• [La Chute des premiers de cordée... Affaire Macron - Benalla Lundi 23 juillet 2018]

    Rouge ViF !

    [La Chute des premiers de cordée...

    Affaire Macron - Benalla

    Lundi 23 juillet 2018]

     

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    A suivre ...

    Chronologie Depuis le 19 juillet 2018 >>>>>

     

     Lundi 23 Juillet 2018

    à lire ci-dessous...

     

     

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    Sur le site national d'Ensemble !

    L’affaire « Benalla »

    est en réalité

    l’affaire « Macron-Collomb »

    Ensemble! >>>>>

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

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    Communiqué Ensemble ! 22 juillet 2018

    A la une du Blog : 25 Janvier 2015

    Le gouvernement

    Macron-Philippe est bloqué

     
     

    En interrompant le débat en cours au Parlement sur la réforme des institutions et la réforme constitutionnelle, le gouvernement Macron-Phillipe fait l’aveu d’une sorte « d’empêchement » à gouverner.

    Sa légitimité est mise en cause. Refuser d’admettre qu’une ou des milices privées (un « commando » dit même un proche de l’Elysée au journal Le Monde !) ont été mises en place autour du chef d’Etat, et ont exercé des fonctions régaliennes illégales allant jusqu’à utiliser la violence contre des citoyens, représente une atteinte très grave aux principes du droit.

    Nous savions qu’E. Macron savourait l’exercice d’un pouvoir vertical, de type monarchique, n’admettant pas le pluralisme démocratique.

    Mais il vient de franchir une borne en pensant que les institutions de la 5ème République, elles-mêmes issues d’un coup d’Etat, l’autorisaient à gouverner en s’affranchissant des règles légales.

     

    Face à cette situation, les parlementaires ont déjà pris des dispositions tendant à reprendre une autonomie de décision face à l’exécutif : commission de contrôle, suspension de fait de l’ordre du jour, convocation de fait de certains ministres.

    C’est positif mais il convient d’aller bien plus loin.

    C’est la totalité de l’exécutif, Macron en tête, qui doit s’expliquer à l’Assemblée nationale et devant le pays tout entier. 

    L’argument de la séparation des pouvoirs n’est pas recevable. La séparation des pouvoirs n’autorise pas l’exécutif à s’affranchir des lois.

     

    Il convient donc plus que jamais de mettre en cause une 5ème République dont toute l’histoire et les principes montrent qu’elle a tendance à s’affranchir de la démocratie et des règles élémentaires de l’Etat de droit.

    Ensemble ! défend la rupture avec de telles institutions et se prononce pour une 6ème République basée sur des assemblées élues au suffrage universel, la suppression de la fonction présidentielle, mais aussi de nouvelles institutions basées sur l’auto-organisation de la société.

    Communiqué Ensemble !

    22 juillet 2018

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    A l'insu du Ministre de l'Intérieur...

    Ayant écouté le Ministre de l'intérieur répondre aux députés dans le cadre de la Commission d'enquête sur l'affaire Benalla, le moins que nous puissions dire c'est que le Ministre Collomb ne semble pas être un grand connaisseur de cette affaire et qu'il ne sait strictement rien de la personne de Monsieur Benalla.

    Nous sommes mieux informés par la presse, les médias, les internautes et les vidéos qui circulent sur le net.

    En fait tous les évènements, ceux du 1er mai, mais aussi ceux apparus depuis les révélations du Monde le 18 juillet jusqu'à ce matin lundi 23, sont survenus à l'insu de son plein gré...

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    Macron annule son déplacement prévu mercredi

    sur une étape du Tour de France

    Affaire Benalla : l'Ifop et "Le JDD" ont décalé la parution mensuelle de la cote de popularité de Macron "compte tenu de l'actualité"

    Les avocats d'Alexandre Benalla défendent une "initiative personnelle" pour "prêter main forte" aux policiers

    Pour la première fois, les avocats d'Alexandre Benalla s'expriment pour justifier l'intervention du collaborateur de l'Elysée face à des manifestants, le 1er mai 2018 à Paris.

