• Macron :

    à droite toute !

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  • Climat : “En Angleterre, la montée en puissance d’Extinction Rebellion est impressionnante”

    Télérama >>>>>


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  • Rouge ViF !

    Macron ... Président des Riches un jour,

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  • Entretien

    Mélenchon à «Libé» :

    «Je lance un appel à la création d’une fédération populaire»

    Libération >>>>>

     

    «Fédération populaire» :

    accueil en demi-teinte chez les roses et les verts

    Libération >>>>>


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  • Julien Lauprêtre,

    le président du Secours populaire

    est décédé

    Vendredi, 26 Avril, 2019

    Le Secrétariat national du Secours populaire et la famille ont annoncé ce vendredi matin le décès de Julien Lauprêtre, Président du Secours populaire français, à 93 ans.

     

    Communiqué du Secours Populaire Français.
    Le Secrétariat national du Secours populaire et la famille ont l’immense tristesse d’annoncer le décès de Julien Lauprêtre, Président du Secours populaire français, survenu à 93 ans, dans un hôpital parisien des suites d’une chute pour laquelle il avait été hospitalisé.
    Plus qu’un Président, c’est un ami que tous les membres du Secours populaire ont perdu aujourd’hui.
    Julien se présentait toujours comme « bénévole à Paris ».
    C’est vrai qu’il n’était pas un Président ordinaire.
    Sa porte et son écoute étaient ouvertes à tous, sans distinction, à n’importe quel moment de la journée.
    Une humanité, une simplicité et une sincérité qui allaient droit au coeur des 80 000 bénévoles de l’Association.
    Julien aimait répéter :
    « La solidarité ne règle pas tout, mais pour celles et ceux qui la reçoivent, elle est irremplaçable. »
    Et il ajoutait aussitôt cette phrase d’Henri Barbusse:
    « La solidarité, ce ne sont pas des mots, mais des actes. »
    Toute sa vie, Julien a refusé l’inacceptable, la pauvreté, l’injustice.
    Toute sa vie a été orientée vers les autres.
    Il a fait de la solidarité son combat quotidien, et du Secours populaire, un grand mouvement de solidarité populaire.
    Dès son arrivée en 1954, Julien et un petit groupe d’hommes et de femmes vont faire du Secours populaire, l’une des plus importantes associations de solidarité de notre pays.
    Très vite, il a compris que l’association avait tout à gagner à se recentrer sur son rôle d’association de solidarité plutôt que d’intervenir sur le champ politique.
    Il en a fait une association rassemblant toutes les bonnes volontés pour que se développe une solidarité populaire indépendante des pouvoirs établis, qu’ils soient publics ou privés, philosophiques, confessionnels, politiques ou syndicaux.
    Au Secours populaire, nous sommes quotidiennement les témoins de ceux qui vivent un véritable parcours du combattant pour régler leurs factures, faire trois repas décents par jour, se soigner…
    Nous sommes aussi les témoins, avec nos partenaires dans le Monde, des situations des enfants, des femmes, des hommes qui luttent pour survivre.
    La pauvreté est là.
    Elle ne recule pas.
    Elle s’aggrave.
    Avec une ténacité incroyable, Julien a fait front pour ne pas laisser la désespérance prospérer.
    Il a sillonné le monde, fait le tour de notre pays pour mobiliser les bénévoles à agir sans relâche pour les personnes dans la précarité, et sensibilisé les dirigeants à la lutte contre la pauvreté en France, en Europe et dans le Monde.
    Il avait aussi à coeur d’offrir aux enfants l’opportunité de prendre la parole, d’agir, de s’organiser.
    C’est ainsi qu’est né en 1992 le mouvement d’enfants bénévoles au Secours populaire, les « copains du Monde ».
    Il a consacré sa vie pour que celles et ceux qui n’ont rien, ou si peu, relèvent la tête et soient plus forts pour s’en sortir grâce à la solidarité, dans une démarche d’égal à égal entre celui et donne et celui qui reçoit.
    Aujourd’hui, les membres du Secours populaire sont plus que résolus à continuer son combat pour faire triompher l’entraide et la solidarité et faire reculer la pauvreté et l’exclusion.

