• NPA, Lutte ouvrière, le PCF, «insoumis» : ce qui les différencie

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  • Danièle Obono, chiffon rouge de l'Assemblée

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  • NPA

    Le 10 octobre :

    public et privé en grève pour faire reculer Macron

    Si on pouvait encore en avoir, il n’y a plus de doute possible sur ce gouvernement. Pendant cinq ans il favorisera les seuls riches et le patronat. On l’a vu avec les ordonnances, qui cassent le droit du travail pour mettre les salariés à la merci du chantage patronal.

    Son projet de loi de finances en est une nouvelle preuve. Au programme : plus de 18 milliards de cadeaux fiscaux pour les entreprises et les plus riches avec la réforme de l’Impôt Sur la Fortune. Pour financer tous ces cadeaux, le gouvernement fait les poches des plus défavorisés en rabotant les APL, des retraitéEs en augmentant la CSG de 1,7% et des fonctionnaires en gelant leur point d’indice, en rétablissant la journée de carence mais aussi en baissant de 15 milliards d’euros les dépenses publiques, ce qui concrètement veut dire moins d’argent pour les besoins sociaux du plus grand nombre.

    Le 10 octobre : faire converger

    Le 10 octobre prochain, à l’appel des 9 organisations de la fonction publique, les fonctionnaires seront en grève mais d’ores et déjà cette journée sera plus large. En effet, les salariéEs de Pôle Emploi, de la RATP, les cheminotEs, les routiers appellent à rejoindre cette journée de grève pour en faire la prochaine journée interprofessionnelle contre la politique du gouvernement.

    C’est aussi le cas pour certaines fédérations de la CGT comme celle des industries chimiques ou comme certaines Union départementales comme les Bouches-du-Rhône. En effet, en affaiblissant les services publics, en cassant le statut de la fonction publique et en détruisant le code du travail, la logique du gouvernement est la même. C’est celle des suppressions d’emplois, de la précarisation généralisée, de la baisse des salaires pour toutes et tous.

    Faire reculer les cyniques

    Face aux résistances et aux mobilisations, Macron et ses portes-flingues choisissent l’arrogance et le mépris en nous traitant de « fainéants » et de « cyniques ». Mais aussi en rappelant à tue-tête qu’ils ont été élus pour appliquer ce programme, en oubliant qu’il n’y a eu jamais aussi peu d’électeurs pour une présidentielle. Ce gouvernement est incroyablement impopulaire, il a chuté vertigineusement dans les enquêtes d’opinion. Et à chaque fois que Macron, un de ses ministres ou députés ouvrent la bouche, ils provoquent la colère d’une nouvelle partie de la population.

    Mais le rejet populaire de ce gouvernement ne produit pas automatiquement un mouvement social puissant qui le fera reculer. Il est indispensable d’ancrer la mobilisation, la grève et, de faire converger les luttes de façon globale et unitaire. Certains en ont pris conscience pour le 10 octobre, d’autres sont à convaincre. C’est notre défi de ces prochaines semaines pour mettre un coup d’arrêt à ce gouvernement.

    La mobilisation en Catalogne le montre : quand un peuple refuse les diktats d’un gouvernement, quand les classes populaires se mobilisent massivement, il est possible de mettre un coup d’arrêt aux politiques libérales et d’imposer un monde où ce sont ceux qui produisent les richesses, ceux d’en bas, qui décident.


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  • ARAC

    ASSOCIATION RÉPUBLICAINE DES ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE,

    DES COMBATTANTS POUR L'AMITIÉ, LA SOLIDARITÉ, LA MÉMOIRE, L'ANTIFASCISME ET LA PAIX

     

     

    Espagne : Pourquoi l’Union européenne garde le silence ?

     

     

    Il est impossible de comprendre les événements en Catalogne si on ne fait pas un retour en arrière dans l’Histoire contemporaine de l’Espagne. Avec en toile de fond la dite « guerre civile » qui fut, faut-il le rappeler, un soulèvement militaire soutenu par Hitler et Mussolini contre un gouvernement légalement élu, abandonné par les « démocraties » de France et d’ailleurs. Ce gouvernement républicain présentait une tare indélébile : il s’attaquait aux intérêts des classes privilégiées et s’intéressait aux particularités régionales.

     

    Que veut-on imposer aujourd’hui, pourquoi veut-on étouffer la démocratie, l’expression populaire. Si ce n’est comme c’est le cas partout en Europe, faire le lit des ultras-riches au détriment de centaine de millions d’habitants de nos pays.

     

    Sauf à vouloir poursuivre coute que coute la politique européenne approuvée par la Commission Européenne et décidées par la chancelière allemande.

