• La lutte et la dimension politique

    La lutte et la dimension politique

    Jean-Claude Mamet - Ensemble !

    Cet article vise à apporter une contribution au débat initié par des syndicalistes ou universitaires, dont les textes ont été publiés sur Syndicollectif.fr.

    Ils demandent « à refaire de la politique » face à l’arrogance et au monde de Macron.

    Il s’agit par exemple (voir ici : https://wp.me/p6Uf5o-2X7) de « l’Appel de militants CGT aux partis et mouvements de gauche », s’inspirant des « Jours heureux » du Conseil national de la résistance (CNR).

    Ou encore lorsque l’historien Stéphane Sirot, analysant la force du mouvement actuel (voir ici : https://wp.me/p6Uf5o-2Yd), explique :

    « S’il fallait lui trouver un point faible, il me semble résider avant tout et une nouvelle fois dans son manque de relais et de débouchés politiques. L’état et l’émiettement des forces naturellement susceptibles de les lui fournir est un handicap…».

     

    Sans rejeter l’action propre des partis politiques, sans aucun doute nécessaire, ne peut-on pas envisager que le mouvement lui-même acquiert et puisse développer une alternative à Macron, au moins sur son projet retraites ?

    L’avantage serait de ne pas confier uniquement à d’autres (les « politiques ») la responsabilité de porter le sens profond de ce qui se joue dans la société, et dont les grévistes sont acteurs et actrices.

    L’émancipation des travailleurs et des travailleuses n’est-elle pas une « œuvre » collective ?

     

    Sur le site national d'Ensemble ! >>>>>

     

     


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