• Démarchage téléphonique illégal.

    La Cnil inflige 500 000 euros d’amende à une société d’isolation

    La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a infligé 500 000 euros d’amende à la société Futura Internationale, spécialisée dans l’isolation thermique des logements, pour « démarchage téléphonique illégal », a-t-elle annoncé mardi dans un communiqué.

    Ouest-france >>>>>


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  • [Catastrophe Industrielle - Pollutions
    Incendie de l'usine Lubrizol...
    Rouen]

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  • Rouge ViF !

    Le Privilège du Pauvre!

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  • Syndicollectif 25 novembre 2019

    Voici les nouvelles publications du blog : www.syndicollectif.fr :

     


    ACTIONS- PRISES DE POSITIONS:

     

    * CGT et Solidaires : appel à la manif #NousToutes :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Sg

    * Le "réseau retraites" réagit au rapport du COR (conférence de presse):

    https://wp.me/p6Uf5o-2RK

    * La réaction de FO au COR :

    https://wp.me/p6Uf5o-2RY

    * La CFDT soutient la réforme à points, mais refuse des mesures paramétriques :
     

    https://wp.me/p6Uf5o-2S4

    * Meeting unitaire en Haute Loire :

    https://wp.me/p6Uf5o-2S0

    * Appel de la CGT cheminots à la reconductible :
     

    https://wp.me/p6Uf5o-2QT

    * Les énergéticiens pour reconduire après le 5:

    https://wp.me/p6Uf5o-2Q5

    * Appel du CCN de la CGT pour le 5 décembre et après:

    https://wp.me/p6Uf5o-2Qn

    * Appel de Solidaires :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Qc

    * Appel du congrès de la Fédération CGT services publics :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Su

    * Communiqué du Collectif Inter Hopitaux (CIH) après les annonces :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Rr

    * ADP : vers le million pour un référendum :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Rm

    * SUD étudiants mobilise après la tentative d'immolation d'un jeune étudiant :
     

    https://wp.me/p6Uf5o-2QL


    GILETS JAUNES :

    * Solidaires et l'acte 53 des 16 et 17 novembre :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Rj

    * Appel de l'UD CGT de Paris :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Rg


    IMMIGRATION, RACISME :

    * CGT et FO dénoncent les mesures gouvernementales :
     

    https://wp.me/p6Uf5o-2Q2

    * Appel unitaire à la manifestation contre l'islamophobie :

    https://wp.me/p6Uf5o-2QD


    INTERNATIONALE :

    * Premier bilan de la rencontre internationale de Global Labour International (GLI) d'octobre 2019:

    https://wp.me/p6Uf5o-2Qg

    * Algérie : appel à "restituer l'UGTA aux travailleurs" :

    https://wp.me/p6Uf5o-2PD

    * Coalition contre Amazon : le "black friday" du 29 novembre :

    https://wp.me/p6Uf5o-2So

    * Campagne de solidarité Philippines :

    https://wp.me/p6Uf5o-2RF

    * Rail sans frontière appelle à l'union internationale cheminote :

    https://wp.me/p6Uf5o-2R3

     
    DEBATS :


    * Jean-Pierre Page, la CGT, Hong Kong et la Chine :

    https://wp.me/p6Uf5o-2Sa


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  • [Mardi 26 Novembre 2019

    Actualités Politiques]

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  • Uruguay Élections 2019

    Wikipédia >>>>>


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  • A quoi « sert »

    une vision post-capitaliste

    et une orientation stratégique.

     

    Contribution 71 Saône et Loire

     

    En nous appuyant sur le texte présenté par un groupe de camarades, nous (dans le 71) souhaiterions poursuivre la réflexion dès avant l’AG.

    Un enjeux de cette AG nous semble être à quoi « sert » une vision post-capitaliste et une orientation stratégique.

    Nous allons prendre trois exemples auxquels nous sommes confrontés dans notre activité.

