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C’est un événement à peine croyable qui a eu lieu aujourd’hui à Nantes. Une information à la fois drôle, pathétique, et effrayante. Mais bien réelle. Un énorme piège organisé par la police pour voler un homard en papier.Pour la grande manifestation de ce samedi 14 septembre à Nantes, les organisateurs annonçaient un défilé festif, dynamique, et populaire, dans un esprit de convergence des luttes. Tout l’inverse du discours anxiogène des autorités. Ainsi, pendant plusieurs semaines, un « homard » en papier mâché, à la façon des chars de carnaval, était préparé patiemment. La figure en carton de deux mètres d’envergure devait s’installer en tête du défilé, comme un pied de nez à François De Rugy et aux puissants.
Page facebook Nantes révoltée >>>>>
Dans un discours à la Fête de « L’Humanité », qui se tient jusqu’à dimanche à La Courneuve, Fabien Roussel, le secrétaire national du PCF, a « tendu la main » à ses partenaires de gauche.
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L’appel lancé vendredi par plusieurs syndicats de la RATP en défense de leur régime spécial de retraite a été l’un des plus suivi depuis douze ans. Face à la paralysie de la quasi-totalité du réseau, la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse réclame un service minimum aux heures de pointe ainsi que le rallongement des délais de dépôt des préavis.
Trente-cinq personnes ont été, selon la police, interpellées à Nantes, ville choisie pour le rassemblement national samedi.
À Nantes (Loire-Atlantique), plusieurs rassemblements prévus samedi 14 septembre inquiètent les autorités. Un important dispositif de sécurité a été mis en place.
[#Acte44] contrôles préventifs sur réquisition du Procureur dès ce matin dans le centre-ville de #Nantes. Découverte et saisie de 22 cocktails Molotov en préparation dans 1 container poubelle rue Copernic à proximité de la place Delorme.#tousmobilisés #pourvotresécurité
Plus de 250 services d'urgences sont toujours en grève, malgré les annonces du gouvernement.
Une grève de grande ampleur perturbe fortement le trafic des transports franciliens, vendredi 13 septembre.
La sixième vague de notre baromètre annuel Ifop « Être de gauche aujourd’hui » révèle une percée spectaculaire des préoccupations écologiques. Un électorat pour qui le clivage gauche-droite a encore du sens.
Des emplois fictifs supposés du MoDem au train de vie fastueux de François de Rugy, passage en revue des dossiers qui mettent à mal la « moralisation de la vie politique » voulue par l’exécutif.
Après la mise en examen du président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, pour "prise illégale d'intérêts" dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne, les réactions fusent, certaines tranchées, d'autres plus embarrassées.
Huit activistes et un vidéaste étaient jugés, mercredi, après le vol de plusieurs portraits officiels du président de la République à Paris, en février.
C'est aujourd'hui que se tient le procès de huit activistes et un vidéaste poursuivis pour une à trois (selon les personnes) actions de décrochage de portraits d'Emmanuel Macron dans des mairies d'arrondissement.
"On est plus angoissés par l'avenir que par nos casiers judiciaires", nous a expliqué une de ces militantes, qui expose les motifs de son action.
Le mouvement écologiste Action non-violente COP21 revendique au total la "réquisition" de 128 portraits officiels du chef de l'Etat.
Une partie avait été exhibée lors d'une "marche des portraits" en marge du G7 de Biarritz, fin août, pour dénoncer "l'inaction climatique" du gouvernement.
Les neuf personnes jugées aujourd'hui pour "vol en réunion" encourent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.
Deux affaires similaires ont déjà été jugées : certains "décrocheurs" ont été relaxés, d'autres condamnés à des amendes, dont une seule amende ferme, de 250 euros.
Le procès de ces "décrocheurs", prévu ce matin, pourrait ne débuter que vers 13 heures, indiquent finalement les avocats de la défense.
Un rassemblement était organisé devant le Palais de justice de Paris tout à l'heure, réunissant des personnalités : le député LFI Eric Coquerel, la directrice générale d'Oxfam Cécile Duflot ou encore Priscillia Ludosky, figure des "gilets jaunes".
