• Soutien aux jeunes migrants Quimper

    4 mai 2019

    250 personnes dans la rue à Quimper ce samedi matin pour soutenir les jeunes migrants non accompagnés. Départ devant le tribunal, station devant la Préfecture et fin de la manif devant le Conseil Départemental ("socialiste") qui porte une lourde responsabilité dans les remises à la rue des jeunes concernés (le Finistère à un des taux les plus bas de
    reconnaissance de minorité, moins de 40%).


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  • Pour les services publics et la justice sociale,

    Contre la répression et les manipulations,

     

    Ils ont beau faire, rien n’y fait… Depuis près de six mois, contre la contestation qui s’exprime dans la rue et sur les rond-points, ce pouvoir a tout tenté : salir le mouvement en le traitant de débile, de fasciste ou d’antisémite, l'affaiblir en cédant quelques miettes, l’endormir en lançant durant plusieurs mois un prétendu « Grand débat », et surtout le réprimer, chaque semaine en chargeant violemment les manifestations et en se livrant à des arrestations injustifiées, ainsi qu’en faisant passer une nouvelle loi liberticide contre le droit de manifester.

    Un pouvoir autoritaire, violent et menteur

    Mercredi 1er mai en a été une nouvelle illustration. Ainsi, après avoir créé un véritable état de siège dans la capitale, après s’être livré à près de 18 000 contrôles préventifs, des charges policières accompagnées de gaz lacrymogène ont été lancées à de multiples reprises contre l’ensemble de la manifestation. Les cortèges syndicaux ont fait les frais de cette violence.

    Castaner s’est ensuite livré à des déclarations mensongères afin de présenter quelques dizaines de manifestantEs fuyant les violences policières et cherchant à s’abriter dans l’enceinte de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, comme des « casseurs » se livrant à une « attaque » de l’hôpital au mépris de la santé des patientEs… Une version largement relayée par les grands médias aux ordres, au détriment de toutes les vidéos et de tous les témoignages directs, en particulier ceux des soignantEs de l’hôpital !

      

     C’est eux les casseurs !

    Lundi, le pouvoir a réuni à Matignon des représentantEs syndicaux, du patronat ou encore d’associations d’éluEs pour lancer une prétendue « mobilisation générale » pour l’emploi ou l’écologie… La CGT et Solidaires ne sont pas prêtés à cette mascarade qui n’a pour but que d’accompagner l’offensive d’ampleur contre les services publics et les droits du monde du travail.

    Car le programme de ces prochaines semaines est clair : création des maisons de services au public qui vont se multiplier à la place de la défense des véritables services publics ; augmentation de la durée de cotisation pour les retraites ; baisse de l’Impôt sur le revenu pour une partie de la population... financée en contre-partie par le « travailler plus » et/ou la baisse des dépenses publiques ! Bref, Macron et ses amis continuent leur entreprise de casse sociale : ils ne sont toujours pas revenus sur leur projet de supprimer 120 000 emplois dans la fonction publique !

    Le 9 mai et après, touTEs ensemble pour les faire reculer !

    Après des convergences réussies entre le mouvement social et celui des Gilets jaunes, la journée de grève et de manifestation de l’ensemble de la fonction publique doit permettre de franchir une nouvelle étape. D’abord pour la défense de nos services publics - de l’école aux hôpitaux en passant par la SNCF, La Poste ou les finances publiques - tous en danger mortel : postes supprimés, accumulation des tâches, management destructeur, dématérialisation… Au-delà de la dénonciation, cela doit être une grande journée de revendication des salariéEs (fonctionnaires ou contractuelEs) et des usagerEs (Gilets jaunes, parents d’élèves, retraitéEs…) pour des services publics répondant aux besoins sociaux.

    Réussir ce jeudi 9 mai est la condition nécessaire pour préparer la suite : par la grève qui doit se prolonger, par la mobilisation commune du plus grand nombre, ce printemps doit bien être celui d’une riposte générale contre le mépris et la casse sociale.

