• [La Chute des premiers de cordée... Affaire Macron - Benalla Samedi 28 juillet 2018]

    Rouge ViF !

    [La Chute des premiers de cordée...

    Affaire Macron - Benalla

    Samedi 28 juillet 2018]


     

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    Samedi 28 Juillet 2018

    à lire ci-dessous...

     

    Précédemment et à suivre  :

    Chronologie Depuis le 19 juillet 2018 >>>>>


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    Sur le site national d'Ensemble !

    L’affaire « Benalla »

    est en réalité

    l’affaire « Macron-Collomb »

    Ensemble! >>>>>

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

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    Communiqué Ensemble ! 22 juillet 2018

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

    Le gouvernement

    Macron-Philippe est bloqué

     
     

    En interrompant le débat en cours au Parlement sur la réforme des institutions et la réforme constitutionnelle, le gouvernement Macron-Phillipe fait l’aveu d’une sorte « d’empêchement » à gouverner.

    Sa légitimité est mise en cause. Refuser d’admettre qu’une ou des milices privées (un « commando » dit même un proche de l’Elysée au journal Le Monde !) ont été mises en place autour du chef d’Etat, et ont exercé des fonctions régaliennes illégales allant jusqu’à utiliser la violence contre des citoyens, représente une atteinte très grave aux principes du droit.

    Nous savions qu’E. Macron savourait l’exercice d’un pouvoir vertical, de type monarchique, n’admettant pas le pluralisme démocratique.

    Mais il vient de franchir une borne en pensant que les institutions de la 5ème République, elles-mêmes issues d’un coup d’Etat, l’autorisaient à gouverner en s’affranchissant des règles légales.

     

    Face à cette situation, les parlementaires ont déjà pris des dispositions tendant à reprendre une autonomie de décision face à l’exécutif : commission de contrôle, suspension de fait de l’ordre du jour, convocation de fait de certains ministres.

    C’est positif mais il convient d’aller bien plus loin.

    C’est la totalité de l’exécutif, Macron en tête, qui doit s’expliquer à l’Assemblée nationale et devant le pays tout entier. 

    L’argument de la séparation des pouvoirs n’est pas recevable. La séparation des pouvoirs n’autorise pas l’exécutif à s’affranchir des lois.

     

    Il convient donc plus que jamais de mettre en cause une 5ème République dont toute l’histoire et les principes montrent qu’elle a tendance à s’affranchir de la démocratie et des règles élémentaires de l’Etat de droit.

    Ensemble ! défend la rupture avec de telles institutions et se prononce pour une 6ème République basée sur des assemblées élues au suffrage universel, la suppression de la fonction présidentielle, mais aussi de nouvelles institutions basées sur l’auto-organisation de la société.

    Communiqué Ensemble !

    22 juillet 2018

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    Affaire Benalla : Suspension sanction ou 15 jours de repos payés supplémentaires ?

    Sur le site national d'Ensemble ! Blog >>>>>

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

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    L'Humanité

    Parlement. Les macronistes sabordent la commission d’enquête

    Vendredi, 27 Juillet, 2018
    Aurélien Soucheyre

    En décidant seuls de la liste des personnes à auditionner dans le cadre de l’enquête parlementaire sur l’affaire Benalla, les députés LaREM se sont aliéné leurs homologues LR, PCF et FI, qui ont suspendu leur participation à la commission.

    L'humanité >>>>>

     

     

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    Regards

    Elsa Faucillon (PCF) : « Avec l’affaire Benalla, c’est l’Etat de droit qui est attaqué »

    Alors que les oppositions de gauche et de droite viennent de déposer deux motions de censure du gouvernement, la députée communiste revient sur "l’affaire" qui secoue l’exécutif depuis la mi-juillet.