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    Jean-Luc Mélenchon  : « [Emmanuel Macron] n’a jamais connu ni géré de crise politique de sa vie, ni en tant que maire, ni en tant que parlementaire, ni en tant que ministre. Il a réagi comme si l’État était une entreprise : il met à pied trois chefs de rayon et pense que tout est réglé. Il se trompe »

     

    «Le ministre de l'Intérieur est l'homme le moins informé de France» estime le député socialiste Olivier Faure après l'audition de Gérard Collomb sur l'affaire Benalla.

     

    Jean-Luc Mélenchon: «Gérard Collomb ment ! Cette audition est consternante ! Quand un ministre se défausse sur le préfet, c'est la fin.»

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    La meilleure de la journée...

    Le délégué général de la République en Marche, Christophe Castaner (LREM) a déclaré que Benalla, suspendu puis licencié de ses fonctions pour avoir frappé des manifestants le 1er mai dernier, "était en charge de la logistique, notamment des bagages"

    "Je ne suis pas l'employeur de cette personne et je ne sais pas quelles étaient ses missions", a déclaré Christophe Castaner.

    "Il a des fonctions de logistique sur lesquelles il travaille (...) J'ai entendu dire qu'il était en charge de la logistique, notamment des bagages"

    Sources ... France TV Info - BFM

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    Mais il y a encore meilleure...

    LCI a diffusé lundi 23 juillet le communiqué des avocats d'Alexandre Benalla, Mes Laurent-Franck Lienard et Audrey Gadot. C'est la première fois qu'ils s'expriment publiquement.

    Dans ce texte, les avocats affirment qu'"Alexandre Benalla est abasourdi par l'utilisation médiatique et politique de son action du 1er mai 2018 sur deux fauteurs de trouble qui agressaient les policiers." 

    M. Benalla, en sa qualité de chargé de mission, adjoint au chef de cabinet du président de la République, a été invité par la DOPC de la préfecture de police de Paris, à observer les opérations de maintien de l'ordre à l'occasion des manifestations du 1er mai, annoncées pour être particulièrement violentes. Il a été accueilli et équipé par les services de police qui lui ont assigné différentes positions. 

    A l'occasion de cette observation, M. Benalla a pu compléter ses connaissances du maintien de l'ordre et n'avait pas vocation à intervenir personnellement sur ces opérations.

    Toutefois, témoin des agissements de deux individus particulièrement virulents et de l'apparent dépassement des capacités opérationnelles des policiers sur place, M. Benalla a pris l'initiative de prêter main forte au dispositif en aidant à la maîtrise de ces personnes. Cette action vigoureuse mais menée sans violence n'a causé aucune blessure.

    Les individus ont pu être interpellés, présentés à un officier de police judiciaire, et n'ont déposé plainte contre personne. M. Benalla a immédiatement rendu compte de son intervention personnelle, qui lui a été vivement reprochée. Il a fait l'objet d'une sanction administrative de la part de son employeur.

    Cette initiative personnelle de M. Benalla, qui s'inscrit dans le cadre des dispositions de l'article 73 du code de procédure pénale et n'a eu aucune conséquence pour les personnes interpellées, sert manifestement aujourd'hui à porter atteinte à la présidence de la République dans des conditions qui défient l'entendement.

    Monsieur Benalla est un serviteur de l'Etat et n'a jamais failli dans cet engagement. Il collabore pleinement avec l'institution judiciaire et appelle chacun à garder sa raison.

     

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    Benalla n'était pas un perdreau né de la dernière pluie...

    Source Le Monde :

    • Quel était le rôle exact de M. Benalla ?

    Selon plusieurs sources, l’ex-chargé de mission auprès du chef de cabinet de la présidence de la République, qui accompagnait régulièrement M. Macron sur ses déplacements (y compris après sa mise à pied de quinze jours, au vu de photos de presse), paraissait aussi régenter la sécurité à l’Elysée. Problème : c’est précisément la mission du groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), une structure du service de la protection (SDLP), dépendant de la police nationale. Le GSPR est dirigé par un colonel de gendarmerie.

