• [Combattre l'antisémitisme sans alimenter les divisions]

    [Combattre l'antisémitisme

    sans alimenter les divisions]

     

     

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    Communiqué de Ensemble!

    24 avril 2018

    Combattre l'antisémitisme

    sans alimenter les divisions.

     
     

    Ces derniers mois ont amené de nouveaux actes antisémites, amenant la mort de personnes parce qu’elles étaient juives.

    Depuis 2006, onze assassinats ont été provoqués par la haine antijuive.

    Une haine qui ne se limite pas à la France, mais touche de nombreux pays européens, dans l’indifférence des gouvernants.

    Cette situation est intolérable et une mobilisation s’impose.

     


    C’est ce but que prétend poursuivre l’appel de 300 personnalités publié ce dimanche 22 avril.

    Mais les réponses proposées vont à l’encontre du but poursuivi.

    L’appel cible l’Islam et les musulmans, sommés de s’exprimer sur la question, alors que certain.e.s des signataires ont diffusé ces dernières années une propagande hostile aux musulmans et en général aux immigrés.

    Cela alimente un discours islamophobe qui est inadmissible.

    D’autre part, le texte s’attaque sans aucun argument à la gauche radicale, accusée de propager l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme parce qu’elle défend les droits du peuple palestinien.

    Enfin, rien n’est dit sur les responsabilités de l’extrême droite, flagrante dans nombre  de pays européens.

     


    « Ensemble »! considère que cet appel ne peut que semer la division au lieu du nécessaire rassemblement contre l’antisémitisme qui prend aujourd’hui de multiples formes :

    antisémitisme traditionnel de l’extrême droite,

    banalisation de la Shoah,

    « complotisme » attribuant aux juifs une influence médiatique et politique,

    vision déformée du conflit Israélo-Palestinien,

    antisémitisme meurtrier des groupes djihadistes comme Al Qaïda ou Daesh…

     


    La gauche se doit d’être enfin au premier rang dans ce combat pour la défense des Juifs/ves menacé.e.s.


    « Ensemble! » appelle au rassemblement des forces de progrès pour agir contre l'antisémitisme, pour agir contre tous les racismes. 


    Le 24 avril 2018.

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    29 avril 2018

    Combattre le racisme, l'antisémitisme....

    et l'islamophobie

    • 28 avr. 2018
    Dans un texte collectif lancé par Alain et Philippe Cyroulnik, plus de deux cents personnalités et militant.e.s appellent à combattre « toutes les formes de racisme quelles qu'elles soient ». Elles affirment que le Manifeste contre le nouvel antisémitisme, « par les amalgames qu'il fait, attise et renforce ce qu'il prétend dénoncer ».
     

    Combattre le racisme, l'antisémitisme.... et l'islamophobie !

    Alors que se développent dans toute l’Europe des propos, actes et agressions racistes, xénophobes et antisémites :

    Nous dénonçons, combattons l’antisémitisme, et tout acte criminel ou agression à ce titre, comme nous le ferions pour toutes les formes de racisme quelles qu’elles soient.

    Nous savons que se taire aujourd’hui, banaliser ces discours et ces agressions ouvre la porte demain aux pires drames que l'histoire récente ou plus ancienne a fait connaître: qu'il s'agisse du génocide des juifs et des Roms perpétré par le nazisme, de celui des Tutsis, du génocide arménien, de l’épuration ethnique en Bosnie ou du génocide actuel des Rohingyas.

    Par les amalgames qu'il fait, le Manifeste contre le nouvel antisémitisme attise et renforce ce qu'il prétend dénoncer.

    Le délinquant voleur et meurtrier, nourri des poncifs antisémites sur la richesse supposée de toute personne juive, n'est pas le bras de Daesh ni le compagnon d'arme de Mohamed Mehra, Amedi Coulibaly ou Salah Abdeslam.

    Les violences antisémites actuelles, aussi insupportables qu'elles soient, sont loin d'être comparables à un pogrom et encore moins à une épuration ethnique !

    Assimiler la gauche antisioniste, qui a toujours été au premier rang du combat contre tous les racismes, à une nouvelle forme de l'antisémitisme relève d'une diversion mensongère et scandaleuse.