     

    D’ailleurs pas un mot sur cette violence de la part de la chancelière allemande, du président de la Commission européenne, ils gardent le silence car c’est l’Europe qui étouffe les souverainetés populaires, la souveraineté des nations, qui conduit à la situation sociale catastrophique dans de nombreux pays d’Europe.

     

    Les déclarations récentes du président de la Commission européenne de créer une armée européenne pour « entre autre » « assurer le maintien de l’ordre en Europe », n’est pas fait pour nous rassurer au regard de ce qui vient de se passer à Barcelone et en Catalogne.

     

    Plus que jamais la démocratie est nécessaire, elle passe par la souveraineté des peuples et si une Europe doit exister, elle sera le fruit du rassemblement d’états souverains, démocratiques et laïques.

     

    Jamais la violence ne peut être un instrument en politique si non à étouffer l’expression populaire, quand le but recherché par millions d’individus est d’arriver à une société plus juste.

     

    L’enjeu de ce qui se passe en Espagne, et plus particulièrement à Barcelone aujourd’hui, c’est la place et le rôle de la démocratie.

     

    Villejuif, le 2 octobre 2017 – 16 heures

    Le Secrétariat National de l’ARAC

     

     

    2 Place du Méridien- 94807 Villejuif cedex Tél. 01 42 11 11 11 -Fax. 01 42 11 11 10 arac.nationale@orange.fr

     


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  • Inquiétante escalade répressive du gouvernement espagnol

    Communiqué LDH  - 2 Octobre 2017

    Les événements qui se produisent en Catalogne concernent toute l’Europe, et la France en particulier. Si la Ligue des droits de l’Homme (LDH) n’a pas à prendre position pour ou contre l’indépendance de la Catalogne, elle entend rappeler des principes qui valent en tout état de cause.

    La revendication d’indépendance n’a pas à être criminalisée. Une réponse judiciaire et policière ne peut être une solution politique. Un peuple doit être consulté quand il en manifeste, de manière aussi évidente, la volonté. Réprimer cette aspiration et cette volonté au nom de la loi relève alors d’une application illégitime de celle-ci. Les intimidations et violences infligées aux participant-e-s à cette tentative de consultation populaire traduisent une conception de la démocratie par le gouvernement espagnol qui en ignore les fondements.

    La LDH condamne cette attitude qui ne peut conduire qu’à un durcissement du conflit. Elle assure de sa solidarité celles et ceux qui en sont les victimes.

    La LDH reste très attentive aux suites de cette situation explosive au cœur de l’Union européenne, d’autant plus à la veille de nouvelles manifestations de protestation.

     

    Paris, le 2 octobre 2017


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  • Front Social...


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  • Casserolades

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    Mobilisation étendue, mais pas massive,

    pour la « journée des casserolades » de La France insoumise

    Des rassemblements ont eu lieu dans toute la France, mais sans dépasser les dizaines de participants dans chaque ville.


    http://www.lemonde.fr/la-france-insoumise/article/2017/09/30/mobilisation-etendue-mais-pas-massive-pour-la-journee-des-casserolades-de-la-france-insoumise_5194175_5126047.html
     
    Brest
    La France Insoumise. Casserolade au menu, hier
    © Le Télégramme
     
    Quimper

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  • Appel du Front Social Finistère... 28 septembre 2017

    Appel

    du

    Front Social Finistère...

     

    Châteaulin, le 28 septembre 2017

    Appel

    à toutes les organisations syndicales, 

    les associations, collectifs, partis politiques,

    les organisations de la jeunesse,

    les salariés syndiqués ou non,

    les chômeurs, précaires, retraités, individus 

    qui s’opposent à la politique anti sociale du gouvernement.


    Le Front Social Finistérien se saisit de la lettre publique de l'Union syndicale Solidaires adressée le 27 septembre 2017 à l'ensemble des composantes du mouvement social appelant à la convergence de lutte, et s'en félicite. 

     

    Nous aussi, Front Social Finistérien  pensons que « des journées d’action espacées dans le temps ne suffiront pas », que « nous avons besoin d’appels communs. »

     

    Oui nous devons donc également « très rapidement tenter de faire converger et d’élargir toutes les luttes, afin de créer les bases d’un mouvement interprofessionnel reconductible qui rassemble les salarié-e-s du public et du privé, les chômeurs/ses, les retraité-e-s, les jeunes. »

     

     

    Et nous pensons aussi, « qu’il nous faut installer un « front unitaire » des forces syndicales, associatives et politiques, pour s’opposer à la politique anti sociale menée par la classe dominante. »

     

     

    Le 10 octobre doit être un point d'ancrage à cette convergence.