    1. La Santé : nous avons tenu un forum et participons à de multiples actions en faveur de la défense du système de santé. Au terme de plusieurs expériences il nous faut bien nous interroger sur les limites rencontrées et comment les dépasser. Ici on peut en noter de deux ordres.
    1. Régulièrement même les luttes les plus amples et déterminées s’enlisent dans la peur d’accroître les dépenses. Si certaines actions commencent à dépasser le stade du refus et avancent des propositions, elles consistent pour l’essentiel à chercher à mieux utiliser l’argent qui concerne DEJA la santé.

    Même s’il est souvent dit qu’une augmentation de 5% du budget de la Santé règlerait la majorité des problèmes mais les acteurs ne vont pas jusqu’à préciser où va-t-on trouver l’argent de ces 5%, ce qui prêt le flanc à une réponse du type « il n’y a pas d’argent ».

    1. Et nous arrivons au second point, c’est de finir en interpellant d’une manière ou d’une autre l’Etat et les élus.

    Cela nous pose au moins dans un premier temps deux questions : doit-on d’enferrer dans la répartition des lignes budgétaires ou partir d’une notion qui tend à disparaître : les besoins. La Sécurité Sociale doit tout à cette formule : « de chacun selon ses moyens à chacun selon ses besoins ». Faire société n’a de sens que de répondre aux besoins. La production de richesses globale permet-elle ou non de répondre aux dits besoins ? L’affrontement idéologique sur cette dimension détermine fondamentalement le rapport de forces. Dès lors l’enjeu des luttes concernées est moins de s’adresser à des élus qui connaissent parfaitement les conséquence de leurs actes que de rendre ces actes intolérables aux yeux de la majorité des gens et pas seulement des plus engagés.

    1. Le travail : entre l’extension du chômage et de la précarité, la mise en cause de l’assurance chômage ou de la retraite, le mouvement démocratique est sur la défensive. Et n’est-ce pas précisément là le problème ? Ne sommes-nous enfermés dans les termes qui sont ceux du capitalisme ? Au point que la proposition de la CGT -et si peu utilisée par elle- de la Sécurité Sociale professionnelle laisse entendre qu’il s’agit là -comme la maladie et la Sécurité Sociale tout court- de faire face à des accidents. Cela sous-entend qu’on ne pourrait pas se débarrasser du chômage. N’est-ce pas confondre emploi et toute l’activité humaine ? C’est peut-être pour cette raison que la CGT ne trouve jamais le bon moment pour recourir à sa proposition. L’emploi est d’abord un lieu attaché à un rapport social bien défini : il y a des employeurs et des employés. Sans commentaires…Essayer de faire le même exercice avec le mot travail est éloquent. Si l’on prend en compte que le travail cristallise toutes les autres pratiques de l’individus, ce que le patronat appelle pudiquement « compétences » ou « employabilité » cela implique qu’à part la guerre (et la spéculation) quasiment toutes les pratiques sociales finissent par converger vers le « travail ». En ne le reconnaissant pas, le capital peut exploiter ce qui est à la source de ces « compétences » sans avoir à rémunérer le temps passé à d’autres activités. Là encore rester dans le cadre établi par le capital nous rend vulnérables. On l’a vu avec la lutte contre la loi travail où on s’est mis à défendre un code du Travail qui n’a pas empêché ni l’existence de plus de 6 millions de chômeurs, ni la précarité, ni 400 suicides dans le cadre des entreprises en 2016. En revanche, évoquer toutes les activités humaines sociales, culturelles qui font vivre la société rend intraitable sur la reconnaissance de leur rôle, sur la disparition du chômage et ouvre la voie à un dénominateur commun à quasiment tout le monde. Quelles que soient ses insuffisances le statut des Intermittents du spectacle crée un précédent : il n’y a pas que le moment de l’emploi qui soit rémunéré ; il en va déjà de même avec les congés maternité ou les congés payés…ou la retraite.
    2. La démocratie et le pouvoir. Tout cela pose la question du comment parvenir à nos fins ? Question qui revient sans cesse. La question démocratique et la question politique ne font, selon nous, qu’une. La question du pouvoir et la question de la conception de la politique sont une seule et même question. Si le but est une société démocratique de dimension autogestionnaire c’est-à-dire entièrement sous la maitrise des citoyens, le chemin pour y parvenir ne peut être d’une autre nature. Tout simplement parce qu’à l’expérience, on sait que le pouvoir ne se redonne pas. Commencer dès à présent à se dégager de cette démarche est indispensable. Certain( e)s interrogent tout de même une part de délégation. Bien sûr une société ne se construit pas sur un émiettement des décisions et nous n’irons pas à 60 millions à l’Assemblée nationale. Entendons-nous bien alors sur ce que nous entendons par système représentatif : du point de vue de Monsieur et madame Tout-le-Monde, de fait, il s’agit d’abandonner avec confiance sa capacité de jugement et d’intervention à des élus. Ce qui veut dire que ce n’est même plus en question. Ça permet ensuite à ces élus de dire et de faire à peu près ce qu’ils veulent au nom de leur mandants. Rester enfermés dans cette logique dissocie le social du politique et ne permet pas de tirer tout le possible de phénomènes comme les Gilets Jaunes. Dans notre esprit, il s’agit de proposer un fonctionnement qui consiste à ce que les assemblées locales soient décisionnaires. Concrètement cela suppose un va et vient entre un organe de mutualisation et de mise en cohérence des demandes -qui n’est plus tout à fait l’Etat- et les lieux où se sont exprimées ces demandes. Si les mandatés changent d’avis au fil d’un débat à une autre échelle, ils doivent revenir vers leurs mandants. C’est lourd et long ? Il n’y a pas de système parfait mais outre que la navette avec les commissions parlementaires actuelles et le Sénat ne sont pas rapides, la démocratie demande du temps. Et cela va inévitablement de pair avec la réduction du temps d’emploi. Attention à ne pas être tentés par une quête d’efficacité qui finit toujours au détriment d’une démocratie active.

