macron
Selon les informations du "Monde", dévoilées mercredi, un collaborateur d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a frappé à plusieurs reprises un homme à terre, lors de la manifestation du 1er-Mai à Paris. Franceinfo fait le point sur ces révélations.
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Affaire Benalla : l’opposition dénonce un « scandale d’Etat » et un « climat d’impunité »
La droite, La France insoumise et le Parti socialiste s’étonnent que l’Elysée n’ait pas transmis les faits à la justice.
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Affaire Benalla en direct :
« un scandale d’Etat » pour l’opposition,
suivez les réactions politiques
« Le Monde » a identifié, sur une vidéo, Alexandre Benalla, frappant un manifestant, le 1er mai, à Paris. Suivez les dernières évolutions de cette affaire qui embarrasse la présidence.------------------------------------------------
Alexandre Benalla, Vincent Crase, Patrick Strzoda...
Qui sont les personnes concernées par l'affaire de l'agression d'un manifestant le 1er mai ?
"Le Monde" a révélé mercredi qu'un collaborateur d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a violemment frappé à plusieurs reprises un manifestant, le 1er mai à Paris. Franceinfo revient sur les différentes personnes impliquées dans cette affaire.
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Affaire Benalla. Ce que l’on sait du collaborateur de Macron
------------------------------------------------Les députés macronistes « abasourdis » par l’affaire Benalla
La majorité avait du mal à cacher sa fébrilité, jeudi à l’Assemblée nationale, après les révélations frappant Alexandre Benalla, le chargé de mission à l’Elysée, proche du chef de l’Etat Emmanuel Macron.
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VIDEO. On a décrypté la vidéo de l’agression d’un manifestant par Alexandre Benalla
L'adjoint au chef de cabinet du président de la République a été identifié dans une vidéo où il malmène des manifestants du 1er-Mai. Franceinfo décortique ces images.
------------------------------------------------Enfin ... du côté du PS et d'En Marche, faut-il préciser...
Alexandre Benalla, une personnalité bien connue des services d'ordre des partis politiques
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Médiapart
Les zones grises du faux policier de l'Elysée
Les violences commises par Alexandre Benalla posent la question de la responsabilité de l’Élysée qui a dissimulé au parquet les faits survenus le 1er mai. Ces protections posent aussi la question du statut de ce collaborateur.
L’affaire Benalla sème la panique à l’Elysée
L’Élysée a reconnu que le « Monsieur sécurité » d’Emmanuel Macron avait bien frappé un jeune manifestant le 1er mai, mais refuse de s’en séparer. En déplacement en Dordogne, le président fait l’autruche.
Affaire Benalla: l'opposition obtient une commission d'enquête
Après une séance chaotique à l'Assemblée nationale, les groupes d'opposition, de droite comme de gauche, ont obtenu que la commission des lois se transforme en commission d'enquête sur l’affaire Benalla.
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