     

     

    L'Union Syndicale Solidaires propose dans ce sens de rencontrer les composantes du mouvement social le 4 novembre à la Bourse du Travail à Paris. 

     

     

    De son côté, le Front Social Finistérien pense qu'il faut qu'il y ait une correspondance locale et départementale à cette initiative.

     

    S'unir pour ne plus subir !

     

     

    Dans l’attente de vos réponses,

    Le Front Social Finistérien

     

     

    frontsocial29@protonmail.com



    Prochaine réunion :

    jeudi 5 octobre au Run ar Puns, Châteaulin à 19h

     


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  • Stop TAFTA - CETA

     

    Aux communes finistériennes

    s'étant prononcé

    contre le TAFTA et le CETA

    Le conseil municipal vient de décider de déléguer la gestion de la cantine scolaire à une association regroupant des agriculteurs locaux (bio), une entreprise d'insertion subventionnée par les conseils départemental et municipal, et un réseau de soutien à l'agriculture paysanne... Une multinationale de la restauration collective attaque la dite commune et obtient l'annulation du marché public sous menace de poursuites ...

    Le Président de la République décide d'appliquer sa promesse de campagne de "placer la France à la tête du combat contre les perturbateurs endocriniens" et se rend au Conseil Européen avec l'ambition d'interdire ces substances nocives. Comme le prévoit le CETA, il en réfère d'abord au forum de coopération Réglementaire (FCR) où siègent les experts et les lobbys industriels. Ces derniers déploient un intense travail d'argumentation et font peser sur la France la menace de poursuites devant un tribunal arbitral dans le cas où une loi restrictive serait votée...

    Madame, Monsieur le Maire,


    Ceci est désormais possible depuis le 21 septembre, depuis la mise en application provisoire du CETA, accord de libre-échange entre l'UE et le Canada.

    En effet, depuis cette date, l'UE et le Canada sot un seul gigantesque marché commun, libre et non faussé, sans droits de douane ou quasiment, et avec des normes qui devront être progressivement unifiées, sous l'emprise des multinationales.

     

    Désormais, celles-ci pourront participer à l'élaboration des lois et peser pour une révision des normes dans le cadre de nombreux organes de coopération.

    Lorsque leurs intérêts seront menacés par une réglementation nouvelle, elles pourront attaquer les Etats devant un tribunal arbitral (ICS) composé d'experts qu'elle rétribue souvent, par ailleurs, comme avocats d'affaires.

     


    La Commission Européenne a été contrainte d'accepter que les parlements nationaux votent le CETA, ce qui n'était pas acquis au départ.

    Désormais l'UE, en adoptant une nouvelle stratégie, en négociant à part les tribunaux arbitraux, pourra faire passer les futurs accords commerciaux (Japon, Chine, Inde, Mercosur, Australie, Nouvelle-Zélande, et quelques 25 autres accords) par le seul Parlement européen. 

    Autrement dit, le CETA est sans doute le dernier accord de libre-échange "nouvelle génération" pour lequel il y aura un vote des Etats.


    Le vote de ratification du CETA par nos assemblées, dont on ignore la date, devrait être l'occasion d'une clarification politique.

    Un referendum d'initiative partagée peut être convoqué si 185 parlementaires et 4,6 millions d'électeurs en font la demande.

    La barre est haute mais pas inatteignable.

    Si tous les parlementaires opposés à la totale libéralisation des biens communs, des services, des marchés publics, des marchés financiers... se donnent la main.

     


    Le CETA montre de manière éloquente que les Etats se sont laissés dessaisir de leur souveraineté et qu'un nouveau droit indépendant du droit de ces mêmes Etats et non soumis à un quelconque contrôle démocratique est en train de s'imposer partout dans le monde.

    Avec nos meilleures salutations,

    Pour les collectifs Stop Tafta-Ceta du Finistère
    Le collectif Quimper Cornouaille

     

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    Note : En PJ ci-dessous, vous trouverez :
    - L'interpellation de E. Macron par 52 organisations demandant la suspension de l'application provisoire du CETA
    - La tribune d'un collectif de maires parue dans Libération du 21/09
    - Le rapport daté du 7 septembre remis au Premier Ministre par la commission indépendante nommée par le gouvernement à la demande du Président de la République sur l'impact du CETA sur l'environnement, le climat et la santé.

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  • CETA TAFTA
    Accord de libre-échange. SOS agriculture paysanne
     
    Aurélie Trouvé, porte-parole d'Attac, interviendra, samedi, vers 16 h, lors de la première Fête de l'agriculture paysanne sur la plaine du Moulin-Vert, à Quimper. L'économiste parlera de l'accord de libre-échange Europe-Canada (Ceta), qui menace l'agriculture.


    © Le Télégramme

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