    Cela permet de commencer tout de suite à dégager des formes de structuration des mouvements populaires qui poursuivent le questionnement posé lors des Nuits debout et les Gilets Jaunes et ouvre des pistes sur comment s’organiser. Evidemment c’est contraignant pour celles et ceux qui seraient alors désignés comme des porte-parole, mais n’est-ce pas le but recherché ? Favoriser le « faire par soi-même » et non pas se comporter en donneurs de leçons est ce que devrait être le sens de toute forme d’organisation.

    Plus largement de situer devant chaque combat la nécessité et la perspective de s’en prendre au système actionnarial permet 1) de ne pas se tromper d’antagonisme 2) de faire voir où sont les moyens financiers et les pouvoirs à supprimer.


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  • Rouge ViF !

    La colle !

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  • [ 5 Décembre 2019

    Mobilisation générale ! ]

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  • Retraites : contre l’individualisme, nous choisissons la solidarité

    Libération Tribune >>>>>

     

    Les forces politiques et les personnes soussignées s’opposent totalement au projet de retraites d’Emmanuel Macron et soutiennent les mobilisations syndicales annoncées pour le mettre en échec le 5 décembre, ainsi que les appels à la grève reconductible.

    E. Macron parle de droits «universels» ? Ils seraient en réalité «individualisés» et réduits.

    C’est au Parlement de Versailles en juillet 2018 que E. Macron a proclamé son projet. Il veut «un Etat providence du XXIe siècle, émancipateur, universel…» et «protéger nos concitoyens non selon leur statut et leur secteur d’activité, mais de manière plus juste».

     

    Plus «juste» ? Pour l’assurance-chômage, le Président avait déjà promis «l’universalité». Or avec sa «réforme», plus d’un million de personnes verront leurs droits amputés et paieront de leurs poches les 3,8 milliards d’économies imposées par l’Etat jupitérien. Très belle «émancipation» !