    Assimiler ceux qui dénoncent la colonisation israélienne et son gouvernement d’extrême droite à des complices de l'antisémitisme est un amalgame inacceptable.

    Au moment où les agressions contre les Français d'origine maghrébine, africaine et contre les Roms se développent, au moment où dans le débat politique générale, les propos stigmatisants contre les migrants et les exilés se multiplient, au moment où se libère une parole raciste, xénophobe et islamophobe décomplexée :

    Nous refusons la notion de responsabilité collective, que cela concerne un peuple ou une communauté religieuse.

    Nous refusons l'amalgame entre les actes criminels odieux ou à caractère délirant de certains et les projets ouvertement racistes et antisémites d'exécutions ou de massacres ourdis par d'autres.

    Nous rappelons que les premières victimes de Daesh et de ses sbires sont d'abord les populations des pays arabes ou africains et des musulmans.

    Nous dénonçons un texte qui assimile tout musulman à un intégriste en puissance, le désigne à la vindicte populaire et exige allégeance culturelle et repentance religieuse.

    Les exactions atroces commises au nom des intégrismes de tout genre, des dictatures de toutes espèces ont en commun cette capacité à rivaliser dans l’horreur, la mise en scène de la terreur et le refus radical de notre commune humanité.

    Les politiques laminant la vie de millions de personnes et la démission des forces qui devraient défendre les droits sociaux des peuples nourrissent le terreau d'une désespérance. Elles favorisent les régressions identitaires et les passions funestes du terrorisme.

    Nous affirmons qu'il faut relever ce défi mortifère et se mobiliser pour arrêter cet engrenage fatal.

    Nous affirmons notre solidarité avec toutes les victimes de ces exactions et notre exigence de ne pas refaire ce qui fut fait en d'autres temps : accueillons et défendons toutes celles et ceux qui les subissent.

    Liste des Signataires

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    Au sujet du

    Manifeste «contre le nouvel antisémitisme»

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    À propos du Manifeste «contre le nouvel antisémitisme»

    Contre l’antisémitisme, avec détermination et sang froid

    Dominique Vidal.

    Historien et journaliste, spécialiste des relations internationales et notamment du Proche-Orient, collaborateur du "Monde diplomatique"

    Je partage avec les signataires du Manifeste des 300 une seule conviction : la lutte contre l’antisémitisme constitue un impératif moral et politique majeur, dans une société encore rongée par toutes les formes de racisme. Il en va de l’avenir de la démocratie et donc de la République. Mais je ne suis d’accord, ni avec leur analyse du phénomène, ni avec leur démarche pour le combattre.

    Et pour cause : ils ignorent complètement les indications que nous donne, depuis des années, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), avec laquelle, je le rappelle, les institutions et organismes communautaires juifs collaborent pourtant étroitement. Le « Rapport sur la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie », que la Commission publie chaque année, met à la fois à notre disposition un état de l’opinion et une évaluation des violences perpétrées.

    Quelles leçons se dégagent du travail des sondeurs, des sociologues et du ministère de l’Intérieur ?

    1) Que l’idéologie antisémite n’a cessé de reculer parmi nos concitoyens depuis la Seconde Guerre mondiale, au point d’y devenir marginale : 89 % d’entre eux considèrent les Juifs comme « des Français comme les autres », soit une proportion supérieure de 8 points à celle observée pour les musulmans et de 30 points comparée à celle des Roms ;

    2) Qu’en revanche, les préjugés antisémites, bien qu’en diminution, restent influents, si bien que 35 % des Français pensent encore que « les Juifs ont un rapport particulier à l’argent », 40 % que, « pour les Juifs français, Israël compte plus que la France » ou 22 % que « les Juifs ont trop de pouvoir » ;

    3) Que les violences anti-juives, après un pic au début du siècle, ont connu depuis une décrue progressive, confirmée en 2017. Les violences antimusulmans, elles, ont culminé en 2015, alimentées par l’horreur des attentats terroristes, mais reflué elles aussi depuis. Rapportés au nombre de personnes concernées, les chiffres montrent que les Juifs constituent la principale cible des actes racistes, par ailleurs moins nombreux mais plus violents ;