    Regards >>>>>

     

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    Médiapart

     Deux nouvelles plaintes ciblent Benalla pour le 1er mai

    27 juillet 2018 Par Pascale Pascariello

    Alexandre Benalla a pris part aux opérations de maintien de l’ordre de la journée du 1er mai, avant les événements survenus sur la place de la Contrescarpe, selon une vidéo publiée vendredi 27 juillet par Libération. Le rapport d’enquête de l’IGPN, rendu public au même moment, cherche encore une fois à circonscrire l’affaire à de simples dysfonctionnements internes à la préfecture de police.

    Médiapart >>>>>

    En infraction avec la «loi transparence»,

    l’Elysée régularise ses chargés de mission

    26 juillet 2018 Par Mathilde Mathieu

    L’affaire Benalla a braqué les projecteurs sur les « chargés de mission » officieux de l’Élysée, qui ne remplissent ni déclaration de patrimoine, ni déclaration d’intérêts. La loi sur la transparence, pourtant, les y oblige. Jeudi 26 juillet, le secrétaire général du palais a annoncé que leur situation serait « régularisée ».

    Médiapart Abonnés >>>>>

     

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    Révolution permanente

    Pour défendre Macron et laver leur honneur, les barbouzes, eux, ont droit à leur 20h

    Hier soir, et à la surprise générale, Alexandre Benalla était l'invité du 20h de TF1. Une opération visant à laver son honneur, mais surtout à défendre corps et âme Emmanuel Macron. Mais au delà des propos, le seul fait qu'un barbouze comme Benalla se voie déplier le tapis rouge du journal le plus regardé du pays en dit long...

    Révolution Permanente >>>>>

     

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    Chronologie

    France Info

    Violences, avantages, rétropédalages... Retour sur une semaine de révélations dans l’affaire Benalla

    Pendant une semaine – de l'identification du collaborateur d'Emmanuel Macron par Le Monde sur une vidéo, mercredi 18 juillet, à la revendication de sa "responsabilité" dans cette affaire par le chef de l'État mardi 24 –, Alexandre Benalla a été l'objet de toutes les attentions médiatiques et politiques. Franceinfo replonge dans cette série de révélations qui a ébranlé le quinquennat du président de la République.

    France TV Info >>>>>

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    Libération

    Affaire Benalla
    les faits, jour par jour

    Les révélations se succèdent sur les agissements d'Alexandre Benalla, ex-proche collaborateur d'Emmanuel Macron accusé d'avoir frappé un manifestant en marge d'une manifestation le 1er mai. Retour sur les faits.

    Libération >>>>>

     

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    Samedi 28 juillet 2018

     

    Brèves du jour...

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    Elsa Faucillon (Pcf) : Cette affaire révèle quelque chose de l’exercice du pouvoir par Emmanuel Macron. Cette volonté de tout concentrer, de tout décider, seul – voire à quelques-uns : une petite équipe au service de quelques-uns. Les privilégiés parlent aux privilégiés. Son exercice du pouvoir renforce l’épuisement de la Vème République. Notre système hyper-présidentiel qui confie les pleins pouvoirs au seul président de la République est étouffante. L’interview d’Alexandre Benalla dans Le Monde est sidérante à cet égard lorsqu’il explique le « phénomène de cour » qui existe dans les couloirs de l’Elysée. Or une cour n’est pas au service du peuple, elle est au service du monarque.

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    A lire cet excellent article de Libération

    du 28 juillet 2018 à 14h00

    Affaire Benalla :de la lassitude, des excès,mais surtout des questions

    Ce sont bien deux affaires, de nature fort différentes, qui se mêlent aujourd’hui dans le tourbillon du scandale. Un fait divers d’abord, puis le traitement en catimini par le sommet de l’Etat de cet épisode et la crise politique qui en a découlé.

    Libération >>>>>

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    Ahurissante interview de Banalla sur TF1 (En faux direct, donc bien préparée) avec des questions creuses et inoffensives,  des réponses reprenant mot pour mot tous les éléments de langage et la rhétorique de l’Élysée, des membres du gouvernement, des députés et dirigeants d'En Marche ainsi que des autorités auditionnées ces derniers jours (ça sent le gros débrief et le scénario imposé à tous).
    On a un Benalla bien (trop) propre sur lui, bien (trop) gentil, qui n'a pas tapé (et le coup de pied dans le ventre ?).

