• Complotisme du Monde ???

    Le lourd coût humain

    d’un troisième confinement tardif en France

    Plus de 14 000 décès, près de 112 000 hospitalisations, dont 28 000 en réanimation, et environ 160 000 cas de Covid-19 long supplémentaires, selon les calculs du « Monde » : en retardant à début avril les mesures réclamées fin janvier par les scientifiques, le gouvernement a alourdi le bilan de la pandémie en France.

    Le Monde Abonnés >>>>> 18 juin 2021


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  • Crise à Europe 1 :

    censurée pour une blague sur Zemmour,

    Christine Berrou claque la porte : "C'est gravissime !"

    L’humoriste a annoncé vendredi 18 juin sa démission d’Europe 1.

    Sa hiérarchie lui demandait de retirer une blague sur Eric Zemmour, dans une chronique prévue à l’antenne ce dimanche.

    Elle se confie dans un entretien… où l’on apprend qu’un journaliste aurait récemment été convoqué pour une pique sur le même Eric Zemmour.

    Télérama >>>>>


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  • Manif contre les licenciements
    et l’abjecte contre-réforme de l’assurance chômage.
     
    Belle image de convergence devant le medef
    où les #GiletsJaunes qui ont répondu à l’#AppelDesTUI 
    rejoignent la manif contre les licenciements
    et l’abjecte contre-réforme de l’assurance chômage.
     
    Et gare à la revanche,
    quand tous les pauvres s’y mettront
     

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  • L'Office national des forêts

    va supprimer près de 500 postes en cinq ans

    Cette annonce vient confirmer des craintes exprimées début février par l'intersyndicale de l'ONF.

    France Info >>>>>


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  • Des épiciers de Tarnac à l’institutrice de Gentioux...

    13 ans après, le retour de « l’ultra-gauche limousine » (soupir)

     
    le 17 juin 2021
     

    Ce mardi 15 juin dès l’aube, un cortège de gardes mobiles, de gendarmes et d’encagoulés de la milice antiterroriste de l’ouest-parisien ont investi un petit hameau de la commune de Gentioux, en Creuse, sur le plateau de Millevaches .

    Cette petite bourgade de 350 âmes jusqu’ici surtout connue pour son monument aux morts anti-militariste, s’est réveillée brutalement avec l’annonce de l’arrestation musclée de l’institutrice de l’école communale, à trois semaines à peine de son départ à la retraite.

    Lundi matin >>>>>


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  • Privatisation...

    Élections régionales et départementales 2021 :

    couacs en série dans la distribution des plis électoraux

    France Info >>>>>


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  • Un article malheureusement peu clair dans sa conclusion...

    CAF.

    Qui sont ces nouveaux « super contrôleurs »

    chargés de lutter contre le fraude massive ?

    Les dirigeants de la caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) l'ont annoncé jeudi 17 juin : les CAF vont se doter de contrôleurs spécialisés dans la traque des fraudes à grande échelle. Explications.

    Ouest-France >>>>>


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  • Économie sociale et solidaire.

    « Les coopératives forment un contre-modèle »

     

    Vendredi 18 Juin 2021
     

    À l’occasion du festival l’Onde de coop, à Pantin, neuf coopératives décident de former les Licoornes pour promouvoir une autre façon de consommer.

    Entretien.

     

    Jérôme du Boucher Coordinateur du projet des Licoornes

    au sein du Collectif pour une transition citoyenne

     

    Certaines sont déjà connues, importantes, d’autres émergentes.

    Neuf coopératives balisant une bonne partie du quotidien (transport, numérique, énergie, réemploi, alimentation) annoncent vendredi, au festival l’Onde de coop, à Pantin, la création des Licoornes, sorte de contre-modèle des start-up capitalistes.

     

    Quel objectif se sont fixé Citiz, Mobicoop, Commown, Enercoop, la Nef, TeleCoop, CoopCircuits, RailCoop et Label Emmaüs en créant cette sorte de label ?

     

    Jérôme du Boucher C’est une alliance qui a vocation à donner de la visibilité au contre-modèle que sont les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic), afin de mobiliser les citoyens engagés dans la transition écologique et sociale. Nous sommes convaincus que notre modèle doit devenir la norme. Mais, pour cela, il faut aussi que nos coopératives jouent leur partie en donnant de la visibilité à leurs services et offres. Les Licoornes nous servent aussi à mettre en commun certaines ressources pour faire système.

     

    Comment s’organise une société coopérative d’intérêt collectif ?

     

    Jérôme du Boucher C’est une entreprise commerciale qui défend l’intérêt collectif, car elle associe à sa gestion les différentes parties prenantes du bien ou du service qu’elle produit. Les salariés, les producteurs, les consommateurs y ont leur place, tout comme des associations ou des collectivités locales, car il s’agit d’une coopérative multisociétariat. La stratégie d’entreprise relève d’un compromis de toutes ces composantes qui peuvent avoir des intérêts divergents. La Scic est au service de l’intérêt de tous.

     

    Quels autres points communs ces sociétés fédèrent-elles ?

     

    Jérôme du Boucher Les Licoornes sont positionnées sur des secteurs clés de la transition écologique, sociale et solidaire : l’énergie, la consommation, la mobilité, le numérique… À l’intérieur même de leur modèle économique se trouvent des solutions pour plus de sobriété, de démocratie, de solidarité. La manière de commercer elle-même est une réponse à ces enjeux écologiques. Et elles sont toutes non lucratives.