    Dans le monde selon E. Macron, les statuts collectifs disparaissent. Il ne reste que l’individu face à son destin, évoluant sur le marché, traversant la rue pour obtenir un emploi, surveillant son compte de retraite à points pour arbitrer entre la prolongation de son travail et son niveau de pension. A condition bien sûr de ne pas être au chômage, en maladie, ou en invalidité, comme beaucoup de salarié·es après 60 ans.

    E. Macron oublie que le projet du Conseil national de la résistance (CNR) visait une Sécurité sociale universelle, mais avec des droits en progrès. Il veut qu’on oublie que ces conquêtes résultent d’une mobilisation populaire obtenant qu’une part plus élevée de la richesse soit attribuée aux retraites et à la santé, donc au bien vivre. Il a fallu pour cela augmenter la part du PIB accordée aux retraites, de 4% jusqu’à 14% d’aujourd’hui, pour améliorer le taux de remplacement entre la pension versée et les meilleurs salaires. Ce taux atteignait 75%, avant les contre-réformes accumulées depuis 1993. Ainsi la retraite a représenté une prolongation de son revenu pour des activités nouvelles et libres. Cette répartition de la richesse a permis d’universaliser des droits pour des retraités plus nombreux et un progrès de l’espérance de vie.

     

    Cependant, une forte injustice persiste en raison de la scandaleuse inégalité salariale entre femmes et hommes, réduisant en moyenne leurs pensions de 40% sur celles des hommes. Or l’application effective de l’égalité salariale permettrait un afflux de ressources : 6 milliards d’euros au moins. Il est donc tout à fait possible d’améliorer ce qui existe. Et aussi de réduire les inégalités inacceptables dues à la pénibilité du travail. Même Edouard Phillipe a reconnu qu’il n’y a pas vraiment de «déficit» et que le système actuel est «encore bon».

    Alors pourquoi s’acharner à le démanteler ? Parce que ce gouvernement veut à tout prix obliger les travailleurs, femmes et hommes, y compris les indépendants, à s’adapter aux règles du libéralisme : les droits coûteraient trop chers parce qu’ils sont socialisés et incluent une solidarité collective (carrières incomplètes, années de chômage, enfants). Au lieu d’une retraite où la prestation est d’avance garantie, ce pouvoir cherche à imposer un système où seule la cotisation est définie. Chacun sait ce qu’il cotise pour acquérir des points, mais personne ne sait quelles prestations seront versées. La conversion des points en pension pourra évoluer en fonction de la marche générale de l’économie. Le gouvernement aura la haute main sur ce choix à chaque budget annuel de la Sécurité sociale. La «caisse des retraites» où siègeront les syndicats ne pourra donner qu’un avis.

    La propagande du gouvernement sonne bien, mais elle est une tromperie.

    «Un euro cotisé donnera les mêmes droits pour tous» ? Peut-être, mais appauvris. En effet le calcul des droits à pension s’effectuerait sur toute la carrière, alors qu’aujourd’hui il se fait sur les 25 meilleurs salaires dans le privé, et les derniers mois dans le public. Conséquence : la moyenne des salaires baissera en incluant les mauvaises années. La pension baissera en proportion. Le recul de l’âge de la retraite est aberrant alors qu’à 62 ans, 40% des seniors sont inscrits à Pôle Emploi.

     

    Un «Etat providence du XXIe siècle» ? Appauvri encore ! La part des retraites dans la richesse nationale serait plafonnée (14% du PIB), alors que depuis 1945 elle a progressé. Les cotisations ont augmenté : les actifs et les retraités sont solidaires pour déterminer la part de valeur qui va au bien commun. Ce n’est pas aux propriétaires financiers et de dividendes de décider. Alors qu’ils s’approprient toujours plus de richesses sans aucun effet sur le chômage.

    Des droits «dès le premier euro» ? On promet que les jeunes auraient des droits au premier euro cotisé. Mais si la part totale des retraites est gelée, toute avancée des uns sera prise sur les autres. On aura une division accrue au lieu de droits égaux ! Ainsi, les pensions de réversion vont diminuer, ce qui pénalisera encore les femmes. Macron veut en réalité rendre «naturelle» la précarité des temps partiels et des CDD au lieu de les combattre.