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  • [Vendredi 26 Avril 2019

    Actualités Politiques]

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  • Quimper « S’unir pour ne pas subir »
     
    « J’veux du soleil ». Trois rendez-vous autour du 1er mai
     
    Le collectif de partis, syndicats et associations « S’unir pour ne pas subir » propose plusieurs rendez-vous la semaine prochaine


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  • Fédération du peuple : chiche !

    Clémentine Autain

    J’ai lu ce matin avec attention la longue interview donnée par Jean-Luc Mélenchon au quotidien Libération. En exergue, une proposition nouvelle du leader a sonné comme un bougé stratégique : JLM met en débat la création d’une Fédération populaire que la France Insoumise pourrait proposer au lendemain des élections européennes. Il s’adresse au peuple et aux autres forces de gauche, si l’on suit le fil des questions de Laurent Joffrin et des réponses de Jean-Luc Mélenchon.

    Tout le monde perçoit bien le problème : une gauche autour de 30 % et dispersée, cela ne fait pas le compte pour rassembler le peuple et ouvrir une perspective de changement social et écologiste. Il faut donc recomposer, mais comment ?

    Je suis totalement favorable à l’idée de franchir une nouvelle étape de rassemblement après les élections européennes. Nous le devons pour faire grandir l’espoir d’une alternative politique émancipatrice. Après la chute du PCF, l’effondrement du PS traduit une atomisation profonde du champ politique à gauche. Les partis issus du mouvement ouvrier, qui ont structuré la gauche au XXe siècle, ne sont plus des outils populaires suffisants pour penser et agir aujourd’hui. Il faut donc faire du neuf, sur le fond et sur la forme. Avec la conviction qu’à l’échelle de l’histoire, cette entreprise de refondation ne peut se mettre en œuvre en deux coups de cuillères à pot. Je pense qu’il est raisonnable d’assumer en la matière un peu d’humilité.

    Sur ces décombres, c’est bien la France Insoumise qui a fait irruption avec les 19,5% obtenus par JLM à l’élection présidentielle. Dans un champ de ruines, dont le PS porte la dernière responsabilité avec l’ère Hollande, la FI est apparue comme un mouvement neuf. Mélenchon candidat ne considérait pas le mot gauche comme un sésame, à raison, mais sut alors énoncer une proposition et faire vivre un profil politique à la fois moderne et ancré dans cette tradition émancipatrice.

    Pour comprendre ce qui peut nous propulser demain, il faut déjà comprendre ce qui a fonctionné en 2017. Jean-Luc Mélenchon a réussi à faire le plein des voix de la gauche radicale, ravivant les anciens bastions communistes, tout en attirant un électorat plus modéré, notamment de centres urbains, de nombreux déçus du PS. Cette martingale n’était pas acquise, elle méritait d’être consolidée. Par la suite, « le bruit et la fureur », aussi poétique soit la formule, n’a semble-t-il pas permis de maintenir l’attractivité de la FI auprès d’une partie de ses électeurs sans pour autant attirer un nouvel électorat. La FI se situe aujourd’hui dans les différentes enquêtes d’opinion en-dessous des 10%. On peut toujours discuter le travail des sondeurs mais difficilement contester le fait que la FI n’a pas connu l’ascension irrésistible que l’on aurait pu espérer, même si la FI reste pour l’heure en tête à gauche, ce qui lui donne en effet des responsabilités, comme le rappelle à juste titre JLM dans l’interview de Libération – et la FI peut bien sûr hisser plus haut que prévu son score avec Manon Aubry le 26 mai.