    Montreuil le lundi 6 mai 2019


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  • Jeudi 9 mai 2019,

    Mobilisation Fonction Publique

    à l'appel des 7 Fédérations de la Fonction Publique,

    manifestation

    Brest  à 10h30 place de la liberté.


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  • RETOUR SUR LE 1er MAI 2019 - Liens Infos

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  • Samedi 4 mai 2019

    Gilets Jaunes

    42858 Manifestants

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • COMMUNIQUÉ de la CGT

    SUITE AUX MANIFESTATIONS DU 1ER MAI 2019

    1 mai 2019
     
    Cette journée de lutte internationale des travailleurs s’est traduite sur tout le territoire par près de 250 manifestations, rassemblements, initiatives festives.

    Plus de 310 000 salariés, privés d’emploi et retraités (c’est à dire plus qu’en 2017 et en 2018) se sont rassemblés pour exprimer au gouvernement mais aussi au patronat l’exigence d’autres choix politiques en faveur d’une hausse des pensions et salaires, de plus de justice fiscale, de services publics de proximité, d’une politique sociale répondant aux besoins de la population.
    L’expression revendicative de ce jour, cumulée aux nombreuses luttes dans les entreprises, dans plusieurs branches d’activité, la fonction publique, les actions spécifiques des retraités, les actions interprofessionnelles depuis le début de l’année viennent démontrer, s’il le fallait encore, la colère sociale, l’attente de décisions majeures au profit de ceux qui ne vivent que de leur travail.
    Le droit à manifester est fragilisé par les violences commises, comme à Paris où le cortège CGT s’est trouvé pris en étau entre les black blocs et les forces de l’ordre et a été gazé sans sommation… Inacceptable !
    Si nous soulignons le calme qui a régné parmi la quasi-totalité des cortèges, les actes scandaleux de la manifestation parisienne viennent démontrer la nécessité d’une autre gestion par le ministère de l’intérieur du respect de ce droit constitutionnel qu’est le droit de manifester.
    Répondre dorénavant aux attentes exprimées dans la rue depuis de longs mois et dans les entreprises par nos équipes syndicales sera le meilleur moyen de retrouver de la sérénité dans le pays.
    La CGT va continuer à militer pour élargir le rapport de force nécessaire afin de conquérir de nouveaux droits et contrer les mauvais coups de ce gouvernement et de sa majorité parlementaire.
    D’ores et déjà elle appelle toutes et tous à participer aux initiatives prévues lors de la mobilisation du 9 mai prochain.


    Montreuil, le 1er mai 2019


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  • [Lundi 6 Mai 2019

    Actualités Politiques]

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  • " Créer, c’est résister. Résister, c’est créer ".

     

    Appel à un pique nique résistant ce samedi 8 mai 2019

    à Trédudon Le Moine (commune de Berrien)

    de la part des comités gilets jaunes du Finistère..



    Bonjour... Un mail très long, encore!!! On sait...3 lignes ça devient un max...on s'en fiche...il ne concerne pas directement une animation à l'autre rive mais une information que nous relayons car nous soutenons l'initiative...


    Vous n'êtes donc pas obligé de la lire... si vous la lisez, merci d'arriver au bout pour posséder l'ensemble des éléments de cette information qu'on a récupérée à la volée et qu'on vous fait passer un peu à l'arrache...


    Si, une fois arrivé au bout, vous estimez que c'est important, n'hésitez pas à faire suivre dans vos réseaux!!!

    Les comités finistériens des gilets jaunes appellent à organiser un pique-nique résistant ce mercredi 8 mai 2019 à Trédudon Lemoine...premier village résistant de France, sur la commune de Berrien....le rendez-vous est à 10h30
    devant la mairie de Berrien pour se rendre ensuite sur site pour commémorer la victoire sur le nazisme (rien que ça!!).... en cas de météo vraiment macronienne (c'est à dire vraiment dégueulasse) une position de replis pour ce pique nique sera à la salle asphodèle de Berrien (encore et toujours).