    4) Que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, des Juifs ont été assassinés, en tant que tels – indépendamment des attentats terroristes comme ceux de la synagogue de la rue Copernic ou de la rue des Rosiers. Si, certains de ces meurtres sont indiscutablement antisémites, comme ceux de Mohamed Merah ou d’Amedi Coulibaly, d’autres imbriquent haine des Juifs, motivations crapuleuses, voire signes de maladie mentale ;

    5) Que cet antisémitisme – idéologie, préjugés, violences – est le fait de groupes divers. S’il reste caractéristique de l’extrême droite, y compris du Front national dont la « dédiabolisation » n’a pas éradiqué le vieux racisme anti-juif et le négationnisme, cet antisémitisme s’est aussi développé parmi les enfants de l’immigration. Mais une sociologue comme Nonna Mayer met en garde contre le concept de « nouvel antisémitisme », inspiré des thèses de Pierre-André Taguieff qui, écrit-elle, « voit un antisémitisme masqué derrière la critique d’Israël et du sionisme, au nom de l’antiracisme et des droits de l’homme, et porté tant par l’islamisme radical que par les idéologies tiers-mondistes d’extrême gauche ».

    Ces analyses, on en conviendra, tranchent avec le simplisme et l’alarmisme du Manifeste de Philippe Val. Tout ce qui est excessif ne compte pas, disait Talleyrand : comment peut-on parler, à propos des Juifs français, de « terreur » ou d’« épuration ethnique » ? Mais surtout les pistes que suggèrent les signataires sont de fausses pistes, le plus souvent dangereuses :

    1) Faire du seul islam radical la cause de la violence antijuive, c’est ignorer une partie importante du phénomène. D’abord parce que, je l’ai rappelé, l’antisémitisme de l’extrême droite reste vivace et souvent violent. Ensuite parce que, même parmi les jeunes de banlieue, la violence – comme d’ailleurs le djihadisme – n’a pas qu’une dimension idéologique ou religieuse : elle s’enracine aussi, n’en déplaise aux signataires, dans la désespérance sociale, elle-même produite par les discriminations économiques, sociales et ethniques qui les frappent dans notre société. Autrement dit, la vigilance et la répression nécessaires doivent aller de pair avec des efforts d’intégration considérables. Pour que la République se réconcilie avec sa jeunesse, y compris immigrée ;

    2) Dénoncer « l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société » (sic), c’est tout simplement infâme. Mais d’où sort ce fantasme d’une extrême gauche antisémite ? De qui parle-t-on ? Des communistes ? Des insoumis ? Des écologistes ? Des trotskistes ? Des chrétiens de gauche ? Aucun de ces partis, groupes ou mouvements n’a jamais flirté, de près ou de loin, avec la haine des Juifs ! Au contraire, c’est de ce côté-là que les Juifs ont trouvé, à l’heure du plus grand péril, leurs défenseurs les plus héroïques. Faut-il rappeler qu’en France, contrairement à la plupart des autres pays occupés, la solidarité populaire, des communistes aux gaullistes en passant par les chrétiens, a permis à près de quatre cinquièmes des Juifs d’échapper au génocide ?

    3) Infâme, cette affirmation relève aussi de l’analphabétisme historique. L’antisémitisme est un délit, poursuivi à juste titre, comme toutes les formes de racisme, par les lois, anciennes et récentes, de la République. L’antisionisme, lui, est une opinion, selon laquelle Theodor Herzl a eu tort de considérer les Juifs comme inassimilables et de prôner en conséquence leur rassemblement dans un État qui leur soit propre. L’immense majorité des Juifs, jusqu’en 1939, s’est opposée au projet sioniste : à cette date, la communauté juive de Palestine ne représente que 2,5 % de la population juive mondiale. Après le génocide nazi, des centaines de milliers de survivants, qui n’avaient pas où aller, faute de visas américains, ont choisi de rebâtir leur vie en Israël. Il en ira de même pour les Juifs des pays arabes, puis pour les Juifs soviétiques, venus par nécessité plus que par choix sioniste. Et, malgré ces vagues d’immigration, la majorité des Juifs vivent ailleurs qu’en Israël, et ils s’intègrent si bien en Amérique et en Europe que la majorité d’entre eux y concluent des mariages « mixtes ». En quoi ces rappels historiques relèveraient-ils de l’antisémitisme ?