    «Un système plus juste» ? Faux ! E. Macron veut rayer le mot «pénibilité du travail» du vocabulaire alors même que celle-ci participe largement à réduire l’espérance de vie en bonne santé. Que de retraites volées à celles et ceux qui en auraient le plus besoin !

     

    La retraite par points ? Le secteur privé la connaît déjà, avec les «complémentaires» par points qui ne cessent de se dégrader. Les «complémentaires» sont le cheval de Troie introduit pour habituer à un système individualiste. Comme c’est le cas aussi en Suède souvent portée en exemple. En France, sous la pression du Medef, les pensions «complémentaires» ont été gelées de 2016 à 2018, et une baisse de 10% est prévue à partir de 2019. Ni Macron ni les patrons ne veulent plus parler de hausse de cotisations.

    Etat «providence» ? Plutôt un tremplin vers la capitalisation pour les plus riches ! En effet, la baisse programmée du montant des retraites incitera ceux qui en ont les moyens à se tourner vers les fonds de pension. Les salaires au-dessus de 120 000 euros annuels ne cotiseraient plus au régime à points mais pourraient souscrire une épargne privée. Le ver serait dans le fruit.

    Au total, la contre-réforme des retraites participe d’un plan de destruction des systèmes de solidarité : suppression des services publics, réforme punitive de l’assurance chômage, privatisations (ADP), attaques contre tous les statuts salariés.

     

    Contre ce bouleversement de société, notre alternative repose sur un socle de droits universels : une retraite à 60 ans avec un taux de remplacement à 75% indexé sur les meilleurs salaires, garanti pour tous et toutes. Mais aussi un droit collectif à un départ anticipé en fonction de la pénibilité du travail, pour une retraite en bonne santé. Cela exige une augmentation des cotisations socialisées incluant les profits financiers. Et une baisse du chômage par la réduction du temps de travail apporterait aussi des ressources.

    Les mobilisations syndicales unitaires seront décisives à partir du 5 décembre ! Nous appelons la population à leur apporter un soutien massif !

    Signatures :

    Europe Ecologie-les Verts (EELV) : Sandra Regol, porte-parole ; Alain Coulombel, secrétaire national adjoint

     Ensemble ! : Clémentine Autain, députée de La France insoumise (FI), Myriam Martin, porte-parole, conseillère régionale LFI Occitanie; Jean-François Pellissier, porte-parole

    Gauche démocratique et sociale (GDS) : Gérard Filoche, porte-parole ; Anne de Haro, GDS Ile de France

    Génération·s : Guillaume Balas et Claire Monod, coordinateurs nationaux

    Mouvement pour la démocratie en Europe (Diem 25) : Emma Justum, coordination nationale

    Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) : Olivier Besancenot, Christine Poupin, Philippe Poutou, porte-parole

     

    Nouvelle Donne (ND) : Aline Mouquet, co-présidente, Gilles Pontlevoy : co-président

    Parti communiste français (PCF) : Cathy Apourceau-Poly, membre de la direction du PCF, sénatrice du Pas-de-Calais ; Pierre Dharreville, membre de la direction du PCF, député des Bouches-du-Rhône

    Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) : Véronique Lamy et Christian Pierrel, coporte-parole

    Parti de Gauche (PG) : Eric Coquerel, député FI, co-coordinateur du PG; Danielle Simonnet, conseillère de Paris, co-coordinatrice du PG

    Pour une écologie populaire et sociale (PEPS) : Sergio Coronado, Jean Lafont, Elise Lowy, Bénédicte Monville

     

    République et socialisme (RS) : Marinette Bache, conseillère de Paris ; Lucien Jallamion, secrétaire national ; Mariane Journiac, secrétaire nationale

    François Ruffin, député La France insoumise de la Somme.


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