    Selon des sources policières, syndicales et internes à Beauvau, une réorganisation de la sécurité de l’Elysée était dans les tuyaux pour la fin de 2018, avec la création d’une direction de la sécurité de la présidence de la République (DSPR) composée de trois entités. M. Benalla était pressenti pour occuper une place prépondérante dans ce dispositif directement piloté par la présidence.

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    L'Humanité

    L’affaire Benalla percute de plein fouet l’exécutif

    et l’Assemblée Nationale

    Lundi, 23 Juillet, 2018 Aurélien Soucheyre

    Le protégé de Macron a été présenté hier à un juge d’instruction, au terme de sa garde à vue. L’Assemblée nationale a interrompu l’examen de la réforme constitutionnelle. Sa commission d’enquête parlementaire doit auditionner aujourd’hui Gérard Collomb.

    L'Humanité >>>>>

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    Médiapart

    Affaire Benalla: le pouvoir K.O. debout

    22 juillet 2018 Par Pauline Graulle et Manuel Jardinaud

    Avec l’affaire Benalla, la stratégie de « l’homme seul » qui avait porté Emmanuel Macron au pouvoir se retourne aujourd’hui contre lui. Sa majorité est dépassée. Les oppositions politiques tiennent leur revanche sur le président-monarque. 

    Mediapart Abonnés >>>>>

     

    Informé dès le 2 mai,

    Gérard Collomb a couvert les agissements d'Alexandre Benalla

    22 juillet 2018 Par Karl Laske et Antton Rouget

    Entendu lundi par la commission d’enquête sur l’affaire, le ministre de l’intérieur devra dire ce qu’il sait des missions confiées à Alexandre Benalla par Emmanuel Macron. Selon nos informations, Gérard Collomb a rencontré le conseiller présidentiel le soir même du 1er mai à la préfecture de police de Paris. Officiellement informé dès le 2 mai des violences de la Contrescarpe, il n’a pas averti la justice.

    Mediapart Abonnés >>>>>

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     Presse

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    Direct France TV Info Lundi 23 juillet 2018 :

    Collomb devant la commission d'enquête >>>>>

     

    Fil articles d'actualités France TV Info sur l'affaire Benalla >>>>>

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    France TV Info

    Le Direct France TV Info Lundi 23 juillet 2018

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    Collomb devant la Commission d'Enquête

    "Je n'ai jamais évoqué la situation de monsieur Benalla avec le président de la République", assure Gérard Collomb aux députés

    Le ministre de l'Intérieur est auditionné par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, lundi matin, sur les violences commises par Alexandre Benalla lors d'un rassemblement du 1er-Mai, et sur les sanctions décidées par l'exécutif à son encontre.

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    Affaire Benalla : ce qu'il faut retenir de l'audition de Gérard Collomb devant l'Assemblée nationale

    Le ministre de l'Intérieur a confirmé avoir eu connaissance des images impliquant l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron dès le 2 mai. Mais a tenu à minimiser sa responsabilité.

    France TV Info >>>>>

     

    Affaire Benalla : ce qu'il faut retenir de l'audition du préfet de police de Paris à l'Assemblée nationale

    Michel Delpuech a assuré qu'il n'avait pas autorisé Alexandre Benalla à être présent aux côtés des forces de l'ordre lors des manifestations du 1er-Mai.

    France TV Info >>>>>

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    En Résumé...

    L'article à lire pour comprendre l'affaire Alexandre Benalla

    L'ancien "monsieur sécurité" d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a été identifié par "Le Monde" en train de commettre des violences contre des manifestants, le 1er mai 2018. Depuis, l'opposition dénonce un "scandale d'Etat", accentué par le silence du président de la République. 

    France TV Info >>>>>

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    France TV Info >>>>>

    Affaire Benalla : Alexandre Benalla et les quatre autres suspects mis en examen et placés sous contrôle judiciaire

    Les cinq personnes impliquées dans l'affaire Benalla ont été mises en examen, dimanche 22 juillet au soir.