    4) Avec la conclusion du Manifeste, on sombre dans l’absurdité pure et simple. Les signataires demandent que « les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés d’obsolescence par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémitisme catholique aboli par Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime ». J’avoue avoir du mal à imaginer que tant de personnalités ignorent un fait simple : si l’Église catholique a pu, non réécrire la Bible, mais renoncer dans son discours à la dénonciation des Juifs comme un « peuple déicide », responsable de siècles de massacres en Europe, c’est qu’elle s’organise autour d’une structure hiérarchique, avec un clergé, un pape et des conciles. Tel n’est pas le cas de l’islam, qui ne dispose pas d’« autorités théologiques » à même de modifier des versets du Coran. Il en va d’ailleurs de même du judaïsme, où personne n’est en droit de censurer les commentaires du Talmud contre les goyim et encore moins les nombreux appels au génocide que contient l’Ancien Testament – et que pourtant des dirigeants, religieux et politiques, invoquent pour justifier le sort fait aux Palestiniens.

    5) Voilà, pour conclure, le grand absent du « Manifeste » : le conflit israélo-palestinien. Cette lâcheté, sans doute nécessaire pour bricoler un groupe aussi hétéroclite, est absurde. Qui osera le nier ? Les massacres de ces dernières semaines contre les manifestations de Gaza, justifiés par une partie des signataires, provoquent par exemple plus d’antisémitisme que tous les versets dénoncés du Coran. De quand date la dernière explosion de violences contre les Juifs dans notre pays, sinon de la Seconde Intifada et de sa répression brutale ? Et la droite et l’extrême droite israéliennes nous annoncent bien pire, avec l’annexion annoncée de la Cisjordanie, l’enterrement de la solution des deux États et la perspective d’un seul État où les Palestiniens annexés avec leur terre n’auraient pas le droit de vote… La paix au Proche-Orient ne fera pas disparaître miraculeusement l’antisémitisme, mais elle y contribuera décisivement : raison de plus pour s’engager sur ce chemin.

    6) Un dernier mot : hiérarchiser les racismes, c’est tomber dans le racisme. Et hiérarchiser le combat contre le racisme, c’est le saboter. Cette lutte indispensable, nous la remporterons ensemble ou jamais. Avec détermination et sang froid.

    Dominique Vidal.

     

    source : blog médiapart >>>>>

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    Mots piégés dans le clair-obscur

    Mardi, 24 Avril, 2018

    L'éditorial de Maud Vergnol. Les mots aussi font des ravages.

     

    Racisme. « Nouvel antisémitisme » : un manifeste qui divise

    Olivier Chartrain
    Mardi, 24 Avril, 2018

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    L'extrême-gauche est un antiracisme

    Médiapart Blog >>>>>

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    Un anti sémitisme qui n'a rien de nouveau

    Je publie ici un texte du groupe "juives et juifs révolutionnaires" à propos du Manifeste des 300 :

    Manifeste des 300" : la lutte contre l’antisémitisme n’est pas soluble dans l’islamophobie

    Un antisémitisme qui n’a rien de nouveau

    Sur le site national d'Ensemble ! >>>>>

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    Le «manifeste contre le nouvel antisémitisme», une logique dévastatrice

    Journaliste, écrivain. Spécialiste de la vie politique et de la société française. Actuellement en charge de la revue de presse dans la matinale de France Inter et chroniqueur dans l'émission 28 minutes sur Arte, Claude Askolovitch a notamment travaillé au Nouvel Observateur, au Point, à Europe 1, au JDD, à Marianne.

    Il fait de la lutte pour les juifs une composante du combat identitaire français, et cette identité exclut. Elle s'énonce dans un syllogisme. La France, sans les juifs, ne serait pas elle-même? Les juifs sont les victimes de musulmans? La France, par ces musulmans, ne sera plus la France...