    D'aucuns font la très fine bouche avec les gilets jaunes ... Je vais même certainement perdre des clients.... Mais nous sommes très clairs en ce qui nous concerne, on soutien sans états d'âme...je suis plus proche du gilet jaune qui se caille sur son rond point que nos crânes d'oeufs qui les méprisent du haut de leurs perchoirs... donc l'occasion de se rencontrer, de
    discuter, de s'écouter, de mieux se connaitre, ne devrait, dans une démocratie digne de ce nom, jamais se refuser...



    C'est donc l'occasion... et puis nous, dans le coin, ça raisonne vraiment beaucoup cette histoire là avec le pique nique résistant que nous avions organisé dans ce même village il y a maintenant une dizaine d'année, quand nous étions "repaire là-bas si j'y suis" à l'autre-rive...

    ça doit d'ailleurs parler à pas mal d'entre vous car ce jour là, au milieu de nul part, nous nous étions retrouvés à plus de 1500 venu des 5 départements bretons pour nous rencontrer, discuter, nous écouter, et ainsi mieux se connaitre, Déjà!!...la démocratie quoi!!

     

    Et quel plaisir de se retrouver alors!!!



    C'était, à l'époque, en réponse à l'appel des derniers anciens résistants encore vivants alors qui nous avait interpellé avec un texte "Résister c'est créer...créer c'est résister"

    ...eux qui s'étaient battus, et de quelle façon, pour que puisse se mettre en place le programme du CNR... celui que nos
    bons maitres s'évertuent à hacher menu aujourd'hui...

    Relisez ce texte de l'époque que je vous remets ci-dessous...
    honnêtement...après ça...où se trouvent ceux et celles qui, légitimement, se battent aujourd'hui... je ne sais pas pour vous...moi je n'ai aucun doute!!!

    A suivre donc...et n'oubliez pas d'apporter votre casse-croute et de quoi boire un coup...

     



    "Appel du Conseil National de la Résistance"
    Appel lancé en 2004 par les anciens du CNR de 1944...

    auquel il est bien temps de répondre!

    Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la  Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à
    faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle.

    Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et sœurs de
    la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste.  

    Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte.

    Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont  d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais :

    Nous appelons d’abord les éducateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publiques, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l’anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (C.N.R.) adopté dans la clandestinité le 15mars1944 :


    Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des " féodalités économiques", droit à la culture et à l’éducation pour tous, une presse délivrée de l’argent et de la corruption, des lois sociales ouvrières et agricoles, etc.

    Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales,alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’ Europe était ruinée ? Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l’ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l’actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.

    Nous appelons ensuite les mouvements, partis, associations,institutions et syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, et à se
    consacrer en priorité aux causes politiques des injustices et des conflits sociaux, et non plus seulement à leurs conséquences, à définir ensemble un nouveau "Programme de Résistance " pour notre siècle, sachant que le fascisme
    se nourrit toujours du racisme, de l’intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales.

    Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les éducateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous.

    Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944.

    Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection :

    " Créer, c’est résister. Résister, c’est créer ".

    Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey."


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  • [Dimanche 5 Mai 2019

    Actualités Politiques]

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  • Les élections locales en Angleterre et en Irlande du Nord

    ont eu lieu jeudi 2 mai.

     

    Je ne vais pas essayer d'expliquer le système électoral (qui n'est pas le même en Irlande du Nord qu'en Angleterre d'ailleurs).

    Quelques chiffres suffisent pour comprendre les tendances.

    Les analyses, c'est autre chose.

    Quelle est l'influence de la situation politique nationale, dominée par le problème du brexit ?

    Quelles sont les disparités entre les résultats dans les différentes régions et qu'est-ce qui les explique ?