    Il me semble que le chemin de l’espérance peut s’ouvrir si l’on retrouve, pour commencer, ce qui a fait la force de la campagne de JLM en 2017. Je suis également convaincue que le rassemblement que nous avons à construire ne peut advenir qu’à la condition d’assumer pleinement le pluralisme et de penser un fonctionnement démocratique qui ne soit pas le copié-collé des mécaniques pyramidales des partis du XXe siècle. Si le fonctionnement des partis d’hier ne doit pas être reproduit, il faut tout de même inventer des modalités démocratiques, sans lesquelles toute organisation risque de péricliter. En période de campagne électorale, un mouvement se doit de faire corps et d’agir sans avoir le nez rivé sur ce qui divise ou fait problème. Mais le reste du temps doit être celui de la consolidation d’un collectif qui est forcément traversé de nuances, de débats voire de conflits. Imaginer les médiations pour y faire face me paraît indispensable si l’on veut mettre en action durablement une force militante et ajuster sans cesse les options stratégiques et programmatiques. Le pluralisme et la démocratie ne sont pas que des cadres institutionnels, ils sont aussi des éléments de culture politique sans lesquels on ne peut agréger dans la durée, et donc gagner.

    Pour être concrète, je veux dire un mot de l’idée que je me fais d’une éventuelle Fédération populaire. Dans feu le Front de Gauche, je me suis battue pour des adhésions individuelles, en vain. Au sein de la FI, je me suis à plusieurs reprises exprimée en faveur d’instances qui permettent d’inclure la pluralité politique et de mieux identifier les modalités de la prise de décision. Un mouvement politique peut-il sérieusement assumer de ne pas avoir de direction ? Je ne le crois pas, même si je plaide pour une direction polycentrique et non pyramidale, dans laquelle il pourrait y avoir différentes légitimités directionnelles et non une seule au sommet. La démocratie, dans le mouvement politique comme dans la société, ne peut se passer de médiations. Le PCF a payé cher la tentation de l’hégémonisme et un fonctionnement qui contredisait le parti pris démocratique du projet. Nous pouvons apprendre d’erreurs passées.
    Ainsi j’imagine que la Fédération populaire dont nous avons besoin permettrait une implication individuelle, c’est-à-dire une adhésion directe possible pour chacune et chacun au tout que représenterait ce grand mouvement. Cette Fédération permettrait également aux différentes sensibilités politiques, sociales, citoyennes, culturelles d’y avoir leur place en tant que tel. Il faut associer et non vassaliser. Toute logique hégémonique débouche sur une perte d’impact dans la société parce que l’émetteur devient trop homogène. La tentation d’une centralité dominante se traduit aussi par un moins-disant sur le terrain de la réflexion collective car le pluralisme est une richesse, dans la mesure bien sûr où elle ne contrarie pas fondamentalement la cohérence d’ensemble.

    Je reprends ici la formulation de Fédération populaire mais je la sais ambigüe. En effet, il est important de ne pas confondre le rassemblement à vocation majoritaire, ce qu’ont été le Front populaire et l’Union de la gauche en leur temps, et la force politique capable d’impulser cette dynamique. La confusion pourrait laisser entendre qu’il suffirait d’une seule force pour gagner la majorité, comme si une composante pouvait à elle seule représenter toute la gauche et le peuple.

    Nous savons que le travail de reformulation d’un projet social et écologiste n’est pas abouti puisque nous n’avons pas encore gagné dans les têtes, dans la rue, dans les urnes. Pour mener ce travail, qui est en cours et qui ne part pas de rien, je suis convaincue qu’il faut ouvrir largement les portes et les fenêtres, sans arrogance ni mépris, avec convictions et recherche de cohérences nouvelles.


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  • 27 avril, 1er Mai :

    convergences dans la rue

    pour les exigences populaires !

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  • Mobilisations mercredi 1er mai 2019

    Finistère

    Manifestations (sous réserve de confirmation) :

    en général 10h30

    Brest, Quimper, Morlaix, Quimperlé

    Carhaix, Châteaulin, Rosporden, Pont l'Abbé

     [Jeudi 25 Avril 2019  Actualités Politiques]


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