• NON !

    La CGT ne coupe pas le courant aux Hôpitaux !


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  • Rouge ViF !

    La fin de leur monde

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  •  

    Rouge ViF !

    Champagne !

     

     

    En cette période de fêtes,

    on a été super gâtés par les lobbies

    alors cette semaine c'est champaaaaaagne

    dans le coin des lobbies !

    Twitter >>>>> Manon Aubry


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  • Geneviève Legay :

    « En 1945, la France était ruinée

    et le Conseil national de la Résistance

    créait ce bijou de système par répartition »

    • Écrit par  Benjamin Grinda
    • samedi 21 décembre 2019

    • La marseillaise
     

     

    Geneviève Legay, militante d'Attac 06, victime de violences policières le 21 mars, est la co-auteure du livre « Celle qui n'était pas sage : entretiens avec Bruno Della Sudda ». Elle était l'invitée d'Attac Marseille vendredi à la librairie Maupetit.

     Que s'est-il passé ce 21 mars, place Garibaldi à Nice ?

     Geneviève Legay : Je suis descendue avec mon gilet jaune et mon drapeau de la paix. Il y avait plusieurs groupes séparés par des cordons de police. C'était très calme et bon enfant. D'ailleurs, depuis 4 mois que le mouvement des Gilets jaunes avait débuté à Nice, il n'y avait eu aucun accroc. Des journalistes m'ont interviewée, j'ai expliqué que j'étais là pour la liberté de manifester et pour l'avenir de mes petits-enfants. Je me suis retrouvée avec derrière moi des policiers suréquipés, avec des boucliers et mes souvenirs s'arrêtent là. Je n'avais pas entendu les sommations, on m'a matraquée par-derrière, j'ai percuté violemment le sol. Je me suis réveillée à l'hôpital, vers 18h. Depuis, je n'ai toujours pas d'odorat. Je ressens continuellement depuis juin une odeur liée à un faux stimulus généré par mon cerveau. Pour le goût je n'ai que le salé et le sucré. Il faut dire que j'ai subi cinq traumatismes crâniens. J'ai perdu 35 % d'audition à l'oreille droite. Je dois marcher avec une canne, autrement je titube. Et depuis cet été, je consulte également un psychologue car cela a été compliqué de passer de l'ombre à la lumière.

     

     Qu'est-ce qui vous a décidée à réaliser ce livre ?

     G.L. : Ce sont les éditions Syllepse qui m'ont contactée pour écrire un livre sur ma vie militante. Moi, j'avais refusé, je ne suis pas écrivaine. J'ai finalement accepté car, alors que j'étais encore à l'hôpital, je me disais que puisque les gens me voyaient comme une icône, peut-être que ce livre pourrait leur donner envie de militer et surtout qu'ils prennent conscience qu'ils sont des citoyens, que ce ne sont pas des gens de rien, comme le disait Macron.

     

     Pourquoi avoir embrassé la cause des Gilets jaunes ?

     G.L. : Ce sont des gens que j'admire. J'ai vu un reportage sur eux et je me suis dit à la bonne heure ! Depuis 45 ans que je milite, enfin les pauvres se rebiffent. Quand je distribuais des tracts dans la rue et que je disais "regardez ce qu'on fait subir aux pauvres", les gens se recroquevillaient et partaient. Je le dis encore dans les écoles : ce n'est pas une honte d'être pauvre, ce sont ceux qui créent de la pauvreté qui portent la honte. Ce Macron et son mépris pour le peuple, ses violences policières, la manière dont il a donné des miettes aux gens qui manifestaient, ne fait qu'amplifier la haine. S'ajoute désormais cette réforme des retraites, qui provoquera d'autant plus de pauvreté.

     

     Pour vous, il est essentiel de se mobiliser pour les retraites ?

     G.L. : On a très gros à perdre : le mouvement doit aller jusqu'au bout car c'est un changement de paradigme pour notre société. Ils veulent rendre ce système déficitaire pour ramasser le magot et le donner aux fonds de pension, qui joueront cet argent en bourse et repartiront avec. En 1945, alors que la France était ruinée, l'État endetté à 200 %, le Conseil national de la Résistance créait ce bijou de système par répartition et de financement de la sécu. Ces imbéciles veulent casser tout ça! Ce n'est pas leur argent, c'est notre argent, celui des travailleuses et des travailleurs.

     

    Entretien réalisé par Benjamin Grinda 

     

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  • Infos Luttes N°22

    - 26 Décembre 2019


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  • Hôpital Public : URGENCES !

    "On nous prend pour des imbéciles" :

    plus de 1 000 médecins

    démissionnent de leurs fonctions administratives

    L'hôpital public entre dans son dixième mois de crise avec plus de 250 services d'urgences en grève.

    Des médecins rejoignent le mouvement en abandonnant leur casquette administrative.

    Une façon pour eux d'alerter le gouvernement.

    France Info >>>>>


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  • Rouge ViF!

    Faiblesse...

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  • APL un nouveau mauvais coup des macronistes...

     

    Le gouvernement Macron Philippe repousse au 1er avril

    l'entrée en vigueur de la réforme

    des aides personnalisées au logement (APL)

     

    Juste après les municipales,

    un hasard sans doute :

    1,2 milliard d'économies sur le dos des allocataires APL 

    600.000 ménages qui ne toucheront plus rien 

    1,2 million qui verront leur APL baisser...


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  • La France insoumise a vécu une année 2019 (très) compliquée

    Polémiques, dissensions, défaite, condamnation... L'année 2020 ne pourra être que meilleure pour les Insoumis. Du moins en théorie.

    HuffPost >>>>>


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  • Trump n'aime pas les ballons syndicaux...

    et les rats géants...

    Rats et chats géants : les ballons gonflables des syndicats américains menacés de disparition

    Armes favorites des syndicats aux États-Unis, les ballons gonflables géants à l’effigie de rats ou de chats sont l’objet d’une bataille juridique depuis quelques années visant leur interdiction. Il leur est reproché d’être des « piquets de grève illégaux ».

    Ouest-France >>>>> accès libre


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