    Trop fort le casting ! Mais quel ennui !

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     Sur TF1, Alexandre Benalla a affirmé n'avoir "jamais tapé" les "casseurs" qu'il dit avoir "essayé de maîtriser" le 1er mai, place de la Contrescarpe, à Paris. Il est visé par deux nouvelles plaintes pour d'autres faits de violence le même jour.

    Un peu plus 

    on le prendrait pour le portier

    du couvent des Bisounours ...

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    Réveil difficile semble-t-il pour François Bayrou Président du MoDem

    "Il y a eu sans aucun doute le 1er mai une faute individuelle de la part d'un collaborateur du président de la République, une organisation de l'Elysée qui n'était pas assez rigoureuse et un retard dans les sanctions à prendre. Mais cela n'en fait pas une affaire d'Etat."

    François Bayrou vole au secours d'Emmanuel Macron dans une interview au Monde : "Il y a une disproportion surprenante entre les faits tels qu’ils apparaissent au fil des auditions et le maelström médiatique et politique que nous vivons."

     

    Derrière l’affaire Benalla, la question des violences policières

    Selon des chercheurs, les violences policières, banalisées, mettent en lumière les problèmes structurels de la police française et invitent à repenser le système en profondeur.

    Et si on parlait aussi des violences sociales, des violences économiques, des violences patronales ?

     

     

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    Dans le même temps...

    Tout va très bien votre Majesté...

    Une députée LREM en passe d'être exclue du groupe

    pour avoir voté contre le projet de loi immigration

    Aira Kuric est la seule députée du groupe LREM à avoir voté contre le projet de loi asile-immigration. Son sort est désormais suspendu au bureau du groupe, prévu mardi.

    Onze élus LREM se sont abstenus et 43 ont voté pour le texte porté par Gérard Collomb.

     

     

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    Politique

    Motion de censure de Gauche (PCF LFi PS)

    déposée en application de l'article 49 alinéa 2 de la Constitution

    par MM. André Chassaigne, Jean-Luc Mélenchon,

    Mme Valérie Rabault et 59 membres de l’Assemblée

    Assemblée Nationale >>>>>

    Texte de la motion de censure >>>>>

    Affaire Benalla : les trois groupes de gauche déposent une motion de censure commune

    Le texte, signé par le PS, le PCF et LFI, fera l’objet d’un débat commun, mardi à l’Assemblée, avec la motion déjà déposée par Les Républicains. Mais il y aura deux votes.

    Le Monde >>>>>


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    Jean Luc Mélenchon (sur son Blog)

    AFFAIRE BENALLA, MOTION DE CENSURE : FAISONS LE POINT

    Dans cette vidéo publiée le 27 juillet 2018, Jean-Luc Mélenchon fait le point sur l’affaire Benalla et en particulier sur le processus de dépôt de deux motions de censures : l’une des Républicains et l’autre commune des groupes « la France insoumise, « Nouvelle Gauche » et « Gauche Démocratique et Républicaine"

     

     

    VIDÉO – Benalla : la macronie ment en bande désorganisée

    25 juillet 2018 – Adresse de Jean-Luc Mélenchon aux Français et à Emmanuel Macron après les déclarations récentes du président de la République sur l’affaire Benalla.

    A visionner ici sur le Blog de JL Mélenchon

     

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    Lutte Ouvrière

    L'affaire Benalla, aussi pourrie que la politique de Macron

    A lire ici Lutte Ouvrière >>>>>

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    PCF (déclaration 25 juillet 2018)

    Notre pays traverse une très grave crise

    institutionnelle et démocratique.