    Quelle corrélation entre le vote pour le brexit et le vote pour un parti dans une élection locale ?

     

    A remarquer que ces élections ne concernaient pas tous les conseils locaux en Angleterre, et que ni les 32 communes du Grand Londres, ni Birmingham (la 2ème ville du pays) ne votait.

    Enfin, pouvaient voter non seulement les citoyen.nes britanniques, mais aussi les résident.es ayant la nationalité irlandaise ou celle d'un pays du Commonwealth (Inde, Pakistan ...) ainsi que les citoyens des pays membres de l'UE.


    Angleterre - Voici donc quelques chiffres bruts :


    Sièges de conseiller municipal à pourvoir : 8 798


    Autorités locales concernées : 248 en Angleterre, 11 en Irlande du Nord
    Elections directes du maire : 6


    Résultats :
    Le parti conservateur a gagné 3 561 sièges = une perte nette de 1 333
    Le parti travailliste a gagné 2 023 sièges = une perte nette de 82.

    Au vu de ces résultats, cependant, la BBC a martelé pendant toute la soirée électorale que "les deux principaux partis ont subi des pertes importantes".

     

    La BBC, comme tout le monde le sait, est toujours parfaitement objective et n'a jamais mené une campagne de désinformation contre Jeremy Corbyn !

     


    Le principal vainqueur est le parti Liberal-democrat (centriste) qui a gagné 1 351 sièges, un gain net de 704. 

     


    Les Verts ont également progressé, gagnant 265 sièges (un gain net de 194).

     


    La bonne nouvelle est le résultat de l'UKIP : 31 sièges (une perte nette de 145).

     

    Mais ne parlons pas trop vite, son rival, le nouveau Brexit Party sera probablement le vainqueur aux élections européennes.

     

     

    Des associations locales de résident.es ont gagné 119 sièges (un gain significatif de 49).

     


    Enfin, les 'Autres' ou 'Indépendants' - qui sont nombreux et nombreuses à se présenter dans ce type de scrutin - ont gagné 1 045 sièges - une progression de 606.

     

     


    En gros, on peut dire que les Tories de T. May ont pris une grosse claque (mais c'est assez habituel pour le pouvoir en place au niveau national de subir une telle défaite aux élections locales)

     

    mais que le parti travailliste de J. Corbyn n'en a pas profité.

     

     

    Comme c'est très souvent le cas, ce sont les Liberal-Democrats quand ils sont dans l'opposition qui sont le réceptacle du 'vote de protestation ', ainsi que les 'Indépendants' ou 'sans étiquette'.

     


    En termes de majorités, les Tories ont perdu le contrôle de 44 conseils locaux, les travaillistes en ont perdu 6, les L-Ds en ont gagné 10, et le nombre de conseils sans majorité est passé de 36 à 73 (+37).

     

     


    En Irlande du Nord il existe un système compliqué de représentation proportionnelle.

     

    Il n'existe pas de conseil (il y en a 11 en tout) où un seul parti détient la majorité des sièges, mais 6 sont à dominante Unioniste (protestante) et 5 Sinn Fein ou SDLP (Nationaliste).

     

     

    Pour faire simple, les principaux partis de chaque 'camp' (DUP + UUP pour les Unionistes, SF + SDLP pour les Nationalistes) sont stables, avec quelques petits rééquilibrages.

     

     

    Entre eux, ils obtiennent 74% des voix. 

     


    Le plus intéressant, c'est le résultat de trois 'petits' partis dits 'non-sectaires' (ils ne sont pas l'expression du 'communautarisme' catholique ou protestant), en particulier le plus gros et le plus ancien entre eux, Alliance, qui obtient 11.5 % des voix (+4.8%) mai aussi les Verts.

     

     

    Quant à la gauche radicale, People Before Profit, qui avait un seul conseiller local élu en 2014, en compte désormais 5 (2 à Derry et 3 à Belfast).

     

    C'est la très bonne nouvelle de la journée.


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