Neuf personnes comparaissent mercredi devant le tribunal de grande instance de Paris pour "vol en réunion". Ces militants risquent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.
Ils ont été placés en garde à vue, puis libérés mardi matin.
Christophe Prudhomme, porte-parole de l'association des médecins urgentistes de France, dénonce des mesures qui sont pour la plupart des "gadgets".
Première mesure présentée lundi par la ministre de la Santé : la création d'un "service d'accès aux soins" permettant d'orienter les patients 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Agnès Buzyn a dévoilé ce lundi un plan d'action visant à faire taire la contestation dans les urgences, mouvement qui s'étend depuis plusieurs mois. Aucune embauche, des financements insuffisants : les annonces sont loin d'être à la hauteur de l'urgence.
La ministre de la santé dévoile de nouvelles mesures, parmi lesquelles la mise en place d’un « service d’accès aux soins » 24 heures sur 24, pour tenter de résoudre la crise dans les services d’urgences hospitalières.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, devrait faire des annonces afin de mettre fin à la crise des urgences, lundi 9 septembre.
La ministre de la santé, Agnès Buzyn, présente lundi des mesures qui doivent permettre de « régler le problème des urgences sur le long terme ».
Les décès imputables aux vagues de chaleur ont été dix fois moindres qu’en 2003, a précisé la ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn.
Suite à des déclarations de Lilian Thuram sur le racisme dans le football, une avalanche de commentaires s’est déclenchée ressortant tout l’arsenal du « racisme anti-Blancs » qui sert à mieux occulter le racisme réel.
GLYPHOSATE
Le président PCF du Val-de-Marne, Christian Favier, annonce avoir pris un arrêté pour bannir l'usage de produits phytopharmaceutiques contenant du glyphosate. Cet arrêté est toutefois "symbolique", précise à l'AFP son entourage, car le texte sera "très certainement retoqué par la justice administrative".
Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les attaques verbales, juridiques et judiciaires à l’égard des journalistes se sont multipliées. Ces intimidations vont de pair avec une volonté de renforcer l’opacité des grands groupes, que préserve avec soin le « nouveau monde ».
L'enquête Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et "Le Figaro" révèle par ailleurs que le Premier ministre jouit d'une meilleure côte de popularité qu'Emmanuel Macron.
Le secrétaire national du PCF invite les forces de gauche à montrer, dès maintenant, ce qu’elles seraient « capables de mettre en œuvre demain si (elles étaient) au gouvernement ensemble ». À commencer par une réforme des retraites alternative.
Près de 10 mois après le début du mouvement, et après un été qui a vu le maintien d'un noyau dur de manifestants, les Gilets jaunes ont fait leur rentrée ce 7 septembre .
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* source 14 septembre 2019
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et fausses nouvelles...
Des articles alarmistes ont affirmé ces derniers jours qu’il existe des millions de cartes Vitale frauduleuses, qui coûteraient des milliards à la Sécurité sociale. C’est très exagéré.
Les repreneurs potentiels ont jusqu'à lundi midi pour faire parvenir leurs offres.
Le leadeur de La France insoumise, poursuivi pour rébellion lors d’une perquisition, réitère, dans « le JDD », son accusation d’« exécution politique ».
"Et ainsi de suite" sera publié le 19 septembre, le jour où le leader de La France insoumise doit comparaître pour les incidents ayant émaillé la perquisition du siège de son parti en 2018.
Suite aux perquisitions d’octobre 2018, six membres de la France insoumise sont attendus les 19 et 20 septembre à Bobigny pour répondre d’« actes d’intimidation contre l’autorité judiciaire », de « rébellion et provocation ». Dans la foulée de la tribune du député de Marseille contre le « lawfare », les insoumis multiplient les interventions pour dénoncer un « procès politique ».
Le gouvernement lance lundi une concertation publique qui doit permettre de fixer, dans la loi, une distance minimale entre les habitations et les champs traités.
L'élu évoque une "simple erreur d'inattention sur quelques doublons".
Selon Mediapart, entre 2016 et 2017, une trentaine de repas lui ont été remboursés à la fois par sa mairie et par la société d'économie mixte qu'il présidait.
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