     

    Ces Licoornes peuvent-elles concurrencer les « licornes », ces start-up valorisées à plus d’un milliard de dollars ?

     

    Jérôme du Boucher Nous, Licoornes, revendiquons les actions transformatrices de l’économie sociale et solidaire. Nous ne sommes pas marginales. Nos coopératives s’engagent dans le secteur marchand en contre-modèle. Pour l’instant, nous n’envisageons pas de concurrencer les licornes. Car celles-ci ne sont pas seulement des grandes entreprises. Elles sont adossées à tout un système économique, politique, social. Pour prétendre concurrencer ces multinationales, il faudra associer à cette dynamique d’autres types d’acteurs, des responsables politiques, syndicaux, de la société civile…

     

    Ne craignez-vous pas que vos coopératives, qui regroupent autour de 350 000 clients, restent cantonnées à un public déjà convaincu ?

     

    Jérôme du Boucher Dans un premier temps, on a envie de toucher les personnes très conscientes des enjeux climatiques, sociaux. Généralement, ces personnes entrent dans le monde coopératif par un secteur, une préoccupation. Une personne qui cherche par exemple à ce que son épargne ne serve pas à financer une entreprise polluante va s’adresser à la Nef. Les Licoornes lui signifieront qu’elle peut faire de même dans d’autres secteurs grâce à d’autres coopératives.


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  • Handicap. Tollé à l’Assemblée contre le gouvernement

     

    Vendredi 18 Juin 2021
     

    L’exécutif, opposé à la proposition des élus PCF de « déconjugaliser » l’allocation aux adultes handicapés, a fait procéder à un vote bloqué sans amendement possible.

     

    Le gouvernement a provoqué un tollé jeudi à l’Assemblée nationale.

    Les députés étaient réunis pour discuter et voter une proposition de loi portée par les élus communistes, visant à « déconjugaliser » l’allocation aux adultes handicapés  (AAH).

    Mais l’exécutif a choisi une manœuvre de procédure pour imposer un vote sans débat, rejetant cette réforme.

     

    En effet, les allocataires de l’AAH, dont le montant est de 903 euros mensuels, peuvent voir celle-ci réduite ou supprimée lorsqu’ils sont en couple, en fonction des revenus de leur conjoint.

    À partir de 1 020 euros mensuels, l’AAH commence à diminuer.

    Selon les associations, si le conjoint perçoit autour de 2 000 euros par mois, l’allocation n’est plus versée, ce qui rend les adultes porteurs d’un handicap dépendants financièrement.

     

    Son attribution est déjà soumise à des conditions : le taux reconnu de handicap doit être supérieur à 80 % et, s’il est compris entre 50 % et 79 %, il doit entraîner des « restrictions substantielles et durables pour l’accès à l’emploi », selon la CAF.

    Soumise également à une déclaration de ressources trimestrielle, l’AAH peut être réduite ou supprimée si son allocataire perçoit un salaire.

     

    La proposition de loi présentée dans le cadre de la niche parlementaire des députés GDR (Gauche démocrate et républicaine) proposait donc de ne prendre en compte que les ressources de l’adulte en situation de handicap.

    En février 2020, une première proposition de loi en ce sens, déposée par le groupe Libertés et Territoires (LT), avait été adoptée par l’Assemblée contre l’avis du gouvernement et de la majorité.

    En mars 2021, c’est le Sénat, dominé par la droite, qui l’a amendée puis adoptée.

    Le texte en débat ce jeudi était soutenu, outre les députés PCF, par les élus FI, PS, LR, LT, et par le groupe Agir, membre de la majorité présidentielle.

     

    Un large front devant lequel le gouvernement a choisi d’éteindre le débat en faisant adopter par un vote bloqué, sans amendement possible, sa version de l’article de loi : au lieu d’une déconjugalisation, la majorité macroniste a concédé un abattement de 5 000 euros annuels sur les revenus du conjoint.

    Seule une partie des allocataires de l’AAH vivant en couple pourront en bénéficier.

    Actuellement, 55 % des 270 000 allocataires en couple ne perçoivent pas cette ressource essentielle à leur indépendance.

    Avec le projet du gouvernement, ils seront toujours 40 % à en être privés.

     

    Les élus de gauche quittent l’Hémicycle

    La majorité a avancé des arguments pour le moins lunaires.

    Telle la députée LaREM Véronique Hammerer, pour qui la déconjugalisation de l’AAH entraînerait celle du RSA.

    Ou encore la secrétaire d’État aux Personnes handicapées, Sophie Cluzel, qui a fait état de « problèmes informatiques » pour mettre en œuvre une telle réforme…

    C’est elle qui en conséquence a réclamé le vote bloqué, provoquant l’ire des députés de l’opposition, de gauche à droite.

    « C’est la première fois que je vois un gouvernement et une majorité se comporter d’une telle façon », a tonné le député PCF André Chassaigne, avant que les élus de gauche ne quittent l’Hémicycle.

    « La majorité n’assume pas son opposition, c’est un geste de lâcheté », dénonce l’insoumise Danièle Obono.

    Le président du groupe LR, Damien Abad, a qualifié la manœuvre du gouvernement de « honte », l’accusant de « bâillonner les députés ».

    « Vous êtes passés en force, j’en conclus que vous n’étiez pas sûre de votre majorité », a lancé la députée LT Jeanine Dubié, à l’intention de Sophie Cluzel.

    Parmi les députés LaREM, 98 ont voté pour la loi gouvernementale, tandis que 4 ont voté contre et 13 se sont abstenus…


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