    Slate >>>>>

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    « Manifeste » du Parisien :

    le racisme n’a rien à faire dans la lutte contre l’antisémitisme

    NPA >>>>>

     

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    Manifeste «contre le nouvel antisémitisme»

    Le Parisien >>>>>

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    A propos de Philippe Val,  auteur du "Manifeste"

    Philippe VAL né le 14 septembre 1952 à Neuilly-sur-Seine, est un journaliste, chroniqueur, humoriste, écrivain, auteur-compositeur-interprète et chansonnier français.

    Il a été à la tête du journal Charlie Hebdo durant dix-sept ans, en tant que rédacteur en chef (1992-2004) puis comme directeur de publication (2004-2009) et a dirigé ensuite France Inter de 2009 à 2014.

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    Plus de 250 personnalités signent un virulent manifeste "contre le nouvel antisémitisme" en France

    Les nombreux signataires dénoncent dans ce texte publié par "Le Parisien" l'antisémitisme lié à "la radicalisation islamiste" et demandent que la lutte contre cette discrimination "devienne cause nationale".

    France TV Info >>>>>

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    Manifeste contre l'antisémitisme : "Il ne s'agit pas de critiquer l'ensemble des musulmans", pour le signataire Luc Ferry

    Luc Ferry, ex-ministre de l'Éducation national, a expliqué, dimanche sur franceinfo, avoir signé le manifeste "contre le nouvel antisémitisme", signé par plus de 250 personnalités, pour que les "autorités prennent conscience" de la situation.

    France TV Info >>>>>

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    Antisémitisme : plus de 300 personnalités dénoncent « une épuration ethnique »

    Les signataires de ce « manifeste contre le nouvel antisémitisme » en France, publié dimanche 22 avril dans « Le Parisien », évoquent notamment un « silence médiatique ».

    Le Monde >>>>>
     

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     «Contre le nouvel antisémitisme» : des centaines de personnalités signent une tribune

    Le Figaro >>>>>

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    Plus de 300 personnalités signent un « manifeste contre le nouvel antisémitisme »

    Ouest-France >>>>>

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     250 personnalités signent une tribune contre "le nouvel antisémitisme" islamiste

    Des hommes politiques, artistes, intellectuels et responsables religieux appellent dans le Parisien à faire de la lutte contre l'antisémitisme une grande cause nationale.

    Atlantico >>>>>

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    Des personnalités signent un virulent manifeste «contre le nouvel antisémitisme» en France

    AFP - Libération >>>>>

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     Les musulmans divisés sur le «nouvel antisémitisme»

    Le Figaro >>>>>

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    Manifeste contre l’antisémitisme. « Procès délirant » fait aux musulmans
     

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    Tribune contre « l’antisémitisme musulman » : Dalil Boubakeur dénonce un « procès injuste et délirant »

    Le recteur de la grande mosquée de Paris a réagi, lundi, au texte publié dimanche dans « Le Parisien ».

    Le Monde >>>>>

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    Manifeste contre l'antisémitisme : le grand rabbin de France était "réticent" à une "compétition des risques" entre juifs et musulmans

    Haïm Korsia, grand rabbin de France, a signé le texte, même si "tel ou tel ou mot" ne convenait pas a-t-il expliqué lundi sur franceinfo.

    France TV Info >>>>>

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     "Attribuer l'antisémitisme à l'islam est presque un blasphème", réagit le recteur de la grande mosquée de Bordeaux

    Le manifeste contre le "nouvel l'antisémitisme" alimenté par la "radicalisation islamiste" est une "erreur intellectuelle monumentale", a dénoncé lundi sur franceinfo Tareq Oubrou, le recteur de la grande mosquée de Bordeaux (Gironde).

    France TV Info >>>>>

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    L’appel des 300 « contre le nouvel antisémitisme » « ridiculise la cause qu’il prétend défendre »

    Pour l’universitaire Farid Laroussi, qui s’exprime dans une tribune au « Monde », que des citoyens soient assassinés pour leur identité ethnique ou religieuse est révoltant. Mais en rejeter le crime sur toute une communauté, et par extension sur une religion, relève de l’idéologie.

    Le Monde >>>>>

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