    Il s'agit d'Alexandre Benalla, accusé d'avoir commis des violences lors des manifestations du 1er-Mai, de Vincent Crase (cet employé de La République en marche qui était à ses côtés pendant cette journée) et des trois policiers soupçonnés d'avoir transmis à Alexandre Benalla des images de vidéosurveillance de ces faits.

    Ces cinq suspects ont été placés sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet. 

    France TV Info >>>>>

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    L'article à lire pour comprendre l'affaire Alexandre Benalla

    L'ancien "monsieur sécurité" d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a été identifié par "Le Monde" en train de commettre des violences contre des manifestants, le 1er mai 2018. Depuis, l'opposition dénonce un "scandale d'Etat", accentué par le silence du président de la République. 

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    France TV Info >>>>>

    Affaire Benalla :

    quatre questions pour comprendre le rôle

    de la commission d'enquête de l'Assemblée

    qui va auditionner Gérard Collomb

    Les députés de l'opposition ont obtenu que la commission des lois de l'Assemblée nationale se transforme en commission d'enquête. Elle disposera d'un mois pour tenter d'éclaircir le rôle ambigu d'Alexandre Benalla lors des manifestations du 1er-Mai. 

    France TV Info >>>>>

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    Comment Emmanuel Macron s'organise pour gérer la crise autour de l'affaire Benalla

    Le chef de l'Etat n'a pas encore réagi publiquement à l'affaire qui secoue le palais de l'Elysée.

    France TV Info >>>>>

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    Affaire Benalla : l'Assemblée nationale reporte à la rentrée l'examen de la révision constitutionnelle

    L'affaire Benalla a plongé l'exécutif dans une crise politique inédite depuis l'élection d'Emmanuel Macron.

    France TV INfo >>>>>

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    Affaire Benalla : l'Ifop et "Le JDD" ont décalé la parution de la cote de popularité de Macron "compte tenu de l'actualité"

    Chaque mois, depuis le début de la Ve République, la cote de popularité du président et du Premier ministre est mesurée par l'institut de sondage.

    France TV Info >>>>>

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    Le Monde 

    Affaire Benalla : les six failles des réponses de Gérard Collomb

    Le ministre de l’intérieur n’a pas dissipé le brouillard sur plusieurs points de l’affaire qui restent obscurs.

    Le Monde >>>>>

    Affaire Benalla : les questions auxquelles devra répondre Gérard Collomb

    Le ministre de l’intérieur a eu connaissance des faits dès le 2 mai. L’opposition veut notamment comprendre pourquoi il n’a pas immédiatement prévenu la justice.

    Le Monde >>>>>

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    Ouest-france

    Affaire Benalla :

    Emmanuel Macron va devoir apprendre à se méfier de lui-même

    Ouest-France >>>>>

    Benalla avait accès à des informations de nature sensible

    Ouest-France >>>>>

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    Libération

    22 juillet 2018

    Vidéo : comment Benalla et Crase, au cœur du dispositif policier, lancent les deux interpellations

    Libération >>>>>

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    Le Figaro

    Affaire Benalla :

    Macron reconnaît «des dysfonctionnements à l'Élysée»

    Lors d'une réunion avec Édouard Philippe, Gérard Collomb, Benjamin Griveaux et Christophe Castaner, le chef de l'État a jugé que l'attitude de son ancien garde du corps était «choquante et inacceptable». Il a également annoncé qu'il allait charger le secrétaire général du Palais, Alexis Kohler, de formuler des propositions de réorganisation interne afin que ce type d'incident ne se reproduise plus.

    Le Figaro >>>>>

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     HuffingtonPost

    Alexandre Benalla s'occupait "des bagages" dans le bus des Bleus selon Castaner, l'opposition s'étrangle

    Ce proche de Macron, sanctionné pour ses violences lors de la fête du Travail n'avait aucune raison de se retrouver avec les champions du Monde, selon l'opposition.

    Le HuffPost >>>>>

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