    L’affaire Benalla est devenue officiellement une « affaire Macron » puisque le Président de la République revendique en être « le seul responsable », tout en affirmant n’avoir à en rendre compte devant aucune institution de la République, et surtout pas au Parlement. La démocratie est bafouée comme jamais. Le danger est d’autant plus grand qu’au même moment, Emmanuel Macron fait tout pour imposer une révision de la Constitution aggravant tous ses traits anti-démocratiques, même s’il vient d’en être provisoirement empêché par la suspension des travaux parlementaires sur cette révision.

    Ce scandale d’État est révélateur de ce qui doit cesser au plus vite dans notre République: l’omnipotence et l’impunité dont jouit le Président de la République, hors de tout contrôle démocratique. Les conséquences de cette affaire seront durables, mais elles ne sont pas jouées. L’avenir ne sera pas le même selon que l’emportera dans l’opinion la colère, le dégoût, le discrédit de la démocratie ou au contraire la mobilisation populaire pour exiger la transparence et la justice jusqu’au bout dans cette affaire, l’abandon de la révision constitutionnelle programmée par Macron et au-delà une refondation démocratique de nos institutions jusqu’à l’avènement d’une nouvelle République fondée sur une nouvelle Constitution.

    Une bataille majeure est désormais engagée. Les parlementaires communistes et notre parti l'avaient lancée avant même l’affaire Benalla en prêtant leur nouveau serment du jeu de Paume le 9 juillet, quand Emmanuel Macron est venu devant le congrès à Versailles.


    Quels premiers enseignements tirer de cette affaire?

    Premièrement, l’extrême gravité des faits. Le chef de la sécurité privée de l’Élysée, Alexandre Benalla, qui assurait déjà la garde rapprochée du Président pendant sa campagne, a été installé à un poste clé, cela en dehors et même à l’encontre des services de protection officielle de la police nationale. Cet homme a été protégé et ne cessait d’intervenir en dépassant ses fonctions. Aussi grave soit-il, le 1er mai n’a pas été un cas isolé. Pourquoi n’y-a-t-il pas eu plus tôt des réactions? Comment cela a-t-il été rendu possible? Parce que l’impunité présidentielle s’insinue comme un poison dans notre vie politique et institutionnelle, et que le sésame présidentiel s’impose au respect des règles publiques et démocratiques. Mais plus grave encore, on sait désormais, qu’une réforme de la sécurité de l’Élysée, actuellement assurée par un service de la police nationale et par un commandement militaire, envisageait d’introduire la sécurité privée dans le nouveau dispositif au plus haut niveau de l’État. Benalla n’était donc pas un accident mais la préfiguration d’un projet de privatisation rampante de la sécurité de l’Élysée qui marquait, comme en ont témoigné les syndicats de policiers, une défiance à l’égard des fonctionnaires, de leur statut et de leur mission de service public, de leur code de déontologie. Macron veut, à tous les étages de la République, des services à sa main, et il veut tout simplement appliquer à l’Élysée ses principes de destruction de l’appareil d’État public, avec les recettes d’austérité et de privatisation qu’il entend infliger à toute la société.

    Deuxième enseignement, la gravité de la réaction de l’Élysée. Celle-ci a bafoué tous les dispositifs de protection de la démocratie et des règles publiques qui auraient dû être appliquées. L’Élysée a cherché à étouffer l’affaire et à la mettre sous le tapis, en pleine connaissance de ce qui s’était passé. Sans l’article du journal Le Monde, tout aurait continué comme avant. Sans la réaction du Parlement, qui a refusé de poursuivre l’examen du projet constitutionnel, celui-ci aurait été adopté à l’Assemblée nationale cette semaine par une majorité de godillots En Marche. Aujourd’hui, la stratégie d’étouffement a explosé. Deux commissions d’enquête parlementaire, une instruction judiciaire, et une enquête de l’IGPN sont en cours. Alors que fait le Président de la République? Il déclenche l’arme lourde: celle de la toute puissance présidentielle dans nos institutions. « Je suis le seul responsable et comme je n’ai de compte à rendre à personne, fermez le ban, et on reprendra la révision constitutionnelle quand je le déciderai ». Et il lâche cette formule incroyable, digne d’un forcené assiégé, reclus dans son château: « qu’ils viennent me chercher! » En clair, le Président dit qu’il s’assoit sur les procédures en cours, sur le Parlement, et qu’il décidera seul des suites à donner à cette affaire. Et c’est là que nous touchons au fond du problème démocratique posé à notre pays par la dérive de tout le système vers la monarchie présidentielle absolue, négation même d’une République digne de son ce nom.

    En déclarant, comme viennent de le faire successivement Édouard Philippe et Emmanuel Macron, que le Président de la République n’a de compte à rendre qu’au peuple directement, autrement dit qu’il ne relève d’aucun contrôle démocratique entre deux élections présidentielles, ils sacralisent le fait que le quinquennat devient ainsi une période de pleins pouvoirs pour le Président de la République. Ils ont beau dire que le gouvernement, lui, rend compte devant le Parlement, c’est une duperie puisque tous les arbitrages relèvent désormais du Président de la République. Et c’est le sens profond de la révision constitutionnelle engagée: pousser à terme cette logique pour aboutir à une Présidence encore augmentée et une démocratie encore diminuée. Et pour cela, réduire d’un tiers le nombre de parlementaires ce qui les coupera davantage du peuple et permettra au passage de liquider le pluralisme politique des assemblées; réduire leur pouvoir d’amendement, leur maîtrise de l’ordre du jour parlementaire au profit du gouvernement; réduire le nombre, le rôle et la libre administration des collectivités locales; réduire de moitié le nombre de membres du Conseil économique, social et environnemental... On sait au service de quel projet Emmanuel Macron veut ce régime de pleins pouvoirs: la liquidation de l’État social pour le seul service des riches, du capital financier et du marché. Cette société dangereuse, inégale et anti-démocratique, dans laquelle l’injustice et l’autoritarisme marchent de pair, nous ne devons pas l’accepter.

    Tirer toutes les leçons de l’affaire Macron-Benalla, c’est donc empêcher l’étouffement de cette affaire et soutenir jusqu’au bout la manifestation de la vérité et la mise en œuvre des sanctions et des mesures qu’elle rendra nécessaires. C’est notamment refuser la privatisation en marche des missions de sécurité. C’est au delà amplifier la bataille pour l’abandon du projet constitutionnel macronien et empêcher la reprise des débats à la rentrée sur ces bases. C’est engager dans le pays un débat national d’ampleur pour la désintoxication présidentialiste du régime et la démocratisation profonde de la République. Les communistes et leurs parlementaires prendront toutes les initiatives nécessaires en ce sens.


     

    Paris, le 25 juillet 2018.

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    Presse

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    France TV Info

    Direct France TV Info du 28 juillet >>>>>

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    Affaire Benalla : cinq questions sur les images de vidéosurveillance détournées par des policiers

    Mediapart affirme que les vidéos, au centre de l'affaire qui secoue l'Élysée, ont été brièvement diffusées sur les réseaux sociaux par des comptes soutenant l'action du président de la République.

    France TV INfo >>>>>

     

    INFOGRAPHIE.

    Vous ne comprenez rien à l'affaire Benalla ?

    On vous résume l'identité et les rôles de chacun en une image

    De l'Élysée au ministère de l'Intérieur en passant par la préfecture de police de Paris, difficile de s'y retrouver dans la foule de protagonistes auditionnés à l'Assemblée et au Sénat ou mis en cause dans l'affaire Benalla.

    France TV Info >>>>>

     

    Affaire Benalla : nos réponses aux six questions les plus posées pour éclaircir ce dossier

    Avec l'afflux d'informations autour de l'affaire Benalla, pas facile de tout saisir. Le chef du service politique de franceinfo, Jean-Jérôme Bertolus, répond aux principales questions posées par les internautes.

    France TV Info >>>>>

     

    Affaire Benalla : ce qu'il faut retenir du rapport de l'IGPN

    Dans ce document, la "police des polices" met directement en cause Laurent Simonin, le policier qui a permis à Alexandre Benalla de participer aux opérations de maintien de l'ordre, le 1er mai, place de la Contrescarpe. 

    France TV Info >>>>>

     

    Du 1er-Mai à la sanction contre Alexandre Benalla : les 48 heures qui ont provoqué la première crise politique du quinquennat Macron

    Même si de nombreuses zones d'ombre subsistent, les témoignages des principaux protagonistes de l'affaire permettent de retracer l'enchaînement des événements de la manifestation et du lendemain.

    France TV Info

     

    Deux nouvelles plaintes pour violences ciblent Alexandre Benalla et Vincent Crase

    Un jeune homme et une jeune femme disent avoir été victimes de violences le 1er mai dernier à Paris, vidéo à l'appui.

    France TV Info >>>>>

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    Le Monde

    Derrière l’affaire Benalla, la question des violences policières

    Selon des chercheurs, les violences policières, banalisées, mettent en lumière les problèmes structurels de la police française et invitent à repenser le système en profondeur.

    Le Monde >>>>>

     

    Affaire Benalla : les trois groupes de gauche déposent une motion de censure commune

    Le texte, signé par le PS, le PCF et LFI, fera l’objet d’un débat commun, mardi à l’Assemblée, avec la motion déjà déposée par Les Républicains. Mais il y aura deux votes.

    Le Monde >>>>>

    L’affaire Benalla résumée en 5 minutes

    Le Monde >>>>>

     

    Affaire Benalla :

    « C’est la notion de dissimulation qui crée l’affaire d’Etat »

    Jean Garrigues, professeur d’histoire contemporaine, et Olivier Rouquan, politologue, détaillent les caractéristiques constitutives d’une affaire d’Etat.

    Le Monde >>>>>

     

    Affaire Benalla :

    le déroulement des faits, le 1er mai, place de la Contrescarpe

    « Guérilla urbaine », selon Alexandre Benalla ; « rendez-vous convivial » pour les manifestants présents sur la place. Que s’est-il passé au cours du rassemblement en marge du 1er Mai ?

    Le Monde >>>>>

     


     

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    Le Figaro

    Affaire Benalla : l'Élysée dans la tourmente

    Le Figaro >>>>> Chronologie articles du figaro

    Alexandre Benalla persiste et signe : «Je n'ai jamais tapé»

    Le Figaro >>>>>

    Alexandre Benalla au JT de TF1, les coulisses de l'interview

    Le Figaro >>>>>

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    Affaire Benalla : chronologie de la crise qui fait trembler la majorité

    Le Figaro >>>>>

    Qui sont les protagonistes de l'affaire Benalla ?

    Le Figaro >>>>>

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    Ouest-France

    Affaire Benalla. Une centaine de manifestants dénonce « l’insolence de Macron »

    Ouest-France >>>>>

     

     

    Affaire Benalla. Des « bêtises » dans les médias, vraiment ?

    Ouest-France >>>>>

     

    Affaire Benalla. Deux nouvelles plaintes pour violences impliquent le collaborateur de Macron et Vincent Crase

    Ouest-France >>>>>

     

     

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    Le Télégramme

    [Direct Le Télégramme] >>>>>

     

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    Libération

    Affaire Benalla :

    de la lassitude, des excès,

    mais surtout des questions

    Ce sont bien deux affaires, de nature fort différentes, qui se mêlent aujourd’hui dans le tourbillon du scandale. Un fait divers d’abord, puis le traitement en catimini par le sommet de l’Etat de cet épisode et la crise politique qui en a découlé.

    Libération >>>>>

     

    1er Mai : Benalla et Crase impliqués dans une autre interpellation

    Libération >>>>> + Vidéo

     

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    Le Parisien

    Ils sont allés chercher Macron... place de la Contrescarpe à Paris

    Le Parisien >>>>>

     

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